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Roxy Music

groupe de musique britannique

Roxy Music est un groupe rock britannique. Il a été formé en 1971[7] par le chanteur Bryan Ferry[8] et par le bassiste Graham Simpson[9],[8]. Les autres musiciens du groupe à ses débuts étaient le guitariste David O'List ex-The Nice, le saxophoniste Andy Mackay, le joueur de synthétiseur Brian Eno et le batteur Paul Thompson[10].

Roxy Music
Description de cette image, également commentée ci-après
Roxy Music à Toronto en 1974.
Informations générales
Pays d'origine Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre musical
Années actives 1971-1975, 1978-1983, 2001-2011, 2019, 2022
Labels EG Records
Composition du groupe
Anciens membres Bryan Ferry
Andy Mackay
Phil Manzanera
Paul Thompson
Brian Eno
Eddie Jobson
Graham Simpson †
David O'List
John Wetton †
Rik Kenton
Paul Carrack

Au début de l'année 1970, Bryan Ferry se rend à une audition pour le groupe King Crimson dans le but de remplacer leur chanteur bassiste Greg Lake, mais bien que le guitariste Robert Fripp et le parolier Peter Sinfield ne le retiennent pas, ils sont suffisamment impressionnés par son talent pour le recommander auprès de la maison de disques EG Records, avec laquelle il signe un contrat d'enregistrement[8]. Bryan trouve les premiers musiciens du groupe par des annonces dans le Melody Maker[11],[12] : ainsi le saxophoniste Andy Mackay[11] puis le joueur de synthétiseur Brian Eno[13] sont les premiers à répondre présent. Ensuite David O'List quitte la formation et est remplacé par Phil Manzanera[7] ; le batteur Dexter Lloyd en fait de même et est remplacé par Paul Thompson[14].

Biographie

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Origines et débuts (1971-1973)

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Après des études d’art à Newcastle[12] où il s’intéresse au pop art, à Andy Warhol et à l’art conceptuel[15],[8], Bryan Ferry s’installe à Londres en 1968[16], où il enseigne la céramique, tout en composant des chansons après avoir appris à jouer du piano en autodidacte[17],[18],[8]. Il postule vainement pour remplacer Greg Lake au sein de King Crimson. Robert Fripp ne le retient pas, mais le dirige vers son agent David Enthoven, de la firme EG[19],[8]. Au cours de l’hiver 1970, Ferry publie une annonce dans le Melody Maker puis recrute le saxophoniste et hautboïste Andy Mackay[11]. Ce dernier propose alors à son ami Brian Eno (avec qui il avait tissé des liens amicaux après avoir présenté une pièce de musique contemporaine en forme de performance à l'école d'art de Winchester[20]) de rejoindre le groupe – c’est le trio fondateur de ce qui va devenir Roxy Music[10]. Le projet musical de Ferry s’inspire du pop art qu’il a étudié : s’approprier des éléments de la culture populaire et les restituer comme des œuvres d’art, dans un groupe pop/rock[7].

Paul Thompson est engagé au cours de l’été 1971 comme batteur[14],[7], il est rejoint par le guitariste David O'List[21]. Le groupe fait ses premiers enregistrements à la fin de cette année[7]. En 1972, O’List est remplacé à la guitare par Phil Manzanera, qui devient l’un des piliers du groupe après en avoir été le technicien de son[7]. L’enregistrement du premier disque est financé par E.G. et produit par Peter Sinfield[22],[23], il sort chez Island Records au cours de l’été 1972 sous le titre Roxy Music, c’est un succès phénoménal et inespéré, favorablement accueilli par la critique[7]. Le 45 tours Virginia Plain qui en est tiré atteint la 4e place des charts du Royaume-Uni[24]. L’impact de ce nouveau groupe est augmenté par le look décadent et ambigu de ses membres, ce qui lui vaut parfois le qualificatif de glam rock[25],[7].

En 1973, après le single Pyjamarama[26], vient le second album, For Your Pleasure[27],[7], qui confirme l’originalité de la formation due en partie aux expérimentations électroniques[29] de Brian Eno[31],[32]. Une mésentente oppose ce dernier à Bryan Ferry sur l’orientation musicale de Roxy Music[27], Eno choisit de partir pour entamer une singulière carrière personnelle et de nombreuses collaborations[33].

