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Caroline Lamarche

écrivaine belge
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Pour les articles homonymes, voir Lamarche.

Caroline Lamarche[1], née le à Liège, est une écrivaine belge d'expression française.

Caroline Lamarche
Caroline Lamarche
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (69 ans)
LiègeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Romancière, nouvelliste, poète, chroniqueuse, auteur (volontairement au masculin selon sa préférence grammaticale) de littérature jeunesse, de pièces radiophoniques, de textes pour la scène ainsi que sur des artistes contemporains.
Autres informations
Membre de
Élue en octobre 2014 au siège 17 de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
Site web
Distinction
Prix quinquennal 2020 de littérature de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour l'ensemble de son œuvre.
Prix Goncourt de la nouvelle, 2019 pour Nous sommes à la lisière (Gallimard).
Prix triennal de la prose de la Fédération Wallonie-Bruxelles 2019 pour Dans la maison un grand cerf (Gallimard).
Prix Scam Littérature 2018.
Prix Europe de l’ADELF 2017 pour Dans la maison un grand cerf (Gallimard).
Prix SACD au Festival Phonurgia NovaArles 2003 pour L'autre langue (fiction radio).
Prix Rossel en 1996 pour Le jour du chien (Éditions de Minuit).
Prix Franz de Wever de l'Académie royale de langue et de littérature de Belgique 1996 pour J'ai cent ans (nouvelles).
Prix Fureur de lire 1994.
Prix Radio France Internationale 1994.
Prix biennale Robert Goffin 1991 (Poésie).

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Elle est l'autrice de romans, de nouvelles, de littérature jeunesse, de poèmes, de pièces radiophoniques, de textes pour la scène et sur des artistes contemporains, ainsi que de chroniques dans la presse.

Biographie

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Caroline Lamarche naît le à Liège[2]. Elle passe sa petite enfance en Asturies en Espagne et son enfance en région parisienne. Elle revient en Belgique à dix-huit ans, elle étudie la philologie romane[3]. Elle a enseigné le français à Liège et au Nigeria et vit actuellement à la périphérie[4] de Bruxelles, à Overijse[5].

Jeune adulte elle passe la plupart de son temps à lire[6]. Les graves insomnies dont elle souffre cessent lorsqu’elle se lance véritablement dans l’écriture en 1990.

Ses écrits explorent la complexité des êtres, la subtilité des émotions et l’ambivalence des rapports entre les sexes, qu’elle illustre, entre autres, par La Nuit l’après-midi, un premier récit irruptif, ainsi que par deux autres ouvrages érotiques, Carnets d’une soumise de province et Mira. La mémoire de l’air, traduit à ce jour en espagnol[7], anglais et néerlandais[8], est la remémoration sobre et saisissante d’un viol. La Chienne de Naha, issu d’un séjour de plusieurs mois au Mexique, explore la condition féminine au départ d’une légende des Indiens Triqui et fait également l’objet d’une création radiophonique.

De livre en livre, Caroline Lamarche témoigne de l’interdépendance de toutes les créatures vivantes et d’une attention précoce et très vive aux questions de genre et aux problématiques environnementales.

Dès ses premiers textes elle trouve sa voix, économe et non dépourvue d’ironie jusque dans les sujets les plus graves. Elle est rapidement remarquée : prix Radio France internationale et le prix de la Fureur de lire[9] pour ses premières nouvelles. En 1996 le prix Victor Rossel décerné pour son roman, Le Jour du chien (Éditions de minuit, 1996), la fait connaitre auprès d'un plus large public, il narre l’histoire d’un chien égaré sur une autoroute que tentent de sauver six personnages de conditions diverses qui voient en la course éperdue de l’animal un reflet de leur propre état d’âme.

Caroline Lamarche publie une dizaine de romans chez Minuit et dans la « Collection blanche » de Gallimard. Elle écrit des poèmes, des nouvelles, des pièces radiophoniques pour France Culture et en Belgique (prix SACD au Festival Phonurgia Nova[10], Arles 2003 pour L'Autre Langue[11], pièce radiophonique sur une femme francophone qui veut apprendre le néerlandais afin de lire la poésie de Leonard Nolens.

