Nicolas de Mauregard
Nicolas de Mauregard, né vers 1340, mort entre 1407 et 1409, bourgeois de Paris, sergent d’arme du roi en 1363, Trésorier des guerres en 1368, Trésorier de France en 1386. En 1390, il est nommé général sur le fait de la finance des aides puis en 1394 général sur la justice des aides jusqu’à sa mort.
Conseiller du roi |
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Naissance |
Vers 1340 |
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Décès |
Entre 1407 et 1409 |
Allégeance | |
Activité | 1363 à 1368 Sergent d’arme du roi et receveur des aides pour la guerre à Rouen et à Paris 1368 à 1374 Trésorier des guerres 1375 à 1379 Trésorier du duc d’Anjou 1380 à 1385 Trésorier de France et Trésorier du duc d’Anjou 1382 à 1385 Trésorier du pape Clément VII en Avignon et Général des finances de Louis, roi de Jérusalem et de Sicile, duc d’Anjou et de Touraine, comte de Provence, du Maine et de Piémont 1386 à 1394 Trésorier de France 1391 à 1394 Général des finances des aides 1394 à 1407 Général sur la justice des aides |
Biographie
modifierFiliation
modifierNicolas de Mauregard est le fils d’autre Nicolas, né vers 1315, bourgeois de Paris, maître de garnison du Roi et de Jeanne Le Flament[n 1] d’une notable famille parisienne[1].
Les livres de la taille de Paris de 1292 à 1313[n 2], intéressants pour l’étude de la bourgeoisie parisienne au Moyen Âge indiquent l’existence, entre autres, d’Adam de Mauregard,, mercier, l’un des plus gros contribuables de l’époque et de Pierre de Mauregard, blatier, habitant rue de la Vannerie en la paroisse Saint-Gervais où ils étaient imposés à la taille des années 1292 à 1313[2],[3],[4],[5]. Pierre de Mauregard fut maître de garnison du Roi et fournissait les armées en blé dès 1299. En 1313, il était marchand de vin. Il fut vraisemblablement le grand-père de Nicolas.
Carrière
modifierNicolas de Mauregard était sergent d’armes du roi et receveur général à Paris et à Rouen du subside ordonné pour la défense du royaume de 1363 à 1367[n 3], puis trésorier des guerres en 1368[6]. L’année suivante il est remplacé par Étienne Braque[7] et, par un mandement du 18 novembre de la même année, Charles V « nommait Nicolas de Mauregart, maistre des garnisons de notre navire et de l’armée que nous entendons au plaisir de Dieu hastivement faire en Normandie, à l’encontre des ennemis de nous et de notre royaume[n 3] ». Le 3 septembre 1371, il fut nommé receveur des douze deniers[8] et fut anobli[n 4] par lettres du 8 mai 1373[9]. Dès le 24 janvier 1378, il était le trésorier de Louis, duc d’Anjou, bien que demeurant à Paris dont il était échevin, le 16 septembre 1380, lors de la mort de Charles V, en son château de Beauté-sur-Marne et à laquelle il assista[10].
Peu après, le 7 décembre de la même année, Louis d’Anjou, oncle de Charles VI, devenu régent le faisait nommer trésorier de France[11],[12]. En 1380, la Reine Jeanne de Sicile ayant adopté Louis d’Anjou comme héritier, Charles de Durazzo envahi le royaume de Naples et fit tuer la Reine Jeanne. Aussitôt Louis d’Anjou envahi la Sicile, encouragé par le pape d’Avignon Clément VII, qui accepta, le 31 mars 1382, d’assigner tous les revenus de la chambre apostolique au duc pendant trois ans. Celui-ci laissa en Avignon Nicolas de Mauregard, son trésorier[n 5], avec un traitement de 2 000 francs et le titre de « trésorier et gouverneur général de toutes ses finances quelles qu’elles fussent[13] ». Les sommes reçues par Nicolas, au nom de Louis d’Anjou, entre le 31 mars 1382 et le 31 mars 1385, atteignaient 715 245 francs[14]. Le 22 janvier 1384, Louis d’Anjou lui faisait don de la somme de mille francs d’or[n 3], mais mourut peu après. Sa veuve Marie de Blois, duchesse d’Anjou, devenue Reine de Sicile, déclarait, par ses lettres du 19 mars 1384, que pour la poursuite de la conquête du royaume de Sicile, « le dit Nicolas nous est nécessaire et prouffitable » et lui demandait de l’accompagner en Provence[n 3]. Le 1er mai 1385, il était toujours en Avignon[15].
