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Eric Gerets

footballeur et entraîneur belge
(Redirigé depuis Erik Gerets)

Eric Gerets (prononcé en néerlandais : [ˈeːrɪk ˈxeːrəts]), né le à Rekem en Belgique, est un footballeur international[1] belge devenu entraîneur, qui a joué en tant qu'arrière droit pour le Standard de Liège, l'AC Milan, le MVV Maastricht, le PSV Eindhoven et l'équipe de Belgique.

Eric Gerets
Image illustrative de l’article Eric Gerets
Eric Gerets en 2012.
Biographie
Nom Eric Maria Lambertus Gerets
Nationalité Drapeau de la Belgique Belge
Naissance (70 ans)
Rekem (Belgique)
Taille 1,78 m (5 10)
Période pro. 1972-1992
Poste Arrière droit puis entraîneur
Parcours junior
Années Club
1964-1971 AA Rekem
1971-1972 Standard de Liège
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1972-1983 Standard de Liège 360 (28)
1983-1984 AC Milan 020 0(1)
1984-1985 MVV Maastricht 004 0(0)
1985-1992 PSV Eindhoven 253 (10)
Total 637 (39)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1974 Belgique espoirs 004 0(0)
1975-1991 Belgique 086 0(2)
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
1992-1994 RFC Liège 20v 19n 32d
1994-1997 Lierse SK 54v 29n 32d
1997-1999 Club Bruges KV 61v 15n 16d
1999-2002 PSV Eindhoven 91v 24n 29d
2002-2004 1. FC Kaiserslautern 19v 12n 26d
2004-2005 VfL Wolfsburg 18v 05n 21d
2005-2007 Galatasaray SK 49v 22n 20d
2007-2009 Olympique de Marseille 50v 21n 27d
2009-2010 Al-Hilal FC 37v 09n 06d
2010-2012 Maroc 12v 09n 07d
2012-2014 Lekhwiya SC 48v 16n 24d
2014-2015 Al-Jazira Club 18v 03n 13d
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve.
2 Matchs officiels.
Dernière mise à jour :

Biographie

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Eric Gerets : le joueur

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Standard de Liège (1971-1983)

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Eric Gerets en 1980.

Gerets fait ses premiers pas sur les terrains du AA Rekem dans son village natal du Limbourg. Il est d'ailleurs surnommé le « Lion de Rekem ». Il est repéré par le Standard de Liège en 1971. Le club vient de remporter le championnat à trois reprises (1969, 1970 et 1971). Il y fait ses débuts à l'âge de 17 ans avant de signer professionnel dans ce même club. Il y côtoie notamment plusieurs cadres du club, dont Nico Dewalque, Wilfried Van Moer, Léon Semmeling ou encore Christian Piot. Recruté au départ comme avant-centre, l'entraîneur de l'époque, Vlatko Marković, le mue en back droit, poste qui le révèlera et dictera sa carrière tant nationale qu'internationale par la suite[2]. Toutefois, Gerets ne s'impose pas comme titulaire durant ses premières saisons, puisque le poste d'arrière-droit est occupé par une légende du club : Jacques Beurlet. Ainsi, c'est depuis le banc qu'il voit son club terminer vice-champion en 1973 derrière le FC Bruges.

Durant les saisons qui suivent, Eric Gerets s'affirme comme titulaire indiscutable au sein de la défense des Rouches. Après une défaite en finale l'année précédente, il remporte tout d'abord la Coupe de la Ligue Pro en 1975. Il dispute l'entièreté de la double-confrontation en finale face au RSC Anderlecht.

Il remporte la Coupe de Belgique 1981. L'année suivante, il est finaliste de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe mais s'incline contre le FC Barcelone. Il devient par la suite le capitaine du club. Il remporte également deux titres de Champion de Belgique avec le Standard de Liège en 1982 et 1983. Il est élu Soulier d'or de Belgique décerné au meilleur joueur de football de Belgique en 1982[3].

Départ à l'étranger et scandale, puis renaissance (1983-1992)

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Au terme de la saison 1982-1983, Gerets est transféré au Milan AC. Après s'être imposé facilement, il hérite du brassard de capitaine des « Rossoneri » en un rien de temps et semble bien parti pour donner à sa carrière une nouvelle dimension[2]. Mais en 1984, le ciel lui tombe sur la tête et il est impliqué puis condamné dans une affaire de corruption de joueurs remontant à , à l’époque où il porte le brassard de capitaine d’équipe du Standard de Liège[4].

 
Eric Gerets (à gauche) et Frits Philips (à droite) posent avec la Coupe des clubs champions.

Au cours de la saison 1981-1982, le Standard fait la course en tête, mais n’arrive pas à se débarrasser définitivement de son dauphin et éternel rival, le RSC Anderlecht qui est champion sortant. Il a besoin d’une victoire lors de l’ultime journée de championnat pour remporter le titre. Ce match, Standard-Waterschei, est casé avant la finale de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe face au FC Barcelone.

