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« Henriette de Belgique » : différence entre les versions

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La [[Première Guerre mondiale]] ne l'empêche pas de voyager : elle se rend à [[Londres]], [[Cannes]] et même à [[La Panne]], en Belgique, où son frère le roi Albert résiste à l'armée allemande. La duchesse de Vendôme joue un rôle important dans plusieurs centres de soins dispensés aux soldats blessés et veille à l'accueil et à l'amélioration des conditions de vie des réfugiés belges, que ce soit en Grande-Bretagne ou en France.
 
Durant l'hiver 1920-1921, elle effectue, avec son mari, un périple en [[Afrique du Nord]] qui lui offre l'occasion de donner libre cours à ses talents d'[[Aquarelle|aquarelliste]]. En 1922, elle acquiert le [[Châteaux de Lugrin|château de Blonay]] (également appelé Tourronde) à [[Lugrin]] en [[Haute-Savoie]]. Politiquement, ses idées la rapprochent de [[Charles Maurras]] et de son mouvement l'[[Action française]]. Devenue veuveVeuve en 1931, Henriette est presque ruinée, etla duchesse de Vendôme publie plusieurs ouvrages d'histoire et de voyages. Installée à Tourronde en 1940, elle y demeure jusqu'à la fin de la [[Seconde Guerre mondiale]]. Déçue par le devenir de sales famillesiens, elle continue à fréquenter les membres du Gotha exilés. En raison de ses difficultés financières et de sa santé déclinante, Henriettela duchesse s'installe à Sierre, où elle meurt trois semaines après sason venuearrivée, le {{date-|28|mars|1948}}.
 
== Biographie ==