dbo:abstract
|
- Un tahōtō (多宝塔, lit. « pagode ornée de nombreux bijoux ») est une forme de pagode japonaise trouvée principalement dans les temples bouddhistes des écoles Shingon et Tendai du bouddhisme Vajrayana. Cette forme est unique parmi les pagodes car elle comprend un nombre pair d'étages (deux). Le second étage a une balustrade et semble habitable mais est néanmoins inaccessible et n'offre aucun espace utile. Son nom renvoie à (en), représenté assis dans une « pagode ornée de nombreux bijoux » dans le onzième chapitre du Sūtra du Lotus. Avec une partie inférieure carrée et une partie supérieure cylindrique, un toit « en jupe » mokoshi, un toit pyramidal et un épi de faîtage, le tahōtō ou le plus grand daitō est un des shichidō garan d'un temple Shingon. Après l'époque de Heian, la construction des pagodes décline en général et les nouveaux tahōtō se font rares. Six exemples, dont celui de Ishiyama-dera (1194) est le plus ancien, ont été désignés Trésor national. Il n'y a pas d'exemple dans le bouddhisme chinois, que ce soit dans l'architecture chinoise ou la peinture chinoise, de quoi que ce soit qui ressemble à un tahōtō, bien qu'il existe une référence textuelle de la dynastie Song à un tahōtō avec une chambre circulaire. (fr)
- Un tahōtō (多宝塔, lit. « pagode ornée de nombreux bijoux ») est une forme de pagode japonaise trouvée principalement dans les temples bouddhistes des écoles Shingon et Tendai du bouddhisme Vajrayana. Cette forme est unique parmi les pagodes car elle comprend un nombre pair d'étages (deux). Le second étage a une balustrade et semble habitable mais est néanmoins inaccessible et n'offre aucun espace utile. Son nom renvoie à (en), représenté assis dans une « pagode ornée de nombreux bijoux » dans le onzième chapitre du Sūtra du Lotus. Avec une partie inférieure carrée et une partie supérieure cylindrique, un toit « en jupe » mokoshi, un toit pyramidal et un épi de faîtage, le tahōtō ou le plus grand daitō est un des shichidō garan d'un temple Shingon. Après l'époque de Heian, la construction des pagodes décline en général et les nouveaux tahōtō se font rares. Six exemples, dont celui de Ishiyama-dera (1194) est le plus ancien, ont été désignés Trésor national. Il n'y a pas d'exemple dans le bouddhisme chinois, que ce soit dans l'architecture chinoise ou la peinture chinoise, de quoi que ce soit qui ressemble à un tahōtō, bien qu'il existe une référence textuelle de la dynastie Song à un tahōtō avec une chambre circulaire. (fr)
|
rdfs:comment
|
- Un tahōtō (多宝塔, lit. « pagode ornée de nombreux bijoux ») est une forme de pagode japonaise trouvée principalement dans les temples bouddhistes des écoles Shingon et Tendai du bouddhisme Vajrayana. Cette forme est unique parmi les pagodes car elle comprend un nombre pair d'étages (deux). Le second étage a une balustrade et semble habitable mais est néanmoins inaccessible et n'offre aucun espace utile. Son nom renvoie à (en), représenté assis dans une « pagode ornée de nombreux bijoux » dans le onzième chapitre du Sūtra du Lotus. Avec une partie inférieure carrée et une partie supérieure cylindrique, un toit « en jupe » mokoshi, un toit pyramidal et un épi de faîtage, le tahōtō ou le plus grand daitō est un des shichidō garan d'un temple Shingon. Après l'époque de Heian, la construction de (fr)
- Un tahōtō (多宝塔, lit. « pagode ornée de nombreux bijoux ») est une forme de pagode japonaise trouvée principalement dans les temples bouddhistes des écoles Shingon et Tendai du bouddhisme Vajrayana. Cette forme est unique parmi les pagodes car elle comprend un nombre pair d'étages (deux). Le second étage a une balustrade et semble habitable mais est néanmoins inaccessible et n'offre aucun espace utile. Son nom renvoie à (en), représenté assis dans une « pagode ornée de nombreux bijoux » dans le onzième chapitre du Sūtra du Lotus. Avec une partie inférieure carrée et une partie supérieure cylindrique, un toit « en jupe » mokoshi, un toit pyramidal et un épi de faîtage, le tahōtō ou le plus grand daitō est un des shichidō garan d'un temple Shingon. Après l'époque de Heian, la construction de (fr)
|