Le , le Standard prend le meilleur sur Waterschei et s’adjuge le titre de champion de Belgique. Le scandale éclatera deux ans plus tard grâce à la ténacité d’un juge belge, Guido Bellemans, qui initialement enquête sur les habitudes fiscales des clubs de football. Un « carnet » attire l'attention du magistrat et conduit à des rumeurs d’un arrangement de match. Ses investigations débouchent sur les aveux des corrupteurs qui avaient pour noms, Roger Petit (secrétaire général), Raymond Goethals (entraîneur) et… Eric Gerets (capitaine d’équipe). C’est ce dernier qui a négocié l’arrangement du match avec le capitaine de Waterschei, Roland Janssen… qui est en même temps son voisin. L’accord est conclu sur la base du versement de 420 000 francs belges (de l’époque). Tous les différents intervenants ont toujours nié avoir « arrangé » le match quant à son résultat, mais demandé aux Limbourgeois de ne pas blesser un joueur liégeois quelques jours avant une finale européenne (op cit).

Eric Gerets écope de trois ans de suspension, dont deux en appel. Le Milan AC lui indique la porte de sortie et il doit faire l'impasse sur l'Euro 84. À 30 ans, on l'imagine fini mais c'est sans compter sur sa rage de vaincre. Il prend alors la direction des Pays-Bas et du MVV Maastricht qui vient d'être promu en Eredivisie[4]. Il n'y reste qu'une saison.

Il signe ensuite au PSV Eindhoven où il donne un second souffle à sa carrière et à qui il fera vivre la meilleure période de son histoire. Gerets est six fois Champion des Pays-Bas en sept saisons et vainqueur de la Coupe des Pays-Bas trois fois consécutivement. Il remporte également la Ligue des champions en 1988 et devient ainsi le premier Belge à soulever la « Coupe aux grandes oreilles »[5].

Équipe nationale (1975-1991)

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Ludo Coeck (à gauche) et Eric Gerets (à droite), lors d'un entraînement des Diables rouges en 1980.

Gerets est sélectionné pour la première fois chez les Diables rouges en 1975 et dispute sa première compétition officielle avec la Belgique lorsqu'il est sélectionné pour l'Euro 1980. Après s'être qualifié en finale en terminant premier de son groupe devant l'Italie, hôte de la compétition, les Belges s'inclinent en finale contre l'Allemagne de l'Ouest.

Gerets dispute sa première Coupe du monde en 1982 et il est alors au sommet de son art mais un telescopage avec Jean-Marie Pfaff met un terme prématuré à son tournoi[6]. Les Belges, qui passent un tour pour la première fois de leur histoire, sont alors privés de deux pions majeurs lors du second tour et sont éliminés après deux défaites face à l'Union soviétique (0-1) et la Pologne (0-3) en ayant, fait rare dans la compétition, usé de leurs trois gardiens.

L'affaire Standard-Waterschei met un point d'arrêt à sa carrière internationale et il doit renoncer à l'Euro 84, tout comme d'autres joueurs impliqués dans le scandale, ce qui n'est pas sans conséquence pour le parcours de l'équipe belge dans ce tournoi.

Sa suspension purgée, il reprend sa place en équipe nationale et délivre la passe décisive à Georges Grün au Kuip en 1985 qui qualifie les Diables Rouges pour la Coupe du monde au Mexique. Lors de la phase finale, la Belgique se qualifie pour les huitièmes de finale en étant meilleur troisième puis se hisse jusqu'en demi-finale après avoir éliminé successivement l'Union soviétique (4-3 a.p.) puis l'Espagne (1-1 , 4-3 t.a.b.) mais est finalement battue par l'Argentine (2-0) et son légendaire n°10, Diego Maradona, en demi-finale, avant de s'incliner à nouveau face à l'équipe de France (4-2 a.p.) lors de la petite finale. Les Belges terminent donc la compétition à une honorable quatrième place. Gerets est également sélectionné pour la Coupe du monde de 1990, lors de laquelle les Diables Rouges sont éliminés dès les huitièmes de finale.

De sa carrière internationale, on retient qu'avec ses 86 sélections, il figure parmi les dix joueurs les plus capés de l'histoire de la sélection belge, et qu'il fait partie des rares joueurs belges à avoir atteint la finale de l'Euro (lors de l'Euro 1980) et une demi-finale de Coupe du monde (lors de l'édition de 1986). Qui plus est, si l'on ajoute les 12 rencontres disputées par les Diables Rouges pendant son absence, il est fort possible que ce soit lui qui ait longtemps détenu le record de sélections et non pas Jan Ceulemans[6].

Eric Gerets : l'entraîneur

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Ses débuts en Belgique

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À peine les crampons raccrochés, il devient entraîneur du RFC Liège qui évolue en 1re division belge. Lors de la première saison, il termine à la 12e place du championnat puis à la 13e place la saison suivante[7]. Il quitte alors le club pour un autre club belge.

