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Cubières-sur-Cinoble

commune française du département de l'Aude

Cubières-sur-Cinoble Écouter, (en occitan Cubièras de Cinòble Écouter), est une commune française, située dans le Sud du département de l'Aude en région Occitanie.

Cubières-sur-Cinoble
Cubières-sur-Cinoble
Vue du bourg.
Blason de Cubières-sur-Cinoble
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes du Limouxin
Maire
Mandat
Maryse Baillat
2020-2026
Code postal 11190
Code commune 11112
Démographie
Gentilé Cubiérols, Cubiéroles
Population
municipale
80 hab. (2021 en évolution de −21,57 % par rapport à 2015)
Densité 5,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 51′ 43″ nord, 2° 27′ 42″ est
Altitude Min. 360 m
Max. 893 m
Superficie 14,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Cubières-sur-Cinoble
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Cubières-sur-Cinoble
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Cubières-sur-Cinoble
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Cubières-sur-Cinoble

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Agly, le Verdouble et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « basses Corbières ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Cubières-sur-Cinoble est une commune rurale qui compte 80 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 327 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Cubiérols et ses habitantes les Cubiéroles.

Le village vu depuis le pic de Bugarach.
Dolmens de l'Arco del Pech.

Géographie

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Localisation

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Cubières-sur-Cinoble est une commune située dans les Corbières sur des ruisseaux dont le Cinoble, affluents de l'Agly. Elle est limitrophe du département des Pyrénées-Orientales.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Cubières-sur-Cinoble se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Agly, le Verdouble, Rec de Coumo Daniel, le ruisseau de Cubières, le ruisseau de la Caïrolo, le ruisseau de la Coume de Tiols, le ruisseau de la Gorbelhe, le ruisseau de l'Espinassol, le ruisseau del Saouzé, le ruisseau del Traouquel et le ruisseau d'Emboudiet, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[5],[Carte 1].

L'Agly, d'une longueur totale de 81,7 km, prend sa source dans la commune de Camps-sur-l'Agly et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Saint-Laurent-de-la-Salanque, après avoir traversé 22 communes[6].

Le Verdouble, d'une longueur totale de 46,7 km, prend sa source dans la commune de Soulatgé et s'écoule vers l'est puis se réoriente au sud. Il traverse la commune et se jette dans l'Agly à Estagel[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouthoumet à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 837,6 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « basses Corbières »[15], d'une superficie de 29 495 ha, un site important pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l'Aigle royal, le Grand-duc d’Europe, le Circaète Jean-le-Blanc, le Faucon pèlerin, le Busard cendré, l'Aigle botté[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[17] : les « gorges de Galamus et massif du pech d'Auroux » (1 008 ha), couvrant 4 communes dont 3 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales[18], et la « rivière de l'Agly et ses affluents de la source au Pas de la Fumado » (21 ha), couvrant 2 communes du département[19] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] :

  • les « Corbières occidentales » (59 005 ha), couvrant 66 communes du département[20] ;
  • le « massif du Fenouillèdes septentrional » (14 046 ha), couvrant 14 communes dont 9 dans l'Aude et 5 dans les Pyrénées-Orientales[21].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Cubières-sur-Cinoble est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,8 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), prairies (5,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Cubières-sur-Cinoble est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cubières-sur-Cinoble.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 65,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 77 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 76 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].

Histoire

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L'abbaye de Notre-Dame de Cubières est citée en 817 et plus sûrement en 844 lorsque Charles le Chauve accorde un diplôme d’immunité et de protection à l’abbé Eléazar. Cubières fait alors partie du Peyrepertusès, circonscription du comté de Razès. Le territoire est dominé dès 950 environ par les comtes de Cerdagne puis de Besalú. En 1020, l'abbaye de Cubières bénéficie d'une disposition du testament du comte Bernard Taillefer de Besalú[29].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Cubières-sur-Cinoble est membre de la communauté de communes du Limouxin[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Limoux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[30].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[31].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Françoise Le Roy    
mars 2008 mai 2020 Sylvie Romieu DVD  
mai 2020 En cours Maryse Baillat    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33]. En 2021, la commune comptait 80 habitants[Note 4], en évolution de −21,57 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
269252301282283295309327291
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
278258251255210201193195167
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
159139129121108126908378
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6456396464647372102
2014 2019 2021 - - - - - -
1008480------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 2] 20,8 % 17,9 % 14 %
Département[I 3] 10,2 % 12,8 % 12,6 %
France entière[I 4] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 54 personnes, parmi lesquelles on compte 66 % d'actifs (52 % ayant un emploi et 14 % de chômeurs) et 34 % d'inactifs[Note 5],[I 2]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 5]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 29, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,9 %[I 6].

Sur ces 29 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 56 % des habitants[I 7]. Pour se rendre au travail, 51,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 22,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 25,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 8].

