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Dominique Rey

prélat catholique

Dominique Rey, né le à Saint-Étienne, est un évêque catholique français, évêque de Fréjus-Toulon de 2000 à 2025.

Dominique Rey
Image illustrative de l’article Dominique Rey
Dominique Rey en 2013.
Biographie
Nom de naissance Dominique Marie Jean Rey
Naissance (72 ans)
Saint-Étienne (France)
Ordre religieux Communauté de l'Emmanuel
Ordination sacerdotale
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale par le card. Jean-Marie Lustiger
Dernier titre ou fonction Évêque émérite de Fréjus-Toulon
Évêque de Fréjus-Toulon

Blason
« Doux et humble de Cœur »
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Biographie

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Formation

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Dominique Rey suit ses études primaires et secondaires à Saint-Étienne. Il obtient une maîtrise en économie politique à Lyon et un doctorat en économie fiscale à Clermont-Ferrand[1].

De 1976 à 1979, Dominique Rey travaille à la direction générale des Impôts au ministère des finances et à la direction de la prévision[1].

Ministères

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Prêtre

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Membre de la communauté de l'Emmanuel, il est ordonné prêtre le pour le diocèse de Paris. Son ministère sacerdotal est partagé entre le diocèse de Paris et la communauté de l'Emmanuel. Il est successivement aumônier du lycée Stanislas à Paris en 1984, puis vicaire à la paroisse Sainte-Marie-des-Batignolles dans le 17e arrondissement de Paris en 1985, avant d'être nommé de 1986 à 1988 supérieur des chapelains de Paray-le-Monial, lieu d'importantes sessions organisées par la communauté, puis de devenir prêtre accompagnateur des séminaristes et des prêtres de l'Emmanuel de 1988 à 1995. Il a ensuite un nouveau ministère paroissial à Paris, comme curé de la paroisse de la Sainte-Trinité de 1995 à 2000[1].

Évêque

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Nommé évêque du diocèse de Fréjus-Toulon le , il est consacré le de la même année par le cardinal Lustiger assisté du cardinal Bernard Panafieu et de l'évêque Joseph Madec.

Dans la Conférence des évêques de France, il est membre de la commission pour la mission universelle de l'Église.

En 2012, il est nommé par le pape Benoît XVI membre du Synode romain sur la Nouvelle évangélisation[2] où il est élu rapporteur de l'une des commissions francophones.

Il est nommé consulteur du Conseil pontifical pour les laïcs le par le pape François[3].

En , alors que se tient au Vatican le synode sur l’Amazonie, la huitième édition du pèlerinage Summorum Pontificum mené par Dominique Rey, avec Claude Barthe comme aumonier, rentre dans la basilique Saint-Pierre[4]. Ils y sont accueillis par le cardinal Angelo Comastri, vicaire général de la Cité du Vatican. Dominique Rey y célèbre une messe pontificale et explique cette manifestation de piété : « La Tradition n’est pas un musée, mais un fleuve qui prend sa source dans le mystère du Christ et qui, à travers sa doctrine, le culte et la vie de l’Église, irrigue à travers les siècles les générations qui se succèdent. Il s’agit de réconcilier les catholiques avec leur héritage multiséculaire, de retrouver dans nos racines qui rejoignent ici le témoignage apostolique de Pierre, la sève qui nourrira notre foi d’aujourd’hui »[5].

En , à la suite d'une mission d’inspection, menée par Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, dont dépend le diocèse de Fréjus-Toulon, le Vatican suspend l’ordination de quatre prêtres et de diacres dans le diocèse de Fréjus-Toulon. C'est une décision sans précédent, le fonctionnement du séminaire de La Castille interrogeant le Saint-Siège. Dominique Rey accueille cette suspension dans la « douleur et la confiance »[6],[7],[4]. Parmi ces quatre ordinants, un seul a suivi le séminaire de La Castille après avoir commencé sa formation dans un séminaire du Paraguay fermé sur décision de Rome[8].

Le père australien Alcuin Reid (de) est le prieur et responsable du monastère Saint-Benoît de Brignoles, composé de membres traditionalistes, célébrant les offices selon le rite tridentin. Alcuin Reid est ordonné prêtre, hors de France et dans la clandestinité, en avril 2022[9]. Dominique Rey suspend alors Alcuin Reid en indiquant qu’il n’a pas donné d’autorisation pour cette ordination[4]. Puis le 10 juin 2022, Dominique Rey supprime l’association publique de fidèles Monastère Saint-Benoît, « sous la pression du Vatican »[10],[11].