Elle écrit également des textes pour la scène (Théâtre du Festin, Montluçon, Paris, Théâtre National Bruxelles), ainsi que de nombreux textes sur des créateurs ou photographes contemporains (Berlinde De Bruyckere, Jeff Wall, Unica Zürn, Michaël Borremans, Marie-Françoise Plissart, Christian Carez[12], Gaël Turine[13], Cédric Gerbehaye, Kiki Smith, Kikie Crêvecœur, etc).

Reconnue comme l’une des voix les plus originales de la littérature francophone actuelle, ses livres sont traduits en plusieurs langues.

Elle est élue en [14] au siège 17 de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.

Son excellence dans l’art de la forme brève lui vaut en 2019 le Prix Goncourt de la nouvelle pour son recueil Nous sommes à la lisière[15] (Gallimard 2019). Neuf nouvelles qui nous placent à la frontière de deux mondes, «là où se croisent humains en déroute et animaux semi-sauvages». On y croise une cane blessée, un cheval, un rat, une colonie de fourmis, un hérisson ou un merle et quelques femmes, hommes ou enfants qui traversent une épreuve personnelle.

La même année, elle est commissaire d'exposition pour Lisières[16], exposition[17] au musée Art & Marges situé à Bruxelles[18]. De manière générale elle est souvent sollicitée par les musées et les artistes, les arts visuels étant pour elle la prolongation de son rapport inaugural intense aux rêves nocturnes.

Elle surprend ensuite avec un récit documentaire basé sur un vaste matériel d’archives familiales et industrielles, L’Asturienne[19] (Les Impressions nouvelles, 2021). La Fin des abeilles (Gallimard, ) est un hommage à sa mère. Elle y aborde la difficulté de vieillir mais aussi la souffrance que peut ressentir l’entourage face au déclin progressif d’une personne. Le récit parle aussi du problème que rencontre la société face à l’encadrement des aînés et revient plus particulièrement sur les conditions désastreuses dans lesquelles étaient plongées les personnes âgées dans les maisons de retraite durant le confinement.

Active sur plusieurs fronts comme citoyenne et comme autrice, elle tient par ailleurs une chronique régulière[20] au sein de l'hebdomadaire belge Le Vif/L'Express et contribue, entre autres, au magazine Wilfried et aux revues Imagine[21], Dérivations[22], ainsi qu’à la NRF, la revue féministe Axelle[23] et à la revue AOC[24].

Dernièrement elle a effectué un vaste travail de recueil de témoignages auprès du personnel des hôpitaux en temps de covid en lien avec des photographes œuvrant sur ces terrains (Gaël Turine[25] et Cédric Gerbehaye)[26].

Elle anime également des ateliers de lecture[27] où elle propose ses coups de cœur parmi la littérature mondiale.

Son éclectisme, sa mobilité, la nécessité qui guide son écriture reflètent un tempérament aussi curieux que vivace et d’une grande cohérence malgré la multiplicité des tâches qu’elle aborde.

Œuvre

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Romans

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  • Le Jour du chien[28], Éditions de Minuit, 1996, prix Victor Rossel
  • La Nuit l'après-midi[29], Éditions Spengler, 1995 ; Éditions de Minuit, 1998
  • L'Ours[30], Gallimard, 2000
  • Lettres du pays froid[31], Gallimard, 2003
  • Carnets d'une soumise de province[32], Gallimard, 2004
  • Karl et Lola[33], Gallimard, 2007
  • La Barbière[34], Les Impressions nouvelles, 2007
  • La Chienne de Naha[35], Gallimard, 2012
  • La Mémoire de l’air[36], Gallimard, 2014
  • Dans la maison un grand cerf[37], Gallimard 2017
  • L’Asturienne[38], Les Impressions nouvelles, 2021
  • La Fin des abeilles[39], Gallimard, 2022

Nouvelles

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  • Le Rêve de la secrétaire, éditions L’Esperluète[40]2002  
  • J'ai cent ans, nouvelles, Le Serpent à Plumes[41] 1999, rééd. Le Rocher/Le Serpent à Plumes 2006
  • Mira[42], Les Impressions nouvelles, 2013
  • Nous sommes à la lisière[43], nouvelles[44], Gallimard 2019, prix Goncourt de la nouvelle 2019.

