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Modification de Hippolyte Panhard

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En 1891, il effectue le premier raid automobile, sans s'arrêter, entre les [[Porte d'Ivry]] et [[Porte de Saint-Cloud|de Saint-Cloud]], soit environ {{unité|10|kilomètres}} à la vitesse de... {{unité|2|kilomètres}} à l'heure.
En 1891, il effectue le premier raid automobile, sans s'arrêter, entre les [[Porte d'Ivry]] et [[Porte de Saint-Cloud|de Saint-Cloud]], soit environ {{unité|10|kilomètres}} à la vitesse de... {{unité|2|kilomètres}} à l'heure.


Le {{date-|27 mars 1893}}, en compagnie de l'oncle Georges Méric, il effectue cette fois le raid [[Paris]]-[[Nice]] à des vitesses 10 fois supérieures et un moteur de 2HP½. Le départ a également lieu de la Porte d'Ivry, et l'arrivée à Nice est pour le {{date-|14 avril}}. Les étapes varient de 120 à {{unité|150|kilomètres}}, en passant par [[Briare]], [[Decize]], [[Roanne]], [[Annonay]], [[Orange (Vaucluse)|Orange]], [[Marseille]]<ref>Le Matin, 11 août 1943.</ref>. Les ravitaillements en essence se font d'épicerie à épicerie, et la traversée des villes et villages s'accompagne d'attroupements et de cris de surprise tant humains... qu'animaliers. À Hyères, le mécanicien Belhomme prend le relais de Méric, car la voiture commence à avoir des problèmes d'embrayage. Hippolyte y rencontre également [[Alexis Godillot]]. Arrivé à [[Cannes]], il fait les éloges de son véhicule au grand-duc [[Michel Alexandrovitch de Russie|Michel de Russie]]. Le {{date-|20 avril}}, Belhomme et Panhard prennent le chemin du retour vers Paris.
Le {{date-|27 mars 1893}}, en compagnie de l'oncle Georges Méric, il effectue cette fois le raid [[Paris]]-[[Nice]] à des vitesses 10 fois supérieures et un moteur de 2HP½. Le départ a également lieu de la Porte d'Ivry, et l'arrivée à Nice est pour le {{date-|14 avril}}. Les étapes varient de 120 à {{unité|150|kilomètres}}, en passant par [[Briare]], [[Decize]], [[Roanne]], [[Annonay]], [[Orange (Vaucluse)|Orange]], [[Marseille]]<ref>Le Matin, 11 août 1943.</ref>. Les ravitaillement en essence se font d'épicerie à épicerie, et la traversée des villes et villages s'accompagne d'attroupements et de cris de surprise tant humains... qu'animaliers. À Hyères, le mécanicien Belhomme prend le relais de Méric, car la voiture commence à avoir des problèmes d'embrayage. Hippolyte y rencontre également [[Alexis Godillot]]. Arrivé à [[Cannes]], il fait les éloges de son véhicule au grand-duc [[Michel Alexandrovitch de Russie|Michel de Russie]]. Le {{date-|20 avril}}, Belhomme et Panhard prennent le chemin du retour vers Paris.


Entre le 24 et le {{date-|30 novembre 1893}}, Hippolyte obtient ses titres d'autorisation de circulation dans la capitale.
Entre le 24 et le {{date-|30 novembre 1893}}, Hippolyte obtient ses titres d'autorisation de circulation dans la capitale.

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