Première pause (1973-1975)

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Roxy Music en 1973. De gauche à droite : Eddie Jobson (claviers, synthés et violon), Paul Thompson (batterie), Phil Manzanera (guitare), Bryan Ferry (chant, claviers), John Gustafson (basse) et Andy Mackay (saxophone et hautbois).

Toujours en 1973, Bryan Ferry sort un album solo These Foolish Things, le premier d’une longue série, dans lequel il reprend quelques-unes de ses chansons favorites[34]. Pour combler le départ d’Eno, Eddie Jobson est recruté aux synthétiseurs et au violon[36], c’est un musicien au talent reconnu qui a fait ses premières armes dans le groupe Curved Air[37]. Le bassiste John Gustafson ex-Quartermass, rejoint aussi le groupe pour la scène, mais participe également aux trois albums suivants, il ne devint toutefois pas un membre permanent du groupe[38]. Le troisième album Stranded sort aussi en 1973, le registre des morceaux est plus mélodieux et plus romantique que les précédents[39]. Pendant cette période (1973–1976), ils tournent avec Sal Maida[40], John Wetton et Rick Wills[41].

En 1974, sort Country Life dans la lignée du précédent album[42], c’est à cette époque que Roxy Music se fait connaître aux États-Unis[43]. Siren (1975) est plus hétérogène, les compositions sont signées des différents musiciens et surtout le groupe semble ne pas trouver son orientation[42]. Cet album qui marque la fin du premier groupe Roxy Music est entraîné par le célèbre Love Is the Drug[44]. Après la séparation, sort un album enregistré en concert, Viva! Roxy Music en 1976[42], avec John Wetton (ex-King Crimson, ex-UK) à la basse et au chant, on le retrouvera aussi comme bassiste sur certains albums solos de Bryan Ferry[45].

Premiers retours et deuxième pause (1978-1983)

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La disparition du groupe intervient au moment où il atteint le sommet de sa popularité[42]. Ferry poursuit une carrière solo prometteuse[46] et en 1977, abandonnant les reprises, il sort un album de compositions personnelles : In Your Mind[47]. Mais l’arrivée du mouvement punk va compromettre cette orientation et marginaliser le crooner[48]. C’est à cette époque que sa compagne, le mannequin américain Jerry Hall, le quitte pour Mick Jagger des Rolling Stones[49],[50].

En 1978, la décision est prise de reformer Roxy Music avec le quatuor originel : Ferry, Manzanera, Mackay et Thompson[42]. La sortie de Manifesto en 1979 remet le groupe en bonne place et plusieurs titres de l’album connaissent une grande diffusion[42]. La seconde vie du groupe est une réussite commerciale et les deux albums suivants vont connaître le succès. Flesh and Blood en 1980 est un succès avec la chanson Over You[51],[42], puis l'album suivant Avalon en 1982 passe en boucle sur les radios avec la pièce-titre et More than This[52]. Enfin, la reprise de Jealous Guy de John Lennon en 1981, peu après l'assassinat du chanteur, a largement contribué à asseoir la popularité du groupe[51].

Après une tournée américaine en 1983[53], Ferry décide d’abandonner le groupe au profit de sa nouvelle carrière solo[54]. Les autres musiciens tentent vainement de poursuivre l’aventure, avec un nouveau chanteur James Wraith, prenant le nom d'Explorers[42]. En 1985, dans le cadre du Live Aid, Bryan Ferry monte sur scène avec, entre autres musiciens, David Gilmour de Pink Floyd à la guitare et Jon Carin aux claviers, interprétant des pièces comme Slave to Love et Jealous Guy de John Lennon[55].

Retours occasionnels (depuis 2001)

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Roxy Music en concert au London's ExCeL Exhibition Centre en juillet 2006.

En 2001, le groupe se reforme[56] pour une tournée mondiale comprenant une cinquantaine de concerts[57]. Le , Roxy Music se produit au festival de l'île de Wight[58],[59] et le suivant au Live 8 à Berlin[60].