De retour au trésor à Paris, il fut nommé, le 5 septembre 1386, avec Jehan Saunier, réformateur du domaine, pour « qu’ilz visitent et réforment noz diz chasteaulx, villes, maisons[n 6] ». Le 1er août 1389, Charles VI lui faisait don de la somme de cinq cents francs d’or[n 3] et, le 11 mars 1390, il fut institué général sur le fait de la finance des aides et reçu, le 19 décembre 1394, général sur la justice des aides[16]. Il resta seize ans à la cour des aides, où il ne manqua que rarement une audience. La dernière où il assista date du 5 février 1407. Il était mort en 1409 et, le 22 avril, sa succession comme général était briguée[17].
A Paris il avait acquis de Gérard Day plusieurs petites maisons plus ou moins en ruines avec jardin, rue Vieille-du-Temple, près de la porte Barbette[18],[19], qu’il fit démolir pour entreprendre, vers 1390, la construction de l’Hôtel Barbette, que termina Jean de Montagu[20].
Il possédait par ailleurs deux arrière fiefs à Sannois et à Belloy[21] ainsi que les fiefs de Champagne[n 7] et de Sansalle[n 8],[n 9].
Famille
modifierNicolas de Mauregard avait épousé en premières noces une certaine Adèle[22], de laquelle il eut sept enfants[n 10] ;
1. Denis de Mauregard, né vers 1362, clerc, bachelier es lois de l’université d’Angers en 1378[23], il fut pourvu d’un canonicat en l’église cathédrale d’Amiens[24]. Devenu licencié, il était, en 1382, secrétaire du duc d’Anjou[25]. En 1386, il était avocat des causes civiles de l’officialité épiscopale du diocèse de Paris[26]. Il devint enfin « chefcier » curé de Saint-Merri, de 1405 à 1414, et mourut en 1425[27].
2. Léonarde de Mauregard, née vers 1364, épousa Bureau de Dampmartin, valet de chambre du Roi[28].
3. Louis de Mauregard, né vers 1366, chambellan du roi Charles VI, fut chevalier de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem et devint le VIe commandeur de la commanderie de Saint-Étienne de Renneville, de 1409 à 1416[29]. En 1412, il était également commandeur des commanderies de Boux et Merlan, dans les Ardennes[30].
4. Jeanne de Mauregard, née vers 1368, fut mariée avec Martin Double, avocat du roi au Châtelet. Elle mourut le 3 octobre 1400 et fut inhumée en la chapelle de l’annonciation de l’abbaye de Saint-Magloire[31].
5. Simon de Mauregard, né vers 1370, clerc, licencié en lois, il représentait la nation de France lors de la confirmation des statuts de l’université d’Angers au mois de juin 1398[32]. Le 2 août 1391, Nicolas, son père, lui donnait procuration pour aller auprès de Marie, Reine de Jérusalem et de Sicile, afin de clore ses comptes en la chambre des comptes d’Angers[n 3]. Il fut religieux en l’abbaye de Saint Germain-des-Près, où il mourut et y fut inhumé, selon le nécrologue de cette abbaye[33].
