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Résolution meurtrière
Résolution meurtrière
Résolution meurtrière
Livre électronique230 pages3 heures

Résolution meurtrière

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À propos de ce livre électronique

Edith, épanouie dans son mariage, mais secrètement liée à Richard, voit son monde s’effondrer lorsqu’elle apprend qu’elle souffre d’une tumeur cérébrale et découvre la trahison de son amant. Dévastée, une rage meurtrière et une soif de vengeance naissent en elle, la poussant à des extrêmes insoupçonnés. Parviendra-t-elle à accomplir ses sombres desseins tout en échappant aux enquêteurs ?

 À PROPOS DE L'AUTEUR

À travers ses écrits, Jan Pierag partage des histoires inspirées de la réalité. Il a publié plusieurs ouvrages aux éditions Le Lys Bleu parmi lesquels deux romans parus en 2023 : "Deux valises et un sac… – Tome II" et "Tout ça pour ça".
LangueFrançais
Date de sortie3 sept. 2024
ISBN9791042238728
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    Aperçu du livre

    Résolution meurtrière - Jan Pierag

    Les principaux personnages

    Trois couples, plus un célibataire, forment un groupe partageant beaucoup de temps de loisirs. Ils travaillent aussi ensemble, parfois avec un peu de tension. Ils prennent souvent une partie de leurs vacances les uns avec les autres, et un seul couple a deux enfants.

    Guillaume, 42 ans, créateur d’une start-up de e-commerce. Il a deux enfants, Mathis, 13 ans et Celia, 10 ans.

    Alexia, 36 ans, assistante d’avocat au barreau. Elle est la femme de Guillaume, mère des enfants.

    Richard, 36 ans, assistant de Guillaume, célibataire. Il est la partenaire de Romain au tennis et un grand séducteur.

    Romain, 35 ans, pharmacien et compagnon d’Edith. Il est également le partenaire de Richard au tennis.

    Edith, 41 ans, collaboratrice de Guillaume. Elle est la compagne de Romain et la maîtresse de Richard.

    Luc, 38 ans, décorateur et président de l’Association Dessin-Peinture Frère de Guillaume. Il est en couple avec Cynthia.

    Cynthia, 23 ans, responsable d’une agence de voyages. Elle est la compagne de Luc et la maîtresse de Richard.

    Situations particulières

    Richard et Edith travaillent ensemble. Ils ont une relation amoureuse secrète.

    Richard et Cynthia se rencontrent chez Guillaume. Coup de foudre.

    Alexia et Cynthia participent à l’Association Dessin-Peinture de Luc. Ils s’apprécient et se voient souvent. Alexia ignore la relation entre Cynthia et Richard.

    Romain et Richard sont des partenaires au tennis. Romain ignore les conquêtes et aventures de Richard.

    Sans oublier…

    Le capitaine de gendarmerie, Delauzier de son nom, sait rester calme.

    La lieutenante de gendarmerie, Pascaline, ne lâche jamais rien…

    Prologue

    C’est l’hiver, un week-end de janvier, la neige est là en abondance. Ils sont tous là, les sept, plus les deux enfants, pour le week-end, avec en perspective la galette des rois en fin du dîner le samedi. La maison se vide en général le dimanche dans l’après-midi, ils rentrent tous dans la région stéphanoise, chacun chez soi.

    Guillaume et Alexia ont deux enfants, Mathis, treize ans et Celia, dix ans. Leur couple est solide, lui créateur d’une start-up il y a six ans, quadra actif, il met un point d’honneur à participer à la vie de sa famille sans jamais travailler le week-end. Alexia est l’assistante d’un avocat inscrit au Barreau, elle aussi favorise la vie de famille.

    Romain et Edith vivent en couple depuis deux ans. Romain est pharmacien, associé dans une pharmacie à Firminy. Edith travaille avec Guillaume et Richard, elle est chargée de trouver de nouveaux produits qui seront inclus dans le catalogue de vente de la start-up.

    Luc et Cynthia vivent ensemble depuis moins de deux ans, Luc est décorateur, fondateur aussi d’une association de dessin et peinture, c’est le frère de Guillaume. Cynthia est responsable d’une succursale d’un groupe d’agences de voyages. Elle est toute jeune, vingt-trois ans. Luc en a trente-huit.

    Et enfin Richard, assistant de Guillaume, célibataire, trente-six ans. Sans que personne n’en soit au courant, il est l’amant d’Edith et de Cynthia aussi ; toutes les deux ignorant cette situation qui pourrait devenir explosive. Richard collectionne les aventures depuis toujours.

    Ils sont en week-end dans la maison de famille qui appartient à Alexia, dans un village de montagne, Champagnac-le-Vieux, à mille mètres d’altitude, en limite Haute-Loire et Puy-de-Dôme. Tout le monde les connaît dans le village. Ils sont estimés, présents à toutes les fêtes.

