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Oued Athmania

commune d'Algérie

Oued Athmania est une commune de la wilaya de Mila en Algérie. En 2009, elle comptait 45 039 habitants dont 24 810 d'entre-eux vivant intra-muros. La ville est située à mi-chemin entre Mila et Constantine et est arrosée par l'oued du même nom.

Oued Athmania
Drapeau de Oued Athmania
Drapeau
Noms
Nom arabe وادي العثمانية
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
Wilaya Mila
Daïra Chelghoum Laïd
Président de l'APC
Mandat
M. Sami Benhafed
2022-2027
Code postal 43240
Code ONS 4304
Démographie
Population 45 039 hab. (2009[1])
Densité 165 hab./km2
Géographie
Coordonnées 36° 14′ 59″ nord, 6° 17′ 10″ est
Altitude Min. 663 m
Max. 1 268 m
Superficie 273,45 km2
Localisation
Localisation de Oued Athmania
Localisation de la commune dans la wilaya de Mila.
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Oued Athmania
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Oued Athmania
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Oued Athmania

Abritant les bains antiques de Pompeianus, le site thermal était un important point de passage pour les Romains. Petite bourgade fondée à l'époque coloniale, elle était un centre notable de la région, notamment desservie par sa gare reliée à Constantine. Depuis le XXe siècle, Oued Athmania abrite un important barrage hydraulique alimentant en eau les communes aux alentours.

Géographie

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Localisation

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La commune de Oued Athmania est située à l'est de la wilaya de Mila, elle même située dans l'Est algérien.

 
Carte de la commune avec localisation du chef-lieu.

La commune est limitrophe de communes appartenant soit à la wilaya de Mila, que sont Oued Seguen, Teleghma, Chelghoum Laïd, Aïn Mellouk et Sidi Khelifa, soit à la wilaya de Constantine, que sont Ibn Ziad et Aïn Smara.

En termes de distance à vol d'oiseau avec les chefs-lieux des subdivisions administratives dont fait partie la commune, celle-ci est située à 14 km au nord-est de Chelghoum Laïd (Daïra de Chelghoum Laïd) et à 22 km au sud de Mila (Wilaya de Mila). Aussi, la commune est située à 32 km au sud-ouest de Constantine, troisième ville la plus peuplée du pays.

Reliefs et hydrographie

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La commune est arrosée par l'oued Rhummel ainsi que deux affluents principaux, l'oued Athmania et l'oued Bouykour. Elle compte deux barrages fluviaux : le barrage de Hammam-Grouz en aval de l'oued Rhummel d'une capacité de 45 millions de m3 et le barrage-réservoir de Bled Youcef d'une capacité de 33 millions de m3 alimenté par le barrage de Beni Haroun grâce à un tunnel de montagne de 6 km[2].

Le territoire de la commune est considéré comme relevant d'un climat semi-aride[3] dont les hivers sont froids à doux et les étés chauds et secs[4].

Tableau climatologique d'Oued Athmania (1991 - 2021).
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,5 4,1 6,9 10,6 15,2 18,5 18,5 15,3 11,5 6 2,7 9,3
Température moyenne (°C) 5,9 6,3 9,7 13 17,1 22,2 26 25,4 20,9 16,8 10,5 6,9 15,1
Température maximale moyenne (°C) 11,3 11,9 15,8 19,5 23,9 29,5 33,8 32,9 27,4 22,8 15,7 12 21,4
Ensoleillement (h) 172,8 201,5 244,9 282,1 325,5 381,3 391,3 362,7 300,7 254,2 198,4 173,6 3 233,1
Précipitations (mm) 46 42 49 52 51 19 9 21 32 36 41 45 443
Source : « Weather by month // weather averages Oued Athmania », sur Climate Data (consulté le ).


Urbanisme

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Typologie

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Le territoire de la commune est essentiellement rural. Les deux principales aires urbaines sont celles du chef-lieu, Oued Athmania, et de Djebel Aougeb.

Historiquement, Oued Athmania s'est développée autour de l'ancienne Route Nationale, qui correspond aujourd'hui en partie à la Route nationale 5A (N5A). Depuis la fin du XXe siècle, la ville s'étend essentiellement vers le nord-ouest.

Lieux-dits, quartiers et hameaux

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En plus de l'agglomération d'Oued Athmania (22 988 habitants en 2008), la commune compte quatre autres agglomérations secondaires : Djebel Aougueb, qui était une commune autonome avant sa fusion avec Oued Athmania en 1963, Bled Youcef, Ouled Kassah et Boumalek.