Un nouvel album studio[61] était prévu pour l'automne 2006 et Brian Eno a contribué à deux chansons durant deux jours de sessions d'enregistrement[62]. Ces enregistrements ne seront toutefois pas utilisés pour un nouveau disque du groupe car Bryan Ferry a préféré s'en servir pour élaborer son album solo Olympia (2010)[63],[52],[64], dont l'une des pistes a été co-écrite avec Phil Manzanera[63], et dans lequel Eno joue du synthétiseur[63] sur plusieurs morceaux[65]. Une nouvelle tournée (sans Eno, qui malgré sa collaboration n'a pas pour autant réintégré le groupe[62]) a lieu en 2006[66] et à l'été 2010[67] lors de festivals[68]. Une autre tournée, le For Your Pleasure Tour, a lieu en Angleterre, Nouvelle-Zélande et Australie dans de grandes salles début 2011[56], avec un répertoire considérablement modifié par rapport aux tournées antérieures[69].

Le guitariste Phil Manzanera collabore avec David Gilmour, autant sur son album solo On an Island[70] qu'avec Pink Floyd sur leur disque The Endless River[71], coproduisant les deux avec Gilmour. Ce dernier collabore d'ailleurs à certains albums solos de Bryan Ferry, Boys and Girls en 1985[42], Bête noire en 1987[72], et Olympia en 2010[73].

Le paraît l'édition Deluxe du premier album Roxy Music. Cette édition contient trois CD (l'album original remasterisé en 1999, un CD de démos, un CD de sessions live inédites de 1972) et un DVD contenant des prestations pour la télévision ainsi qu'un concert du groupe au Bataclan en 1972 et l'album audio remixé en 5.1[74],[75].

En , le groupe était intronisé au panthéon du Rock 'n' roll, le prestigieux Rock and Roll Hall of Fame aux États-Unis[76] et se produisait en public pour la première fois depuis 2011, avec le trio de base: Ferry-Mackay-Manzanera[56] rejoint par le claviériste/violoniste Eddie Jobson (qui jouait sur Stranded, Country Life et Siren) à la fin du morceau Out of the Blue[77], mais sans Brian Eno (présent sur les deux premiers albums du groupe)[78],[79].

Tournée des 50 ans (2022)

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Le , le groupe annonce une série de concerts[80] pour célébrer leur 50e anniversaire[79]. La tournée de 13 dates débute en Amérique du Nord le au Scotiabank Arena de Toronto, et se termine à Londres le à l'O2 Arena[81]. Les quatre membres « historiques » : Ferry, Manzanera, MacKay et Thompson, à l’exception d'Eno, font partie de la tournée[81].

Membres

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Membres principaux

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Anciens membres

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  • David O'List - guitare (1971-1972)
  • Brian Eno - synthétiseur, traitements (1971-1973)
  • Roger Bunn - guitare (1971)
  • Dexter Lloyd - batterie (1971)
  • Eddie Jobson - synthétiseur, violon (1973-1976)
  • John Gustafson - basse (1973-1976)
  • Alan Spenner - basse (1978-1982)
  • Graham Simpson - basse (1971-1972)
  • Rik Kenton - basse (1972)
  • John Porter - basse (1972)
  • John Wetton - basse (1974-1975)
  • Rick Wills - basse (1975-1976) En concert seulement
  • Gary Tibbs - basse (1979-1980)
  • Paul Carrack - claviers (1979-1982)
  • Andy Newmark - batterie (1980-1982)
  • Guy Fletcher - claviers (1981-1983)
  • Chris Spedding - guitare (2001-2002)
  • Colin Good - claviers (2001-)
  • Oliver Thompson - guitare (2010-)
  • Jerry Meehan - basse (2010-)
  • Jorja Chalmers - claviers et saxophone (2010-)

Discographie

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Roxy Music a toujours porté un soin particulier au choix de ses pochettes de disques, sophistiquées et provocatrices à l’image du groupe[82], comme à celui des modèles pour les illustrer, avec notamment Amanda Lear pour For Your Pleasure[83] ou Jerry Hall pour Siren[84].

La plupart des chansons du groupe sont composées par Bryan Ferry, avec toutefois quelques compositions signées, entre autres, Ferry/Mackay (Love Is the Drug[85], A song for Europe[85], Angel eyes[86]) et Ferry/Manzanera (Prairie Rose[85], Over You[86], Out or the blue[85]).

