Pacy-sur-Eure
Pacy-sur-Eure est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Pacy-sur-Eure | |
La mairie. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Seine Normandie Agglomération |
Maire Mandat |
Yves Leloutre 2020-2026 |
Code postal | 27120 |
Code commune | 27448 |
Démographie | |
Gentilé | Pacéen |
Population municipale |
5 001 hab. (2021) |
Densité | 227 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 01′ 00″ nord, 1° 22′ 58″ est |
Altitude | Min. 38 m Max. 141 m |
Superficie | 22,03 km2 |
Type | Petite ville |
Unité urbaine | Pacy-sur-Eure (ville-centre) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pacy-sur-Eure (bureau centralisateur) |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-pacy-sur-eure.fr/ |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierPacy-sur-Eure est une commune de l'Est du département de l'Eure proche de celui des Yvelines. Son territoire, situé entre Évreux et Mantes-la-Jolie, s'étend au cœur de la vallée de l'Eure[1] et déborde très largement à l'est, au sein de la forêt de Pacy, sur le plateau de Madrie[2]. À vol d'oiseau, la commune se situe à 17 km à l'est d'Évreux[3], à 24 km à l'ouest de Mantes-la-Jolie[4], à 31,5 km au nord de Dreux[5], à 52 km au sud-est de Rouen[6] et à 90 km du cœur de Paris (1h15 via A13)[7].
Hydrographie
modifierLa commune est adossée à l'Eure, affluent de la Seine.
-
L'Eure à Pacy.
-
Depuis les jardins du Moulin.
-
L'Eure à Pacy.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[10]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 659 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Huest à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 600,6 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Pacy-sur-Eure est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pacy-sur-Eure, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[18].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Paciacum entre 1050 et 1066, Paceium en 1135 (petit cartulaire de Saint-Taurin)[19], Pasci en 1153 (charte de Henri II), Paciacum en 1195 (traité entre Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion), Paceyum en 1248 (cartulaire de Saint-Taurin), Pacyacum en 1277 (grand cartulaire de Saint-Taurin), Passy en 1356 (Froissart), Passi en 1588 (Bourgueville), Passey en 1611 (Desrues, Singularité des principales villes), Passey ou Pacey en 1668 (André Du Chesne, Antiq. et rech. des villes), Passy sur Eure en 1754 (Dict. des postes)[20].
L'Eure est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.
Histoire
modifierIl y avait dans la localité un château féodal, au moins depuis le milieu du XIIe siècle, qui était à l'époque du duc Henri la possession de Robert de Leicester († 1168)[21], devenu château royal et où Philippe Auguste a résidé trois jours avant sa mort, survenue le [22].
Pacy-sur-Eure était sous l'Ancien Régime un relais pour les diligences sur la route Caen-Paris[23].
Saint-Aquilin-de-Pacy fusionne avec Pacy-sur-Eure le .
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPolitique de développement durable
modifierEn 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[24].
Population et société
modifierÉvolution démographique de la commune déléguée
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26],[Note 2].
En 2014, la commune comptait 4 556 habitants, en évolution de −3,5 % par rapport à 2009 (Eure : +2,66 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Évolution démographique de la commune nouvelle
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2021, la commune comptait 5 001 habitants[Note 3], en évolution de −2,27 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
modifier- Pacy Vallée-d'Eure Football.
- Judo Club Pacy-sur-Eure.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierLa commune de Pacy-sur-Eure compte un édifice inscrit et un édifice classé au titre des monuments historiques :
- l'église Saint-Aubin (XIIIe, XIVe, XVe, XIXe et XXe siècles) Inscrit MH (1927)[30] ;
- le château du Buisson de May (XIXe siècle) Classé MH (1994)[31]. D'architecture néo-classique, ce château a été réalisé par l'architecte Denis Antoine de 1781 à 1783. Il a fait l'objet d'une campagne de restauration au XIXe siècle. L'édifice est situé sur le territoire de Saint-Aquilin-de-Pacy[31].
Autres édifices :
- les ponts : il s'agit de onze petits ponts construits sur les bras secondaires de l'Eure, visibles en arrivant d'Évreux. Un douzième est situé sur le bras principal de la rivière, en centre-ville ;
- le chemin de fer de la vallée de l'Eure. Il s'agit d'un chemin de fer touristique exploité sur une section de 18 km de l'ancienne ligne de chemin de fer d'Orléans à Rouen. Cette section, qui relie d'un côté, Pacy-sur-Eure à Breuilpont et, de l'autre, Pacy-sur-Eure à Chambray, permet de parcourir la vallée de l'Eure dans des véhicules roulants dont certains sont classés au titre des monuments historiques ;
- abbaye de l'Annonciation (non localisée) ; 1638[32] ; ayant reçu des bénédictines.
- Jusqu'à mon dernier souffle, monument d'hommage à Aristide Briand, ancien président du Conseil. Réalisé par le sculpteur Émile Oscar Guillaume ami de longue date de l'homme politique, il fut inauguré le 11 novembre 1933 en présence d'Albert Sarraut, Édouard Daladier et Camille Chautemps[33].
