Baleix
Baleix est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Baleix | |||||
L'entrée du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Nord-Est Béarn | ||||
Maire Mandat |
Vincent Roustaa 2020-2026 |
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Code postal | 64460 | ||||
Code commune | 64089 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Baleichois | ||||
Population municipale |
135 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 22′ 45″ nord, 0° 07′ 43″ ouest | ||||
Altitude | Min. 225 m Max. 354 m |
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Superficie | 6,47 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Baleix se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 25 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 13 km de Morlaàs[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Anoye (2,0 km), Lespourcy (2,5 km), Momy (2,8 km), Sedze-Maubecq (2,9 km), Villenave-près-Béarn (3,0 km), Abère (3,9 km), Bédeille (4,1 km), Urost (4,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Baleix fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Momy, Abère, Anoye, Lespourcy et Sedze-Maubecq.
Hydrographie
modifierLa commune est drainée par le Léez, le Laas, la Manhoueille, le ruisseau de Pédebosc, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et traverse le territoire communal dans sa partie est. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].
Le Lées (9 km), prend sa source dans la commune de Saubole et s'écoule vers le nord puis le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le Léez l'est du territoire communal[9].
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 140 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vic-en-Bigorre à 14,77 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 937,3 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
modifierAucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Baleix est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,8 %), prairies (29,2 %), zones agricoles hétérogènes (21,7 %), forêts (9,3 %), zones urbanisées (3,9 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
modifierVoies de communication et transports
modifierBaleix est desservie par les routes départementales 7 et 145.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Baleix est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[31],[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. 44,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[33].
Toponymie
modifierLe toponyme Baleix apparaît sous les formes Bales (XIe siècle[28], cartulaire de Lescar[34]), Balas (XIIe siècle[28], d'après Pierre de Marca[35]), Balestoos (XIIIe siècle[28], fors de Béarn[36]), Baleixs et Balesis (respectivement 1385[28] et 1402[28], censier de Béarn[36]), Baleyxs, Balechs et Balex (respectivement 1538[28] pour les deux premières formes et 1548[28], réformation de Béarn[37]) et Baleix, (XVIIIe siècle[38], carte de Cassini).
Son nom béarnais est Balèish[39] ou Balèch[40].
Étymologiquement, Baleix vient du gascon[38] Balèch qui signifie « plateau ».
Les toponymes Abarades et Abats sont mentionnés en 1863 (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[28]).
Les Artics était un écart de Baleix, mentionné en 1769[28] dans le terrier de Baleix[41].
Le hameau la Bielle est mentionné en 1863[28] par le dictionnaire topographique, tout comme la Haille (Hailhe en 1769[28] dans le terrier[41] de Baleix), le Pimi (Lou Pimy dans le terrier de 1769[28]), la Lanusse, Trémoulets (sous la forme Le Trémoulet). Le même dictionnaire signale les écarts Peyreblanque et la Vignasse.
Les Plagnius est un écart cité sous les graphies Plagniux et le Plagniu en 1769,[28] (terrier de Baleix[41]). D'autres hameaux, Gaguette, le Turocq de Naudy, et la Turbecolle (la Turequolle en 1769[28] dans le terrier de Baleix[41]) apparaissent dans le dictionnaire de 1863[28].
Histoire
modifierPaul Raymond[28] note que Baleix comptait en 1385 vingt-deux feux et dépendait du bailliage de Pau. Ce fief ressortait à la vicomté de Béarn.
L'occupation de la commune est ancienne puisqu'on y a découvert un camp retranché entouré d'un fossé avec des restes visibles de terrassements.
Pendant la période médiévale, la commune était membre de la commanderie de l'ordre de Malte de Caubin et Morlaàs.
Politique et administration
modifierIntercommunalité
modifierBaleix fait partie de quatre structures intercommunales[42] :
- la communauté de communes du Nord-Est Béarn ;
- le SIVOM du canton de Montaner ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Léès.
Population et société
modifierDémographie
modifierLe gentilé est Baleichois[43].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].
En 2021, la commune comptait 135 habitants[Note 5], en évolution de −7,53 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Baleix fait partie de l'aire d'attraction de Pau.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifier-
Le village.
-
Autre vue du village.
Patrimoine civil
modifierBaleix présente un ensemble de maisons et de fermes[27],[26],[24],[48],[49],[50],[25] des XVIIIe et XIXe siècles, inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel[51].