Albums studio

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Albums live

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  • 1976 : Viva! Roxy Music
  • 1983 : The High Road
  • 1990 : Heart Still Beating
  • 1998 : Concert Classics
  • 2000 : Valentine
  • 2001 : Concerto
  • 2001 : Vintage
  • 2002 : Ladytron
  • 2002 : Reflection
  • 2002 : Roxy Music Live

Compilations

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  • 1977 : Greatest Hits
  • 1981 : The First Seven Albums
  • 1983 : The Atlantic Years 1973-1980
  • 1985 : The Best of Bryan Ferry & Roxy Music
  • 1986 : Street Life 20 Great Hits
  • 1988 : The Ultimate Collection
  • 1989 : The Early Years
  • 1989 : The Later Years
  • 1995 : More Than This
  • 1995 : The Thrill of It All
  • 2000 : Slave to Love : The Best of the Ballads
  • 2001 : The Best of Roxy Music
  • 2012 : Roxy Music: The Complete Studio Recordings 1972-1982

Vidéographie

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  • 1983 : The High Road (enregistré en public à Fréjus, France, le 27 aout 1982)
  • 2001 : Live at The Apollo (enregistré en , au Hammersmith Apollo de Londres)
  • 2008 : The Thrill of It All - A Visual History 1972-82 (compilation d'extraits de concert, de passages télé et quelques clips de 1972 à 1982)