    Alexia et Cynthia pratiquent, toutes les deux, le dessin et la peinture. Elles sont assidues aux réunions de l’association de Luc et s’apprécient mutuellement. Tout comme Richard et Romain, qui sont partenaires de double au tennis. Richard a invité Romain pour un anniversaire. Il a rencontré Edith, plus âgée que lui, sans savoir qu’Edith est aussi l’une des maîtresses de Richard, et ils vivent ensemble leur propre histoire. Cynthia a rencontré Luc et Richard, lors d’une invitation d’Alexia.

    1

    Consultation, introspection et évolution

    Certaines journées, basiques au réveil, peuvent devenir d’un seul coup créatrices d’un poison acide qui vous emplit totalement. Edith vient de sortir, abattue, d’une consultation à l’hôpital, où le neurologue qui l’a reçue lui a annoncé sans ménagement qu’elle développait une tumeur au cerveau. Malheureusement, il est impossible d’opérer. La tumeur est très mal placée, et il faudra passer par une chimio accompagnée de médicaments adaptés. Un choc, cette nouvelle la terrifie.

    Elle rejoint sa voiture et s’y installe, restant un long moment à réfléchir autour de cette nouvelle qui l’angoisse. À quarante et un ans, elle se trouve dans la situation qu’a connue sa mère, qui avait vingt ans de plus lorsqu’elle a été atteinte du même mal. C’était, il y a vingt ans.

    De combien de temps dispose-t-elle en ayant toutes ses capacités, autant physiques, qu’intellectuelles ? Le neurologue n’a pas répondu, ignorant sa question. Elle ne veut pas rentrer chez elle tout de suite. Il lui faut parler, s’exprimer, avant de rentrer et de retrouver Romain. Leur entente est bonne, ils éprouvent du plaisir à être ensemble, mais leur vie intime ne lui suffit pas. Elle aime le sexe, lui n’est pas très porté sur la chose, et en cela elle est parfaitement satisfaite dans sa relation avec Richard. Avec lui, au contraire, il n’y a que le sexe, pas de questions, pas de projets.

    Elle démarre et prend la direction d’Andrézieux, au nord, où habite Richard. Elle a besoin de se sentir femme, désirée, tout de suite.

    Elle monte l’escalier et entend quelqu’un qui descend. Une femme. Elle porte des chaussures à talon. Sur le palier du premier étage, elles se croisent, ébahies l’une comme l’autre.

    — Cynthia ? Mais…

    — Edith, que fais-tu là ?

    — Et toi, tu habites ici ?

    — Non, tu sais bien que non. J’y viens souvent, et toi ?

    — Tu viens chez Richard ?

    — Oui, et toi aussi ? Je ne savais pas qu’il aimait aussi les plus vieilles…

    — Et Luc dans tout cela ?

    — Comme toi pour Romain. On est quittes. Ni toi ni moi n’en parlerons n’est-ce pas ? Le mieux est de garder le silence…

    Cynthia est partie, descendant rapidement, sans attendre de réponse.

    Edith s’est assise sur les marches. Deuxième choc du jour, elle s’était toujours dit qu’elle ne devait pas être la seule dans la vie de Richard, sans imaginer pour autant que Cynthia profitait du même amant. La vie devient trop compliquée d’un coup. Elle n’est pas montée jusqu’au second étage. Dès demain, elle mettra les choses au point avec Richard. C’est impensable qu’elle le partage avec Cynthia. Elle va lui demander de choisir entre elles deux. Ce sera définitif, il n’y aura pas de retour en arrière. Elle est partie, trente minutes plus tard. En ouvrant la porte, elle a retrouvé Romain, qui lui aussi venait d’arriver.

    — Salut bel Ange !

    — Bonsoir chéri. Tout va bien pour toi ?

    — Oui, et toi ? Ta visite chez le neurologue ?

    — Pas bonne. J’ai une mauvaise nouvelle, une tumeur au cerveau. Il m’a fait passer un scanner, et me l’a montrée sur les images. Il ne peut pas opérer, c’est trop dangereux là où elle est placée. Donc, on s’oriente vers la chimio et un traitement en parallèle.

    — Pas de panique. Est-ce que tu veux en voir un autre ?

    — Non, les images sont là. Il va en parler en réunion, peut-être qu’ils vont proposer un essai par le laser, mais là aussi c’est dangereux.

    — Bon. Je suis avec toi, tu le sais, et on va demander à Guillaume un aménagement de ton poste pour que tu aies moins de déplacements. Il pourrait t’adjoindre quelqu’un qui irait sur place avec tes instructions pour négocier les contrats.

    — On va voir, maintenant prends-moi dans tes bras. J’ai besoin de toi.