Durant l'été 1994, le Lierse offre à Eric Gerets le poste d'entraîneur. Les résultats ne se font pas attendre. Cinquième en championnat la première saison, le club se qualifie pour la prochaine Coupe UEFA, après 17 ans sans compétition européenne. Il y est éliminé dès le premier tour par le Benfica Lisbonne. La saison suivante, le club termine à nouveau cinquième, à seulement un point du troisième. Cette fois, il se qualifie pour la Coupe Intertoto, dont il franchit la phase de poules mais s'incline ensuite en demi-finales. Pour sa troisième saison à la tête du club, avec l'objectif avoué de se qualifier à nouveau pour la Coupe UEFA, Eric Gerets reçoit de nombreux renforts : l'ancien Oranje Stanley Menzo, l'international polonais Andrzej Rudy, les défenseurs Bart De Roover et Éric Van Meir ou le médian Philip Haagdoren. À côté de ces joueurs confirmés, des jeunes se font également une place dans l'équipe. En fin de saison, avec un noyau dont 14 des 25 joueurs sont issus de son centre de formation, le Lierse décroche à la surprise générale le quatrième titre de champion de Belgique de son histoire, avec deux points d'avance sur le FC Brugeois[8].

Après ce titre, il quitte le club et prend la tête du FC Bruges avec lequel il remporte le titre de Champion de Belgique 1998 avec une avance énorme de 18 points sur le deuxième[9]. En course pour un nouveau doublé championnat-coupe, le Club reçoit une véritable gifle en s'inclinant (4-0) devant Genk en finale de la coupe de Belgique au Heysel. Bruges échoue de peu la saison suivante, seulement devancé par Genk, qui prive les Brugeois d'un trophée pour la deuxième fois en deux ans. Au printemps 1999, des querelles internes parmi les dirigeants du club provoquent le remplacement du président Fernand De Clerck. Après la dernière journée du championnat, Eric Gerets s'en va poursuivre sa carrière au PSV Eindhoven[10].

Retour au PSV Eindhoven

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De retour dans un club qu'il connaît bien pour avoir porté le maillot du PSV Eindhoven pendant sept saisons, il remporte dès sa première saison la championnat 2000 avant de remporter la Supercoupe 2000 contre le vainqueur de la coupe des Pays-Bas le Roda JC. La saison suivante, il est de nouveau champion des Pays-Bas en faisant une saison presque parfaite avec une seule petite défaite et restant invaincu à domicile en championnat. Il remporte de nouveau la Supercoupe 2001 contre le FC Twente, contre qui ils se sont inclinés en finale de la coupe des Pays-Bas. La dernière saison, il termine à la seconde place du championnat derrière l’éternel rival de l'Ajax Amsterdam et est remercié par la direction[11].

Passage en Allemagne

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Il rejoint le FC Kaiserlautern le [12] alors que le club est menacé par la relégation et frise l’insolvabilité. Pourtant le Belge remet l’équipe en selle et assure le maintien grâce à un parcours sensationnel après la trêve hivernale[7]. Parallèlement, le FCK atteint la finale de la Coupe d’Allemagne, mais s’incline 1-3 face au Bayern Munich. Durant la saison suivante, le FCK décide à la surprise générale de renvoyer Eric Gerets et son adjoint alors que le club est premier relégable depuis une journée[13].

Gerets prend la succession de Jürgen Röber à la tête du VfL Wolfsburg en [14]. Pour sa première saison sur le banc, il qualifie le club en Coupe Intertoto en terminant à la 9e place du championnat mais démissionne tout de même en fin de saison à la suite d'un différend avec Thomas Strunz, le directeur sportif du club allemand[15].

Galatasaray

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Il rejoint le club turc de Galatasaray pour la saison 2005-2006. Dès la première saison, il est Champion de Turquie devançant de deux points le club voisin du Fenerbahçe[7]. La saison suivante, Galatasaray termine à la troisième place du championnat à 14 points du leader et rival, suscitant de vives critiques à l'égard de son entraîneur et Gerets décide de quitter le club[16].

Olympique de Marseille

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Eric Gerets en 2008.

Eric Gerets entraîne l'Olympique de Marseille à compter du , en remplacement d'Albert Emon et après avoir refusé des offres des clubs qatarien d'Al Ittihad et turc de Gençlerbirligi. Il arrive à l'OM alors que le club occupe la 19e place à la 13e journée de championnat.