 
Agglomérations de la commune de Oued Athmania

Voies de communication et transports

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Réseau routier

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La commune bénéficie de trois axes routiers majeurs. Le plus important est l'autoroute A2, ouverte en 2013, qui permet de relier la ville-centre à Alger et Constantine, en complément de la route nationale 5, ouverte au XXe siècle et principale voie du village coloniale. La route nationale 5BA offre une desserte nord-sud, notamment vers Sidi Khelifa et, par le biais de la route nationale 79, vers Mila, chef lieu de la wilaya.

Les deux routes départementales W115 et W134 relient quant à elles la ville-centre aux autres agglomérations de la commune et aux communes limitrophes de Aïn Melouk et d'Ibn Ziad.

Réseau de transport urbain

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Le 8 décembre 2024, la wilaya et la commune annoncent dans un communiqué la mise en place d'un réseau de bus urbain, composé de deux lignes reliant les sources thermales aux quartiers nord et nord-est de la ville-centre. Le matériel roulant comprend deux bus par ligne. Aussi, le même communiqué précise que quatre taxis collectifs et 25 taxis individuels viennent compléter l'offre de transport.

Toponymie

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Historique des appellations

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Les appellations du lieu au cours des siècles précédents sont nombreuses et variées.

Durant la conquête de l'Algérie par la France, concernant les années 1830 à 1850, plusieurs toponymes semblables ou associés au nom de la ville actuelle sont attestés par la cartographie française :

  • El Etmania et Etmania entre 1836[5] et 1840 ;
  • El Elmania ou Elmania entre 1837[6] et 1847[7] ;
  • Drat el Thabat, Dra el Thabat ou Dra el Thabal entre 1837[6] et 1844[8], du nom d'un cours d'eau se situant au même lieu que l'actuel oued Bouykour ;
  • El Elmana en 1840[9] ;
  • Hammam Guérous, Hammam Gérou ou Hammam Grouz (Grous[10] ou Grouss[11]) entre 1841[12] et 1848[13] ;
  • Ouad el Atmaniia ou Atmaniia entre 1844[14] et 1847[15] ;
  • Oued Tesmania en 1851[11] ;
  • Oued el Eutmania et Oued bou Erkour (ancienne appellation de l'oued Bouykour) en 1853[10].

Antérieurement à l'instauration de la commune, excepté les noms déjà cités ci-dessus, on observe dans les ouvrages l'utilisation de l'Atmânïa[16] ou encore Oued Atmania[17].

Depuis que le village est devenu une commune, celui-ci porte le nom officiel de Oued-Athménia, mais des variantes coexistent telles que Oued Athménia, Oued Athmenia ou, archaïquement, Oued Atménia. Parfois, avant les années 1910, un déterminant précède le nom de la commune (l'Oued Athménia par exemple).

À l'indépendance de l'Algérie, le nom est modifié au profit de Oued Athmania. Toutefois la variante Oued Athmenia est encore utilisée.

Étymologie

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Oued Athmania signifie littéralement en arabe « vallée (ou rivière) ottomane ». Cependant, étymologiquement, l'origine du mot proviendrait du nom latin Turres Ameniae, ancienne localité romaine située à proximité de la ville actuelle. Turres signifie « tours », on peut y voir une référence aux bains de Pompeianus, où des tours entouraient une villa romaine. Quant au mot Ameniae, il proviendrait de Aman signifiant « eau » en berbère[18], probablement en lien avec les sources thermales présentes sur le site depuis l'Antiquité.

Histoire

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Les bains de Pompeianus

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Le site abrite les ruines des bains romains de Pompeianus (Balneum Pompeianum en latin), situé à quelques kilomètres à l'ouest du chef-lieu. Découvert en 1872[19], l'ouvrage est classé monument historique en 1889[20], puis figure en tant que monument classé par le Ministère de la Culture algérien depuis 1968. Les derniers bâtiments ont été érigés sous le Bas-Empire.

Le domaine est celui d'une villa fortifiée, flanquée de plusieurs tours. Elle est composée de bains, jardins et de plusieurs habitations. L'édifice s'apparente ainsi à un château, en plus d'être un lieu de loisirs.

