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- Die Baureihe RTG (Rame à Turbine à Gaz) der französischen Staatsbahn SNCF war ein fünfteiliger Triebzug, bei dem die beiden Triebköpfe durch eine Gasturbine angetrieben wurden. (de)
- Les rames à turbine à gaz, connues sous le nom de RTG ou encore de turbotrains, ont été étudiées et conçues au début des années 1970 par la SNCF pour faire suite aux éléments à turbine à gaz (connus également sous le nom de « Turbotrains de première génération » ou encore ETG). Contrairement aux ETG, les RTG étaient équipées de deux motrices propulsées par turbines à gaz, encadrant trois remorques. Ces rames automotrices ont été construites à 44 exemplaires par les Ateliers de construction du Nord de la France (ANF Industrie) à Crespin/Blanc-Misseron près de Valenciennes. Conçues pour rouler à 200 km/h, grâce à un centre de gravité placé très bas et à des bogies renommés pour leur haute stabilité à vitesses élevées, elles ne furent jamais utilisées en service commercial à plus de 160 km/h. Elles ont aussi été vendues aux États-Unis, à l'Iran et à l'Égypte. Une RTG radiée prélevée sur le parc et entièrement rénovée a également été remployée par la firme Bombardier Transport en 1998 sous le nom de Axis composée de deux éléments turbines, pour mettre au point un dispositif de train pendulaire capable de rouler à 270 km/h avec des essais sur plus d'une année. Réputés pour leur rapidité, leur réversibilité et leur légèreté, les turbotrains ont été utilisés sur des lignes qui furent, par la suite, presque toutes électrifiées, à l'exception, notamment, de celles empruntées par les relations Lyon-Bordeaux ou Lyon-Nantes en raison de la multiplicité des itinéraires : le regain de trafic suscité par l'attractivité de ces rames, qualité majeure par rapport aux défauts qui leur étaient reprochés, a entraîné des électrifications anticipées. L'impossibilité de jumelage, au début de leur carrière, obligeait à les remplacer par des rames de voitures tractées peu performantes, hors d'âge et pénalisées par des rebroussements éventuels et changements de traction dans certains gares, les fins de semaine. Par ailleurs, un autre défaut a pu être résolu par le remplacement d'une des deux turbines de traction par une plus puissante, le Turmo XII, ce qui a permis des économies substantielles de temps de fonctionnement et d'énergie. En France, le dernier turbotrain a terminé son service en décembre 2004, les cinq dernières rames en bon état du dépôt de Vénissieux étant revendues au réseau ferré iranien. (fr)
- SNCF Class T 2000 trainsets, also known under their French acronym RTG (Rame à turbine à gaz, i.e., gas turbine trainset), were the second generation of turbine-powered trains in France and saw commercial service from 1972 to 2004. (en)
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- Die Baureihe RTG (Rame à Turbine à Gaz) der französischen Staatsbahn SNCF war ein fünfteiliger Triebzug, bei dem die beiden Triebköpfe durch eine Gasturbine angetrieben wurden. (de)
- SNCF Class T 2000 trainsets, also known under their French acronym RTG (Rame à turbine à gaz, i.e., gas turbine trainset), were the second generation of turbine-powered trains in France and saw commercial service from 1972 to 2004. (en)
- Les rames à turbine à gaz, connues sous le nom de RTG ou encore de turbotrains, ont été étudiées et conçues au début des années 1970 par la SNCF pour faire suite aux éléments à turbine à gaz (connus également sous le nom de « Turbotrains de première génération » ou encore ETG). Contrairement aux ETG, les RTG étaient équipées de deux motrices propulsées par turbines à gaz, encadrant trois remorques. Ces rames automotrices ont été construites à 44 exemplaires par les Ateliers de construction du Nord de la France (ANF Industrie) à Crespin/Blanc-Misseron près de Valenciennes. Conçues pour rouler à 200 km/h, grâce à un centre de gravité placé très bas et à des bogies renommés pour leur haute stabilité à vitesses élevées, elles ne furent jamais utilisées en service commercial à plus de 160 km/h. (fr)
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