Poésie

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  • L’Arbre rouge, Caractères, 1991
  • Twee vrouwen van twee kanten / Entre-deux avec Hilde Keteleer, poèmes, Le Fram 2003
  • Enfin mort[45], Le Cormier, 2014
  • Le Festin des morts, Tétras Lyre, 2014. Dessins d'Aurélie William Levaux.
  • Papier-collants, sur des collages érotiques de Nathalie Amand[46], édition La Pierre d’Alun, 2018.

Ouvrages pour la jeunesse

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Théâtre

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Cliquez sur afficher pour voir la liste des pièces
  • L'Appartenance, mise en scène Anne-Laure Liégeois, Théâtre du Festin. Publié dans Embouteillage, éditions Théâtrales, Paris, 2002.
  • Faire naufrage, enregistrement par France-Culture le 1er octobre 2003. Date de diffusion le .
  • Le Piège chinois, dialogue pour le spectacle « ça » d’Anne-Laure Liégeois, joué en juillet 2005 au CDN de Montluçon et au printemps 2006 à la Villette à Paris.
  • La Mémoire de l’air, Lecture par Dominique Blanc.réalisée à Avignon dans «Voix d’auteurs» le 15 juillet 2012 en partenariat avec la SACD. Réalisation de François Christophe pour France Culture, diffusée dans L’atelier Fiction du .
  • J’ai enduré vos discours et j’ai l’oreille en feu, avec Anne Thuot (conception et mise en scène). Théâtre du Rond-Point, , Théâtre de La Balsamine, , Théâtre de l'Ancre, .
 

Fictions et documentaires radio

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  • Cobalt et Pétrole, cette pièce radiophonique, objet d'une commande de France Culture, a été réalisée par Claude Guerre en avril 2002.
  • L’Aveugle de Nazareth, diffusion sur France Culture le , réalisation Jacques Taroni.
  • L’Âme et la viande, diffusion sur France Culture en , réalisation Jacques Taroni.
  • L’Autre Langue, diffusion en 2003 sur Radio-Panique, RTBF, France Culture (ACR).
  • L’Autoroute de trop, diffusion le lundi sur la RTBF, La Première, émission Par ouï-dire, production Pascale Tison.
  • L’Enfant que le soleil n’aimait pas, réalisation Christine Bernard-Sugy pour France Culture, Histoires d’écoute, .
  • Sanguine, réalisation Myron Meerson pour France Culture, Mauvais genre, .
  • La Chienne de Naha, avec le soutien de la Communauté française de Belgique, de la SACD - SCAM et de la RTBF. 2007.
  • Loin du petit paradis, enregistrement le au centre Flagey à Bruxelles.
  • Crimen Amoris, documentaire radiophonique à l’occasion de l’exposition Verlaine Cellule 252[51], présentée au Beaux-Arts de Mons du au .
  • Deux héros si discrets, RTBF, 2020[52]
  • Ton fichu optimisme, Eqla, 2022[53].

Romans graphiques

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Prix et distinctions

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  • Prix biennale Robert Goffin 1991 (Poésie) ;
  • prix Radio France Internationale 1994 ;
  • prix Fureur de lire 1994 ;
  • prix Franz de Wever de l'Académie royale de langue et de littérature de Belgique 1996 pour J'ai cent ans[55] (nouvelles) :
  • prix Rossel en 1996[56] pour Le jour du chien (Éditions de Minuit) ;
  • Prix SACD au Festival Phonurgia Nova[57]Arles 2003 pour L'autre langue (fiction radio) ;
  • prix Europe[58] de l’ADELF 2017 pour Dans la maison un grand cerf (Gallimard) ;
  • prix Scam Littérature 2018[59] ;
  • prix triennal de la prose de la Fédération Wallonie-Bruxelles 2019[60] pour Dans la maison un grand cerf (Gallimard) ;
  • prix Goncourt de la nouvelle, 2019[61] pour Nous sommes à la lisière (Gallimard) ;
  • prix quinquennal 2020 de littérature de la Fédération Wallonie-Bruxelles[62] pour l'ensemble de son œuvre[63] ;
  • Présence dans l’anthologie Best European Fiction (Dalkey Archive Press, 2018)[64]
  • Citoyenne d'honneur de Liège en 2023[65].
  •   Commandeur de l'ordre de la Couronne (2024)[66].