    Le lendemain, dans la matinée, Edith est allée retrouver Richard dans son espace de travail. Ils travaillaient tous en open-space, avec des cloisons ne dépassant pas un mètre soixante, isolant de la vue des autres, mais ne permettant pas une conversation animée à voix haute. Elle s’est assise en face de lui, le fixant droit dans les yeux, en disant :

    — Je te donne une minute pour choisir entre Cynthia et moi. Je l’ai croisée hier dans l’escalier en voulant venir chez toi. Je ne veux rien savoir sur vous deux, choisis, dis-moi qui sera l’élue, et rien d’autre.

    — Je ne peux pas choisir. Je vous apprécie toutes les deux. Tu sais bien que je ne peux pas vivre avec une seule femme.

    — Ce n’est pas ma demande. Tu ne choisis pas ? Alors va te faire foutre.

    Richard l’a regardée, ne comprenant pas bien.

    — Tu ne veux plus de moi et des plaisirs qu’on se donne ?

    — Non, si tu continues avec Cynthia. Non, définitivement.

    — Elle est au courant ?

    — Je l’ai croisée hier, nous avons échangé quelques mots…

    — Je ne souhaite pas arrêter, ni avec toi ni avec elle.

    — Alors salut. Ne compte pas sur moi pour mettre à jour tes références. Tu te débrouilleras bien tout seul. C’est juste un peu plus de travail.

    — Pour ça, il faut voir Guillaume !

    — Je sais. J’y vais maintenant…

    — Edith, attends…

    — Non. C’est fini.

    Guillaume est au téléphone. La voyant arriver, il a fait signe pour qu’elle s’assoie et il a conclu rapidement sa conversation.

    — Edith, bonjour. Tout va bien ? Qu’est-ce qui t’amène ?

    — Bonjour Guillaume. J’ai eu mon rendez-vous hier. On m’a annoncé une tumeur au cerveau, inopérable. Donc je ne sais pas trop ce qui va se passer dans les semaines ou les mois à venir. Je voulais te prévenir, et peut-être que l’on peut réfléchir un peu à organiser le travail ici, qu’en penses-tu ?

    — La première chose est qu’il faut que tu te soignes. Fais tout ce qu’il faut. Tes conditions financières ici ne changeront pas, et prends le temps qui est nécessaire à chaque fois que tu en auras besoin. Ensuite, tu me diras au fil du temps, si tu veux te déplacer moins, on trouvera une solution, et si tu veux travailler chez toi c’est possible aussi. Je te propose, en dehors de ce que je viens de dire, que Richard reprenne, comme c’était avant, le contrôle des références et l’attribution des codes. Il n’est pas surchargé et trouvera le temps pour le faire. Pour ça, on peut le mettre en route dès lundi prochain. Je vais le prévenir, mais je ne parle pas de ta santé. Cela reste entre toi et moi. Tu es d’accord ?

    — Oui, merci Guillaume. Pour Richard, je te l’aurai demandé si tu n’en avais pas parlé. Je suis d’accord, et je te remercie vraiment. Je suis très heureuse de te l’avoir dit. C’est un peu lourd à porter et je n’ai pas envie d’en parler avec tout le monde.

    — Il n’y a pas d’inquiétude à avoir pour ça, personne d’autre ici ne le saura. Je suis là si tu en as besoin, prends ça avec courage et bon moral.

    — Merci Guillaume. J’y retourne, j’ai des contacts à appeler.

    Edith en se levant s’est sentie beaucoup plus forte, les propositions de Guillaume lui avaient prouvé qu’il avait de l’estime pour elle et c’était un grand réconfort par rapport au comportement de Richard. Elle le méprisait depuis qu’il lui avait refusé, par deux fois, de choisir. Il n’a pas eu le courage de lui dire qu’il choisissait Cynthia. Un pleutre, voilà ce qu’il était. Il y eut, juste après ce mot, un déclic qui lui donna le vertige. Edith s’est assise, proche d’un étourdissement, elle est à peine consciente et voit, comme dans un film, devant elle Richard courant, affolé. Cette vision a duré quelques secondes. Elle transpire, elle a froid, tant bien que mal, se lève pour aller chercher un thé bien chaud à la machine installée dans le coin pause. Elle s’assoit pour boire et repense à cette vision, pourquoi est-ce que Richard courait en étant affolé ? Était-ce elle qui le poursuivait, et voulait le tuer ? Elle sourit à cette idée. Lui faire peur à ce point, oui, elle aimerait ça !