6. Jeanne de Mauregard, née vers 1375, fut marié avec Pierre Gentien[34], fils de Jean Gentien et de Jeanne Baillet, trésorier de France, général des monnayes, prévôt des marchands en 1411, après la déposition de Charles Culdoé, mort en 1417. Elle lui apporta en dot la seigneurie de Belloy[35]. Elle eut de son mariage trois enfants avec lesquels elle partagea ses biens le 27 octobre 1441.
7. Étienne de Mauregard, né vers 1380, débuta comme notaire et secrétaire du roi Charles VI, dont il signait les lettres dès 1404[36]. En 1411, il succédait à Jean de Chanteprime en la charge de garde du trésor des chartes et prêtait serment le 10 juillet[37]. En 1413, lors de la révolte des Cabochiens, il fut remplacé par Baudes des Bordes[n 11], à qui il dut remettre les clefs du trésor, mais il reprit sa place peu de temps après et, par des lettres du 14 octobre 1414, le roi le nommait au grand conseil[38]. Fervent Armagnac[39],[40],[41], il fut emprisonné après l’entrée des Bourguignons dans la capitale et le 21 août 1418, décapité par le bourreau Capeluche avec d’autres de son parti[42].
Étienne de Mauregard faisait partie de la cour amoureuse[43],[44] et avait épousé Jeanne Poupart[n 12], fille de l’argentier Charles Poupart[45], de laquelle il ne semble pas avoir eu d’enfants.
Veuf en 1385, Nicolas épousa en secondes noces, vers 1387, Gillette Cocatrix[46], vraisemblablement fille de Jean Cocatrix, dit de Bonnes, prévôt des marchands[47] en 1378, de laquelle il eut encore trois enfants ;
8. Nicolas de Mauregard, né vers 1390, écuyer, rendait hommage, le 20 novembre 1438, à Jean de Presle, seigneur de Savigny-sur-Orge, en tant que « fils de sire Nicolas de Mauregard et de damoiselle Gille de Cocquatrix, sa mère » pour le fief du Petit Champagne[n 3]. Il était mort en 1452 et avait eu de son mariage avec une certaine Antoinette, trois fils :
- Nicolas, né vers 1420, écuyer, panetier du Roi, seigneur de Champagne et de Sansalle, était élu de Gisors sur le fait des aides, le 24 novembre 1460[n 3]. Il mourut entre 1481 et 1482 et avait épousé Perette de Rolot[n 13], de laquelle il n’eut pas d’enfants.
- Raymond, né vers 1425, bachelier en décret, fut tué, le 9 mai 1453, à la porte Baudoyer, d’un coup de hache donné par un sergent à verge du Châtelet, alors qu’il revenait de la maison du prévôt de Paris avec le recteur et 800 maîtres et écoliers[48],[49]. Cette affaire fit grand bruit à l’époque et est assez bien documentée[50],[51].
- Jean né vers 1430, vivait au 12 juin 1464 et réclamait à Nicolas de Mauregard, son frère, « le partage et division des biens meubles et immeuble de feu Nicolas de Mauregard, leur père[n 14] ».
9. Catherine de Mauregard, née vers 1392, fut mariée avec Jacques Dessous l’Orme, secrétaire du Roi, duquel elle eut deux enfants : André et Gilles, lesquels vivaient en 1431, lors du testament de Gillette Cocatrix, leur grand-mère[52].
