La Neuve-Lyre
La Neuve-Lyre est une commune française du département de l'Eure, en région Normandie.
La Neuve-Lyre | |
La mairie de La Neuve-Lyre. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | CC Interco Normandie Sud Eure |
Maire Mandat |
Chantal Topart 2020-2026 |
Code postal | 27330 |
Code commune | 27431 |
Démographie | |
Gentilé | Lyrois |
Population municipale |
553 hab. (2021 ) |
Densité | 194 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 54′ 33″ nord, 0° 44′ 55″ est |
Altitude | Min. 150 m Max. 181 m |
Superficie | 2,85 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Breteuil (Eure) |
Législatives | 2e circonscription de l'Eure |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://laneuvelyre.e-monsite.com |
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Géographie
modifierDescription
modifierLa Neuve-Lyre est une commune du Sud-Ouest du département de l'Eure, localisée entre Rugles et Beaumont-le-Roger.
Située au cœur de la vallée de la Risle et traversée par deux petites vallées sèches, elle appartient à la région naturelle du pays d'Ouche qui se prolonge jusque dans le département de l'Orne. Les vallées présentent, ici, des pentes douces (au contraire de la vallée de la Risle située en aval de Beaumont-le-Roger). La Neuve-Lyre se caractérise, comme le reste du pays d'Ouche, par une présence importante des structures végétales (que ce soit des haies bocagères, des bosquets ou des boisements plus importants) au milieu des cultures de blé ou de colza (qui ont remplacé les prairies)[1].
À vol d'oiseau, la commune est à 10 km au nord de Rugles, à 15 km au sud-ouest de Conches-en-Ouche, à 32 km au sud-ouest d'Évreux et à 64 km au sud de Rouen.
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune des Bottereaux à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , La Neuve-Lyre est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,8 %), prairies (26,9 %), forêts (26,8 %), zones urbanisées (15,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 363, alors qu'il était de 370 en 2014 et de 353 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 73,6 % étaient des résidences principales, 9,9 % des résidences secondaires et 16,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,4 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Neuve-Lyre en 2019 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,9 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 61,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,9 % en 2014), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | La Neuve-Lyre[I 2] | Eure[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 73,6 | 85,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 9,9 | 6,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 16,5 | 8,4 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous la forme Nova Lira vers 1050 (charte de Guillaume Fitz Osbern), La Nove Lire en 1254 (cartulaire de Lyre)[14], Neufve Lire en 1469 (monstre gén. de la nobl. de Rouen), Jeune Lyre en 1460 (inventaire du chartrier de Lyre), Lire la Neuve en 1722[14],[15].
Il s'agit sans doute de la division d'un primitif Lire, conservé par le nom de l'ancienne abbaye de Lyre[16].
Ce toponyme semble devoir être rapproché du nom primitif de la Risle (fluvius Lirizinus VIIIe siècle, Vie de saint Germer) qui contient le thème hydronymique lera / lira, mis en évidence par les linguistes[16]. Dans le cas du nom de la Risle, on a une double suffixation *Lir-ic-ina, devenu par métathèse *Ricilina> Risle. Les noms de lieux et les hydronymes se déclinent souvent l'un à partir de l'autre dans les faits.
Histoire
modifierMoyen Âge
modifierÀ l'origine, La Neuve-Lyre relève de la paroisse de la Vieille-Lyre. En 1229, elle acquiert son autonomie. Elle a est, dès le Moyen Âge, un centre commercial (marché et halle), administratif (siège de vicomté et de sergenterie) et artisanal (travail du fer).
Révolution française et Empire
modifierEn 1791, elle a été désignée chef-lieu de canton mais Napoléon lui a retiré cette qualité.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve ddans l'arrondissement d'Évreux du département de l'Eure.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rugles[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Breteuil (Eure)
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Eure.
Intercommunalité
modifierLa Neuve-Lyre était membre de la communauté de communes du Canton de Rugles, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Interco Normandie Sud Eure dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierLa mairie-école, construite en 1932 est rénovée de 2020 à 2022[24],[23].
