Bourth
Bourth est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Bourth | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | CC Interco Normandie Sud Eure |
Code postal | 27580 |
Code commune | 27108 |
Démographie | |
Gentilé | Bourthois |
Population municipale |
1 171 hab. (2021 ) |
Densité | 63 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 46′ 15″ nord, 0° 48′ 30″ est |
Altitude | Min. 179 m Max. 217 m |
Superficie | 18,63 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Verneuil d'Avre et d'Iton (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Verneuil d'Avre et d'Iton |
Législatives | 1re circonscription de l'Eure |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.bourth.fr/ |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierBourth est située dans le pays d'Ouche en Normandie, à 130 km de Paris.
Le Sentier de grande randonnée GR 224 et un sentier de grande randonnée de pays (GRP) traversent le bourg.
La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Verneuil d'Avre et d'Iton, ainsi que dans son bassin de vie, et dans la zone d'emploi d’Évreux[I 1]
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Les Barils, Chaise-Dieu-du-Theil, Chéronvilliers, Francheville, Gournay-le-Guérin et Mandres.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 18,63 km2 ; son altitude varie de 179 à 217 mètres[2].
Hydrographie
modifierLa commune est drainée par l'Iton, le dernier affluent de la rive gauche de l'Eure, et donc un sous-affluent de la Seine.
Un ouvrage hydraulique, le Becquet de Bourth, créé au XIIe siècle, en dérive une partie des eaux pour alimenter et défendre Breteuil-sur-Iton et Verneuil-sur-Avre
-
Passerelle sur l'Iton.
-
Ouvrage de départ du Becquet.
-
Les deux caneaux issus du Becquet.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Normandie (Cotentin, Orne) »[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Breteuil à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bourth est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verneuil d'Avre et d'Iton, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,9 %), forêts (14,7 %), prairies (12,3 %), zones urbanisées (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 733, alors qu'il était de 706 en 2016 et de 702 en 2011[I 2].
Parmi ces logements, 79,1 % étaient des résidences principales, 14,7 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bourth en 2021 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14,7 %) supérieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Bourth[I 3] | Eure[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 79,1 | 85,8 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 14,7 | 6,2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,2 | 8 | 8,1 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune disposait de la gare de Bourth, ouverte en 1866 sur la ligne de Saint-Cyr à Surdon desservie par des trains reliant Paris – Dreux – Argentan – Granville. En 2015, , la SNCF estime la fréquentation annuelle à 385 voyageurs et à 469 voyageurs en 2016[14]. La gare n'est plus desservie depuis juillet 2016, mais la municipalité demande que des trains s'y arrêtent à nouveau[15].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Boort en 1130 (bulle d’Innocent II) et en 1131[16], Boore vers 1167 (bulle d’Alexandre III), Bohurt en 1202[17], Borz en 1242 (cartulaire du Bec), Bourse en 1244[17], Bargus en 1245 (cartulaire du Désert), Borc en 1245 (jugement de l’Échiquier), Bourt en 1264[17], Boourz en 1265[17].
Du gaulois boduo (corneille) et ritu (gué). La traversée de l'Iton, affluent de l'Eure, se trouvait facilitée par le fait que, sur ce site, la rivière se divise en trois branches[18].
La prononciation locale « boûr » est la seule acceptable.
Histoire
modifierAntiquité
modifierUne voie romaine pavée, parallèle à la rivière Iton, est devenue l'une des deux rues principales.
Vers le Ve siècle, est édifiée une première église.
Moyen Âge
modifierDepuis le XIe siècle, Bourth est l'un des éléments des domaines des seigneurs de Tillières.
Au XVe siècle, la baronnie de Bourth passe par héritage aux Le Veneur.
Temps modernes
modifierLe minerai de fer est extrait du sol où il affleure. À partir du XVIe siècle, les moulins sur l'Iton sont transformés en usines à fer : le Fourneau, la Forge, la Fenderie, la tréfilerie de Chéraumont, qui sont bien exploités jusque dans la deuxième moitié du XIXe siècle. La fabrication des épingles dans des ateliers familiaux occupe, pendant des siècles, la majeure partie de la population. La ferronnerie se développe plus récemment.
Révolution française et Empire
modifierSous la Révolution, Bourth est le chef-lieu d'un canton de 11 communes.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Évreux du département de l'Eure.
Après avoir été de 1793 à 1801 le chef-lieu d'un canton, Bourth faisait partie depuis lors du canton de Verneuil-sur-Avre[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Verneuil d'Avre et d'Iton
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Eure.
Intercommunalité
modifierBourth était membre de la communauté de communes du pays de Verneuil-sur-Avre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Interco Normandie Sud Eure, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
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Jumelages
modifier-
Entrée de Kronstorf.
-
Panneau « Europa » à Kronstorf.
Équipements et services publics
modifierLa commune dispose d'une école, d'une médiathèque[28], d'une maison médicale, d'une station essence communale[29], d'une caserne de pompiers[30] et de commerces[24]
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 1 171 habitants[Note 2], en évolution de −8,16 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Habitée par plus de 2 000personnes vers 1850, la commune subit ensuite l'exode vers les grandes villes et est ramenée à 1 100 au début du XXe siècle.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le Becquet de l'Iton Inscrit MH (2002)[34] : ouvrage hydraulique du XIIe siècle qui partage les eaux de l'Iton en les conduisant vers deux bras forcés, creusés sur les ordres de Henri Ier Beauclerc pour arroser Breteuil et Verneuil-sur-Avre. Le bassin de retenue a été agrandi en 1843 et les bassins déversoirs ont été réaménagés[35].
- L'église Saint-Just : église dont l'essentiel est du XVIe siècle, agrandie au XIXe siècle.