Les bains avaient une architecture unique contenant, entre autres, des mosaïques dessinées[19]. De larges et luxueuses écuries de course et des mangeoires pour les Barbe y sont représentés, les équidés disposent chacun d'un espace individuel. Cela démontre l'importance du cheval pour les populations locales de l'Antiquité[21],[22].

D'un lieu de passage à une ville

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Oued-Athménia (au nord-ouest) et les communes voisines en 1929.

Au XIXe siècle, la tribu chaouie des Abd-en-Nour peuple une zone s'étendant d'Oued Athmania à Sétif[23],[24]. D'un point du vue économique et commercial, l'Athmania est à la fin de la période ottomane, concernant la région du Tell, le principal marché de l'est algérien, par le biais de sa foire annuelle[16].

Dans les années 1840, la région est sujette à une politique de colonisation européenne[25]. C'est à cette période que le village est fondé sur l'emplacement d'un ancien caravansérail[23].

Le 18 septembre 1862, un violent orage provoque de fortes inondations. Les dégâts sont importants, de nombreuses tentes et gourbis ainsi que plusieurs ponts sont détruits, le caravansérail est touché et le nombre de morts s'élèverait à une centaine[24].

 
Ancienne gare de Oued-Athménia

Oued-Athménia devient une commune de plein exercice le [26]. Le village se dote progressivement d'infrastructures notables. En 1896[27], dans le cadre de politiques de santé, un hôpital communal est construit, il s'agit de l'un des neuf hôpitaux coloniaux dont dispose le département de Constantine au début du XXe siècle ; trois autres hôpitaux coloniaux étant en construction, portant le nombre à douze à la veille de la Seconde Guerre mondiale[28]. Une justice de paix dépendante du tribunal civil de Constantine siège également dans la commune[29]. Un projet de barrage est même envisagé en 1907[30]. Le 1er septembre 1931, la ligne de chemin de fer Constantine – Oued-Athménia est inaugurée. Toutefois, faute d'un rendement jugé suffisant, le trafic voyageur cette même ligne est fermé le 15 septembre 1937[31].

Démographie

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Évolution démographique

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Évolution démographique (élargissement territorial depuis 1963)
1867 1884 1892 1896 1897 1902 1906 1921 1977
1 3145 3266 3586 3436 3385 9167 5337 63721 500
1987 1998 2008 2009 - - - - -
28 38635 93440 68845 039-----
(Source : recensement [32],[33],[34],[35],[36],[37],[38],[39])
Évolution démographique (élargissement territorial depuis 1963)
Sources : voir dans le tableau ci-dessus.

Pyramide des âges

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Pyramide des âges de la commune en 2008 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,39 
80 ans et +
0,44 
1,25 
70 à 79 ans
1,20 
2,16 
60 à 69 ans
2,20 
3,44 
50 à 59 ans
3,49 
5,80 
40 à 49 ans
5,57 
7,10 
30 à 39 ans
7,16 
10,45 
20 à 29 ans
10,66 
10,72 
10 à 19 ans
10,45 
8,81 
0 à 9 ans
8,70 
Pyramide des âges de la wilaya de Mila en 2008 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,44 
80 ans et +
0,43 
1,25 
70 à 79 ans
1,19 
1,96 
60 à 69 ans
2,01 
3,48 
50 à 59 ans
3,42 
5,23 
40 à 49 ans
5,35 
6,73 
30 à 39 ans
6,83 
10,89 
20 à 29 ans
10,58 
11,36 
10 à 19 ans
11,05 
9,05 
0 à 9 ans
8,70 








Administration

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Période Identité Étiquette Qualité
    Makhloufi Nouar    
  2022 Omar Kedida    
2022 2027 Sami Benhafed    
Les données manquantes sont à compléter.

Économie

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Secteurs d'activités

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L'économie de la ville est centrée sur son important barrage hydraulique, le barrage de Hammam-Grouz[42], qui dessert en eau tout le sud de la wilaya[43] et permet une croissance rapide des entreprises des secteurs de l'agro-alimentaire et de l'agriculture. L’agglomération de Bled Youssef détient aussi son propre barrage.