Enseignement
modifierL'école élémentaire, qui comprend quatre classes en 2022/2023, devrait en perdre une à la rentrée 2023 à la suite d'une baisse des effectfs[25].
Postes et télécommunications
modifierLe bureau de poste ferme en juin 2023, et est remplacé par une agence postale communale implantée en mairie[23].
Équipements culturels
modifierLa médiathèque s'est implantée en 2022 dans l’ancien magasin d’appareils ménagers des établissements Chrétien, acquis par la commune[23].
Santé
modifierLa construction d'une maison médicale est envisagée par l'intercommunalité[26].
Justice, sécurité, secours et défense
modifierEn 2023 est installé un système de vidéosurveillance constitué de sept caméras, en lien avec la Gendarmerie nationale[23].
Le centre de secours de la Neuve-Lyre, centre en garde postée avec deux professionnels et deux volontaires la semaine en journée, défend la commune et ses environs, mais, en 2022, ses effectifs de 13 pompiers sont en baisse[27].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 553 habitants[Note 3], en évolution de −3,66 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
modifierLa fête de la musique et la fête de la Risle ont lieu fin juin[31].
Le marché de noël est renommé[32].
Économie
modifierLe bourg dispose d'un tissu commercial, avec quincailler, pharmacien, boucher, épicier, médecin, boulanger, gérant de bar-tabac, infirmières[33]…
Deux marchés hebdomadaires s'y tiennent, le lundi et le vendredi, ainsi qu'un marché de producteurs une fois par mois[33]
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Gilles, du XIIIe siècle, remaniée au XIXe siècle (réfection des murs et agrandissement du chœur). Une partie de l'édifice, dont le clocher, est en grison, une pierre rousse du pays d'Ouche.
- L'orgue a été rénové en 2011 par le facteur d'orgue Jean-François Muno.
- Château médiéval. Il ne reste plus de trace de ce château édifié sur l’emplacement de l’actuel cimetière. Il joua un rôle militaire durant le XIIe siècle lors de la révolte de plusieurs barons contre le duc de Normandie et roi d’Angleterre, Henri Ier. Arnaud du Bois commandait le château mais négocia et le livra au roi. Il était à l'époque du duc Henri la possession de Robert de Leicester († 1168)[34]. Il s’agissait d’une motte castrale, fréquente en Normandie, palissée de bois et ceinte de larges fossés. Si le château lyrois n’est pas mentionné durant la guerre de Cent Ans, longtemps le village conserva des traces ; ainsi la rue des Fossés du Château ne devint rue de Derrière le Bourg qu’au XIXe siècle[35].
- Château de la Chapelle[36],[37] (1865-1879) Inscrit MH (2002)[38]. Œuvre de style éclectique pensée par l'architecte Jacques Baumier pour le maire de la commune, Émile Claudius Baraguey-Fouquet.
- Un avant-corps à tourelles signale l'entrée du château. Les façades mêlent le silex taillé en parement, la brique (chaînes) et la pierre de taille (corniches).
- Il est détruit en partie par un incendie le . L'édifice est également situé sur le territoire de la commune de Neaufles-Auvergny.
- Fontaine, place de l'église, offerte en 1902 par Émile Bourgeois, propriétaire d’un magasin de porcelaine à Paris[39]
- En 2021, une fresque géante (11 mètres sur 6 mètres), représentant Bourvil, a été réalisée dans le village par Romain Vasse alias Atomik et des amis graffeurs[40],[41].
- Camping municipal de 12 ha de 65 places, au pied de la rivière[42].
-
L'église Saint-Gilles.
-
Le château de la Chapelle.
-
Fresque géante, représentant Bourvil, réalisée par Romain Vasse alias Atomik
Personnalités liées à la commune
modifier- Nicolas de Lyre : probablement né vers 1270 à La Neuve-Lyre et mort en 1349 à Paris. Ce franciscain est l'auteur d'une Postilla litteralis super Biblia, commentaire littéral de la Bible (ancien et nouveau testaments), terminé en 1332, de grande renommée et de diffusion importante au moins jusqu'au XVIe siècle.
