Saint-Jean-d'Ataux
Saint-Jean-d'Ataux est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Jean-d'Ataux | |||||
Le village de Saint-Jean-d'Ataux. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord | ||||
Maire Mandat |
Jean-Michel Sébastien 2020-2026 |
||||
Code postal | 24190 | ||||
Code commune | 24424 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Atauziens ou Saint-Jeannois | ||||
Population municipale |
135 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 08′ 34″ nord, 0° 24′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 71 m Max. 157 m |
||||
Superficie | 12,11 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Isle | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Géographie
modifierGénéralités
modifierÀ l'ouest du département de la Dordogne, en forêt de la Double, la commune de Saint-Jean-d'Ataux est arrosée par la Beauronne et plusieurs de ses affluents.
En bordure de la route départementale (RD) 41, le village de Saint-Jean-d'Ataux se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'ouest de Saint-Astier, treize kilomètres au nord-nord-est de Mussidan et autant au sud-est de Ribérac.
Le territoire communal est traversé du nord au sud par la RD 709 qui relie Ribérac et Mussidan.
Communes limitrophes
modifierSaint-Jean-d'Ataux est limitrophe de cinq autres communes. À l'ouest, son territoire est distant d'environ 130 mètres de celui de Saint-André-de-Double.
Géologie et relief
modifierGéologie
modifierSitué sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Jean-d'Ataux est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||
Pléistocène | non présent | |||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| ||||||||||
Éocène |
| |||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
non présent | |||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
modifierLe département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 71 mètres[5] au sud, juste en amont du lieu-dit le Moulin de Milliol, là où la Beauronne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Beauronne et de Douzillac, et 157 mètres[5] à l'extrême nord-est, à l'est de l'étang d'Ataux, en limite des communes de Chantérac et de Saint-Germain-du-Salembre[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 12,11 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,05 km2[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Beauronne, le Rieutord, le Bardot, le ruisseau de Rieu Quérieu et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[15],[Carte 1].
La Beauronne, d'une longueur totale de 18,12 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac ; son bras oriental se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Saint-Front-de-Pradoux et de Saint-Louis-en-l'Isle, face à Sourzac[16],[17]. Elle traverse la commune du nord au sud sur près de cinq kilomètres et demi, lui servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre et demi en deux tronçons, face à Saint-Vincent-de-Connezac au nord et Douzillac au sud.
Son affluent de rive gauche le Rieutord arrose l'est du territoire communal sur près de cinq kilomètres, servant de limite territoriale en trois tronçons sur près de trois kilomètres, face à Saint-Germain-du-Salembre.
Deux autres affluents de la Beauronne bordent la commune : le ruisseau de Rieu Quérieu en rive droite au sud-ouest sur trois kilomètres et demi, face à Beauronne, et le Bardot en rive gauche au nord-est sur un kilomètre et demi, face à Chantérac.
-
La Beauronne en limites de Douzillac et Saint-Jean-d'Ataux.
-
L'étang d'Ataux.
-
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Jean-d'Ataux.
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac à 11 km à vol d'oiseau[23], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 916,6 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Jean-d'Ataux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[28] et hors attraction des villes[29],[30].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,5 %), zones agricoles hétérogènes (22,5 %), prairies (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
modifier(Liste non exhaustive)
Outre le petit bourg de Saint-Jean-d'Ataux proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[32] :
- les Belles Places
- Billebeau
- le Bleuil
- les Bouyssoux
- Chanteperdrix
- chez Coste
- Claud de la Pouge
- Claud Marty
- la Croix de Barrière
- les Fontenelles
- le Grand Claud
- le Gué de l'Âne
- Landes des Martelles
- la Latte
- les Marroux
- les Martelles
- le Moulin de Billebeau
- le Moulin du Bleuil
- la Pièce du Claud
- les Planches
- les Pouges
- Puy de Siorac
- Puymarchou
- la Roche
- Sandeau
- la Siboutie
- les Sirieix
- la Veyssière.
Prévention des risques
modifierLe territoire de la commune de Saint-Jean-d'Ataux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Saint-Jean-d'Ataux est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 97,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[40].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986 et 1999, par la sécheresse en 1992 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[33].
Toponymie
modifierLe nom de la commune fait référence à saint Jean-Baptiste alors qu'« Ataux » pourrait provenir d'un personnage d'origine germanique nommé Asthaldwulf[41], Astaldus ou Hastadus[42].