Patrimoine culturel
modifier- Serge Gainsbourg chanta une parodie de sa propre chanson Le Poinçonneur des Lilas dans laquelle le poinçonneur est devenu fossoyeur dans la ville de Pacy-sur-Eure[34].
- Dans Manon Lescaut de l'abbé Prévost, le narrateur, qui est le marquis de Renoncour, vient de Rouen. Il arrive pour dîner à Pacy-sur-Eure, et y rencontre pour la première fois Manon Lescaut et son amant, le chevalier des Grieux, qui sont en route vers Le Havre.
- Julien Doré et Dick Rivers ont tourné le clip de leur reprise d’Africa, de Rose Laurens, au bar Le Duguesclin[35].
Patrimoine naturel
modifierNatura 2000
modifier- Vallée de l'Eure[36].
ZNIEFF de type 1
modifierZNIEFF de type 2
modifier- La vallée de l'Eure d'Acquigny à Ménilles, la basse vallée de l'Iton[39].
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean-François Charles Leroy (1758 à Pacy-sur-Eure - 1810), homme politique.
- Antoine Trutat (1781-1849), né à Pacy, conseiller général et député de l'Eure.
- François-Charles Dulong (1792 à Pacy-sur-Eure - 1834), avocat et homme politique.
- Michel Bordet né à Pacy-sur-Eure (1823-1892), acteur et auteur dramatique.
- Édouard Isambard (né le à Pacy-sur-Eure, décédé dans cette même ville le ), médecin, maire de la ville, député.
- Georges Heuyer (1884 à Pacy-sur-Eure - 1977)[40], médecin, professeur à la faculté de médecine de Paris, membre de l'Académie nationale de Médecine.
- Monique Saint-Hélier (1895 - 1955 à Pacy-sur-Eure), écrivaine suisse romande.
- Henri Gaudichon, dit Henri Gault (1929 à Pacy-sur-Eure - 2000)[41], journaliste, chroniqueur et critique gastronomique. Avec Christian Millau, il crée, en 1972, le guide gastronomique Gault et Millau.
- Marc Dufumier (né en 1946 à Pacy-sur-Eure)[42], agronome et enseignant-chercheur.
- Laurent Hatton (né en 1962 à Pacy-sur-Eure), entraîneur de football.
- Denis Tristant (né en 1964 à Pacy-sur-Eure), handballeur.
- Jacques Baudier (1921 - 2018 à Pacy-sur-Eure), athlète.
Héraldique
modifierBlason | Parti : au 1er d'azur au senestrochère armé d'or, mouvant de dextre, tenant une épée d'argent garnie d'or et au dextrochère d'argent mouvant de senestre, paré d'or et tenant une crosse d'argent [Saint-Aquilin], au 2e d'argent à une rose de gueules [Pacy-sur-Eure] ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé de deux léopards affrontés d’or armés et lampassés d'azur. |
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Détails | Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. Création Denis Joulain pour la commune nouvelle créée le 1er janvier 2017. Adopté le 28 février 2017. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes de l'Eure
- Bataille de Brécourt (hameau de Douains)
- Chemin de fer de la vallée de l'Eure
- Gare de Pacy-sur-Eure
- Liste des communes nouvelles créées en 2017
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
modifier- « La vallée de l’Eure de Saint-Georges-Motel à Acquigny », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Le plateau de Madrie », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Évreux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Mantes-la-Jolie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Dreux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Rouen »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Mappy - Plans, comparateur d'itinéraires et cartes de France », sur Mappy (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Pacy-sur-Eure et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Pacy-sur-Eure », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7 et 2-600-02883-8, lire en ligne), p. 577.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 161.
- Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 49.
- « Médiévale... Remparts de Normandie : Les remparts de Pacy-sur-Eure (Eure) » (consulté le ).
- Bertrand Pâris, « Charlotte Corday », Patrimoine normand, no 119, octobre-novembre-décembre 2021, p. 18 (ISSN 1271-6006).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Saint-Aubin », notice no PA00099505, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château du Buisson-de-Mai », notice no PA00099632, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Recueil historique, chronologique et topographique des archevêchez ..., Volume 2 [1].
- « L'inauguration du monument à Aristide Briand », Le Journal n° 15001, , p. 5/10.
- INA.fr: Serge Gainsbourg: "Le fossoyeur de Pacy Sur Eure"
- « Pacy-sur-Eure : ville de tournages », sur Actu.fr (consulté le ).
- « Vallée de l'Eure », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Les hauts prés à Pacy-sur-Eure », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le coteau du val Morin », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La vallée de l'Eure d'Acquigny à Ménilles, la basse vallée de l'Iton », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Emmanuelle Guey et Samuel Boisson, « Le fonds Georges Heuyer (1884-1977) : un XXe siècle scientifique, à l’orée de la psychiatrie infantile et de ses ramifications », Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière », no 12, , p. 215-229 (lire en ligne).
- Jean-Pierre Pichard, Normands célèbres, Éditions Edilivre, , 262 p. (lire en ligne), p. 129.
- « Marc Dufumier : "Avec le bio, la ferme France sera plus riche" », sur L'Express (consulté le ).