Notes et références

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  1. (en) « Roxy Music Songs, Albums, Reviews, Bio & More », sur allmusic.com (consulté le ).
  2. (en) « And on the seventh day, Eno released a not-very-good album. Hallelujah! », sur The Irish Times (consulté le ).
  3. (en) Paul Lester, « Franz and Sparks: this town is big enough for both of us », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. (en) Simon Reynolds, « Roxy Music: the band that broke the sound barrier », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. (en) Loren DiBlasi, « Let These Vintage Roxy Music Tracks From This Day in 1983 Start Your Long Weekend », sur Paste, (consulté le ).
  6. (en) Stephen Thomas Erlewine, « Roxy Music - Avalon », sur AllMusic (consulté le ).
  7. a b c d e f g h et i Assayas 2014, p. 2357.
  8. a b c d e et f Assayas 2014, p. 2356.
  9. (en) Andy Greene, « Roxy Music’s Andy Mackay Talks Rock Hall Reunion Odds: ‘We’re Quite Optimistic’ », Rolling Stone,‎ (ISSN 0035-791X, lire en ligne  ).
  10. a et b Assayas 2014, p. 2356-2357.
  11. a b et c Buckley 2004, p. 35.
  12. a et b Reynolds 2020, p. 355.
  13. Buckley 2004, p. 42.
  14. a et b Buckley 2004, p. 48.
  15. Reynolds 2020, p. 372.
  16. Buckley 2004, p. 32.
  17. Buckley 2004, p. 33.
  18. Reynolds 2020, p. 357.
  19. Stump 1998, p. 39-42.
  20. Reynolds 2020, p. 356.
  21. Buckley 2004, p. 46-47.
  22. Stump 1998, p. 52.
  23. Reynolds 2020, p. 359.
  24. Reynolds 2020, p. 361.
  25. Margotin 2023, p. 54.
  26. Margotin 2023, p. 60.
  27. a et b Margotin 2023, p. 60-61.
  28. Alessandrini 2015, p. 99.
  29. Interrogé par Paul Alessandrini avant leur concert au Bataclan en 1972, Bryan Ferry lui a détaillé l'utilisation de l'électronique par le groupe : « Nous utilisons un synthesizer, des bandes, des enregistrements de musique sérielle. Le synthesizer est parfois utilisé comme un instrument conventionnel, d'autres fois pour élargir les possibilités de chaque instrument […] ainsi, quand Andy joue du saxophone, les notes sont reprises et transformées par le synthesizer. »[28]
  30. Reynolds 2020, p. 360.
  31. Brian Eno était au départ plus une sorte d'ingénieur du son qu'un instrumentiste proprement dit, et il s'est même défini comme un « non-musicien ». Son rôle au sein de Roxy Music consistait surtout à déformer le son des autres instruments avec les filtres de son synthétiseur EMS VCS3[30].
  32. Margotin 2023, p. 58.
  33. Stump 1998, p. 252-283.
  34. Reynolds 2020, p. 393-395.
  35. Blum 2010, p. 144.
  36. Lire l'article de Christian Lebrun, paru dans Best en 1973, qui détaille le passage de relais entre Eno et Jobson[35].
  37. Buckley 2004, p. 139.
  38. Buckley 2004, p. 149-151.
  39. Assayas 2014, p. 2357-2358.
  40. Stump 1998, p. 72.
  41. Stump 1998, p. 154.
  42. a b c d e f g h et i Assayas 2014, p. 2358.
  43. (en) Jim Miller, « Critique de "Country Life" », Rolling Stone,‎ (ISSN 0035-791X, lire en ligne  ).
  44. Lazell et Rees 1982, p. 80.
  45. Buckley 2004, p. 133.
  46. Soligny 2014, p. 778.
  47. Soligny 2014, p. 778-779.
  48. Reynolds 2020, p. 401.
  49. Lazell et Rees 1982, p. 82.
  50. (en) « These Vintage Years! – Bryan Ferry and Roxy Music – Jerry Hall » (version du sur Internet Archive).
  51. a et b Lazell et Rees 1982, p. 86.
  52. a et b Soligny 2014, p. 790.
  53. Morrison 2021, p. 73-74.
  54. Reynolds 2020, p. 640.
  55. (en) « Tours : 1985 Bryan Ferry Live Aid », sur VivaRoxyMusic.com (consulté le ).
  56. a b et c Morrison 2021, p. 79.
  57. Soligny 2014, p. 804.
  58. « Biographie détaillée de Roxy Music », sur Universal Music France (consulté le ).
  59. (en) « Roxy Music au programme du festival de l'île de Wight en 2005 », sur Concert Archives (consulté le ).
  60. (en) « Roxy Music au programme du Live 8 à Berlin en 2005 », sur Concert Archives (consulté le ).
  61. (en) Adam Bychawski, « Roxy Music reform with Brian Eno : They're making a new album », sur New Musical Express, (version du sur Internet Archive).
  62. a et b (en) Richard Williams, « Brian Eno's interview : "Working with someone is like dating" », The Guardian, (version du sur Internet Archive).
  63. a b et c (en) « Bryan Ferry – Olympia », sur Musicbrainz (consulté le ).
  64. (en) Piers Martin, The Ultimate Music Guide, Uncut « Roxy Music », , p. 96 (ISSN 1368-0722) .
  65. (en) Sathnam Sanghera, « Bryan Ferry: "I lead quite a sheltered life" », The Times,‎ (ISSN 0140-0460, lire en ligne  ).
  66. (en) « Tours : 2006 Roxy Music », sur VivaRoxyMusic.com (consulté le ).
  67. (en) « Tours : 2010 Roxy Music - Festival Tour », sur VivaRoxyMusic.com (consulté le ).
  68. « Mini-biographie de Roxy Music », sur Radio France (consulté le ).
  69. (en) « Tours : Roxy Music - For Your Pleasure (2011) », sur VivaRoxyMusic.com (consulté le ).
  70. « David Gilmour – On An Island », sur Discogs (consulté le ).
  71. « Pink Floyd – The Endless River », sur Discogs (consulté le ).
  72. Soligny 2014, p. 779-780.
  73. Soligny 2014, p. 811.
  74. Nicolas Ungemuth, « Critique de "Roxy Music - 45th Anniversary Deluxe Edition" », Rock & Folk, no 607,‎ , p. 75 (ISSN 0750-7852).
  75. (en) « Roxy Music (1972) - Deluxe », sur VivaRoxyMusic.com (consulté le ).
  76. (en) « Rock & Roll Hall of Fame - Intronisation de Roxy Music en 2019 », sur rockhall.com (consulté le ).
  77. (en) [vidéo] « Roxy Music perform "Out of the Blue" at the 2019 Rock & Roll Hall of Fame Induction Ceremony », sur YouTube (N.B. : le solo de violon électrique d'Eddie Jobson apparaît vers min 46 s et Bryan Ferry présente le musicien vers min 34 s).
  78. (en) Daniel Kreps et Kory Grow, « See Roxy Music Reunite for Rock Hall Induction Ceremony Performance », Rolling Stone,‎ (ISSN 0035-791X, lire en ligne  ).
  79. a et b « Roxy Music se reforme pour fêter ses 50 ans », sur rollingstone.fr, (consulté le ).
  80. (en) « 50th Anniversary Tour 2022 », sur roxymusic.co.uk (version du sur Internet Archive).
  81. a et b (en) « Tours : Roxy Music 50th Anniversary Tour (2022) », sur VivaRoxyMusic.com (consulté le ).
  82. Bracewell 2008, p. 232.
  83. Bracewell 2008, p. 128.
  84. Stump 1998, p. 148-150.
  85. a b c et d Buckley 2004, p. 333.
  86. a et b Buckley 2004, p. 334.