Pour son premier match en tant qu'entraîneur de l'OM, il réussit contre toute attente à s'imposer à Anfield en Ligue des champions contre l'équipe de Liverpool (0-1), le , grâce à un but de Mathieu Valbuena. Il devient ainsi le premier entraîneur d'une équipe française à réussir cet exploit[17]. Quelques jours plus tard, pour son premier match en Ligue 1, il s'incline face à l'AS Saint Etienne (1-0) mais, très vite, l’entraîneur belge va redresser la barre. Malgré une nouvelle défaite à Sochaux, où les Marseillais marquent deux buts contre leur camp et donnent la victoire au club franc-comtois, une victoire à Lyon (1-2) symbolise le bon travail du Belge et cristallise les espoirs. Son équipe acquiert finalement sa place sur le podium à l'issue de la dernière journée du championnat de Ligue 1 2007-2008 et grâce à une victoire épique (4-3) face au Racing Club de Strasbourg, déjà relégué en Ligue 2, non sans avoir donné quelques sueurs froides aux travées marseillaises. Cette première saison est couronnée de succès, puisqu'il parvient à redresser l'équipe en prônant un jeu offensif[18] en la remontant de la 19e à une 3e place inespérée, synonyme de tour préliminaire en Ligue des champions[17].

La saison suivante s'avère encore meilleure, fin mars, l'OM qui pointe en effet à la 2e place du classement à un point de Lyon, semble enfin en mesure de remporter ce titre national qui lui échappe depuis 1993 et les Phocéens s'apprêtent à défier les Ukrainiens du Chakhtar Donetsk en quarts de finale de la Coupe de l'UEFA[17]. En parallèle, toutefois, le torchon brûle entre l’entraîneur belge et l'actionnaire majoritaire du club, Robert Louis-Dreyfus. À l'origine de la discorde, une déclaration de celui-ci faite dans L'Équipe du (« Il ferait mieux de terminer premier ou deuxième, sinon nous aurons un problème. ») que le « Lion de Rekem » prend comme une attaque personnelle[7]. Du coup, Gerets tarde à signer un nouveau contrat malgré le soutien inconditionnel à son égard du public marseillais à qui il offre finalement un titre de vice-champion au terme d'une saison qui aura dû attendre l'ultime journée pour livrer son verdict.

Alors que certaines rumeurs l'envoient au FC Séville[17] ou au Zénith Saint-Pétersbourg[19], c'est en définitive pour le club saoudien Al Hilal FC que son choix se porte et le , Gerets annonce son départ de l'OM à la fin de la saison.

Le , Eric Gerets reçoit le titre de meilleur entraîneur de Ligue 1 lors de la cérémonie des trophées UNFP 2008-2009.

En 2013, il est approché par le Paris Saint-Germain pour remplacer Carlo Ancelotti mais le Limbourgeois refuse l'offre par respect pour « ses » Marseillais[20].

 
Eric Gerets fête le titre avec Al-Hilal FC lors de la saison 2009-2010.

Al Hilal Riyad

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Il entre en fonction à l'Al Hilal le dans un club ambitieux, son propriétaire le prince al-Saud vise en effet le championnat national, la Ligue des champions d'Asie voire le Championnat du monde des clubs[19]. Pour sa première saison au club, il remporte le Championnat d'Arabie saoudite 2009-2010 avec onze points d'avance et atteint les demi-finales de la Ligue des champions de l'AFC 2010.

Les rumeurs persistantes faisant état de difficultés financières à la suite du départ du sponsor principal du club, l'opérateur de téléphonie Mobily[19], ont-elles eu une influence sur les choix de Gerets ? Toujours est-il qu'il ne reste pas en Arabie saoudite très longtemps et s'engage avec la Fédération royale marocaine de football dès la saison suivante.

Équipe du Maroc

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Eric Gerets à l'occasion du match amical Maroc-Niger (3-0) en 2011.

Après avoir visité « secrètement » les installations du Maroc, l’entraîneur belge confirme le aux journaux Het Laatste Nieuws et De Morgen qu’il a conclu un accord de quatre ans avec la fédération marocaine[21] alors qu'il était pressenti pour prendre la direction des Diables Rouges.

Gerets qualifie les Lions de l'Atlas pour la CAN 2012 dont ils partent favoris mais un parcours décevant, avec notamment des défaites face à la Tunisie (1-2) et au Gabon (2-3), condamne le Maroc à l’élimination précoce. Malgré ce revers Eric Gerets est maintenu à la tête de la sélection. Toutefois, après une entame désastreuse des éliminatoires pour la CAN 2013 et la Coupe du monde au Brésil 2014 et vivement contesté par la presse et les supporteurs, il est licencié le par la Fédération marocaine[22].

Dernier exil et fin de carrière

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Alors qu'il est annoncé avec insistance du côté du Standard de Liège, le , il est nommé entraîneur de Lekhwiya SC[23], champion du Qatar en titre, mais seulement sixième de son championnat après trois journées. Il y remplace Djamel Belmadi et remporte son dernier titre national, le septième, avec une sixième équipe, dans un cinquième pays.

