ILLIMITÉ
Les nouveaux boulets
Celui qui touche son masque
– Et le mec… (plic) il avait une espèce de toc… (chhhh)… il se recoiffait sans arrêt… (plic shhh plic)… c'était super chiant… – HYPER chiant, tu veux dire ! Déjà porter un masque, c'est la plaie. Mais parler à quelqu'un qui repositionne le sien entre chaque virgule, ça vous colle carrément des envies de ligoter le gars avec ses ficelles à oreilles. D'abord il le remonte sur le nez parce qu'il descend, ensuite il le baisse parce que ça brouille la vue, ensuite il tire pour soulager le souffle, puis il recommence à zéro. En plus de l'aspect parasitant pour la conversation et pilant pour les nerfs, d'un strict point de vue hygiénique et sanitaire, ces manipulations sont une aberration. Avec une mention spéciale évidemment pour ceux qui l'enlèvent quand ils parlent, de peur qu'on ne les entende pas. Si je n'étais pas moi-même occupée à glisser mon masque sous mes lunettes pour limiter la buée, je leur balancerais volontiers une remarque.
Celle qui garde son casque audio
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