Ainsi, le secteur de l'agro-alimentaire de la commune, connue pour la qualité de ses viandes, dessert le marché national algérien ; la wilaya de Mila est d'ailleurs la première productrice nationale dans le domaine de l'aviculture en 2017[44]. Le bassin laitier de la municipalité (s’étendant jusqu'à Chelghoum Laïd et Tadjenanet), d'où provient plus de la moitié du lait récolté dans la wilaya (21 sur 39 millions de litres durant la saison 2015-2016) est l'un des plus importants du pays ; la laiterie Grouz, acteur majeur du bassin, produit plus d'un million de litre de lait par mois[45] et couvre l'essentiel des besoins de la région en lait en sachet (de l'ordre de 63 % en 2014)[46].

Société et services publics

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Hammams

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De nombreux hammams sont présents dans la ville. Elle contient d'ailleurs l'une des quatre-vingt-dix sources thermales répertoriées en Algérie[47].

La ville accueille plusieurs clubs sportifs dans des disciplines diverses : un club de football amateur, l'Union sportive Oued Athmenia (USOA) ; deux clubs de handball : le Chabab Riadhi Oued Athmania (CROA) et le Wifak Oued Athmania (WOA) ; et un club de volley-ball, le NR Oued Athmania (NROA).

Transports

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La commune est desservie par l'autoroute Est-Ouest A1 qui passe au sud avec une sortie à 2 km du centre-ville et la RN5 qui passe au nord.