Notes et références

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  1. ↑ Emmanuel Kherad, « Émission La Librairie Francophone Estivale, à la découverte des cultures du Monde - Épisode 6 consacré à Caroline Lamarche », France Inter,‎ (lire en ligne).
  2. ↑ « Caroline Lamarche - Présentation - Bibliographie », sur objectifplumes.be (consulté le ).
  3. ↑ « Caroline Lamarche | Parcours d'Anciens | », sur usaintlouis.be.
  4. ↑ « Franchir la frontière Bruxelles Moscou », L'Humanité via Wikiwix,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. ↑ Caroline Lamarche, « Overijse. Juste à la frontière », sur rektoverso.be.
  6. ↑ Rony Demaeseneer, « Dans l’intimité de la bibliothèque de Caroline Lamarche », Le carnet et les instants, no 151,‎ (lire en ligne).
  7. ↑ (es) Leonor Ruiz, « La memoria del aire de Caroline Lamarche »  , sur lascriticas.com, .
  8. ↑ (nl) « Als je er literatuur van maakt laat je verwondingen achter je », sur nrc.nl, .
  9. ↑ « Fureur de lire », sur cfwb.be, (consulté le ).
  10. ↑ « Concours », sur phonurgia.fr (consulté le ).
  11. ↑ « L'autre langue », sur bela.be.
  12. ↑ (en) « Carez, Christian », sur Centre de la gravure et de l'image imprimée (consulté le ).
  13. ↑ (en) « Gael Turine », sur gaelturine.com (consulté le ).
  14. ↑ Nausicaa Dewez, « Les six premières autrices de l’Académie royale », Le Carnet et les Instants,‎ (lire en ligne).
  15. ↑ https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782072819292-nous-sommes-a-la-lisiere-caroline-lamarche/
  16. ↑ « Lisières, Musée Art et Marges », sur RTBF (consulté le ).
  17. ↑ Elodie Kempenaer, « Lisières, la nouvelle exposition d’Art et Marges », Le Suricate magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. ↑ « Exposition Lisières », sur sfrpresse.sfr.fr (consulté le ).
  19. ↑ Frédérique Fanchette, « L'asturienne une mine d'or et de zinc », Libération,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  20. ↑ « Tous les jours, toute l'info. », sur Le Vif/L'Express (consulté le ).
  21. ↑ https://archives.imagine-magazine.com/lire/?rubrique132
  22. ↑ « La chronique de Caroline Lamarche », sur derivations.be (consulté le ).
  23. ↑ « Axelle Magazine », sur axellemag.be (consulté le ).
  24. ↑ « Auteur·e·s Caroline Lamarche », sur aoc.media.
  25. ↑ Pascal Goffaux, « L'album "Traces" de Gaël Turine et Caroline Lamarche : l'hôpital en temps de Covid », sur RTBF, .
  26. ↑ Pascal Goffaux, « Zoonose, la bible des années covid de Cédric Gerbehaye et Caroline Lamarche », sur RTBF, .
  27. ↑ « Caroline Lamarche’s book club- passa porta », sur passaporta.be (consulté le ).
  28. ↑ François Delmaz, « Caroline Lamarche, Le jour du chien, Sorcière du quotidien et du banal », Le Carnet et les Instants, no 94,‎ (lire en ligne)
  29. ↑ Laurent Robert, « La maîtresse de Gilles », Le Carnet et les Instants, no 91,‎ (lire en ligne).
  30. ↑ Carmelo Virone, « La mort à fourrure », Le Carnet et les Instants, no 112,‎ (lire en ligne).
  31. ↑ Isabelle Rüf, « Caroline Lamarche: Lettres du pays froid », Le Temps,‎ (lire en ligne).
  32. ↑ Jacques de Decker, « La servitude d'une soumise de province, la sentimentalité d'un Hercule au féminin », Le Soir,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  33. ↑ Alain Veinstein, « Émission du jour au lendemain », sur radiofrance.fr, .
  34. ↑ Francis Matthys, « Si tu cries, je te tue », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne).