En occitan limousin[43], la commune porte le nom de Sent Joan d'Astaus[41].
Histoire
modifierLe nom du village apparaît au XIIIe siècle sous la forme « Astaut », puis « Astaux » au siècle suivant[42]. Les premières mentions connues de son église, Sanctus Johannes Atauli, Sanctus Johannes d'Atauli ou Sanctus Johannes de Atauxo, sont encore plus tardives puisqu'elles sont avérées au XVe siècle[42].
Au XIVe siècle, le lieu était rattaché à la châtellenie de Saint-Astier[44].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Jean d'Ateaux[45].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierDès 1790, la commune de Saint-Jean-d'Ataux a été rattachée au canton de Neuvic qui dépendait du district de Mussidan (nommé district de Montpon dans un premier temps) jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Ribérac, puis à l'arrondissement de Périgueux en 1926[5].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Isle.
Intercommunalité
modifierFin 2003, Saint-Jean-d'Ataux intègre la communauté de communes de la Moyenne Vallée de l'Isle créée sept ans plus tôt. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.
Administration municipale
modifierLa population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEnseignement
modifierEn 2019, la commune n'a pas d'école. Saint-Jean-d'Ataux est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Saint-André-de-Double et Saint-Vincent-de-Connezac[51] au niveau des classes de primaire.
Justice
modifierEn 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Jean-d'Ataux relève[52] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Atauziens ou les Saint-Jeannois[53].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].
En 2021, la commune comptait 135 habitants[Note 7], en évolution de +13,45 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierEmploi
modifierEn 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante-deux personnes, soit 43,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a augmenté par rapport à 2010 (quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,5 %.
Établissements
modifierAu , la commune compte dix établissements[58], dont trois au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux dans la construction, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[59].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Jean-Baptiste du XIe siècle[44] dont le chœur a conservé son architecture romane alors que la nef a été refaite au XVIIIe siècle[42].
-
L'église Saint-Jean-Baptiste. -
Sa nef. -
Pigeonnier dans le village de Saint-Jean-d'Ataux.
Patrimoine naturel
modifierTraversant le territoire communal du nord au sud, la Beauronne fait partie, avec plusieurs de ses affluents, des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000[60] pour la conservation d'espèces animales européennes menacées. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[61].
En pleine forêt de la Double, la totalité du territoire communal fait partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2, essentiellement forestière[62],[63].
Personnalités liées à la commune
modifierPour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Démissionnaire.
- Décédé en fonctions.
- De 1915 à 1919, en l'absence de Gaston Chevalier, c'est son adjoint Adrien Lavignac, qui a fait fonctions de maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Jean-d'Ataux » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Jean-d'Ataux » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Jean-d'Ataux », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Jean-d'Ataux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Jean-d'Ataux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- « Confluence Beauronne-Isle au sud-est du château de Beaufort » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2022)..
- Sandre, « la Beauronne »
- « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Jean-d'Ataux et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martin Rib. » (commune de Saint-Martin-de-Ribérac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martin Rib. » (commune de Saint-Martin-de-Ribérac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « St-Jean-d'Ataux » sur Géoportail (consulté le 23 novembre 2014)..
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jean-d'Ataux », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Joan d'Astaus sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 328-329.
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
- Florence Broussaud-Le Strat, La Double Un pays en Périgord, Éditions Fanlac, 2006, (ISBN 2-86577-252-7), p. 93.
- « St Jean d'Ateaux » sur Géoportail (consulté le 25 mars 2013)..
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
- Registres de délibérations communales (périodes 1880-1950 et 1960-1990) + registres de mariages (période 1950-1960) de la mairie de Saint-Jean-d'Ataux, consultés le 18 juillet 2013.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 19.
- Bernard Gillibert, « Une belle école pour les Doublautins », Sud Ouest édition Périgueux, 27 décembre 2019, p. 16d.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Mediapress, Périgueux, 2009, (ISSN 1770-3387), p. 250.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Dossier complet - Commune de Saint-Jean-d'Ataux (24424) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Jean-d'Ataux (24424) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
- Carte des Vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 25 mars 2013.
- Vallées de la Double sur le site du réseau Natura 2000, consulté le 25 mars 2013.
- [PDF] La Double orientale sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 25 mars 2013.
- Carte de La Double orientale sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 25 mars 2013.