    La journée s’est écoulée. Elle a aperçu Guillaume et Richard en grande conversation. Guillaume semblait autoritaire et décideur face à un petit Richard qui opinait sans répondre. Là aussi, il ne décidera rien, il n’en aura pas le courage. Elle comprend mieux, en voyant cela, pourquoi elle avait eu tant de plaisir en le dominant lorsqu’ils faisaient l’amour. Cette image de Richard affolé la poursuit, elle la gardera en filigrane devant les yeux jusqu’au moment de s’endormir. Que signifiait-elle exactement ? Quel était le message, et qui lui envoyait ?

    Richard est rentré chez lui, seul ce soir, habituellement c’est avec Edith qu’à cette heure ils prenaient tout le temps de se faire plaisir. Elle l’avait écarté de sa vie, ce matin, d’une façon brutale, chose qui ne lui était pas arrivée depuis plus de douze ans. C’est toujours lui qui éloigne celles dont il ne veut plus. Cette fois, il a été pris au piège. Il domine et manipule Cynthia comme il le veut. Elle est encore très jeune, tendre et fraîche, mais il ne pensait pas qu’Edith le mettrait devant un choix définitif, et que les conséquences en arriveraient jusqu’à son emploi. Il a bien compris qu’elle n’a pas parlé de leur relation avec Guillaume, mais elle a bien su, en revanche, orienter les choses pour que leurs attributions soient révisées, ce qui supprimait toute possibilité de passer du temps avec elle pendant les heures de travail. S’il voulait la voir, il faudrait le faire en dehors du bureau, ça, elle le refuserait. Elle l’a dit : « C’est fini. » Au fond de lui, il regrettait cette rupture. Elle avait la connaissance des plaisirs que l’on partage à deux au fond d’un lit. Cynthia, pas encore. À son âge, on ne sait pas tout, et parmi ses conquêtes Edith était pour lui dans le haut du tableau. Dans son carnet intime où il notait toutes ses partenaires. Elle se trouvait dans le top cinq. Oui, il était obsédé, depuis toujours, quatre ou cinq relations simultanées ne l’effrayaient pas. Cette addiction était tellement jouissive qu’il ne pouvait s’en dispenser. Dommage quand même que Guillaume lui ait refilé un travail fastidieux, dont il avait su se dessaisir, et qu’Edith lui avait renvoyé en même temps qu’elle l’avait quitté.

    Les jours passaient, et de plus en plus Edith sentait monter en elle une envie de vengeance envers Richard, pire même, par instants, l’envie de lui faire mal, physiquement et surtout psychologiquement. Détruire cette espèce de supériorité qu’il affichait face à toutes les femmes. Elle lui avait toujours résisté. C’est elle qui le dominait, et il n’a jamais réussi à lui imposer des situations dégradantes quand ils faisaient l’amour. Elle était plus forte que lui, et une fois encore, elle allait lui prouver. Sans trop savoir comment pour le moment, mais on dit bien que la vengeance est un plat qui se mange froid, non ? Elle prendrait son temps, il n’aura aucune chance de l’éviter. Et puis aussi, lors de leurs prochains week-ends, s’ils sont tous là, elle observera bien le comportement de Cynthia. Luc sera présent. Est-ce qu’il imagine que sa chérie est aussi le jouet d’un malade du sexe ? Il y a là quelque chose à regarder de près, leur entente est-elle toujours aussi tendre ? Jusqu’à la fin de l’année passée, c’était évident qu’ils étaient tous les deux très amoureux. Le soir de la galette, c’est Richard qui a eu la fève et qui s’est empressé de l’offrir à Cynthia, laquelle s’est jetée dans ses bras, au bord d’un baiser fougueux. Luc a peut-être pris cela pour une fin de dîner un peu arrosé, mais Edith comprenait maintenant que cette étreinte n’était pas accidentelle…

    Elle avait aujourd’hui une tournée à faire aux alentours de Saint-Étienne jusqu’à Roanne. Elle effectuerait son travail avec la même envie et la même rigueur qu’elle affichait ordinairement, mettant de côté toutes ses réflexions sur le moyen de faire mal, vraiment mal, à Richard. Par instants, elle pensait que Cynthia, jeune et encore un peu naïve, devait ne pas se sentir complètement satisfaite avec Luc, avec Richard, oui…

    Mais alors, pourquoi rester avec Luc dans ce cas ?

    Le premier week-end de février était traditionnellement pour eux une fête où tous étaient présents, et où il était établi de manger des crêpes à chaque repas. La date du deux février n’était pas forcément respectée. Ils ne pouvaient pas se déplacer en semaine, et c’est pour cette raison que cela avait lieu pendant le premier week-end. La maison était très grande, toutes les chambres possédaient leur salle d’eau, les anciennes dépendances avaient été réunies à la maison pour en faire des pièces habitables. On pouvait y vivre à une douzaine de personnes sans se gêner, et il y avait autour de la maison deux hectares de terrain, en partie boisé, avec un petit potager, et des zones en herbe, tout cela conservé à l’état naturel.

    Guillaume

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