Le , le club émirati d'Al-Jazira annonce qu'Eric Gerets est nommé en remplacement de Walter Zenga[24],[25] reportant ainsi de deux ans l'éventualité de terminer sa carrière soit au Standard, soit en équipe nationale belge ainsi qu'il en a toujours rêvé. En , néanmoins, il confie au cours d'une interview à RMC son intention de mettre un terme à sa carrière à la fin de la saison 2015-2016[26], souhait exaucé avant terme an lorsqu'il est démis de ses fonctions et remplacé par Abel Braga, non sans avoir remporté avec son dernier club un titre de vice-champion[27].

À peine de retour en Belgique, les rumeurs enflent à nouveau quant à voir Gerets entraîner les Rouches ou les Diables et, si en ce qui concerne l'équipe belge cela en reste à l'état de rumeurs que l'homme dément de manière régulière et constante, le mandat de Marc Wilmots alors sélectionneur n'arrivant d'ailleurs à échéance qu'en 2018, il en va tout autrement pour le Standard dont la direction approche son ancien capitaine fin avec l'espoir de l'engager pour la saison suivante[28]. Le Limbourgeois a toutefois décliné l'offre, ne désirant pas compromettre de manière définitive son état de santé mis à mal par une hémorragie cérébrale encourue en 2012, alors qu'il était actif au Qatar, et qui l'a fortement diminué[29],[30].

Il semble désormais définitif que le Lion de Rekem n’entraînera plus d'équipes de football[31],[7].

Statistiques

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Statistiques de joueur

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En club

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Statistiques d'Eric Gerets au [32],[33]
Saison Club Championnat Coupe(s) nationale(s) Supercoupe Compétition(s)
continentale(s)
Autres compétitions   Belgique Total
Division M. B. M. B. M. B. Comp. M. B. Comp. M. B. M. B. M. B.
1971-1972   Standard de Liège Division 1 1 0 - - - - - 0 0 - - - - - 1 0
1972-1973 Division 1 9 0 - - - - - 0 0 - - - - - 9 0
1973-1974 Division 1 30 1 - - - - C3 6 0 - - - - - 36 1
1974-1975 Division 1 37 5 - - - - - 0 0 - - - - - 37 5
1975-1976 Division 1 34 6 - - - - - 0 0 - - - 2 0 36 6
1976-1977 Division 1 31 1 - - - - - 0 0 - - - 3 0 34 1
1977-1978 Division 1 25 2 - - - - C3 6 0 - - - 4 0 35 2
1978-1979 Division 1 33 4 - - - - C3 4 0 - - - 5 0 42 4
1979-1980 Division 1 28 3 - - - - C3 6 0 - - - 13 1 47 4
1980-1981 Division 1 29 0 - - - - C3 7 0 - - - 6 0 42 0
1981-1982 Division 1 31 3 - - - - C2 9 0 - - - 8 0 48 3
1982-1983 Division 1 33 2 - - - - C1 1 1 - - - 6 0 40 3
Sous-total 321 27 - - - - - 39 1 - - - 47 1 407 29
1983-1984   AC Milan Serie A 13 1 7 0 - - - 0 0 - - - 3 0 23 1
1984-1985   MVV Maastricht Eredivisie 13 0 2 0 - - - 0 0 - - - 0 0 15 0
Sous-total 26 1 9 0 - - - 0 0 - - - 3 0 38 1
1985-1986   PSV Eindhoven Eredivisie 29 0 2 0 - - C3 3 0 - - - 12 0 46 0
1986-1987 Eredivisie 30 1 3 0 - - C1 2 0 - - - 4 1 39 2
1987-1988 Eredivisie 30 4 5 2 - - C1 9 0 - - - 3 0 47 6
1988-1989 Eredivisie 31 1 5 0 - - C1 4 0 SCU+TOY 2+1 0+0 5 0 48 1
1989-1990 Eredivisie 33 1 5 0 - - C1 6 0 - - - 9 0 53 1
1990-1991 Eredivisie 24 0 3 0 - - C2 1 0 - - - 3 0 31 0
1991-1992 Eredivisie 23 1 1 0 - - C1 3 0 - - - - - 27 1
Sous-total 200 8 24 2 - - - 28 0 - 3 0 36 1 291 11
Total sur la carrière 547 36 33 2 - - - 67 1 - 3 0 86 2 736 41