Notes et références

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  1. « Wilaya de Mila : Evaluation de la qualité des cours d'eau de la commune d'Oued Athmenia ».
  2. http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2007/12/18/article.php?sid=62302&cid=4
  3. Ferrah Soheyb, Étude du périmètre Oued Athmania (250 ha) à partir d'un piquage (Mémoire de fin d'études pour l'obtention du diplôme d'ingénieur d’État en Hydraulique), , 106 p. (lire en ligne), p. 12
  4. Redha Benchaabane, Évaluation de la qualité des cours d'eau de la commune d'Oued Athmenia (mémoire de master en Écologie fondamentale et appliquée), , 57 p., p. 12
  5. C. Dupuy, « Carte d'une partie de la province de Constantine », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  6. a et b Jean-Jacques-Germain Pelet, « Carte d'une partie de la province de Constantine », (consulté le )
  7. Auguste-Henri Dufour, « Carte de l'Algérie et d'une partie de la Méditerranée indiquant le rapport qui existe entre l'Afrique et l'Europe », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  8. Auteur inconnu, « Alger et Maroc », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  9. E. Petitville, « Carte de l'Afrique française », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  10. a et b Schièble Erhard, « Carte topographique des environs de Constantine d'après les levés et les reconnaissances des Officiers d'État-major et autres documents », sur Gallica, (consulté le )
  11. a et b Regnier et Dourdet, « Carte des étapes de la province de Constantine », sur Gallica, (consulté le )
  12. Jean-Jacques-Germain Pelet, « Carte de la province de Constantine / dressée au Dépôt général de la guerre, sous la direction de Mr le lieut[enan]t général Pelet, d'après les levés et les reconnaissances des officiers d'État-major de l'armée d'Afrique, les renseignemens recueillis par eux et les cartes de la Marine », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  13. Antoine-Remy Frémin, « Carte physique de l'Algérie ou Afrique française comprenant la partie septentrionale de l'empire de Maroc, la régence de Tunis, une partie du bassin de la Méditerranée et la région orientale du royaume d'Espagne », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  14. J. Andriveau-Goujon, « Carte du Nord-Ouest de l'Afrique comprenant l'empire de Maroc, l'Algérie et la régence de Tunis », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  15. Antoine-Remy Frémin, Ch. Leclercq et Isidore Dalmont, « Carte générale de l'Algérie comprenant l'empire de Maroc de la régence de Tunis dressée d'après les derniers documents », sur gallica.bnf.fr, (consulté le )
  16. a et b Prosper Mauroy, Du commerce des peuples de l'Afrique septentrionale dans l'antiquité, le moyen âge et les temps modernes, comparé au commerce des Arabes de nos jours : ouvrage faisant suite à la "Question d'Alger en 1844", Paris, Comptoir des Imprimeurs-Unis, , 191 p. (lire en ligne), p. 166
  17. Académie d'Hippone, Bulletin de l'Académie d'Hippone, essai d'un catalogue minéralogique algérien, Bône (ex-Annaba), Imprimerie Dagand, , 228 p. (lire en ligne), p. 26
  18. Arthur Pellegrin, « La toponymie de l'Algérie », sur alger-roi.fr, (consulté le )
  19. a et b Éric Morvillez, Les mosaïques des bains d'Oued Athmenia (Algérie) : les calques conservés à la médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, Société nationale des Antiquaires de France, (lire en ligne), p. 304-322
  20. Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts, direction des Beaux-arts., Monuments historiques. Loi et décrets relatifs à la conservation des monuments historiques. Liste des monuments classés., Paris, Imprimerie nationale, , 90 p. (lire en ligne), p. 88
  21. Édouard-Frédéric Beaudouin, Les grands domaines dans l'Empire romain d'après des travaux récents, Paris, Larose et Forcel, , 358 p. (lire en ligne), p. 28
  22. Lucien Guillot, Le Cheval dans l'art, Paris, Le Goupy, , 220 p. (lire en ligne), p. 97
  23. a et b Louis Piesse, Algérie et Tunisie, Paris, Hachette, , 662 p. (lire en ligne), p. 245
  24. a et b Société archéologique, historique et géographique du département de Constantine, Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique de la province de Constantine, Constantine, L. Arnolet, , 298 p. (lire en ligne), p. 137 et 144
  25. Azéma de Montgravier, Projets de colonisation pour les provinces d'Oran et de Constantine., Paris, Imprimerie royale, , 242 p. (lire en ligne), p. 231
  26. FranceArchives, « Oued-Athménia »
  27. Office central des œuvres charitables, La France charitable et prévoyante : tableaux des oeuvres et institutions des départements, Paris, Plon, , 11 p. (lire en ligne), p. 9
  28. Société archéologique de Constantine, Constantine, son passé, son centenaire (1837-1937), Constantine, Éditions Braham, , 490 p. (lire en ligne), p. 420 et 422
  29. Ali Hacène, Précis de procédure musulmane : manuel contenant les attributions des tribunaux français d'Algérie en matière musulmane (territoire civil et Kabylie), Alger, La Maison des livres, , 119 p. (lire en ligne), p. 117
  30. Gouvernement général de l'Algérie, Projet d'un nouvel emprunt, Alger, Imprimerie de V. Heintz, , 367 p. (lire en ligne), p. 71
  31. « La réorganisation des transports en Algérie », La Croix,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  32. Indicateur général de l'Algérie : description géographique, statistique et historique de chacune des localités des trois provinces (3e édition), Victor Bérard, 1867, p.365
  33. (en) the People's Democratic Republic of Algeria - Mila(Geohive)
  34. Tableau général ... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) : avec indication du chiffre de la population et de la superficie / Gouvernement général de l'Algérie, Direction générale des affaires civiles et financières - 1884, p.63
  35. Tableau général ... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) : avec indication du chiffre de la population et de la superficie / Gouvernement général de l'Algérie, Direction générale des affaires civiles et financières - 1892, p.169
  36. Tableau général ... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) : avec indication du chiffre de la population et de la superficie / Gouvernement général de l'Algérie, Direction générale des affaires civiles et financières - 1897, p.132
  37. Tableau général ... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) : avec indication du chiffre de la population et de la superficie / Gouvernement général de l'Algérie, Direction générale des affaires civiles et financières - 1902, p.143
  38. La Situation financière des communes en ... / présentée par M..., Directeur de l'administration départementale et communale à M..., Ministre de l'intérieur -Nancy (Paris)-1878-1939, p.234
  39. Evolution des populations et des limites communales, Office national des statistiques - (Alger) - 1979-1989, p.75
  40. Wilaya de Mila — Population résidente par age et par sexe par commune.. Consulté le 19 novembre 2022.
  41. Wilaya de Mila — Population résidente par age et par sexe par commune.. Consulté le 19 novembre 2022.
  42. Kamel Bouabdellah, « Les eaux du barrage Grouz mises à contribution », Liberté,‎ (lire en ligne)
  43. Abdelmadjid M'haïmoud, « Une récolte d'un million de quintaux d'ail espérée », sur lesoirdalgerie.com, (consulté le )
  44. Kamel Bouabdellah, « Des avancées remarquables », sur elwatan.com, (consulté le )
  45. APS, « Un bassin laitier prometteur à Oued El Athmania », sur aps.dz, (consulté le )
  46. Kamel BOUABDELLAH, « Vers la création d'une école de formation dans les métiers du lait », sur liberte-algerie.com, (consulté le )
  47. Malek Chebel, Dictionnaire amoureux de l'Algérie, éditions Plon, , 501 p. (lire en ligne), p. 73