Patrimoine religieux
modifierL'église Saint-Martin[52] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle du mobilier (des lambris de revêtement[53],[54], un maître-autel et son retable[55],[56],[57], deux reliefs sculptés représentant des anges adorateurs[58], des fauteuils de célébrant[59],[60], un bénitier de milieu[61], une cuve baptismale à infusion[62], un confessionnal[63], des retables de sainte Lucie et de saint Roch[64], deux gradins d'autel[65], un ensemble d'autels secondaires[66], deux bras de lumière[67], un tabernacle à ailes[68], un autel tombeau[69] et deux retables[70]), un tableau[71], des statues (un saint évêque[72], deux bustes d'anges[73], deux statuts représentant sainte Lucie et saint Roch[74], deux anges adorateurs[75], deux statues en pendant[76], un ensemble de six statuettes représentant quatre saintes et deux anges[77] et une Vierge à l'Enfant[78]) et des objets (six chandeliers[79], une croix de sacristie[80], un chandelier pascal[81], une croix de procession[82], deux croix d'autel[83], plusieurs ensembles de chandeliers d'autel[84],[85],[86] et un ostensoir[87]) inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. Un portail[88] en marbre gris et une croix de cimetière[89] sont également référencés.
Équipements
modifierSports et équipements sportifs
modifierEn 2005 et 2007, la commune a été traversée par les concurrents du Tour de France.
Personnalités liées à la commune
modifierPour approfondir
modifierBibliographie
modifierCarte archéologique de la Gaule - Pré-inventaire archéologique publié sous la responsabilité de Michel Provost - Pyrénées-Atlantiques
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Baleix » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Baleix ».
- Stephan Georg, « Distance entre Baleix et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baleix et Morlaàs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Baleix », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale de Baleix », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Laas ».
- Sandre, « le Laas ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Baleix et Vic-en-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Baleix », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Baleix », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Baleix », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La maison du lieu-dit Castille », notice no IA00027133, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite maison Arnautou au lieu-dit Clos », notice no IA00027129, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison du lieu-dit Jean David », notice no IA00027134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Sarthou », notice no IA00027135, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- « Les risques près de chez moi - commune de Baleix », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 201
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « La ferme dite maison Bourdallé », notice no IA00027132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme Coulomé », notice no IA00027131, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite maison Bélengou », notice no IA00027130, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00027127, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Martin », notice no IA00027128, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le lambris de revêtement de l'église Saint-Martin », notice no PM64000550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les lambris de hauteur de l'église Saint-Martin », notice no IM64000026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble du maître-autel de l'église Saint-Martin », notice no IM64000016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le maître-autel et son retable, dans l'église Saint-Martin », notice no PM64000062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable architecturé du maître-autel de l'église Saint-Martin », notice no IM64000020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Deux reliefs sculptés de l'église Saint-Martin », notice no IM64000040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le fauteuil de célébrant de l'église Saint-Martin », notice no IM64000039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le fauteuil de célébrant et les bancs de chœur de l'église Saint-Martin », notice no IM64000027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le bénitier de milieu de l'église Saint-Martin », notice no IM64000037, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La cuve baptismale à infusion de l'église Saint-Martin », notice no IM64000036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal de l'église Saint-Martin », notice no IM64000035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les retables de sainte Lucie et de saint Roch, dans l'église Saint-Martin », notice no IM64000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les deux gradins d'autel de l'église Saint-Martin », notice no IM64000030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les autels secondaires de l'église Saint-Martin », notice no IM64000029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les deux bras de lumière de l'église Saint-Martin », notice no IM64000028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle à ailes de l'église Saint-Martin », notice no IM64000018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel tombeau de l'église Saint-Martin », notice no IM64000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les deux retables de l'église Saint-Martin », notice no PM64000063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau de l'église Saint-Martin », notice no IM64000023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La statue d'un saint évêque de l'église Saint-Martin », notice no PM64000552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les deux bustes d'anges de l'église Saint-Martin », notice no PM64000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues de sainte Lucie et saint Roch, dans l'église Saint-Martin », notice no IM64000032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues d'anges adorateurs de l'église Saint-Martin », notice no IM64000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues en pendant de l'église Saint-Martin », notice no IM64000021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble de six statuettes de l'église Saint-Martin », notice no IM64000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La statue de la Vierge à l'Enfant de l'église Saint-Martin », notice no PM64000551, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les six chandeliers de l'église Saint-Martin », notice no PM64000549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix de sacristie de l'église Saint-Martin », notice no IM64000042, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le chandelier pascal de l'église Saint-Martin », notice no IM64000038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix de procession de l'église Saint-Martin », notice no IM64000041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les deux crois d'autel de l'église Saint-Martin », notice no IM64000034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Deux chandeliers d'autel de l'église Saint-Martin », notice no IM64000033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les chandeliers d'autel datant de 1740-1750, de l'église Saint-Martin », notice no IM64000025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les six chandeliers d'autel datant de 1760-1780, de l'église Saint-Martin », notice no IM64000024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ostensoir de l'église Saint-Martin », notice no IM64000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le portail de l'église Saint-Martin », notice no IM64000015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix de cimetière de l'église Saint-Martin », notice no IM64000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.