Activités hors agriculture

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18 établissements[Note 6] sont implantés à Cubières-sur-Cinoble au [I 9]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 55,6 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 18 entreprises implantées à Cubières-sur-Cinoble), contre 32,3 % au niveau départemental[I 10].

Agriculture

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1988 2000 2010
Exploitations 13 6 6
Superficie agricole utilisée (ha) 148 486 201

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[36]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[37]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 8] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 201 ha[37].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Gorges de Galamus.
  • Gorges du Verdouble.
  • Église Sainte-Marie-et-Saint-Pierre de Cubières-sur-Cinoble. Cette église est un fragment d'une ancienne église abbatiale. Au début du IXe siècle a été fondée une abbaye sous le vocable Saint-Pierre-et-Notre-Dame à la sortie des gorges de Galamus. L'abbaye est citée dans des diplômes datés de 817[39], 844, 898 et 922. En 1020, dans son testament, Bernard Taillefer donne l'abbaye de Cubières, le comté de Besalú et la vicomté de Fenouillèdes à son fils Guilhem (1020-1052). Puis elle passe sous la dépendance des seigneurs du Peyrepertusès. En 1073, elle devient la propriété de l'abbaye de Moissac. En 1200, le monastère n'est plus qu'un prieuré dépendant de l'abbé de Moissac. Il n'est plus fait alors mention de l'abbaye sauf dans un document tardif du moine Philomène, le Gesta Caroli Magni (lire en ligne). Ce texte indique que l'abbaye de Cubières fait partie des possessions de l'abbaye de Lagrasse.
    Il ne reste rien des bâtiments monastiques et seulement le tiers de l'église abbatiale d'origine. Les « Collectariae » des archives vaticanes mentionnent l'église comme paroissiale en 1351. Ce qui subsiste de l'église montre qu'elle a été construite au XIe siècle. Il reste le collatéral sud presque en entier avec son absidiole, la travée médiane de la nef centrale. Des murs biais raccordent les piliers subsistant de la travée de la nef centrale aux extrémités du collatéral. Une abside semi-circulaire a été construite au nord de la travée de la nef centrale ce qui a créé une nouvelle nef centrale perpendiculaire à l'ancienne. Une tradition locale attribue la destruction de l'ancienne abbatiale à un incendie provoqué par des bandes armées[40],[41],[42].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Parti : au 1er coupé au I d'or à la croisette pattée de gueules, au II d'argent au pot à deux anses de sable, au 2e d'argent à trois fasces de gueules.
Détails
Blason de Robert de Farges, archevêque de Narbonne et seigneur de Cubières-sur-Cinoble
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Gauthier Langlois, « Petits établissements monastiques masculins des Corbières : un encadrement religieux dense (IXe – XIIIe siècle) », dans Bulletin de la Société d’études Scientifiques de l'Aude, t. CXIII, (ISSN 0153-9175, lire en ligne), p. 51-68

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Cubières-sur-Cinoble » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  4. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Cubières-sur-Cinoble », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « l'Agly »
  7. Sandre, « le Verdouble »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Cubières-sur-Cinoble et Mouthoumet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Mouthoumet » (commune de Mouthoumet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Mouthoumet » (commune de Mouthoumet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cubières-sur-Cinoble », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « site Natura 2000 FR9110111 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Cubières-sur-Cinoble », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF les « gorges de Galamus et massif du pech d'Auroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « rivière de l'Agly et ses affluents de la source au Pas de la Fumado » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF les « Corbières occidentales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes septentrional » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. « Les risques près de chez moi - commune de Cubières-sur-Cinoble », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. Renaud Labadie Savy, « Le site de l’Horto à Caramany et Saint-Étienne de Casas dans l’évêché de Besalú au tournant de l’an mil (Pyrénées-Orientales) », Bulletin de la SASL, nos 2022-2023,‎
  30. « communauté de communes du Limouxin - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  31. « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  37. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Cubières-sur-Cinoble - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  38. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  39. Dans la Notitia de servitio monasteriorum sous le nom monasterium S. Mariæ Caprariensis d'après Étienne Baluze (Recueil des historiens des Gaules et de la France, Victor Palmé éditeur, Paris, 1870, tome 6, p. 409, note ll)
  40. Roger Hyvert, Cubières-sur-Cinobre. Église Notre-Dame, dans Dictionnaire des églises de France, Robert Laffont, Paris, 1966, tome II-C, Cévennes6Languedoc-Roussillon, p. 49.
  41. Gauthier Langlois, « Petits établissements monastiques masculins des Corbières : un encadrement religieux dense (IXe – XIIIe siècle) », dans Bulletin de la Société d’études scientifiques de l’Aude, tome CXIII, 2013, p. 51-68 (lire en ligne)
  42. Cubières-sur-Cinobre : l'église