Saint-Pierre-la-Garenne
Saint-Pierre-la-Garenne est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Saint-Pierre-la-Garenne | |
Dans ce hameau se situe une importante écluse de la Seine. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | CA Seine-Eure |
Maire Mandat |
Liliane Bourgeois 2020-2026 |
Code postal | 27600 |
Code commune | 27599 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Garennaise, Saint-Garennais |
Population municipale |
918 hab. (2021 ) |
Densité | 120 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 08′ 43″ nord, 1° 23′ 47″ est |
Altitude | Min. 11 m Max. 134 m |
Superficie | 7,64 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gaillon |
Législatives | 4e circonscription de l'Eure |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://ancien-site-st-pierre.utopiaconsulting.fr/ |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierSaint-Pierre-la-Garenne, limitrophe de Gaillon, est située dans la vallée de la Seine, à 8 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Vernon, 22 km au nord-est d'Évreux, 19 km au sud-est de Val-de-Reuil, 11 km au sud des Andelys.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Notre-Dame-de-l'Isle, La Chapelle-Longueville, Saint-Pierre-de-Bailleul, Saint-Aubin-sur-Gaillon, Port-Mort et Gaillon.
Hydrographie
modifierLe territoire communal est limité au nord par le fleuve la Seine.
L'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne sur la Seine se trouve en partie sur la commune et à Port-Mort.
L'île Besac[1] est partagée entre Port-Mort et Saint-Pierre-la-Garenne.
Le ruisseau de Saint-Ouen[2] marque la délimitation, au Goulet, de Saint-Pierre-la-Garenne et de La Chapelle-Longueville.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Muids à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 609,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Pierre-la-Garenne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,9 %), prairies (23,6 %), zones urbanisées (10,8 %), forêts (10,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,8 %), eaux continentales[Note 2] (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
modifierLa commune compte deux hameaux sur la Seine :Le Goulet, partagé avec Saint-Pierre-d'Autils et Saint-Pierre-de-Bailleul, et Notre-Dame de la Garenne, où se trouve une partie de l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne.
Bailly est le chef-lieu. Plus au sud se trouve Émainville.
Habitat et logement
modifierEn 2013 et 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 408, alors qu'il était de 388 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 90,7 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Pierre-la-Garenne en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) inférieure à celle du département (6,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,9 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Saint-Pierre-la-Garenne[I 2] | Eure[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 90,7 | 85,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,2 | 6,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,2 | 8,3 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par l'ancienne route nationale 15 (actuelle RD 6015) sur l'axe Vernon - Gaillon.
Une liaison piétonnière et cyclable au niveau de l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne[12] a vocation à rouvrir dans le courant de l'année 2017[Passage à actualiser].
La commune est traversée par la ligne ferroviaire de Paris à Rouen. La station de chemin de fer la plus proche est la Gare de Gaillon - Aubevoye, desservie par des trains du réseau TER Normandie de la relation Rouen-Rive-Droite – Val-de-Reuil – Vernon - Giverny – Mantes-la-Jolie – Paris-Saint-Lazare
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous la forme Sancti Petri vers 1024[13], Sanctus Petrus de Garenna en 1255[14], Sanctus Petrus de Garanna en 1265 (titres de Saint-Ouen).
Saint-Pierre est un hagiotoponyme faisant référence à l'église Saint Pierre dédiée à Pierre (apôtre). Une garenne est un espace boisé ou herbeux où vivent des lapins sauvages.
Le hameau d’Émainville (à ne pas confondre avec Émanville, commune de l'Eure) est attesté dès l'époque ducale, vers 1024, sous la forme Smit villa[15],[16]. Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé d'un anthroponyme selon le cas général[15],[16]. On identifie généralement le nom de personne scandinave Smidr orthographié diversement selon les auteurs[15],[16] (comprendre vieux norrois Smiðr ou vieux danois Smith « forgeron, artisan »[17], identique à l'anglais Smith), surnom disparu de Normandie au profit de son équivalent en langue d'oïl Lefebvre / Lefèvre. On le rencontre également dans Émiéville (Calvados, Esmitvilla 1129 - 1131)[15],[16].
Remarques : Émainville est située à la limite de l'aire de diffusion de la toponymie anglo-scandinave au sud-est de la Normandie. L'évolution phonétique Smit- > Émain- s'explique par le phénomène régulier d'épenthèse dans certaines langues romanes : s- (+ consonne) > es-, puis évolution caractéristique de la langue d’oïl es- > é- (contrairement à l'occitan et à l'espagnol qui conservent es-) et en ce qui concerne la syllabe -main- : évolution de -mit- > -mi- par amuïssement régulier de -t- devant consonne et enfin nasalisation de -mi- en -min-, noté -main-.
Histoire
modifierMoyen Âge
modifierC'est près du Goulet que Jean sans Terre, revenu d'Angleterre, rencontra Philippe Auguste et parviendront le à la paix du Goulet[18].
Époque contemporaine
modifierLa commune a été desservie par la gare du Goulet dès 1843, mais le bâtiment de la gare n'est construit qu'en 1905. Cette gare est désaffectée de longue date.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.
Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Gaillon, année où elle intègre le canton de Gaillon-Campagne[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Gaillon, porté de 2 à 27 communes
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Eure.