En , sa gouvernance « dysfonctionnelle » étant questionnée[12], il est annoncé une visite apostolique, engagée par le pape François, dans le diocèse de Fréjus-Toulon. Elle est menée par Antoine Hérouard, archevêque de Dijon, assisté de Joël Mercier, ancien secrétaire de la Congrégation pour le clergé[13]. À la suite de cela, François Touvet est nommé comme évêque coadjuteur à ses côtés[14], Dominique Rey restant en charge de l'enseignement catholique. Les conclusions de la visite soulignent « l’accueil très large de communautés nouvelles » et « plusieurs dysfonctionnements de gestion économique »[15].

Il présente sa démission le [16],[17], à la demande du pape François[18], qui l'accepte le [19]. François Touvet lui succède automatiquement[20]. Dominique Rey reconnaît avoir accueilli « des communautés, des vocations sacerdotales et religieuses qui, pour une partie, environ 10 %, ont été des échecs reconnus, par manque de discernement ou d’accompagnement. »[18]. Antoine Hérouard, archevêque de Dijon, évoque également des « ordinations surprises » et « beaucoup de souffrances chez les collaborateurs les plus directs de l'Évêque »[21].

Points-Cœur
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En 2001, Dominique Rey accueille dans le diocèse de Fréjus-Toulon les sœurs de Points-Cœur. En 2008, il incardine Thierry de Roucy et reconnaît canoniquement l’œuvre Points-Cœur (fondée par Thierry de Roucy) et toutes ses branches. Par la suite, Dominique Rey ordonne prêtres de nombreux séminaristes de Points-Cœur formés en Argentine, au Chili ou au Collège anglais de Rome. En , Dominique Rey déclare Thierry de Roucy en situation de suspens a divinis (la suspense lui interdisant d'exercer son sacerdoce, c'est-à-dire lui imposant l'interdiction d'administrer les sacrements) pour « manquement caractérisé » à son devoir d'obéissance[22],[23].

Eucharistein
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En 2003, Dominique Rey accorde la reconnaissance canonique à la fraternité Eucharistein. Le rapport de l’enquête canonique qui s'est déroulée en 2021 dans la communauté mentionne des dérives dans son fonctionnement. Son fondateur Nicolas Buttet est mis en cause mais aussi le manque de suivi par Dominique Rey[8],[24].

Engagements

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Prises de position

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Pour Yann Raison du Cleuziou, maître de conférences en science politique à l'université de Bordeaux, Dominique Rey « incarne un catholicisme intransigeant dans lequel la figure du prêtre reste sacrée »[29].

En 2009, le site catholique Golias le qualifie de proche des traditionalistes[30].

Pour Le Canard enchaîné, Dominique Rey est un « évêque intégriste, proche de l'extrême droite identitaire et désavoué par le pape François »[31].

Observatoire sociopolitique (OSP)

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L'observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon, dirigé par le Père Louis-Marie Guitton, organise chaque année une université d'été en partenariat avec les Dominicains de la Sainte Baume, Famille Chrétienne et le think tank "Liberté Politique"[32]. Louis-Marie Guitton est par ailleurs cofondateur de Courage international en France et avait des responsabilités au sein de la Manif pour tous[33].

Relations avec le Front national

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Le 29 août 2015, les participants à l'université d'été[34] du diocèse assistent à une table ronde, au côté de Dominique Rey sur le thème « Politique et médias » avec pour invités : Arnaud Le Clere de Sens Commun, Valérie Boyer, député Les Républicains (remplacée par Hervé Mariton quand elle apprend la présence de Marion Maréchal[35]), Simon Renucci, ancien député-maire divers gauche d'Ajaccio, Aymeric Pourbaix de Famille chrétienne et de Marion Maréchal, députée Front national. « Pour la première fois, des représentants d’un diocèse ont invité un élu du Front national à participer à un débat qu’ils organisent »[36],[37],[32]. À cette occasion, Dominique Rey déclare : « avec 40 % de voix [le FN a obtenu 38,9 % des voix aux départementales de 2015], il est impossible de faire autrement que de débattre avec le FN »[38]. Pour Cécile Chambraud, journaliste du Monde, Dominique Rey a ainsi « contribué à rompre la digue entre les catholiques pratiquants et l’extrême droite »[6].

Migrants

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À l'occasion de l'élection présidentielle française de 2017, Dominique Rey propose des critères de discernement. À cette occasion, il conditionne un bon accueil des migrants à l’« affirmation des racines chrétiennes » de ces derniers[39].

