Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Queyssac

commune française du département de la Dordogne

Queyssac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Le village est connu pour sa remarquable église romane.

Queyssac
Queyssac
Le « pigeonnier » de Queyssac est, en fait, un silo à grains.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise
Maire
Mandat
Maryse Roche
2023-2026
Code postal 24140
Code commune 24345
Démographie
Population
municipale
509 hab. (2021 en évolution de +9,7 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 20″ nord, 0° 33′ 00″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 173 m
Superficie 12,35 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bergerac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Queyssac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Queyssac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Queyssac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Queyssac
Liens
Site web queyssac.com

Géographie

modifier

Généralités

modifier

Au sud du département de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de Queyssac se trouve en limite du Landais. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac.

Traversé par la route départementale (RD) 21E1, le village de Queyssac est établi dans le vallon de la Marie, un affluent de la Seyze. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au nord-est de Bergerac.

Le territoire communal est bordé au sud-est par la route nationale 21 (axe Périgueux - Bergerac) et à l'ouest par la RD 107.

Communes limitrophes

modifier

Queyssac est limitrophe de quatre autres communes. Au sud-est, son territoire est distant de 750 mètres de celui de Creysse.


Communes limitrophes de Queyssac
Eyraud-Crempse-Maurens Campsegret
  Lamonzie-Montastruc
Lembras

Géologie et relief

modifier

Géologie

modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Queyssac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

 
Carte géologique de Queyssac.

Relief et paysages

modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 50 mètres[5] au sud-est, là où la Seyze quitte la commune et entre sur celle de Lembras, et 173 mètres[5] à l'ouest, au nord du lieu-dit Pinceguerre, en limite de la commune de Maurens[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 12,35 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,4 km2[3].

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Seyze, la Marie et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Seyze (ou Galinat dans sa partie amont), d'une longueur totale de 9,58 km, prend sa source à Montagnac-la-Crempse et se jette dans le Caudeau en rive droite à Lembras, face à Creysse[16],[17]. Elle arrose le territoire communal à l'est sur près de quatre kilomètres, lui servant de limite naturelle sur près de trois kilomètres, face à Campsegret et Lamonzie-Montastruc.

Son affluent de rive droite la Marie prend sa source près du lieu-dit Corail, dans l'ouest de la commune, passe dans le bourg et baigne le territoire communal sur quatre kilomètres.

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 8 km à vol d'oiseau[23], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Queyssac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[28]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[28]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), zones agricoles hétérogènes (26,8 %), prairies (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

modifier

Le territoire de la commune de Queyssac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Risques naturels

modifier

Queyssac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[34]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[35],[36].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Queyssac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 59,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[39].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999, par la sécheresse en 1989, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Toponymie

modifier

L'origine du nom de Queyssac correspond au domaine d'un propriétaire gallo-roman nommé soit Cassius[40],[41], soit Cursus[41].

En occitan, la commune porte le nom de Caissac[42].

Histoire

modifier

L'occupation ancienne en divers points du territoire communal est attestée par quelques gisements préhistoriques remontant au Paléolithique[41] (le Bos Nègre, les Peynauds et Peyrot[43]) ou au Néolithique (les Peynauds et le Réclaussou[43]).

L'église a été construite aux XIe et XIIe siècles[41] mais les premières mentions connues du lieu n'apparaissent qu'au XIIIe siècle sous la forme « Corssac » puis à la fin du siècle suivant sous celle de Quayssacum.

Plusieurs cluzeaux (le Bourg, les Archets, les Boissières, Floyrac, le Mas et la Mouthe) ont été aménagés au Moyen Âge[43].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Queyssec[44].

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs

modifier

La commune de Queyssac a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Bergerac dépendant de l'arrondissement de Bergerac. En 1973, le canton de Bergerac est scindé en deux et Queyssac est désormais rattachée au canton de Bergerac-2[5].

Intercommunalité

modifier

En 2001, Queyssac intègre la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

Administration municipale

modifier

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1989 juin 2023[47] Francis Papatanasios[Note 5] SE[48] Cadre supérieur
juin 2023 septembre 2023 Maryse Roche   Première adjointe faisant fonction de maire
septembre 2023[49] En cours Maryse Roche    

Équipements et services publics

modifier

Justice

modifier

Dans le domaine judiciaire, Queyssac relève[50] :

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

En 2021, la commune comptait 509 habitants[Note 6], en évolution de +9,7 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
603536495532573553578581558
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
562507464481470501461447404
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
408403384310305281267241260
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
276256289363439462467468470
2021 - - - - - - - -
509--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

modifier
  • Fête communale début août[54].
  • Festival des arts à la fin de l'été (13e édition en 2019 avec une quarantaine d'artisans d'art[55].
  • Début octobre, trail solidaire en course, randonnée, VTT ou canicross (12e édition en 2023[56] avec 717 participants[57]).

Économie

modifier

En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 215 personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-deux) a fortement augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,1 %.

Établissements

modifier

Au , la commune compte vingt-sept établissements[59], dont douze au niveau des commerces, transports ou services, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie[60].

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier


Personnalités liées à la commune

modifier
  • Adrien Bayssellance, né le à La Négrie, commune de Queyssac - mort le , est un ingénieur français spécialisé dans le Génie maritime, passionné d'alpinisme, qui fut maire de Bordeaux de 1888 à 1892.

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Décédé en fonctions.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Queyssac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Queyssac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Queyssac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. « 173 » sur Géoportail (consulté le 1 juillet 2022)..
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Queyssac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Queyssac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Seyze-Caudeau au sud de la Ribeyrie » sur Géoportail (consulté le 4 septembre 2022)..
  17. Sandre, « La Seyze »
  18. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  23. « Orthodromie entre Queyssac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  28. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  29. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bergerac », sur insee.fr (consulté le ).
  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Queyssac », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  35. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  36. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de Dordogne, éd. Bordessoules, 2009
  41. a b c et d Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 279.
  42. Le nom occitan des communes du Périgord - Caissac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  43. a b et c Données culturelles en Aquitaine sur le site de la Plateforme de l'information géographique mutualisée en Aquitaine (PIGMA), consulté le 23 avril 2013.
  44. « Queyssec » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2013)..
  45. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
  46. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
  47. Thomas Jonckeau, « Francis Papatanasios, le maire, est décédé à 76 ans », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 19.
  48. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 5.
  49. Queyssac : Jean-Luc Chanteau, « Maryse Roche a été élue maire », Sud Ouest, , consulté le .
  50. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. Jean-Luc Chanteau, « Lancer de haches, saut d'obstacles… Chacun a trouvé son compte à la fête », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16a.
  55. « 13e Festival des arts », Sud Ouest édition Dordogne, 29 août 2019, p. 20.
  56. Jean-Luc Chanteau, « Le trail solidaire, c'est dimanche », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.
  57. Jean-Luc Chanteau, « Les jolis bénéfices d'une participation record », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.
  58. Dossier complet - Commune de Queyssac (24345) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.
  59. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  60. Dossier complet - Commune de Queyssac (24345) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.
  61. a b et c Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 91.
  62. Mairie de Queyssac sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 20 janvier 2014.
  63. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 332.