Intercommunalité
modifierSaint-Pierre-la-Garenne est membre fondateur de la communauté d'agglomération Seine-Eure (CASE), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 initialement sous le statut de communauté de communes et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2021, la commune comptait 918 habitants[Note 3], en évolution de −2,24 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierL'entreprise Syngenta dispose d'un site de production à Saint-Pierre-la-Garenne, où elle produit des produits phytosanitaires (herbicide, fongicide, insecticide, acaricide, protection des semences, etc.)[26],[27].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château de Fontenétain[28] du XVIIIe siècle
- Édifice fortifié[29] dans le bois du Val-Asselin : fouilles de deux buttes circulaires jumelles en 1919 menées par Alphonse-Georges Poulain et Henri Gadeau de Kerville[30]
- Église paroissiale Saint-Pierre[31]
- Manoir à Tourneville[32]
- Maison à Tourneville[33]
- Manoir à Émainville[34]
- Lavoir.
-
L'église Saint-Pierre.
-
Le cimetière.
-
Le manoir de Dormont.
-
L'ancienne gare.
-
Habitation.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean-Louis Langlois (1805, Saint-Pierre-la-Garenne - 1855), avocat et homme politique, député de l'Eure en 1848.
- Albert Raphaël ( - à Saint-Pierre-la-Garenne où il est enterré)[35] alias professeur Cincinnatus Maladolli, dresseur de chevaux, créateur du cirque caucasien installé dans sa ferme des Farguettes, où il régnait sur une petite communauté de palefreniers et hommes de piste chargés d’entretenir ses animaux exotiques tels que des lamas, cerfs, zèbres, zébus qu’il dressait pour son cirque personnel[36],[37]. François de Closets parle de lui[38].
L'Espace Malladoli porte son nom.
Héraldique
modifierBlason | D'argent à trois chevrons de gueules accompagnés de trois coquilles du même. |
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Détails | Adopté en 1998. |
Pour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Dossier complet : Commune de Saint-Pierre-la-Garenne (27599) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Saint-Pierre-la-Garenne » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Pierre-la-Garenne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Pierre-la-Garenne - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Eure - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- ZNIEFF 230030978 - L'île Besac sur le site de l’INPN..
- SANDRE, « Fiche ruisseau de Saint-Ouen (H3209000) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-la-Garenne et Muids », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Muids » (commune de Muids) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Muids » (commune de Muids) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- [1]
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35000 noms de lieux, 4 volumes, Genève, Droz, 1990-1998, p. 1571.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 206.
- François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 169
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II , Librairie Droz 1991. p. 1022.
- Site de Nordic Names : origine de l'anthroponyme Smiðr [2]
- Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 64.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Paul Gosselin, « Saint-Pierre-la-Garenne : André Renault fait maire honoraire : Une juste reconnaissance pour celui qui a beaucoup donné et beaucoup fait pour la commune durant près d'un demi-siècle », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- « André Renault, ancien maire de Saint-Pierre-la-Garenne, nous a quittés : André Renault a été maire de Saint-Pierre-la-Garenne (Eure) pendant 27 ans. À l'âge de 84 ans, celui qui a aussi été chef d'entreprise, nous a quittés », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Dédé » fut élu conseiller municipal de Saint-Pierre-la-Garenne dès 1965. Il devient ensuite premier adjoint du maire Pierre Grosjean. En mai 1987, après la démission de Gaston Ruck, qui avait pris la suite de Pierre Grosjean, André Renault est élu maire. Il occupera durant 27 ans le siège de premier magistrat ».
- Aurélie Hébert, « Liliane Bourgeois reste à la tête de la mairie de Saint-Pierre-la-Garenne : Sans surprise, Liliane Bourgeois a été reconduite à la tête de Saint-Pierre-la-Garenne lors du conseil d'installation le mardi 26 mai 2020. Elle sera entourée de trois adjoints », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Liliane Bourgeois a été réélue à la tête de la mairie, obtenant 15 voix sur 15. En effet, lors du scrutin du 15 mars dernier, la liste de Liliane Bourgeois avait été plébiscitée face à la liste emmenée par Jocelyne Doom ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Classée Seveso, l'entreprise Syngenta sécurise la rue du Fond du Val à Saint-Pierre-la Garenne : Le financement est celui de Syngenta mais la réalisation de la sécurisation est l'aboutissement du combat de 'La Sauvegarde' et de son regretté président Patrick Barbosa. », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Paul Gosselin, « Syngenta recrute sur son site de Saint-Pierre-la-Garenne dans l’Eure : Liée au développement d'un produit utilisable en agriculture biologique, la campagne de recrutement sera lancée ce mercredi 9 janvier à Pole Emploi à Vernon. », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- « Château de Fontenetain », notice no IA00017751.
- « Édifice fortifié », notice no IA00018314.
- Alphonse-Georges Poulain et Henri Gadeau de Kerville, Exploration de deux buttes circulaires jumelles, situées dans un bois à Saint-Pierre-la-Garenne, 1919 (bois du Val-Asselin « Édifice fortifié », notice no IA00018314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.)
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00017750.
- « Manoir à Tourneville », notice no IA00017753.
- « Maison à Tourneville », notice no IA00018316.
- « Manoir à Émainville », notice no IA00017752.
- Albert Raphaël sur data.bnf.fr.
- Michel de Decker, « Le professeur Maladolli », Patrimoine normand, no 77, (lire en ligne, consulté le ).
- Aurélie Hébert, « Dans le secteur de Gaillon. Au fil des tombes, l'histoire locale se dévoile : Ils ont été maire, artistes, bienfaiteurs, célèbres... et reposent en paix dans nos cimetières du secteur de Gaillon (Eure). Leurs tombes sont de véritables pages d'histoire », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- Le monde était à nous.