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Oupia

commune française du département de l'Hérault

Oupia (en occitan Opian) est une commune française située dans le sud-ouest du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Oupia
Oupia
Place de l'Église.
Blason de Oupia
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes du Minervois au Caroux
Maire
Mandat
Laurie Gomez
2020-2026
Code postal 34210
Code commune 34190
Démographie
Gentilé Oupianais
Population
municipale
263 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 27″ nord, 2° 46′ 02″ est
Altitude 95 m
Min. 50 m
Max. 295 m
Superficie 9,04 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Narbonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Oupia
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Oupia
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Oupia
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Oupia

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par divers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Oupia est une commune rurale qui compte 263 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 582 habitants en 1926. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Oupianais ou Oupianaises.

Géographie

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Localisation

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La commune est limitrophe du département de l'Aude.

 
Carte

Communes limitrophes

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Communes limitrophes d’Oupia[1]
Beaufort Aigne Mailhac
(Aude)
  Pouzols-Minervois
(Aude)
Olonzac Paraza (Aude)
(par un quadripoint)

Géologie et hydrographie

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Ancrée au cœur du Minervois essentiellement calcaire, Oupia est adossée au pied de la Serre, colline arrondie du tertiaire couverte d'une végétation de garrigue.

Le village s'ouvre vers le sud-ouest, dominant une vaste plaine de dépôts alluvionneux parcourue par le canal du Midi.

Voies de communication et transports

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À proximité de la voie routière Béziers-Carcassonne.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 649 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 2,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lézignan-Corbières à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 15,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 678,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[8] : la « serre d'Oupia » (745 ha), couvrant 4 communes dont deux dans l'Aude et deux dans l'Hérault[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Oupia est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,3 %), forêts (29,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Oupia est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels

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Oupia est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[13].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oupia.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 76 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 229 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 229 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997 et 1999.

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Risque particulier

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L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[17]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[18].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Oupia est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[19].

Héraldique

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Les armes d'Oupia se blasonnent ainsi : d'argent à un mont de sinople chargée d'une rose du champ, au chef d'azur chargé d'un soleil d'or posé au canton dextre du chef[20].

Histoire

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Matrice du compoix de 1774.

De nombreux vestiges attestent d'une occupation très ancienne ; on trouve ainsi de grands ensembles mégalithiques de la Roque Jalabert et les restes de tombes de l’époque gallo-romaine sinon moyenâgeuse au centre même du village. Tout au long de son cheminement historique, Oupia et ses gens du Minervois ont dû affronter les vicissitudes des guerres et des influences, d'abord romaine en s'ouvrant à la civilisation, puis barbare avec les Wisigoths. Oupia fut miraculeusement épargné à la fois par les conquérants de Simon de Montfort et par la lutte partisane des gens de la ligue et des Huguenots en fin de XVIe siècle. Ainsi, si la commune tire son épingle du jeu jusque sous l'Empire, elle n'en paie pas moins un lourd tribut sous forme de réquisitions d'hommes, de biens et de services divers. Le village comme tant d'autres du Midi soutient et participe à des évènements tels « La Révolte des Gueux » de 1907 et les grandes guerres.

Rattaché au comté de Toulouse sous Charlemagne, Oupia dépend dès 1146 du vicomte de Carcassonne (Trencavel) qui, à son tour entre dans le giron de la Couronne de France (1210-1220). À partir du XVe siècle, les seigneurs de Sainte-Colombe administrent le village, aidés au XVIIe siècle de Consuls. La Révolution partage le Minervois ; Oupia est depuis lié à l’Hérault par la sous-préfecture de Saint-Pons. Entretemps, la communauté subit la peste de 1652. Les rues sont pavées dès 1734, le pont élargi avec les matériaux de la démolition de portail du fort en 1836. Depuis le milieu du XXe siècle, la population ne cesse de décroître, passant de plus de 500 habitants à moins de 300.

Monuments

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Oupia possède un authentique château contemporain de ceux de Lastours et de Minerve de XIIe siècle. Il a subi des transformations notamment au XVIe siècle, mais il reste encore des vestiges apparents de ses limites (mur de la placette entre autres) ; l'ensemble architectural n'a guère été modifié du fait que cette bâtisse a été continuellement habitée. Oupia possède également deux églises, une du XVIIIe siècle dont la plus importante, dédiée à saint Étienne, sur la place du village, de style gothique, abrite une pierre d'autel datée du Ve siècle et une cuve baptismale en grès découverte à côté de tombes gallo-romaines. L'autre plus modeste du XVIIe siècle, Notre-Dame-des-Oliviers représente au milieu du cimetière, la mémoire des disparus.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1794 Philippe Sénégas    
1794 1796 Pierre Miquel    
1796 1798 Jean Marty    
1798 1813 Jacques Segonne    
1813 1821 Joseph Segonne    
1821 1832 Jacques Segonne    
1832 1835 Jean Baptiste Gaétan Merle    
1835 1840 Antoine Tarbouriech    
1840 1848 Jacques Segonne    
1848 1849 Marc Francès    
1849 1869 Jacques Segonne    
1869 1874 Philippe Tarbouriech    
1874 1876 Jean Baptiste Merle    
1876 1877 Pierre Antoine Francès    
1877 1878 Jean Baptiste Merle    
1878 1888 Pierre Antoine Francès    
1888 1892 Antonin Saïsset    
1892 1896 Pierre Antoine Francès    
1896 1908 Antonin Saïsset    
1908 1912 Anselme Coustal    
1912 1920 Antonin Saïsset    
1920 1920 Gaston Marty    
1920 1944 Emile Théron    
1944 1953 Louis Durand    
1953 1983 Roger Dumas   libraire, viticulteur puis retraité
1983 2008 Roger Ramonéda PS viticulteur, puis retraité
2008 2014 Jacques Vidal   retraité de l’Éducation Nationale
2014 2020 Patrice Ortega   retraité, ex-coiffeur
2020 en cours Laurie Gomez   professeure des écoles
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 263 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
280287321336339398361364390
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
377379451427513530504481513
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
521514504540582536527423417
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
408368314301252210279282251
2021 - - - - - - - -
263--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Personnalités liées à la commune

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Gustave Rouanet, né à Oupia le , décédé le à Paris. Journaliste et homme politique, conseiller municipal de Paris, député socialiste de la Seine. Inhumé à Paris au cimetière du Père Lachaise, face au mur des Fédérés.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Narbonne », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Oupia et Lézignan-Corbières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lezignan-Corbières » (commune de Lézignan-Corbières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lezignan-Corbières » (commune de Lézignan-Corbières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Oupia », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF la « serre d'Oupia » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. « Les risques près de chez moi - commune d'Oupia », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Oupia », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. « Étude Scanning de Géodéris », sur piece-jointe-carto.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque minier.
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 54.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • A. Beziat, Oupia, S.n., s.l., , 138 p.
  • Jean-Pierre Ferrer, Précis chronologique d'histoire de Oupia dans l'Hérault : avec des éléments de géographie physique, économique, humaine et touristique, Azille, coll. « Les cahiers de Minerve » (no 22), , 133 p.

Fonds d'archives

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Articles connexes

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Liens externes

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