10. Pierre de Mauregard, né vers 1394, bachelier es lois, fut reçu clerc des comptes, le 13 mars 1413 et resta en charge jusqu’au 22 juillet 1418[53]. Il fut vraisemblablement emprisonné à la bastille Saint-Antoine et massacré, le 21 août 1418, avec Étienne, son frère aîné. Il avait épousé, vers 1415, Marguerite de l’Olive, fille aînée de Jean de l’Olive, marchand épicier, bourgeois de Paris, ancien échevin de la ville de Paris, et de Marguerite Orlant, de laquelle il eut deux enfants[n 15] ;
- Charles de Mauregard, né vers 1416, écolier de la nation de France, fut reçu bachelier de la Faculté de médecine de Paris en 1440, puis licencié et maître, le 10 mars 1442. Il fut élu doyen de la faculté en 1443 et 1444, mais ayant épousé une veuve, il fut réputé bigame et la Faculté décida de lui ôter la régence ; Il aurait néanmoins reçu le titre de « regens honoris ». Le 27 novembre 1447, la faculté lui permit de jouir de la plupart des privilèges réservés aux maîtres régents, parmi lesquels il reprit sa place en 1451[54],[55]. En 1468, il fut appelé à l’Hay, près de Bourg-la-Reine, au chevet de Dunois, bâtard d’Orléans, qui mourut le 24 novembre 1468, et reçu treize livres et quinze sols pour « sa paine d’avoir visité feu mondit seigneur en sa maladie[56],[57] ». Il mourut le 26 juillet 1472 et fut enterré aux Saints-Innocents. Il avait épousée Jeanne de Dannes, qui mourut le 13 mai 1487[n 3], et de laquelle il n’eut pas d’enfant[n 16].
- André de Mauregard, né vers 1418, fut reçu clerc des comptes, le 16 mars 1454[58]. Le 1er octobre 1475, il reçut des lettres de provisions de la charge de trésorier et receveur général en Dauphiné, en remplacement de Jean de la Place[59]. Il n’entra en fonction qu’au début de l’année 1476 et le Gallia regia le suit de mois en mois, mentionnant les quittances, les versements par les châtelains et les lettres que lui adressait Louis XI[60]. Il résidait dans la maison de la trésorerie à Grenoble et avait le titre de Châtelain de Montbonnot, près de Grenoble[61]. Il hérita du fief de Bondoufle, mouvant de la seigneurie d’Yerres et en rendit hommage au roi, le 9 décembre 1472[62]. Il épousa en premières noces, le 30 janvier 1453, Anne la Plote[63], fille de Pierre la Plote, grenetier du grenier à sel d’Auxerren3. Anne la Plote dut mourir en 1464. Elle avait eu de son mariage quatre enfants. Veuf d’Anne la Plote, vers 1464, André épousa en secondes noces Michelle Culdoé[n 17], dernière fille de Michel Culdoé, ancien échevin de la ville de Paris, panetier du Roi, et de Jeanne de l’Esclat[n 3]. Elle était morte au 26 mai 1481, lors du testament d’André qui élisait sa sépulture en l’église Saint-André de Grenoble[n 18]. Il mourut le 18 juillet de la même année[64]. Il avait eu de son second mariage six enfants.
Annexes
modifierBibliographie
modifier· Olivier & Philippe de Mauregard, Familles parisiennes notables aux XIVe et XVe siècles, Toulouse, 2013. (ISBN 979-10-90552-14-2)
· Maurice Rey, Le domaine du roi et les finances extraordinaires sous Charles VI (1388 1413), Paris, 1965. [1]
· Roland Delachenal, Histoire de Charles V, Paris, 1909, 5 vol. [2]
· Charles Sellier, Le quartier Barbette, Paris, l899. [3]
· Léon-Louis Borrelli de Serres, Recherches sur divers services publics du XIIIe au XVIIe s., Paris, 1909, 3 vol. [4]
· Noël Valois, La France et le Grand schisme d’Occident, Paris, 1896, 4 vol. [5]
· Jean Favier, Les finances pontificales à l’époque du Grand schisme d’Occident (1378-1409), Paris, 1966. [6]
· Henri Moranvillé, Journal de Jean Le Fèvre, évêque de Chartres, chancelier des rois de Sicile Louis I et Louis II d’Anjou, Paris, 1887, T. I (seul paru). [7]
· Léon Dessalles, Le Trésor des Chartes, sa création, ses gardes et leurs travaux, depuis l’origine jusqu'en 1582, Mémoires présentés par divers savants à l’Acad. Royale des Inscrip. et Belles-Lettres de l’Institut de France, Première série, T. I, 1844, p. 365. [8]
Article connexe
modifier· Commanderie de Saint-Étienne-de-Renneville
Notes et références
modifierNotes
modifier- « Idus. Notandum de anniversario Johanne la Flamenge, matris N. de Mauregart, non assignatum ».