  35. ↑ Bertrand Leclair, « "La Chienne de Naha", de Caroline Lamarche : la part sauvage », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. ↑ Nicole Debarre, « Caroline Lamarche, l'urgence de dire les choses », sur RTBF, .
  37. ↑ Jacques Dubois, « Caroline Lamarche : dans sa maison, un grand cerf », Diacritik,‎ (lire en ligne).
  38. ↑ Bertrand Leclair, « « L’Asturienne », de Caroline Lamarche : dans l’angle mort de la légende familiale », Le Monde,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  39. ↑ Jacques Dubois, « Caroline Lamarche : élégante et paradoxale (La Fin des abeilles) », Diacritik,‎ (lire en ligne).
  40. ↑ « Le rêve de la secrétaire », sur esperluete.be.
  41. ↑ Emilie Grangeray, « J'ai cent ans, de Caroline Lamarche », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  42. ↑ Francis Matthys, « La Mira de caroline Lamarche », La Libre,‎ (lire en ligne).
  43. ↑ Sophie Creuz, « Retour à la nouvelle pour Caroline Lamarche », sur RTBF, .
  44. ↑ Frédérique Fanchette, « Caroline Lamarche : "La canne frappait au carreau" », Libération,‎ (lire en ligne).
  45. ↑ Nausicaa Dewez, « À chacun sa vérité », Le Carnet et les Instants, no 181,‎ (lire en ligne).
  46. ↑ Muriel de Crayencour, « Les sous-bois de Nathalie Amand », sur mu-inthecity.com, .
  47. ↑ Sylvie Neeman, « Enfants. Aller vers le haut… », Le temps,‎ 31 mais 2008 (lire en ligne).
  48. ↑ Laurence Bertels, « La voix de monsieur silence », La Libre,‎ (lire en ligne).
  49. ↑ Denis Cheissoux, « Émission L'AS-TU LU MON P'TIT LOUP ? », sur France Inter, .
  50. ↑ Samia Hammami, « Un seul arbre manque et tout est dépeuplé », Le Carnet et les Instants,‎ (lire en ligne).
  51. ↑ https://www.bam.mons.be/expositions/expositions-precedentes/verlaine-cellule-252-turbulences-poetiques
  52. ↑ Pascal Goffaux, « Caroline Lamarche imagine une correspondance entre Marthe Donas à Erik Satie dans la fiction sonore "Deux héros si discrets" », sur RTBF, .
  53. ↑ « Donneurs de voix 12 auteurs pour 12 voix », sur eqla.be.
  54. ↑ Maud Joiret, « Le sursis s’écrit noir sur blanc », sur le-carnet-et-les-instants.net, (consulté le ).
  55. ↑ « Prix Frans de Wever », sur arllfb.be.
  56. ↑ Pierre Maury et Pierre Hannaert, « Le Prix Rossel 1996 décerné à Caroline Lamarche », Le Soir,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  57. ↑ Martine Delahaye, « Arles passe le mur du son », Le Monde,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  58. ↑ « Grand prix Europe », sur adelf.info.
  59. ↑ « Focus sur Caroline Lamarche, Prix Scam Littérature 2018 », sur scam.be.
  60. ↑ « Prix triennal du roman », sur Fédération Wallonie-Bruxelles.
  61. ↑ Jean-Claude Vantroyen, « Caroline Lamarche reçoit le Goncourt de la nouvelle », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  62. ↑ Jean-Claude Vantroyen, « Prix littéraires: Caroline Lamarche lauréate du prix quinquennal de littérature », Le Soir,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  63. ↑ Céline Dekock, « Caroline Lamarche est récompensée pour l’ensemble de son œuvre par le prix quinquennal de littérature de la Fédération Wallonie-Bruxelles », sur RTBF, .
  64. ↑ https://www.dalkeyarchive.com/2017/12/18/review-times-literary-supplement-on-best-european-fiction-2018/
  65. ↑ Jean-Michel Crespin, « Liège a neuf nouveaux citoyens d’honneur », La DH Les Sports+,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  66. ↑ « Cette année, pas moins de 28 personnalités belges ont été anoblies ou décorées par le roi Philippe, dont Stromae », sur RTBF (consulté le ).

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