En sélections nationales

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Statistiques d'Eric Gerets au [1]
Saison Sélection Campagne Phases finales Éliminatoires Matchs amicaux Total
Sél. Cap. Buts Sél. Cap. Buts Sél. Cap. Buts Sél. Cap. Buts
1973-1974   Belgique espoirs Euro espoirs 1976 - - 1 1 0 1 1 0
1974-1975 2 2 0 1 1 0 3 3 0
Sous-total - - - 2 2 0 2 2 0 4 4 0
1975-1976   Belgique Euro 1976 - 3 2 0 - 3 2 0
1976-1977 Coupe du monde 1978 3 2 0 1 1 0 4 3 0
1977-1978 2 2 0 2 2 0 4 4 0
1978-1979 Euro 1980 4 4 0 1 1 0 5 5 0
1979-1980 4 4 1 4 4 0 5 5 0 13 13 1
1980-1981 Coupe du monde 1982 - 6 6 0 - 6 6 0
1981-1982 5 3 0 1 1 0 4 4 0 10 8 0
1982-1983 Euro 1984 - 4 4 0 2 2 0 6 6 0
1983-1984 2 2 0 1 1 0 3 3 0
1984-1985 Coupe du monde 1986 - - 0 0 0
1985-1986 7 6 0 3 3 0 3 3 0 13 12 0
1986-1987 Euro 1988 - 3 3 1 1 1 0 4 4 1
1987-1988 2 2 0 1 1 0 3 3 0
1988-1989 Coupe du monde 1990 - 5 4 0 1 1 0 6 5 0
1989-1990 4 3 0 3 2 0 4 4 0 11 9 0
1990-1991 Euro 1992 - 2 2 0 1 1 0 3 3 0
Sous-total 20 16 1 47 43 1 27 27 0 94 86 2
Total sur la carrière 20 16 1 49 45 1 29 29 0 98 90 2

Matchs internationaux

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Buts internationaux

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Statistiques d'entraîneur

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En club

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Statistiques d'Eric Gerets au [34]
Saison Club Championnat Coupe(s)
nationale(s)
Supercoupe Compétition(s)
continentale(s)
Total % Victoires
Division M V N D M V N D M V N D Comp. M V N D M V N D
1992-1993   RFC Liège Division 1 34 10 8 16 2 1 0 1 - - 36 11 8 17 31%
1993-1994 Division 1 34 9 11 14 1 0 0 1 - - 35 9 11 15 26%
Sous-total 68 19 19 30 3 1 0 2 - - 71 20 19 32 28%
1994-1995   Lierse SK Division 1 34 14 9 11 1 0 0 1 - - 35 14 9 12 40%
1995-1996 Division 1 34 14 10 10 1 0 0 1 - C3 2 0 0 2 37 14 10 13 38%
1996-1997 Division 1 34 21 10 3 3 2 0 1 - CI 6 3 0 3 43 26 10 7 60%
Sous-total 102 49 29 24 5 2 0 3 - - 8 3 0 5 115 54 29 32 47%
1997-1998   Club Bruges KV Division 1 34 26 6 2 6 4 1 1 - C3 6 4 0 2 46 34 7 5 74%
1998-1999 Division 1 34 22 5 7 1 0 0 1 1 1 0 0 C1+C3 4+6 2+2 1+2 1+2 46 27 8 11 59%
Sous-total 68 48 11 9 7 4 1 2 1 1 0 0 - 16 8 3 5 92 61 15 16 66%
1999-2000   PSV Eindhoven Eredivisie 34 27 3 4 1 0 0 1 - C1 8 2 2 4 43 29 5 9 67%
2000-2001 Eredivisie 34 25 8 1 4 3 0 1 1 1 0 0 C1+C3 6+6 3+3 0+0 3+3 51 35 8 8 69%
2001-2002 Eredivisie 34 20 8 6 3 2 0 1 1 1 0 0 C1+C3 6+6 2+2 1+2 3+2 50 27 11 12 54%
Sous-total 102 72 19 11 8 5 0 3 2 2 0 0 - 32 12 5 15 144 91 24 29 63%
2002-2003   1. FC Kaiserslautern 1. Bundesliga 31 10 9 12 5 4 0 1 - - 36 14 9 13 39%
2003-2004 1. Bundesliga 18 5 3 10 1 0 0 1 - C3 2 0 0 2 21 5 3 13 24%
Sous-total 49 15 12 22 6 4 0 2 - - 2 0 0 2 57 19 12 26 33%
2003-2004   VfL Wolfsburg 1. Bundesliga 7 3 2 2 - - - 7 3 2 2 43%
2004-2005 1. Bundesliga 34 15 3 16 1 0 0 1 - CI 2 0 0 2 37 15 3 19 41%
Sous-total 41 18 5 18 1 0 0 1 - - 2 0 0 2 44 18 5 21 41%
2005-2006   Galatasaray SK Süper Lig 34 26 5 3 6 4 1 1 - C3 2 0 1 1 42 30 7 5 71%
2006-2007 Süper Lig 34 15 11 8 6 3 2 1 1 0 0 1 C1 8 1 2 5 49 19 15 15 39%
Sous-total 68 41 16 11 12 7 3 2 1 0 0 1 - 10 1 3 6 91 49 22 20 54%
2007-2008   Olympique de Marseille Ligue 1 29 16 7 6 3+2 2+1 0+0 1+1 - C1+C3 5+4 1+2 1+0 3+2 43 22 8 13 51%
2008-2009 Ligue 1 38 22 11 5 2+1 1+0 0+0 1+1 - C1+C3 8+6 3+2 1+1 4+3 55 28 13 14 51%
Sous-total 67 38 18 11 8 4 0 4 - - 23 8 3 12 98 50 21 27 51%
2009-2010   Al-Hilal FC SPL 22 18 2 2 4+5 4+3 0+2 0+0 - ACL 11 5 2 4 42 30 6 6 71%
2010-2011 SPL 10 7 3 0 - - - 10 7 3 0 70%
Sous-total 32 25 5 2 9 7 2 0 - - 11 5 2 4 52 37 9 6 71%
2012-2013   Lekhwiya SC QSL 22 14 4 4 2+2+6+3 2+1+4+0 0+0+0+1 0+1+2+2 - ACL 10 4 3 3 45 25 8 12 56%
2013-2014 QSL 26 16 5 5 2+1+3+3 0+0+1+2 2+0+0+0 0+1+2+1 - ACL 8 4 1 3 43 23 8 12 53%
Sous-total 48 30 9 9 22 10 3 9 - - 18 8 4 6 88 48 16 24 55%
2014-2015   Al-Jazira Club Pro League 26 16 3 7 6+1 2+0 0+0 4+1 - ACL 1 0 0 1 34 18 3 13 53%
Total sur la carrière 671 371 146 154 88 46 9 33 4 3 0 1 - 123 45 20 58 886 465 175 246 52%