- Bibl. Nat., Ms. Fr., n° 6220 ; Bibl. Nat., Ms. Fr., n° 6736 ; Arch. Nat., KK 283.
- Bibl. Nat., P.O. 1898, de MAUREGART, Dossier 43727.
- Arch. Nat., JJ 115, n° 320.
- Ces lettres de Louis d’Anjou, datées d’Avignon, le 2 avril 1382, sont transcrites au milieu des bulles de Clément VII. Arch. Vatican, Reg. Avenion, XXVII, Clementis VII, fol. 17 r°.
- Arch. Nat. JJ 131, fol. 8, Ord. VII, fol. 157.
- Ferme de Champagne, c. de Savigny-sur-Orge, 91600.
- Sansalle près de Brie-Comte-Robert, 77170.
- Arch. Dép. de Seine-et-Marne, E 1144
- Bibl. Nat. Clairambault 763, fol. 263.
- Arch. Nat., Table des mémoriaux de la chambre des comptes, T. II, inv. du reg. coté H, p. 3 et 4.
- Essai sur les seigneurs de Villemomble (http://bondy-histoire.chez-alice.fr/Abondy/sgrVill.htm) ; La famille Bureau, seigneur de Montfermeil et Villemomble (http://jf-coutel.com/pontonnier93.fr/bondy2012/Abondy/Les_familles_Bureau.html)
- Bibl. Nat. Clairambault 764, f° 238 et 289.
- Bibl. Nat. Clairambault 763, f°. 418.
- Arch. Nat., X1a 65, fol. 246 B.
- Arch. Dép. de Seine et Oise, A. 1267.
- Bibl. Nat. Clairambault 764, f° 238.
- Arch. Dép. de l’Isère, B 2905, fol. 10 v° ; Ibid., Ms., n° 4, fol. 24 (copie B 2905, fol. 10), Calendrier de la chambre des comptes, fol. 25 v°.
Références
modifier- Henri Omont, La grande confrérie Notre-Dame aux prêtres et aux bourgeois de Paris, Mém. de la Soc. de l’Hist. de Paris et d’Ile de France, (lire en ligne), p. 40
- Hercule Géraud, Paris sous Philippe le Bel, Paris, Impr. de Crapelet, (BNF 37562905, lire en ligne), p. 57
- Karl Michaëlsson, Le livre de la taille de Paris de 1296, Göteborg, Erlanders, (BNF 33462020), p. 70 et 170
- Karl Michaëlsson, Le livre de la taille de Paris de 1297, Göteborg, Erlanders, (BNF 33128618), p. 68 et 141
- Karl Michëlsson, Le livre de la taille de Paris, l'an de grâce 1313, Göteborg, Wattergren og Kerber, (BNF 32448049), p. 75, 156 et 252
- Maurice Rey, Les finances royales sous Charles VI : les causes du déficit, 1388-1413, Paris, Impr. nationale, (BNF 36252689), p. 447
- Philippe Contamine, Guerre, État et société à la fin du Moyen âge : études sur les armées des rois de France, 1337-1494, Paris, Mouton, (BNF 35371691), p. 147 (note)
- Dessalles, Rançon du roi Jean : compte de l'aide imposée pour la délivrance de ce prince, levée sur les prévôté, vicomté et diocèse de Paris par les mains de Jean le Mire pendant une année, commençant le 17 août 1369 et finissant le même jour 1370., Paris, 1850, Impr. de Crapelet, coll. « Extrait des "Mélanges de la Société des bibliophiles français", 1850 » (BNF 33563333), p. 40
- François Godet de Soudé, Henri Gourdon de Genouillac et Louis Paris, Dictionnaire des anoblis 1270-1868, Paris, Bachelin Deflorence, (BNF 41629115), p. 267
- Noël Valois, Le Rôle de Charles V au début du grand schisme (8 avril-16 novembre 1378), Paris, Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, (BNF 34381800, lire en ligne), p. 251-255
- Léon-Louis Borrelli de Serres, Recherches sur divers services publics du XIIIe au XVIIe siècle, Paris, A. Picard et fils, , 3 vol. (BNF 34064611), t. III, p. 117
