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Saint-André-d'Huiriat

commune française du département de l'Ain

Saint-André-d'Huiriat est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-André-d'Huiriat
Saint-André-d'Huiriat
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes de la Veyle
Maire
Mandat
Michel Dubost
2020-2026
Code postal 01290
Code commune 01334
Démographie
Gentilé Huiriatis, Huiriatie
Population
municipale
675 hab. (2021 en évolution de +16,58 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 51″ nord, 4° 54′ 46″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 225 m
Superficie km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vonnas
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-André-d'Huiriat
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-André-d'Huiriat
Géolocalisation sur la carte : Ain
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Saint-André-d'Huiriat
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-André-d'Huiriat

Géographie

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Localisation

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Saint-André-d'Huiriat est située dans la région naturelle de la Bresse près de la région de la Dombes. Elle est localisée au sud du canton de Vonnas, dans l'arrondissement de Bourg-en-Bresse du département de l'Ain.

Elle se situe à 20 km à au sud-est de Mâcon, à 29 km à l'ouest de Bourg-en-Bresse, à 65 km au nord de Lyon et à 412 km au sud de Paris.

La population n'est pas concentrée en son bourg mais est dispersée dans plusieurs hameaux dont Mahollières, Petit Coland, Grand Coland, la Maladière, le Chapeland, Gormoz et Servette.


Communes limitrophes

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  Laiz  
Cruzilles-lès-Mépillat N Biziat
O    Saint-André-d'Huiriat    E
S
Illiat Saint-Julien-sur-Veyle

Points extrêmes

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Hydrographie

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Deux cours d'eau traversent Saint-André. En premier lieu, les Guillonnes est un ruisseau qui traverse la commune du sud au nord et devient le bief de Vieudon à la sortie de la commune. Le bief du Pré Carré prend sa source à Illiat puis entre dans le village avant de se jeter dans le ruisseau des Guillonnes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 910 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Baneins à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

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Carte des voies de communication.

Réseau routier

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Route D 96 à l'entrée du village.

Aucune autoroute ne traverse la commune mais il y en a trois à proximité :

Transport fluvial

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La Saône, qui marque la frontière ouest du département de l'Ain, est navigable à grand gabarit européen depuis Verdun-sur-le-Doubs jusqu'à Lyon. Elle constitue un axe de transport fluvial important entre l'est et la Méditerranée. Mâcon possède un port fluvial et la Saône est aussi appréciée pour le tourisme fluvial.

Transport aérien

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Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-André-d'Huiriat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mâcon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (99,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,3 %), terres arables (37,1 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (2,9 %), forêts (0,6 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Panneau d'entrée du village.

Attestations anciennes

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La première mention de la commune est donnée dans les chartes de Cluny en 917 sous le nom de Sancti Andreae ad Vureacum[12] alors qu'en 971, on trouve le nom de Sancti Andreae in Cimaloco.

Au milieu du XIIIe siècle, Saint Andre d'Uirie devient le nom pour se référer à la paroisse. Vers 1325, le pouillé du diocèse de Lyon mentionne Sanctus Andrea d'Uyria. En 1492, les archives de l'Ain citent Sanctum Andream Huyriaci tandis qu'on trouve Sanctus Andreas d'Uria en 1506. Au milieu de ce siècle, en 1563, les archives de la Côte-d'Or trouve le nom de la commune proche de la forme actuelle : Sainct André d'Huyria.

En 1612, soit une dizaine d'années après l'intégration du village à la France, le village devient Saint André d'Huriat, puis Saint André d'Uria ou Saint André d'Huriaz en 1757 selon les archives de l'Ain mais à la même période, on trouve Saint André d'Huria.

En 1793, on trouve le nom Saint André d'Huriat[13] mais porte durant la révolution le nom d'Huyriat avant de devenir en 1801 André-d'Huiziat puis Saint-André-d'Huiriat.

Origine du nom

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La commune doit en partie son nom à Saint-André, nom porté par de nombreux saints catholiques et orthodoxes. Le suffixe Huiriat vient du nom d'un domaine d´origine gallo-romaine nommé Uriacum. Ce nom provient du nom propre Urius, celui qui donne un vent favorable (épithète de Jupiter)[14].