En sélections nationales

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Statistiques d'Eric Gerets au [34]
Saison Sélection Campagne Phases finales Éliminatoires Matchs amicaux Total % Victoires
M V N D M V N D M V N D M V N D
2010-2011   Maroc CAN 2012 - 4 2 1 1 4 2 2 0 8 4 3 1 50%
2011-2012 3 1 0 2 2 1 1 0 3 1 1 1 8 3 2 3 38%
Coupe du monde 2014 - 2 0 2 0 2 1 0 1 4 1 2 1 25%
Coupe arabe 2012 5 3 2 0 - 1 1 0 0 6 4 2 0 67%
2012-2013 CAN 2013 - 1 0 0 1 1 0 0 1 2 0 0 2 0%
Total sur la carrière 8 4 2 2 9 3 4 2 11 5 3 3 28 12 9 7 43%

Matchs internationaux

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Palmarès

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Palmarès de joueur

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En club

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  Standard de Liège

 

  PSV Eindhoven

En sélections nationales

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  Belgique

Distinctions personnelles en tant que joueur

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  • 1982 : Soulier d'or belge
  • 2021 : élu membre de la "125 Years Icons Team", la meilleure équipe de tous les temps de l'histoire du football belge (organisé par l'URBSFA)

Palmarès d'entraîneur

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En club

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  Lierse SK

 

  Club Bruges KV

 

  PSV Eindhoven

 

  1. FC Kaiserslautern

 

  Galatasaray

 

  Olympique de Marseille

 

  Al-Hilal

 

  Lekhwiya SC

 

  Al-Jazira

En sélections nationales

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  Maroc

Distinctions personnelles en tant qu'entraîneur

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Vie privée

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Le , Eric Gerets épouse Virginie Neuray, l'ex-compagne de son ancien coéquipier Gilbert Bodart, dans sa propriété de Maasmechelen en toute intimité[35],[36],[37].

Le Belge a participé à l'émission 30 millions d'amis pour présenter « sa relation » avec son chien devenu célèbre, Georges[38].

Son fils, Johan Gerets[39], a également été footballeur professionnel. Après avoir evolué, entre autres, au FCV Dender EH en Jupiler Pro League (Division 1 belge) et au RCS Visé en Exqi League (Division 2 belge), il est aujourd'hui, lui aussi, retraité.

Bibliographie

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  • (nl) Frank Buyse (préf. René van Oostveen), De Leeuw: het levensverhaal van Eric Gerets, Neerpelt, D.C.M. Pers, , 167 p.
  • Karl Olive et Thierry Agnello, Gerets par Gerets, Paris, Éditions Hugo et Compagnie, , 137 p. (ISBN 978-2755603576)
  • Bruno Govers, Pierre Bilic, Claude Henrot, Bruno Dubois et Pierre Danvoye, Le Dictionnaire des Diables Rouges, Bruxelles, Euro Images Productions, , 320 p. (ISBN 978-9-0766-2811-0)
  • Peter Mangelschots, Les Dieux du Football belge : 1980-1990, vol. 2, Zellik, Roularta Books, , 128 p. (ISBN 978-90-8679-248-1)