- Émile Bourgeois (1832-1926), propriétaire d'un grand magasin parisien, « Le Grand Dépôt »[43], 21-23, rue Drouot à Paris, dans la seconde moitié du XIXe siècle et bienfaiteur de la commune au début du XXe siècle.
- Henri Thuillier (1867-1928), Curé et poète. Une rue de la commune porte son nom.
- Nigel Wilkins (1936- ), professeur britannique naturalisé français, spécialisé en musicologie et en littérature médiévale, y habite depuis 2005.
- Yann Moncomble (1953-1990), journaliste et essayiste français d'extrême droite, y habitait.
Cinéma
modifier- Une scène du film Le Rosier de madame Husson, réalisé par Jean Boyer et sorti en 1950, avec Bourvil et Jacqueline Pagnol a été tournée sur la place de l'église.
- Quelques scènes du film Le Trou normand, réalisé par Jean Boyer et sorti en 1952, avec Bourvil et Brigitte Bardot ont été tournées dans le village.
Héraldique
modifierBlason | D’azur à la lyre d’argent. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Laurent Ridel, La Vieille-Lyre et La Neuve-Lyre autrefois,
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de la Neuve-Lyre (27431) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « La Neuve-Lyre » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Émile Baraguey (18..-1895), industriel qui a développé l'entreprise familiale, située à Chagny hameau de La Neuve-Lyre. L'usine a employé plus de 200 ouvriers à fabriquer des produits en cuivre. Il a été maire de la commune de 1862 à sa mort
- La salle polyvalente de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à la La Neuve-Lyre » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à la La Neuve-Lyre - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à la La Neuve-Lyre - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Eure » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre La Neuve-Lyre et Les Bottereaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Les Bottereaux » (commune des Les Bottereaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Les Bottereaux » (commune des Les Bottereaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 154.
- Vincent Auguste. Noms de cours d'eau diminutifs de noms de lieux [Spécialement dans le domaine français]. Revue belge de philologie et d'histoire, tome 7, fasc. 1, 1928. p.34.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 208.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Thierry Roussin, « Ancien maire de 59 à 95, Raymond Plaine est décédé », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Entré au conseil municipal en 1953, Raymond Plaine avait siégé en tant qu’adjoint durant un mandat avant d’être élu maire en 1959, une fonction qu’il occupera jusqu’en 1995 ».
- « La Neuve-Lyre. L'ancien maire Jean-Claude François nous a quittés : Enfant du Pays, Jean-Claude François qui était originaire de Chaise-Dieu-du-Theil (Eure) où il avait vu le jour le 15 avril 1945 avait fait de La Neuve-Lyre son port d'attache », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Après avoir siégé à partir de 1983 en tant que conseiller aux côtés du maire Raymond Plaine, il avait présenté sa propre liste aux élections de 1995 et l’avait emporté face à celle du maire sortant. Réélu en 2001 et en 2008, il n’avait pas retrouvé son siège en 2014 et avait été nommé maire honoraire ».
- « La Neuve-Lyre : Après mars prochain, Daniel Besnehard range l'écharpe de maire : Le maire Daniel Besnehard a annoncé ce que tout le monde savait déjà depuis un certain temps : il ne briguera pas un deuxième mandat en mars prochain à La Neuve-Lyre (Eure). », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- « Neuve-Lyre. Municipales : Chantal Topart conduit la liste « Partageons Notre Avenir » : La conseillère Chantal Topart, par ailleurs, présidente du Comité d'Animation Lyrois conduit la liste « Partageons notre Avenir » à La Neuve-Lyre (Eure). », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales 2020. À La Neuve-Lyre, dans l’Eure, l’équipe de la maire Chantal Topart prend ses fonctions », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Avec la fermeture de La Poste, la mairie de La Neuve-Lyre va devenir une agence postale : Vidéoprotection, défense incendie ou encore accueille d'une agence postale en mairie, la maire Chantal Topart a évoqué les projets à venir pour sa commune de La Neuve-Lyre (Eure). », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Hugo Deshors, « La Neuve-Lyre. Les douze travaux de Chantal Topart pour faire briller la commune : Attachée à sa commune de La Neuve-Lyre (Eure), la maire Chantal Topart et son équipe municipale œuvrent au quotidien pour mener à bien des projets plus ou moins importants », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- « Enfance/jeunesse », Vie pratique, sur laneuvelyre.e-monsite.com (consulté le ).
- Vincent Guerrier, « Un important soutien pour la création d'un pôle de santé à La Neuve-Lyre : Sur la table depuis 2017, les projets de maisons de santé à Rugles et La Neuve-Lyre patinent. Mais un soutien venu de Conches pourrait booster le projet de La Neuve-Lyre (Eure) », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les sapeurs-pompiers de La Neuve-Lyre confrontés à une forte baisse des interventions : Avec des départs d'un professionnel et de plusieurs volontaires, les effectifs du centre de secours de La Neuve-Lyre (Eure) ont chuté. Il faut désormais trouver du renfort », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Hugo Deshors, « A La Neuve-Lyre, on se prépare à la Fête de la musique et à la Fête de la Risle : Vendredi 24 juin et dimanche 26 juin 2022, les habitants de La Neuve-Lyre ont rendez-vous avec deux animations, la fête de la musique et la fête de la Risle. », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Hugo Deshors, « La Neuve-Lyre. Le marché de Noël, "l'un des plus beaux", prend place ce samedi 4 décembre 2021 : Le marché de Noël de La Neuve-Lyre (Eure) attend les visiteurs ce samedi 4 décembre 2021, sur la place de l'Eglise. Une soixantaine d'exposants, des barnums décorés, une vraie fête », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Vincent Guerrier, « Trois nouveaux commerçants débarquent dans le bourg de La Neuve-Lyre : La crise Covid avait fait du mal au petit bourg de La Neuve-Lyre (Eure). Mais 2022 aura vu l'arrivée de trois nouveaux commerçants pour redynamiser l'activité. Qui sont-ils ? », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 49.
- Gilloudifs, « Les remparts de La Neuve-Lyre (Eure) », sur Rempart de Normandie, .
- Site de Château de la Chapelle
- France Poulain, « La Neuve Lyre > Domaine de la Chapelle », Le Dire de l'architecte des bâtiments de France - Les essentiels de l'Eure, no 99, (ISSN 2492-9727, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Notice no PA27000047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Amis du Patrimoine. Les projets ne manquent pas à La Neuve-Lyre : La commune de La Neuve-Lyre (Eure) compte une nouvelle association « Les Amis du Patrimoine » dont la présidente n'est autre que Chantal Topart. », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Hugo Deshors, « Dans l'Eure, la fresque géante du graffeur Atomik, « une œuvre magnifique » en hommage à Bourvil : Dans le bourg de La Neuve-Lyre (Eure), Romain Vasse alias Atomik a réalisé avec des amis graffeurs, une fresque géante sur un mur. Une œuvre magistrale saluée par tout le monde », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- « A La Neuve-Lyre, la photo en hommage à Bourvil et au Trou Normand inaugurée : A La Neuve-Lyre (Eure), la photo de Bourvil a été installée au fronton du bar Le Lutin où fut tournée une des scènes du film Le Trou Normand. Un attrait touristique pour le village », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Hugo Deshors, « Alors que le camping de La Neuve-Lyre se refait une beauté, des risques de dégradations sont à craindre… : Menés par la maire de La Neuve-Lyre Chantal Topart, les travaux d'aménagement vont embellir le camping et améliorer son confort. Mais la présence des gens du voyage inquiète. », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Archives pour la catégorie Émile Bourgeois (1832-1926) propriétaire du Grand Dépôt et éditeur reconnu (France).