- Gustave Dupont-Ferrier, Le personnel de la cour du trésor (1390-1520), Paris, Renouard, coll. « Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France », (BNF 34381800, lire en ligne), p. 232
- Noël Valois, La France et le Grand schisme d’Occident, Paris, A. Picard et fils, , 4 vol. (BNF 34044632, lire en ligne), t. II, p. 26
- Jean Favier, Les finances pontificales à l'époque du Grand Schisme d'Occident, 1378-1409, Paris, E. de Boccard, (BNF 33003902), p. 624
- Henri Moranvillé, Journal de Jean Le Fèvre, évêque de Chartres, chancelier des rois de Sicile Louis Ier et Louis II d'Anjou, Paris, A. Picard, (BNF 36040452), p. 138
- Gustave Dupont-Ferrier, Etudes sur les institutions financières de la France à la fin du Moyen-âge, Paris, Firmin-Didot, , 2 vol. (BNF 41642134), t. I, p. 257
- Gustave Dupont-Ferrier, Le personnel de la Cour ou Chambre des Aides à Paris des origines à 1483, Paris, Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, (BNF 34381800, lire en ligne), p. 296
- Charles Sellier, Monographie historique et archéologique d'une région de Paris. Le quartier Barbette, Paris, A. Fontemoing, (BNF 31349651, lire en ligne), p. 179
- Henri Sauval, Histoire et recherches des antiquités de la ville de Paris, Paris, C. Moette, , 3 vol. (BNF 31304483, lire en ligne), t. III, p. 282
- Jean Favier, Nouvelle histoire de Paris, Paris au XVe siècle, 1380-1500, Paris, Association pour la publication d'une histoire de Paris, (BNF 34571875), p. 111
- « Inventaire des archives anciennes du château de Chantilly », sur Bibliothèque du Musée Condé, p. 360, 371, 380 et 472
- Pierre-Élie-Marie Labbey de La Roque, Recherche faite en 1540 par les élus de Lisieux, des nobles de leur élection ; avec des notes, des remarques et des tables, Caen, Impr. de F. Poisson, (BNF 36404468), p. 51
- Marcel Fournier, Les Statuts et privilèges des Universités françaises, depuis leur fondation jusqu'en 1789, Paris, L. Larose et Forcel, , 4 vol. (BNF 33851872), t. III, p. 504
- Hugues Labarthe, « Un espace de documentation consacré aux Acteurs, Espaces et Polémiques du Grand Schisme d’Occident (1370-1430) en Gascogne et en Europe »
- Henri Gilles, La vie et les œuvres de Gilles Bellemere, Paris, Bibliothèque de l'École des chartes, (lire en ligne), p. 74
- Joseph Petit, Registre des causes civiles de l'Officialité épiscopale de Paris, 1384-1387, Paris, librairie E. Leroux, (BNF 37568577, lire en ligne), p. 349 et 352
- Abbé Constant Baloche, Église Saint-Merry de Paris : histoire de la paroisse et de la collégiale, 700-1910, Paris, , 2 vol. (BNF 34219523, lire en ligne), t. I, p. 60 et 63
- Hélène Loyau, Bureau de Dammartin, dans Pratiques de la culture écrite en France au XVe siècle, Louvain-la-Neuve, Actes du Colloque international du CNRS Paris, 16-18 mai 1992, (ISBN 978-2-503-57669-5, lire en ligne), p. 245-278
- Abbé Charles Guéry, Les commanderies dans le département de l’Eure (Renneville, Chanu, Bourgoult), Evreux, impr. de l'Eure, (BNF 30553085), p. 78 et 79