Histoire

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Politique et administration

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Maires successifs

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
maire en 1835 ? M. Jacquemet   Conseiller d'arrondissement[15]
juin 1995 En cours Michel Dubost SE Retraité agricole
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Panneau annonçant le jumelage avec Straubenhardt.
 
Localisation des villes jumelées avec Saint-André-d'Huiriat.

La communauté de communes du canton de Pont-de-Veyle dont la commune fait partie est jumelée avec la commune de Straubenhardt localisée dans le Bade-Wurtemberg (  Allemagne) à la porte nord de la Forêt-Noire entre Karlsruhe et Pforzheim. Après quelques échanges entre associations en 1999, le jumelage entre Straubenhardt et le canton de Pont-de-Veyle a été concrétisé par la signature de la Charte lors de la grande fête organisée au Château de Pont-de-Veyle en 2000[16].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].

En 2021, la commune comptait 675 habitants[Note 2], en évolution de +16,58 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
377381423441454523494573602
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
590564587596587604579595554
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
541541522476488473469445447
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
410366317334368402497510539
2017 2021 - - - - - - -
626675-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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École primaire.

Avant 2013, l'école de Saint-André formait un RPI avec celle de Cruzilles-lès-Mépillat[20]. En , les deux écoles fusionnent et gardent les mêmes bâtiments dans les deux communes. Le site de Saint-André accueille les niveaux du CE2 au CM2.

Les élèves de cette école passant en 6e sont dirigés au collège George-Sand de Pont-de-Veyle. Enfin, le lycée de secteur de la commune est le lycée Lamartine, situé à Mâcon dans la région bourguignonne.

  • Le Football Club Veyle Saône remplace l'AS Saint-André-d'Huiriat depuis août 2014 et évolue au niveau régional au stade municipal.
  • L'Éveil de Saint-André-d'Huiriat propose de nombreuses activités dont du renforcement musculaire, de la boxe française, de la danse (salsa, danse moderne, hip-hop), du karaté, du running et du roller.

Médias

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  • Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
  • Le Journal de Saône-et-Loire est un quotidien proposant les actualités de Saône-et-Loire ainsi que celle de la rive gauche de la Saône.
  • Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
  • La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

Numérique

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Depuis, 2012[21], la commune dispose du très haut débit avec la fibre optique grâce au réseau public de fibre optique LIAin régi par le syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain.

Économie

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Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-André est inscrite au titre des monuments historiques depuis le .
  • Près de l'église est érigé un monument en l'honneur des enfants du village tombés au combat.
  • Le château de la Falconnière date du XVIIIe siècle et est situé au sud-est du bourg. Il remplace une ancienne maison forte citée en 1447[22].
  • motte dite « poype de Clavagris »[22].
  • Un autre château se situe sur le territoire de la commune, il s'agit du château de Bourdonnel.
  • Au lieu-dit la Balmondière, on trouve une maison forte du XVIe siècle avec son pigeonnier.
  • Au centre du village, on trouve un lavoir.
  • Près du stade de football, on trouve une statue de la Vierge Marie construite en 1900.

Gastronomie

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Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane[23].

La commune se situe dans l'aire géographique de l'AOC Crème et beurre de Bresse[24] et de l'AOC Volailles de Bresse[25].

Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain (sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé)[26].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-André-d'Huiriat et Baneins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Dictionnaire topographique de l'Ain, p. 368
  13. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  14. Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs », sur henrysuter.ch.
  15. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale », sur Gallica, (consulté le ).
  16. « Jumelage du canton de Pont-de-Veyle avec Straubenhardt (Allemagne) », sur pont-de-veyle.com.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Bulletin municipal 2014, n°32, p.14, sur cruzilleslesmepillat.fr.
  21. Saint-André-d’Huiriat - La fibre optique arrive dans la commune, sur leprogres.fr.
  22. a et b Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 26 (cf. Saint-André-d'Huiriat).
  23. Bourg-en-Bresse, ville départ, sur letour.fr.
  24. « Aire géographique de l'AOC Crème de Bresse. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  25. « Aire géographique de l'AOC Volaille de Bresse. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  26. « Saint-André-d'Huiriat, commune viticole », sur Vin Vigne (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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