Chrétiens d'Orient

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Il lance un appel à l'été 2013 contre l'intervention militaire de la France en Syrie. Le 15 août 2015, il appelle à la prière pour les chrétiens d'Orient[40] ; il est le premier évêque français à se rendre en Syrie depuis le début de la guerre, le même mois[41]. Le diocèse accueille plusieurs familles de réfugiés de Syrie et d'Irak.

Liturgie

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Le 5 juillet 2016, à l'occasion d'une conférence à Londres, le cardinal Robert Sarah, préfet de la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, invite les prêtres à revenir à la célébration ad orientem, soit tournés vers l'orient. Également présent à cette conférence et invité à s'exprimer, Rey a pris la parole pour le remercier de cet appel et y répondre favorablement, en affirmant qu'il célébrera et appellera ses prêtres à célébrer la messe de cette manière à compter du dernier dimanche de l'Avent et en d'autres occasions appropriées[42].

Téléthon

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En 2007, il revient sur la polémique qui a surgi en 2006 concernant le Téléthon[43],[44],[45]. Il exprime l'incompatibilité éthique pour les catholiques entre le respect de la personne humaine dans sa conception et la recherche sur l'embryon humain. Il appelle à un « fléchage » des dons pour garantir aux donateurs qui le souhaitent que leurs dons ne seront pas utilisés pour cette recherche sur l'embryon et soutient les recherches sur les cellules souches de l'adulte et sur le sang du cordon ombilical.[réf. nécessaire]

Franc-maçonnerie

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Il est l'auteur d'un livre rappelant la position de l'Église qui condamne la franc-maçonnerie, dans lequel il rappelle l'incompatibilité entre la doctrine catholique et la franc-maçonnerie[46].

Droit à la vie

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En 2008, il soutient la Marche pour la Vie, manifestation parisienne contre l'avortement. Il déclare notamment que la Marche pour la Vie lui « semble particulièrement pertinente pour réaliser un nouveau tournant culturel en faveur de la promotion de la vie de l’enfant conçu »[47].

Publications

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Préfaces

Distinction

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Le , il est nommé au grade de chevalier dans l'ordre national du Mérite au titre de « évêque du diocèse de Fréjus-Toulon (Var) ; 30 ans de ministère ecclésiastique et de services militaires »[48].

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Céline Hoyeau, La Trahison des pères. Emprise et abus des fondateurs de communautés nouvelles., Bayard, , 352 p. (ISBN 978-2-2274-9870-9)

