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Angles (Alpes-de-Haute-Provence)

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Angles est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Angles
Angles (Alpes-de-Haute-Provence)
L'église.
Blason de Angles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Aimé Bac
2020-2026
Code postal 04170
Code commune 04007
Démographie
Population
municipale
69 hab. (2021 en évolution de +7,81 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 37″ nord, 6° 33′ 32″ est
Altitude Min. 880 m
Max. 1 777 m
Superficie 9,83 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
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Angles
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Angles
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Angles
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Angles

Géographie

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Angles et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé à 956 m d’altitude[1], dans la vallée du Torrent d'Angles[2].

Les communes limitrophes sont Saint-André-les-Alpes, Allons, Vergons et Saint-Julien-du-Verdon.

Angles est une des 46 communes adhérentes du parc naturel régional du Verdon.

Géologie et relief

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  • Baisse d’Angles (1 577 m) et le Serre Gros (1 778 m) sur la Crête des Serres.

La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.

Hydrographie

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Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

  • La commune est arrosée par le Verdon (au sud-ouest), ainsi que par l'un de ses affluents, le Torrent d'Angles[4], rivière d'environ 5,6 km,
  • ravin des basties.

Plan d'eau :

  • baie d'angles,
  • lac de castillon.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 971 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21,9 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Environnement

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La commune compte 417 ha de bois et forêts, soit près de la moitié de la superficie[12].

Transports

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Le village d’Angles est accessible par la RD 33, via la route nationale 202.

Risques naturels et technologiques

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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Saint-André-les-Alpes auquel appartient Angles est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[13], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[14]. La commune d’Angles est également exposée à quatre autres risques naturels[14] :

  • avalanche,
  • feu de forêt,
  • inondation (le cours inférieur du torrent d’Angles),
  • mouvement de terrain : la commune est concernée par un aléa moyen à fort sur certaines zones de son territoire[15].

La commune d’Angles est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[16]. La route nationale 202 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[17] et passe en limite de commune.

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[16] et le Dicrim existe depuis 2011[18].

La commune n’a été l’objet d’aucun arrêté de catastrophe naturelle[14]. Le tremblement de terre le plus fortement ressenti à Angles est celui de Chasteuil, le 30 novembre 1951[19].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Angles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[21] et hors attraction des villes[22],[23].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (46,1 %), forêts (42,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), eaux continentales[Note 2] (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[24].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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La localité est signalée pour la première fois sous la forme In Anglis vers 1045[25], Angulis au XIIIe siècle[26].

Son nom fait référence à un élément du paysage en forme de coin, le village selon Ernest Nègre[27], celle des champs selon les Fénié[28].

Si certains y voient un rapport aux « angles » du village, ou à des formes anguleuses caractéristiques, il pourrait, peut-être, aussi être possible de rapprocher ce toponyme des Angles, peuplade germanique, dont quelques éléments, qui étaient au service des Romains, aient pu s'établir en ces lieux.

Le nom du quartier du Moustier est la trace du prieuré de Lérins[29],[30] dans son nom[31].

Économie

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Aperçu général

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En 2009, la population active s'élevait à 27 personnes, dont 1 chômeur[32]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (19 sur 26)[33] et travaillent majoritairement hors de la commune (20 travailleurs sur 26)[33]. Le seul emploi salarié de la commune est dans le secteur tertiaire[34]

Au 1er janvier 2011, le secteur primaire représente la plus grosse part des établissements actifs de la commune (5 sur 11), il y a trois entreprises du secteur secondaire, et trois établissements du secteur tertiaire[34].

Agriculture

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Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait cinq établissements différents[34].

Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est resté stable dans les années 2000, à 3, qui sont toutes spécialisés dans l’élevage ovin[35]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement décru, passant de 113 à 603 ha, l’essentiel restant en herbe[36]. À l’opposé, la surface agricole utilisée a très fortement régressé dans les années 2000 : elle est passée de 608 à 63 hectares[35].

Industrie

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Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait trois établissements, n’employant aucun salarié[34].

Activités de service

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Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, service) comptait trois établissements (avec un seul emploi salarié)[34].

D'après l'Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre 1 et 5 touristes accueillis pour un habitant[37] (compte tenu de la population). L’essentiel de la capacité d'hébergement est non-marchande[38]. Les structures d'hébergement à finalité touristique sont rares à Angles :

  • un camping à la ferme[39] ;
  • quelques meublés[40] ;
  • des chambres d’hôtes[41] ;
  • aucun hôtel[42] ni hébergement collectif[43].

En considérant la faiblesse de l’offre, ce sont finalement les résidences secondaires qui pèsent le plus lourd dans la capacité d'accueil[44] : 27 des 64 logements de la commune sont des résidences secondaires (42 %)[45].

Histoire

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Auguste fait la conquête de la vallée du Verdon en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont la vallée d’Angles dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame), Civitas Saliniensum (Castellane) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, semblent avérés[46].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1245[1],[47], alors qu’elle est une coseigneurie des évêques de Senez et de l’abbaye de Lérins. Son prieuré est réuni à celui de Vergons en 1454[48] et relevait de l’abbaye Saint-Honorat de Lérins[49]. L’abbé de Lérins y construit un hospice[29]. Elle passe ensuite aux d’Agoult[50].

La communauté relevait de la viguerie de Castellane[31].

Les habitants d’Angles mènent une lutte contre le seigneur local, sur plusieurs générations, refusant le droit de demi-lods, prélevé sur tout héritage. Après les non-paiements, les procès, le banc du seigneur à l’église est réduits en miettes. En 1731, les moissons du seigneur ne sont plus récoltées, avec interdiction à quiconque de le faire, et l’intendant échappe de peu au lynchage[51].