Annexes

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Bibliographie

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  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Biographies

modifier
  • (en) Johnny Rogan, Roxy Music : Style with Substance - Roxy's First Ten Years, Star, , 176 p. (ISBN 978-0352310767).
  • (en) Barry Lazell et Dafydd Rees, Bryan Ferry and Roxy Music, Proteus, , 96 p. (ISBN 978-0862760342).
  • (en) Paul Stump, Unknown Pleasures: A Cultural Biography of Roxy Music, Quartet Books, , 372 p. (ISBN 0-7043-8074-9).
  • (en) David Buckley, The Thrill of it All : The Story of Bryan Ferry and Roxy Music, André Deutsch, , 382 p. (ISBN 0-233-05113-9, lire en ligne).  .
  • (en) Jonathan Rigby, Roxy Music : Both Ends Burning, Reynolds & Hearn Ltd, , 272 p. (ISBN 1-903111-80-3)2e édition parue en 2008.
  • Michka Assayas, « Roxy Music », dans Michka Assayas (dir.), Le nouveau dictionnaire du rock, Robert Laffont, coll. « Bouquins », (ISBN 978-2221915776), p. 2356-2359.  .
  • (en) Dave Thompson, Roxy Music in the 1970s, Sonicbond, , 160 p. (ISBN 978-1789521801).
  • (en) Michael Kulikowski, Roxy Music : Every Album, Every Song, Sonicbond, , 144 p. (ISBN 978-1789523355).

Études et analyses

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  • (en) Michael Bracewell, Re-make/Re-model : Art, Pop, Fashion and the making of Roxy Music, 1953-1972, Faber and Faber, , 464 p. (ISBN 978-0571229864, lire en ligne)1re édition parue en 2007.
  • Simon Reynolds (trad. Hervé Loncan), Le choc du glam, Audimat, (ISBN 978-2902387045), « What's The Date Again ? : Roxy Music, une vision rétro du futur », p. 351-395.
  • (en) Simon Morrison, Roxy Music's Avalon, Bloomsbury Academic, coll. « 33⅓ » (no 155), , 147 p. (ISBN 978-1501355349, lire en ligne).
  • Philippe Margotin, « For Your Pleasure : le glamour de l'avenir », Les Inrockuptibles, hors-série « 1973, l'histoire immanquable de 10 albums cultes »,‎ , p. 54-61 (ISSN 0298-3788).
  • Jérôme Pintoux, Ferry, Eno, Roxy : Le Rock BCBG, Camion blanc, , 314 p. (ISBN 978-2378483654).

Recueils d'articles

modifier
  • Paul Alessandrini, Fun House : Les années Rock & Folk, Le mot et le reste, (ISBN 978-2360541621), « Roxy cinq étoiles », p. 97-109 — Article paru dans Rock & Folk No 72 de .
  • Bruno Blum (dir.), Best of Best : Les années 1968-1979, Le castor astral, , 320 p. (ISBN 978-2859208332) — Articles de Christian Lebrun et Patrick Eudeline parus dans Best en 1973 et 1974.
  • Jérôme Soligny, Writing On The Edge : 25 ans d'écrits rock, La Table Ronde, (ISBN 978-2710369660), « Bryan Ferry et Roxy Music », p. 764-815 — Six articles parus dans Rock & Folk de 1993 à 2013, avec critiques d'albums.

Autres ouvrages

modifier
  • (en) Roxy Music, Greatest Hits, E.G. Music, , 73 p. (OCLC 63241429) — Recueil de partitions et mini-biographie.
  • (en) Bryan Ferry et Roxy Music, Street Life : 20 Great Hits, E.G. Music, , 88 p. (ISBN 0711910200) — Recueil de partitions.
  • (en) Roxy Music, The Best of Roxy Music, Wise, , 88 p. (ISBN 978-0711990937) — Recueil de partitions.
  • (en) Andrew Sparke, Roxy Music : Complete Recordings Illustrated, APS Books, , 95 p. (ISBN 978-1835302392). — Discographie exhaustive et illustrée.

Liens externes

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