- Eugène Mannier, Ordre de Malte : les commanderies du Grand-Prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Paris, A. Aubry : Dumoulin, (BNF 30872758), p. 301 et 446
- Anne Terroine et Lucie Fossier, Chartes et documents de l'Abbaye de Saint-Magloire, Paris, Éditions du Centre national de la recherche scientifique, , 3 vol. (BNF 34703304), t. III, p. 780
- Denis-François Secousse, Ordonnances des rois de France de la troisième race, Paris, Impr. royale, , 21 vol. (BNF 36046179, lire en ligne), t. VIII, p. 238, 248, 250 et 251
- Dom Jacques Bouillart, Histoire de l'abbaye royale de Saint Germain des Prez, Paris, chez Gregoire Dupuis, ruë Saint Jacques, près Saint Benoist, à la Couronne d'or, (BNF 30140630, lire en ligne), p. CXXVII
- Père Anselme de Sainte-Marie et Pol Potier de Courcy, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, Paris, par la Compagnie des libraires, 1726-1881, 11 vol. (BNF 33984918), t. IX, 2e partie, p. 1030
- Auguste Longnon, Paris pendant la domination anglaise (1420-1436) : documents extraits des registres de la Chancellerie de France, Paris, H. Champion, (BNF 37470092, lire en ligne), p. 159
- Alexandre Germain, Histoire du commerce de Montpellier antérieurement à l'ouverture du port de Cette, Montpellier, impr. de J. Martel aîné, , 2 vol. (BNF 30500269, lire en ligne), t. II, p. 326
- Félix Ravaisson, Rapport adressé à S. Exc. le ministre d'Etat, au nom de la commission instituée le 22 avril 1861, Paris, impr. de E. Panckoucke, (BNF 31180904, lire en ligne), p. 239
- Léon Dessalles, Le Trésor des Chartes, sa création, ses gardes et leurs travaux, depuis l’origine jusqu'en 1582, Paris, Mémoires présentés par divers savants à l'Académie des inscriptions et belles-lettres de l'Institut de France, (BNF 32813503, lire en ligne), p. 429 à 436
- François Morand, Chronique de Jean Le Fèvre, seigneur de Saint-Rémy, Paris, Renouard : H. Loones, , 2 vol. (BNF 33999145, lire en ligne), t. I, p. 305
- Prosper Brugière baron de Barante, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477, Paris, Ladvocat, , 12 vol. (BNF 30052938, lire en ligne), t. IV, p. 309
- Louis Douët-d'Arcq, La chronique d'Enguerran de Monstrelet [Texte imprimé] : en deux livres, avec pièces justificatives : 1400-1444, Paris, Vve de J. Renouard, , 6 vol. (BNF 30966602, lire en ligne), t. III, p. 64, 66, 77 et 201 ; t. VI, p. 137, 156 et 176
- Michel Pintoin, Chronique du religieux de Saint-Denys : contenant le règne de Charles VI, de 1380 à 1422 / publ. en latin pour la première fois et trad. par M. L. Bellaguet ; précédée d'une introd. par M. de Barante, Paris, Impr. de Crapelet, , 6 vol. (BNF 37563767, lire en ligne), t. VI, p. 265
- Arthur Piaget, La cour amoureuse dite de Charles VI, Paris, coll. « Romania : recueil trimestriel consacré à l'étude des langues et des littératures romanes » (no XX), (BNF 34349239, lire en ligne), p. 442
- Carla Bozzolo et Hélène Loyau, La Cour amoureuse, dite de Charles VI, Paris, le Léopard d'or, , 3 vol. (BNF 36657428), t. III, p. 223
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