Marie d'Armagnac
noble française, comtesse d'Alençon par mariage
Marie d'Armagnac (vers 1420-1473) est une noble française, fille de Jean IV d'Armagnac et de sa seconde épouse Isabelle de Navarre[1]. Elle devient duchesse d'Alençon par son mariage avec Jean II d'Alençon.
Marie d'Armagnac | |
Marie d'Armagnac, Marguerite de Lorraine & Mahaut de Bavière | |
Titre | Duchesse d'Alençon et comtesse du Perche |
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Biographie | |
Dynastie | Maison d'Armagnac |
Naissance | |
Décès | Mortagne-au-Perche |
Père | Jean IV d'Armagnac |
Mère | Isabelle de Navarre |
Conjoint | Jean II d'Alençon |
Enfants | Catherine René |
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Biographie
modifierLe 30 avril 1437, Marie devient la seconde épouse de Jean II d'Alençon[2], veuf de Jeanne d'Orléans. Leur mariage est célébré au château de L'Isle-Jourdain.
De leur union survécurent les deux enfants suivants :
- Catherine (1452-1505)[3]
- René d'Alençon (1454-1492)[2]
Marie meurt le 25 juillet 1473 au cloître de Mortagne-au-Perche. Elle est inhumée dans l'église collégiale de Toussaint à Mortagne[4].
Son époux meurt trois ans plus tard, le 8 septembre 1476 à Paris.
Généalogie
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Références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Marie of Armagnac » (voir la liste des auteurs).
- des Noes, François Bouvier, Procédures politiques du règne de Louis XI: le procès de René d'Alençon, comte du Perche, 1481-1483 (in French). Volume 1, Atelier national de reproduction des thèses, , p. 71
- (en) David Potter, A History of France, 1460–1560: The Emergence of a Nation State, Macmillan, , p. 375
- (en) Pernoud, Regine ; Clin, Narue-Veronique, Joan of Arc: Her Story. Translated by Adams, Jeremy duQuesnay., Wheeler, Bonnie (ed.). St. Martin's Press., , p. 173
- Murielle Gaude-Ferragu, D’or et de cendres : La mort et les funérailles des princes dans le royaume de France au bas Moyen Âge, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN 978-2-7574-2256-4, lire en ligne), chap. II (« Des nécropoles dynastiques »), p. 67–90.