Notes et références

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  1. a b c et d « Fiche d’Eric Gerets », sur RBFA.be.
  2. a et b Peter Mangelschots, Les Dieux du Football belge : 1980-1990, vol. 2, Zellik, Roularta Books, , 128 p. (ISBN 978-90-8679-248-1), p. 45-47
  3. « LE PALMARES DU SOULIER D'OR DE 1954 A 1992 », sur lesoir.be, Le Soir, (consulté le )
  4. a et b « LA JUP’ : LE SCANDALE STANDARD / WATERSCHEI ET L’EURO 84 », sur horsjeu.net, (consulté le )
  5. « Ce jour-là : Eric Gerets devient le premier Belge à gagner la C1 », Sport/Foot Magazine, (consulté le ).
  6. a et b Bruno Govers, Pierre Bilic, Claude Henrot, Bruno Dubois et Pierre Danvoye, Le Dictionnaire des Diables Rouges, Bruxelles, Euro Images Productions, , 320 p. (ISBN 978-9-0766-2811-0), p. 80-83
  7. a b c d et e « Éric Gerets: fatigué, le «Lion de Rekem» ne rugira plus au bord des terrains », sur lavenir.net, L'Avenir, (consulté le )
  8. « Eric Gerets était champion avec le Lierse... il y a 20 ans au Standard: « Plus jamais connu pareille ambiance» », sur lesoir.be, Le Soir, (consulté le )
  9. « LES GRIFFES DU LION ERIC GERETS 1997-1999 », sur clubbrugge.be, (consulté le )
  10. (nl) « Gerets volgend seizoen naar PSV », Voetbal International, (consulté le )
  11. (nl) « Erik Gerets per direct weg bij PSV », Voetbal International, (consulté le )
  12. (nl) « Eric Gerets is nieuwe trainer FC Kaiserslautern », De Standaard, (consulté le )
  13. « Éric Gerets Limogé à Kaiserlautern », sur dhnet.be, La DH Les Sports+, (consulté le )
  14. (nl) « Eric Gerets wordt trainer bij Wolfsburg », sur nieuwsblad.be, Het Nieuwsblad, (consulté le )
  15. (nl) « Eric Gerets verlaat Wolfsburg », De Standaard, (consulté le )
  16. « Éric Gerets quitte le Galatasaray », sur lesoir.be, Le Soir, (consulté le )
  17. a b c et d Pascal De Gendt, « Eric Gerets : L'autre sorcier belge », Télémoustique,‎ , p. 32-33
  18. OM : ces coachs étrangers qui ont enflammé le Vélodrome… ou pas, lefigaro.fr, 9 février 2021, par Sasha Beckermann
  19. a b et c Pascal De Gendt, « Eric Gerets : Le prince du désert », Télémoustique,‎ , p. 26-28
  20. Mathéo Geslan, « Le jour où Éric Gerets a refusé le PSG par respect pour “ses” Marseillais », sur 7sur7.be, 7sur7, (consulté le )
  21. (nl) « Eric Gerets bevestigt overeenkomst met Marokko », sur demorgen.be, De Morgen, (consulté le )
  22. « Eric Gerets remercié par la Fédération marocaine », sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le )
  23. « Gerets rebondit à Lekhwiya », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le )
  24. (en) « Al Jazira confirm Eric Gerets as new coach to replace Walter Zenga », sur The National Sport, The National, (consulté le )
  25. « Eric Gerets signe pour deux ans à Al Jazira », sur rtbf.be, RTBF, (consulté le )
  26. « Eric Gerets n'entrainera ni le Standard, ni les Diables », La Libre Belgique, (consulté le )
  27. « Eric Gerets n'est plus l'entraîneur d'Al-Jazira », sur dhnet.be, La DH Les Sports+, (consulté le )
  28. « Bruno Venanzi voulait Eric Gerets à la tête du Standard dès la fin juin », sur rtbf.be, RTBF, (consulté le )
  29. Maxime Berger, « Gerets et sa santé : "Des hauts et des bas... mais je suis encore en vie" », sur rtbf.be, RTBF, (consulté le )
  30. (nl) Jens Nimmegeers, « Eric Gerets ondervindt nog steeds problemen van hersenbloeding in 2012: "Ik slik vijf pillen per dag" », sur voetbalkrant.com, (consulté le )
  31. (nl) Glenn Bogaert, « Eric Gerets klauwt en brult niet meer: "Heb nog twee aneurysma's. Dat is een bloedklontertje op een ader. Als het springt, heb ik prijs" », sur hln.be, Het Laatste Nieuws, (consulté le )
  32. (nl) « Fiche du joueur », sur Belgian Soccer Database
  33. « Fiche d’Eric Gerets », sur transfermarkt.fr
  34. a et b « Fiche de Eric Gerets (manageur) », sur transfermarkt.fr
  35. « L’ancien Diable rouge Éric Gerets a épousé Virginie ce samedi à Maasmechelen », sur sudinfo.be, Groupe Sudpresse, (consulté le )
  36. (nl) Sander Van Den Broecke, « Eric Gerets (64) getrouwd met zijn Virginie (40): "Leer blij zijn met wat je hebt en sta niet te veel stil bij wat je niet hebt" », sur hln.be, Het Laatste Nieuws, (consulté le )
  37. Photos du mariage Gerets sur photographe-polet.com
  38. Vidéo de Eric Gerets à 30 millions d'amis sur dailymotion.com
  39. Fiche de Johan Gerets sur transfermarkt.com

Liens externes

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