Le taurobole était un sacrifice propitiatoire au cours duquel on sacrifiait un taureau en lui transperçant le cœur avec un glaive, d'une estocade à travers la poitrine, attesté au moins depuis le Ier siècle. À l’origine il était associé au culte de Mithra. Vers le milieu du IIe siècle ce rituel était propre au culte « métroaque », c’est-à-dire de Cybèle ou la Magna Mater.