Une école primaire permanente y existe depuis 1776[1]. En 1788, le prieuré disparaît avec la sécularisation de l’abbaye de Lérins[31]

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[52].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1838 que le cadastre dit napoléonien d’Angles est achevé[53].

Comme de nombreuses communes du département, celle d’Angles se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[54]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[55], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Angles[56], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Angles sont régulièrement scolarisées.

Héraldique

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  Blason
Écartelé, au 1er et 4e de gueules à deux triangles entrelacés d’argent, au 2e et 3e d’or à un loup ravissant d’azur lampassé et armé de gueules[57],[58].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Albert Dol[59]    
         
1977 (?)   Flavien Raybaud[60] PS  
2001 en cours[61],[62] Aimé Bac[63] DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Angles fait partie :

Urbanisme

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La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[64].

Budget et fiscalité 2016

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En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[65] :

  • total des produits de fonctionnement : 68 000 , soit 1 034  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 60 000 , soit 912  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 9 000 , soit 134  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 4 000 , soit 59  par habitant.
  • endettement : 2 000 , soit 30  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 10,09 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,12 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 52,28 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 24,64 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[66].

Population et société

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Démographie

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En 2021, la commune d’Angles comptait 69 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012, 2017 pour Angles). Les autres chiffres sont des estimations.

Évolution démographique
1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
10 feux10 feux312284274272266347210245
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
227240244223196181168180182176
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1441301141138995106715466
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2021 - -
5557556556677269--
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale en 2006
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[50], base Cassini de l'EHESS jusqu'en 1962[67], base Insee à partir de 1968[68],[69],[70].)

L’histoire démographique d’Angles est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure jusqu’en 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1901, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1806[71]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la croissance de la population a repris, très lentement.

Histogramme de l'évolution démographique

Culte catholique, doyenné Var et Verdon[72].

Lieux et monuments

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  • L’église Notre-Dame-et-Saint-Honorat (XVIIe siècle[73],[74], un chapiteau portant l’inscription 1686[75],[50]) possède un clocher aux tuiles polychromes.
  • La chapelle Notre-Dame[76] : chœur polygonal, à croisée d’ogives, du XVIe ou du début du XVIIe siècle[77]. En ruines dès la fin du XIXe siècle, elle est restaurée dans les années 1970, en contradiction avec les relevés des enquêtes diocésaines du XIXe siècle qui datent sa construction de 1870[31].
  • Une chapelle Saint-Jean a aussi existé au sud du village, mais a disparu au XIXe siècle[31].
  • Monuments commémoratifs[78].
  • Oratoires et croix de chemin[79].
  • Lavoirs[80],[81], fontaines[82], abreuvoir[83].

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », , 72 p. (ISBN 2-7399-5004-7).
  2. La vallée du Riou de Vergon et la vallée du torrent d'Angles.
  3. L'eau dans la commune
  4. fiche du torrent d'Angles sur le site du SANDRE
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Angles et La Mure-Argens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. Roger Brunet, « Canton de Saint-André-les-Alpes », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
  13. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
  14. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 25 juin 2012
  15. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  16. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 95.
  17. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  18. Dicrim d’Angles, base Dicrim, consultée le 25 juin 2011
  19. BRGM, « Epicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Angles », Sisfrance, consulté le 25 juin 2012
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  21. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France : Tome 3, page 1448, (ISBN 2600028846).
  26. Dans les textes.
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume III : Formations dialectales (suite) ; formations françaises. Notices 26388-90, p 1447
  28. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 68.
  29. a et b « village d'Angles », notice no IA04001089, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. « présentation de la commune d'Angles », notice no IA04000564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. a b c d et e Daniel Thiery, « Angles », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 12 décembre 2010, mis à jour le 15 décembre 2010, consulté le 25 juin 2012
  32. Dossier local - Commune :Angles (04007), Insee (lire en ligne), p.5.
  33. a et b Dossier local, p. 7.
  34. a b c d et e Dossier local, p. 15.
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  36. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
  37. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 6.
  38. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, (lire en ligne), p.7.
  39. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 21-22.
  40. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 32 et 36.
  41. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 38.
  42. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 11.
  43. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 30.
  44. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 44.
  45. Dossier local, p. 17.
  46. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
  47. Au XIIIe, selon Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 160.
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  50. a b et c Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 160.
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  52. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307,‎ 1er trimestre 1989, p.296-298.
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  54. Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  55. Labadie 2013, p. 16.
  56. Labadie 2013, p. 18.
  57. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
  58. Dominique Cureau, « Moyen Verdon, Angles », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  59. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  60. Flavien Raybaud est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1046, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  61. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, D’Aiglun à Braux (liste 1), consulté le 6 mars 2013
  62. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De Aiglun à Braux (liste 1) », Les communes du département, consultée le 16 avril 2014.
  63. Aimé Bac est l’un des 500 élus qui ont parrainé Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012
  64. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
  65. Les comptes de la commune
  66. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  67. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Angles », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  68. « Résultats du recensement de la population - Angles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  69. « Recensement de la population au 1er janvier 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  70. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  71. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
  72. Paroisse (Angles)
  73. « église paroissiale Notre-Dame », notice no IA04000230, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  74. Angles, petit village sur le bord du lac de Saint André les Alpes
  75. Collier 1986, p. 222.
  76. « chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours », notice no IA04001111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. Collier 1986, p. 169.
  78. Plaque commémorative
  79. « oratoires et croix de chemin », notice no IA04000418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  80. « lavoir Bourgade (la) », notice no IA04000415, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  81. « lavoir », notice no IA04000414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  82. « fontaine ; lavoir Moustier (hameau du) », notice no IA04000416, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  83. « abreuvoir Bourgade (la) », notice no IA04000413, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture