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Le Malesherbois

commune française du département du Loiret

Le Malesherbois [lə malzɛʁbwa] est une commune nouvelle, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire, créée le par le regroupement de sept anciennes communes[1].

Le Malesherbois
Le Malesherbois
L'hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Pithiviers
Intercommunalité Communauté de communes du Pithiverais-Gâtinais
Maire
Mandat
Hervé Gaurat
2020-2026
Code postal 45300 et 45330
Code commune 45191
Démographie
Population
municipale
8 005 hab. (2021)
Densité 94 hab./km2
Population
agglomération
8 412 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 46″ nord, 2° 24′ 21″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 141 m
Superficie 85,04 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Le Malesherbois
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Malesherbois
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Le Malesherbois
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Malesherbois
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Le Malesherbois
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Le Malesherbois
Liens
Site web http://www.ville-lemalesherbois.fr/

Géographie

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Carte du Malesherbois.


Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Malesherbes
(siège)
45191 CC du Pithiverais-Gâtinais 17,61 6 140 (2013) 349


Coudray 45106 CC du Pithiverais-Gâtinais 12,42 384 (2013) 31
Labrosse 45057 CC du Pithiverais-Gâtinais 4,09 82 (2013) 20
Mainvilliers 45190 CC du Pithiverais-Gâtinais 10,30 249 (2013) 24
Manchecourt 45192 CC du Pithiverais-Gâtinais 16,23 684 (2013) 42
Nangeville 45221 CC du Pithiverais-Gâtinais 8,59 113 (2013) 13
Orveau-Bellesauve 45236 CC du Pithiverais-Gâtinais 15,80 462 (2013) 29

Géologie et relief

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Géologie

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La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentour, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La formation la plus ancienne est des sables et grès de Fontainebleau remontant à l’époque Oligocène de la période Paléogène. La formation la plus récente est des dépôts anthropiques remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°293 - Malesherbes » de la carte géologique au 1/50 000ème du département du Loiret[3],[4] et sa notice associée[5].

 
Carte géologique de la commune.
Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
  X  : dépôts anthropiques
  Fz  : alluvions récentes des lits mineurs, Holocène
  FC  : alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, Holocène
  Fy  : alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, Holocène
Pléistocène
  qCM  : colluvions marneuses de versant, Quaternaires
  qOE  : Limons et Loess, Quaternaire
Néogène
(2.58 - 23.03)
Pliocène  non présent
Miocène
  m1MBl  : marne de Blamont, Aquitanien
  m1CPi  : calcaire de Pithiviers, Aquitanien
  m1MGa  : molasse du Gâtinais, Aquitanien
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène
  g1CEt  : calcaire d'Étampes, Stampien supérieur
  g1SF  : sables et grès de Fontainebleau, Stampien
Éocène  non présent
Paléocène  non présent

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 85,04 km2[6],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,57 km2[4]. L'altitude du territoire varie entre 67 m et 141 m[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 662 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Boigneville à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 615,6 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records BOIGNEVILLE (91) - alt : 115m, lat : 48°19'31"N, lon : 2°22'52"E
Records établis sur la période du 01-10-1979 au 31-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,4 3,3 5,3 8,7 11,7 13,6 13,4 10,4 7,9 4,4 2,1 7
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,8 10,6 14 17,3 19,9 19,6 15,9 12 7,4 4,6 11,5
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,2 12,3 15,9 19,4 22,9 26 25,8 21,4 16,1 10,5 7,2 16,1
Record de froid (°C)
date du record
−19,7
17.01.1985
−12,6
07.02.1991
−11,6
01.03.05
−4,3
07.04.21
−0,1
06.05.19
1,4
05.06.1991
4
04.07.1984
4,6
31.08.1986
2
19.09.1994
−3,3
30.10.1997
−10,7
24.11.1998
−11,5
31.12.1985
−19,7
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
30.01.02
21,4
24.02.1990
25,5
31.03.21
28,4
21.04.18
31,6
28.05.17
37,2
27.06.11
40,9
25.07.19
39,7
06.08.03
34,7
14.09.20
30,3
01.10.1985
21,8
07.11.15
17,2
16.12.1989
40,9
2019
Précipitations (mm) 47,6 44 43 46,9 62,5 50 51 49,7 49,8 58,1 54 59 615,6
Source : « Fiche 91069001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Malesherbois est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Le Malesherbois[Note 2], une agglomération inter-régionale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,4 %), forêts (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[19].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques naturels et technologiques

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La commune du Malesherbois est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de l'Essonne), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrain ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à deux risques technologiques : le risque industriel et le risque industriel[20]. Entre 1989 et 2019, sept arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulées de boue[21].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont exposées aux crues de l'Essonne[22]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) de la vallée de l'Essonne le par arrêté inter-préfectoral[23].

Le territoire de la commune peut également être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[24].

Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[25]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[26].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[27]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[21].

Risques technologiques

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La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'une canalisation de gaz[28] et d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (la route départementale D2152)[20],[29].

Toponymie

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Histoire

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Créée par un arrêté préfectoral du , elle est issue du regroupement des communes de Coudray, Labrosse, Mainvilliers, Malesherbes, Manchecourt, Nangeville et Orveau-Bellesauve qui deviennent des communes déléguées[1]. Son chef-lieu est fixé à Malesherbes.

Politique et administration

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Jusqu'aux prochaines élections municipales de 2020, le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[1]. Un nouveau maire est élu début 2016. Il s'agit de Hervé Gaurat, jusque-là maire de Malesherbes, qui est élue le avec 47 voix sur 93. L'autre candidate, Marie-Françoise Fautrat, bénéficiant pourtant d'une plus grande ancienneté dans la politique locale, et jusque-là présidente de la Communauté de Communes du Malesherbois, est battue avec 41 voix[30]. Les maires des communes historiques deviennent maires délégués de chacune des anciennes communes.

L'exécutif municipal

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L'équipe municipale de Hervé Gaurat compte 14 adjoints au maire, dont 9 Malesherbois[31].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
6 janvier 2016[32] 3 juillet 2020 Delmira Dauvilliers[33] DVD Sans profession déclarée
Présidente de la CC du Pithiverais-Gâtinais (2017 → )
3 juillet 2020 En cours Hervé Gaurat[33],[34] DVD-LR Consultant dans le domaine des travaux publics
Conseiller départemental du Malesherbois (2021 → )
9e vice-président de la CC du Pithiverais-Gâtinais (2020 → )

Équipements et services

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Environnement

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Gestion des déchets

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Au , la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 5], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[35]. Un réseau de huit déchèteries, dont une est située sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…)[36].

L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL[37], installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri[38].

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais-Gâtinais en application de la loi NOTRe du [39].

Transport en commun

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Le territoire de la commune est traversée du nord au sud par la ligne de Villeneuve-Saint-Georges à Montargis, principalement empruntée par la ligne D du RER et sur laquelle est implantée la gare de Malesherbes qui est le terminus de la branche D4 du RER D. Avec un cadencement de 15 min aux heures de pointe et d'1 h le reste de la journée, les trains de la ligne D permettent, au départ de Malesherbes, de relier les gares de Corbeil-Essonnes et Paris en 40 min et 90 min respectivement.

Population et société

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Démographie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Atelier-musée de l'imprimerie (musée de France).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[7],[8]
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Le Malesherbois comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
Notes de type "Carte"
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « arrêté de création » (consulté le ).
  2. « Histoire géologique du Bassin parisien », sur le site du Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consulté le ).
  3. « Carte géologique du Le Malesherbois » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2022).
  4. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune du Le Malesherbois », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille n°293 - Malesherbes de la carte géologique harmonisée à 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. Insee, « Comparateur de territoire - Commune du Le Malesherbois », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  7. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  8. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  9. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Le Malesherbois et Boigneville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Boigneville », sur la commune de Boigneville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Boigneville », sur la commune de Boigneville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 du Le Malesherbois », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. a et b [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) du Loiret- Liste des risques par commune », sur loiret.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b « Risques recensés sur la commune du Malesherbois »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr.
  22. « Plan de Prévention des Risques d'inondation (PPRI) de la vallée de l'Essonne - rapport de présentation », sur loiret.gouv.fr.
  23. « Plan de Prévention des Risques d'inondation (PPRI) de la vallée de l'Essonne », sur loiret.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Le Malesherbois - Recensement des cavités souterraines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  26. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Carte d'aléa pour le secteur du Le Malesherbois »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  27. Décret no n°2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français
  28. « Cartographie des canalisations de gaz et d'hydrocarbures dans le Loiret », sur cartelie.application.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Dossir départemental des risques majeurs - le risque de transport de matières dangereuses. », sur loiret.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Le Malesherbois a élu son premier maire », sur larep.fr, (consulté le ).
  31. « Equipe municipale du Malesherbois »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ville-lemalesherbois.fr (consulté le ).
  32. Stéphane Boutet, « Le Malesherbois a élu son premier maire », La République du Centre,‎ (lire en ligne).
  33. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  34. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  35. « SITOMAP de la région Pithiviers - Rapport annuel 2015 », sur sitomap.fr (consulté le ), p. 4.
  36. « SIRTOMRA- rapport annuel 2015 », sur sirtomra.fr (consulté le ), p. 11.
  37. site officiel de BEGEVAL
  38. « SIRTOMRA- rapport annuel 2015 », sur sirtomra.fr (consulté le ), p. 8.
  39. « Schéma de coopération intercommunale du Loiret », sur loiret.gouv.fr, (consulté le ), p. 4.