Un ensemble de 26 stalles Classé MH (1907)[36] avec miséricordes sculptées) du XVe siècle et plusieurs statues Classé MH (1972) sont à remarquer.
- À Chéraumont, à proximité du Becquet, ruines de la tréfilerie[37],[38] construite à partir de 1823 avec une grande cheminée quadrangulaire. Propriété privée.[réf. souhaitée]
- Le monument aux morts situé avenue du Monument (RD 55E1), sur le terre-plein devant la salle des fêtes. Il est constitué de la statue du Poilu écrasant l'aigle allemand réalisé par Charles-Henri Pourquet.
- Façade Art déco d'une pharmacie rue de Chandai.
Personnalités liées à la commune
modifier- une des Carmélites de Compiègne, sœur Euphrasie de l’Immaculée Conception (1736-1794), y est née.
- Pierre Moro (1942), réalisateur et producteur de films pornographiques, y est né.
Héraldique
modifierBlason | Écartelé : au premier d'argent au sautoir d'azur, au deuxième de sable à la mitre d'or, au troisième de sable aux trois coquilles d'or, au quatrième d'argent au chevron d'azur |
|
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Détails | Les quartiers 1 et 3 rappellent les armes des familles Le Veneur (barons de Bourth) et de Rouves (seigneurs de Thevray sur la paroisse de Bourth dont ils étaient patrons honoraires). Le 2 rappelle saint Just, évêque de Lyon, à qui est dédiée l'église. Le 4 symbolise le Becquet. Création : M. Lesueur, adoptée par délibération du conseil municipal du 12 décembre 1997 |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Michel Lesueur, Bourth autrefois, La Chapelle-Montligeon, Éd. Mémoires et cultures, .
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Bourth (27108) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- « Bourth » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Bourth - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Bourth - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans l'Eure - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Bourth et Breteuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Breteuil » (commune de Breteuil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Breteuil » (commune de Breteuil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Verneuil d'Avre et d'Iton », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « SNCF Open Data : Fréquentation en gares », sur data.sncf.com (consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. La commune se bat pour récupérer son arrêt de train : La commune de Bourth (Eure) se bat pour retrouver son arrêt de train. Elle invite ses habitants et ceux des alentours à répondre à un nouveau sondage », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Cartulaire. N.-D. du Désert, n° 9, folio 7.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 33.
- René Lepelley, Les toponymes gaulois du passage de l'eau en Normandie : Rouen et les autres, t. 4, Annales de Normandie, , p. 456.
- « Les maires de Bourth », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Avis de décès : Michel Lesueur », https://carnetdujour.lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Jean-Pierre Charpentier épinglé du Mérite », Paris-Normandie, (lire en ligne , consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Coronavirus. Maire sortant, Jacky Vivier, de Bourth, contraint de faire du rab ! : Crise du coronavirus oblige, les maires qui ne se représentaient ont dû reprendre du service. Témoignage de Jacky Vivier, de Bourth, qui, du coup, prépare une transition douce », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. Sébastien Jousset, tout nouveau maire qui succède à Jacky Vivier : Sébastien Jousset, 42 ans, est le tout nouveau maire de Bourth (Eure). Il succède à Jacky Vivier qui ne se représentait pas. Il souhaite rendre la commune encore plus attractive », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. Sébastien Jousset démissionne de la mairie à mi-mandat : Nouveau maire de Bourth depuis mai 2020, Sébastien Jousset annonce qu'il souhaite démissionner. Il explique pourquoi », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. Une femme élue pour la première fois à la tête de la mairie : Géraldine Dumoutier vient d'être élue maire de Bourth (Eure). Elle sera entourée d'une équipe de trois adjoints : Michel Lahaye, Nadine Hervault et Alain Rochefort », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Mardi 26 septembre 2023, seule candidate au poste, Géraldine Dumoutier a été confortablement élue avec treize voix sur quinze (dont deux blancs) par le nouveau conseil municipal ».
- Bernard Geffroy, « Bourth. Élue il y a à peine un an, la maire démissionne déjà ! », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Bourth (Eure) depuis peu, Géraldine Dumoutier démissionne et quitte le conseil municipal. Celle ou celui qui lui succédera sera désigné (e) mardi 23 juillet 2024 ».
- Bernard Geffroy, « Bourth. Un tilleul planté pour fêter les 50 ans d'amitié avec Kronstorf : Trente Autrichiens de Kronstorf sont venus fêter à la Pentecôte le demi-siècle de jumelage avec Bourth. Moment fort, la plantation du tilleul de l'amitié », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. La médiathèque est rouverte mais peut vous livrer à domicile : La médiathèque de Bourth (Eure) a rouvert ses portes et vous offre un cadeau. Elle continue toutefois le portage à domicile pour celles et ceux ne pouvant se déplacer », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. La station-service communale est opérationnelle : À la fois volonté de dynamiser le commerce local et promesse électorale du maire Jacky Vivier, la station-service de Bourth est ouverte depuis le 26 juillet dernier », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Bourth. Les sapeurs-pompiers ont un besoin urgent de sang neuf : Plus que jamais, les sapeurs-pompiers de Bourth (Eure) ont besoin de sang neuf pour rester opérationnels », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA27000049, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le Becquet », Vie pratique > Patrimoine, sur bourth.fr (consulté le ).
- Notice no PM27000363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Histoire des environs de Paris, comprenant la description des villes, bourgs et villages, sites pittoresques et curiosités naturelles, chateaux, églises, anciens couvens, etc, Volume 2 Georges Touchard-Lafosse Philippe, 1837 [1]
- Richard Guy, La Révolution industrielle et ses aspects techniques dans la métallurgie du fer en Haute-Normandie (1815-1860) in Annales de Normandie, 14e année, n°3, 1964, pp. 339-363 en ligne sur Persée [2].