Liens externes

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Notes et références

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  1. a b et c « Mgr Dominique Rey », sur le site de l'Église catholique en France (consulté le ).
  2. « Résumés des interventions des évêques français au Synode sur la Nouvelle Evangélisation - Église catholique en France », Église catholique en France,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Salle de presse du Saint-Siège, « Actes Pontificaux - 6 février », sur press.vatican.va, (consulté le )
  4. a b et c Youna Rivallain et Marie-Lucile Kubacki, « Pourquoi le Vatican suspend les ordinations du diocèse de Fréjus-Toulon », La Vie,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Claude Barthe, « Mgr Rey dans la Basilique Saint-Pierre : « réconcilier les catholiques avec leur héritage multiséculaire » », L'Homme nouveau,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  6. a et b Cécile Chambraud, « Le Vatican suspend l’ordination de prêtres dans le diocèse de Fréjus-Toulon », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Youna Rivallain, « Pas d’ordinations dans le diocèse de Fréjus-Toulon : une décision romaine et des questions », La Vie,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. a et b Mikael Corre et Loup Besmond de Senneville, « Diocèse de Fréjus-Toulon, des dérives locales à la sanction romaine », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Eric Marmottans, « Sur les traces d'Alcuin Reid, ce moine traditionaliste australien établi dans le Var ordonné prêtre dans la clandestinité », sur Nice-Matin, (consulté le )
  10. Benoît Fauchet, « Diocèse de Toulon : Mgr Rey supprime le « monastère » d’Alcuin Reid à Brignoles », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. Diane Andrésy, « Église catholique : le Vatican fâché contre l’évêché de Toulon », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. Héloïse de Neuville (envoyée spéciale à Toulon (Var)) et Loup Besmond de Senneville (à Rome), « Diocèse de Toulon : Mgr Dominique Rey, les raisons d’un désaveu », La Croix,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  13. « Pourquoi le diocèse de Toulon est sous le coup d’une visite apostolique du Vatican », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. Christophe Henning, « Mgr François Touvet nommé évêque coadjuteur à Toulon », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. Marie-Liévine Michalik, « Après des années de polémiques, Dominique Rey démissionne du diocèse de Fréjus-Toulon », La Vie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Provence-Alpes-Côte d'Azur. Dominique Rey démissionne : ce que l’audit du Vatican a révélé sur le diocèse de Toulon-Fréjus », (consulté le )
  17. Olivia de Fournas, « Mgr Dominique Rey : « Pourquoi je remets ma charge pastorale » », sur le site du magazine Famille chrétienne, (consulté le ).
  18. a et b Jean-Marie Guénois, « Mgr Dominique Rey démissionne : « Je n’ai pas voulu être un technicien de l’administration » », sur le site du quotidien Le Figaro, (consulté le ).
  19. Arnaud Bevilacqua, « Sous la pression du Vatican, Mgr Dominique Rey démissionne de sa charge d’évêque de Fréjus-Toulon », sur le site du quotidien La Croix, (consulté le ).
  20. (it) « Rinunce e nomine : Rinuncia e successione del Vescovo di Fréjus-Toulon (Francia) », sur le site press.vatican.va, (consulté le ).
  21. PHD, « Démission de Mgr Dominique Rey : les raisons d'un départ », RCF,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Frère Alèthos, « Points-Coeur ou les liaisons dangereuses de Mgr Dominique Rey », L'envers du décor,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. AG, « Toulon : l'ONG catholique Points-Cœur placée sous surveillance », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le )
  24. Bernard Hallet, « Eucharistein: Cyrille Jacquot annonce une «profonde restructuration» », Cath.ch,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. 6e édition du forum « Communion Evangélisation »
  26. Gérard Leclerc, « Le prince Jean d'Orléans parle de son mariage », sur France Catholique, (consulté le )
  27. « Manifestation contre la PMA : «Un enfant a besoin d'un père et d'une mère» (Mgr Rey) », sur Figaro Live, (consulté le ).
  28. Diocèse de Fréjus-Toulon, « Jumelage des diocèses de Homs et de Fréjus-Toulon - Eglise catholique du Var », sur diocese-frejus-toulon.com, (consulté le )
  29. « Dans le Var, Mgr Rey, évêque de la "reconquête" catholique », France Info Région,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Les leçons de morale de Mgr Rey », Golias,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. « Elle avait vu le Christ... », Le Canard enchaîné,‎ , p. 7
  32. a et b Jacques Berset, « France: L'invitation par le diocèse de Fréjus-Toulon de Marion Maréchal-Le Pen fait le buzz », Cath.ch,‎ (lire en ligne, consulté le )
  33. Soukaïna Skalli, « Les groupes qui veulent “guérir” les homos sont en train de se développer en France », sur Les Inrocks, (consulté le ).
  34. « 5e édition des Universités d'Été de la Sainte-Baume | Agenda de l'Observatoire Sociopolitique » (consulté le )
  35. Ségolène de Larquier, « Université d'été catholique : Marion Maréchal-Le Pen fait fuir la députée LR Valérie Boyer », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Cécile Chambraud, « L’Église ne tourne plus le dos au FN », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Pour la première fois, des représentants d’un diocèse ont invité un élu du parti d’extrême droite à participer à un débat qu’ils organisent. »

    .
  37. P.-L. P., « Marion Maréchal-Le Pen, hôte controversée de l'Église dans le Var », sur Var Matin, (consulté le )
  38. Cécile Chambraud, « Monseigneur Rey, l’évêque qui flirte avec le FN », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « L’évêque de Fréjus-Toulon a jeté le trouble dans les rangs des catholiques en invitant Marion Maréchal-Le Pen à l’université d’été de son diocèse »

  39. Gauthier Vaillant, « Présidentielle : les conseils de Mgr Rey pour réfléchir avant de voter », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  40. Prières pour les chrétiens d'Orient
  41. Charlotte d'Ornelas, « Syrie : la double soif d’Alep », Famille chrétienne,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. Marie Malzac, « Le cardinal Sarah suggère aux prêtres de célébrer la messe « vers l’Orient » à partir de l’Avent 2016 », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Angélique Négroni et Sophie de Ravinel, « Controverse autour du Téléthon », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  44. Catherine Coroller, « A Paris, plusieurs milliers de manifestants contre l'avortement », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. « Le scandale du Téléthon », sur Golias éditions, (consulté le )
  46. Agnès Pinard Legry, « Chrétien et franc-maçon, une équation impossible ? », Aletia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  47. « Marche pour la vie », sur diocèse de Fréjus-Toulon, (version du sur Internet Archive)
  48. Décret du 13 mai 2005 portant promotion et nomination