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Parcoul-Chenaud

commune française du département de la Dordogne

Parcoul-Chenaud est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Chenaud et Parcoul.

Parcoul-Chenaud
Parcoul-Chenaud
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Aulaye
Maire
Mandat
Jean-Jacques Gendreau
2020-2026
Code postal 24410
Code commune 24316
Démographie
Population
municipale
800 hab. (2021)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 19″ nord, 0° 02′ 05″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 113 m
Superficie 26,75 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montpon-Ménestérol
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Parcoul-Chenaud
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Parcoul-Chenaud
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Parcoul-Chenaud
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Parcoul-Chenaud

Géographie

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Généralités

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La commune nouvelle regroupe les communes de Chenaud et Parcoul, qui deviennent des communes déléguées, le [1]. Son chef-lieu se situe à Parcoul.

 
Carte des communes constitutives de Parcoul-Chenaud

Communes limitrophes

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Parcoul-Chenaud est limitrophe de sept autres communes, dont quatre dans le département de la Charente et une en Charente-Maritime. Au nord-est, le territoire communal est distant d'une centaine de mètres de la commune charentaise de Bonnes.


Géologie et relief

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Géologie

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Parcoul-Chenaud est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 757 - Ribérac » et « no 781 - Montpon-Ménestérol » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et leurs notices associées[4],[5].

 
Carte géologique de Parcoul-Chenaud.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 22 mètres et 113 mètres[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 26,75 km2[11],[Note 2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Réseaux hydrographique et routier de Parcoul-Chenaud.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dronne, le Ribouloir, le Ponty, le riou Basset, le Léonard, le riou des Barges, le riou Nègre, le ruisseau des Nauves, le Bourlou et divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 54 km de longueur totale[15],[16],[Carte 2].

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[Carte 3],[17]. Elle borde intégralement le territoire communal au nord et à l'ouest sur treize kilomètres et demi, face à cinq communes : Les Essards, Saint-Quentin-de-Chalais, Bazac et Médillac en Charente, et Saint-Aigulin en Charente-Maritime.

Six affluents de rive gauche de la Dronne baignent le territoire communal. D’amont vers l’aval :

  • le Ribouloir sur près de deux kilomètres, bordant la commune à l'est face à Saint Aulaye-Puymangou ;
  • le Ponty sur plus de trois kilomètres et demi ;
  • le riou Basset sur trois kilomètres ;
  • le Léonard sur deux kilomètres ;
  • le riou des Barges sur quatre kilomètres dont un en limite de Saint Aulaye-Puymangou ;
  • le riou Nègre borde la commune au sud-ouest sur plus de six kilomètres, face à La Roche-Chalais.

Affluent de rive gauche du Ribouloir, le Bourliou, marque la limite territoriale au nord-est sur plus d'un kilomètre, face à Saint Aulaye-Puymangou.

Affluent de rive droite du riou Nègre, le ruisseau des Nauves arrose le sud-est de la commune sur un kilomètre et demi.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 4].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 845 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint Aulaye-Puymangou à 8 km à vol d'oiseau[23], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 854,8 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Parcoul-Chenaud est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[28],[29].

Villages, hameaux et lieux-dits

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Outre les bourgs de Chenaud et de Parcoul proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur cet article et celui-ci.

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Parcoul-Chenaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne et la Tude. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1992, 1993, 1999 et 2021[32],[30].

Parcoul-Chenaud est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Parcoul-Chenaud.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 88 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[38]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[39].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 1995, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[30].

Toponymie

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Histoire

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La création de la nouvelle commune, entérinée par l'arrêté du 14 décembre 2015[40], est effective le , entraînant la transformation des deux anciennes communes, Chenaud et Parcoul, en communes déléguées.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune de Parcoul-Chenaud dépend de l'arrondissement de Périgueux[1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Montpon-Ménestérol[1] et de la 3e circonscription législative[41].

Intercommunalité

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À sa création en 2016, elle fait partie de la communauté de communes du Pays de Saint-Aulaye[1].

Communes fondatrices

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Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Parcoul
(siège)
24316 CC du Pays de Saint Aulaye 14,17 422 (2015) 30


Chenaud 24118 CC du Pays de Saint Aulaye 12,58 325 (2015) 26

Administration municipale

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Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des deux anciennes communes (onze pour Parcoul et onze pour Chenaud, soit un total de vingt-deux)[40]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des deux anciennes communes deviennent maires délégués.

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[42]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[43], soit dix-neuf[44].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
janvier 2016[45]
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Jacques Gendreau DVG Exploitant agricole

Équipements et services publics

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Justice

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Dans le domaine judiciaire, Parcoul-Chenaud relève[46] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 800 habitants[Note 5], en évolution de +7,1 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2014 2019 2021
746789800
(Sources : Insee à partir de 2014[47].)

Manifestations culturelles et festivités

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Fête du village de Parcoul sur trois jours au mois d'août[48].

Association sportive Parcoul-Chenaud (ASPC), club de football[49].

Économie

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En 2016[50], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentaient 309 personnes, soit 41,4 % de la population municipale. Il y avait quarante-quatre chômeurs et le taux de chômage de la population active s'établissait à 14,2 %.

Établissements

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Au , la commune comptait 80 établissements[51], dont quarante-trois au niveau des commerces, transports ou services, seize dans la construction, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[52].

Culture locale et patrimoine

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Beuronne, la Rivaille et la Tude, affluents de rive droite de la Dronne, n'arrosent pas la commune de Parcoul-Chenaud située entièrement en rive gauche.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Carte géologique de Parcoul-Chenaud » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de Parcoul-Chenaud » sur Géoportail (consulté le 2 avril 2023)..
  3. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 2 avril 2023)..
  4. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Parcoul-Chenaud », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 757 - Ribérac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Parcoul-Chenaud », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Chenaud », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Parcoul », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. Sandre, « la Dronne »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  23. « Orthodromie entre Parcoul-Chenaud et Saint Aulaye-Puymangou », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  30. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Parcoul-Chenaud », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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  36. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. a et b « Arrêté n° PREF/DDL/2015/0220 portant création de la commune nouvelle de Parcoul-Chenaud », Recueil des actes administratifs de la Dordogne,‎ , p. 106-109 (lire en ligne [PDF]).
  41. [PDF] Circonscriptions législatives 2017, Préfecture de la Dordogne, consultée le 16 novembre 2017.
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  43. [PDF] La loi « Communes Nouvelles » expliquée aux élus Qu'est-ce qui change ?, août 2019, p. 3.
  44. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
  45. Glady de Brégeot, « Jean-Jacques Gendreau élu maire », Sud Ouest édition Périgueux, 8 janvier 2015, p. 19.
  46. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. « Fête du village », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14.
  49. Glady de Brégeot, « Parcoul et Chenaud vont s'unir », Sud Ouest édition Périgueux, 30 octobre 2015, p. 19.
  50. Dossier complet - Commune de Parcoul-Chenaud (24316) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.
  51. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  52. Dossier complet - Commune de Parcoul-Chenaud (24316) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.