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Un drôle de dimanche

film de Marc Allégret, sorti en 1958
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Un drôle de dimanche est un film français réalisé par Marc Allégret en 1958.

Synopsis

Jean Brévent, un concepteur d'une grande agence de publicité, ancien compagnon de la Libération, s'investit totalement dans son labeur pour tenter d'oublier que sa femme Catherine l'a quitté il y a cinq ans. Un jour, il la retrouve dans l'autobus... Il l'aime encore. Et elle découvrira peu à peu qu'elle aussi, bien qu'elle soit partie avec un ancien subalterne de son mari. Jean oscillera longtemps entre le désir de la reconquérir et celui de la tuer...

Fiche technique

Distribution

Commentaire

Le personnage de Bourvil est relativement proche de celui qu'il interprète dans Le Miroir à deux faces, tant par son jeu que par la situation. Le film oscille entre le drame et la comédie, ce dernier genre l'emportant globalement et finalement. De ce fait il reste à l'opposé de celui d'André Cayatte.

C'est une des premières apparitions un peu importantes de Jean-Paul Belmondo dans un film. Il a alors 25 ans.

Citation

  • Pour les fans d'Arletty, elle prononce une courte phrase qui serait tout à fait banale dans une autre bouche que la sienne, mais qui, dite par elle avec sa voix inimitable à l'accent parisien, prend immédiatement un relief formidable. Marchant sur une route de campagne, en tenue de ville chic et talons hauts : « Si j'avais su j'aurais mis mes ballerines ! ». Il faut la voir et surtout l'entendre...