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Valderoure

commune française du département des Alpes-Maritimes

Valderoure est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Valderoure
Valderoure
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption-et-Saint-Roch.
Blason de Valderoure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Vacant
2020-2026
Code postal 06750
Code commune 06154
Démographie
Gentilé Valderourois
Population
municipale
495 hab. (2021 en évolution de +15,38 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 51″ nord, 6° 42′ 39″ est
Altitude Min. 1 027 m
Max. 1 645 m
Superficie 25,34 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grasse-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Valderoure
Géolocalisation sur la carte : France
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Valderoure
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Valderoure
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Valderoure

Ses habitants sont appelés les Valderourois.

Géographie

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Localisation

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Commune située en bordure du département du Var, à 14 km de La Martre, dans le parc naturel régional des Préalpes d'Azur.

Géologie et relief

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Le village est au cœur de la plaine de La Lane, et adossé à la barre rocheuse de Baurroux.

Massifs environnants : Montagne de Bleine.

Sismicité

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La commune est située dans une zone de sismicité moyenne[1],[2].

Hydrographie et eaux souterraines

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Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

  • rivière l'Artuby,
  • rivière la Lane,
  • ravin de la péguière,
  • torrent des bonnes fonts.

Valderoure dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 500 équivalent-habitants[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 048 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Mas », sur la commune du Mas à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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La route nationale N85, qui constitue une partie de la route Napoléon, passe à proximité. La commune étant desservie par les départementales D2211 et D2.

Transports en commun

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Commune desservie par le réseau "Sillages[12].

Intercommunalité

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Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Valderoure est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,3 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1 %)[17].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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L'origine du nom Valderoure est Provençale et signifie "la vallée des chênes".

Histoire

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Le territoire est occupé dès la préhistoire, puis par les Romains comme le montrent quelques pièces.

Valderoure est née de la scission de la seigneurie de Séranon en deux communes. Dès cette époque, le vieux village (Grand Glise) est petit à petit délaissé, les matériaux de construction serviront en grande partie à créer l'actuel village de Séranon. De son côté, la vallée de la Lane qui accueille Valderoure va prospérer sur le modèle d'un habitat dispersé tout au long de la plaine en petits hameaux, tous situés sur le territoire de la commune de Valderoure : le Clos de Giraud, Fauchier, Valentin, Caillon et Malamaire et deux lieux-dits plus importants, la Ferrière et Valderoure.

Au XVIIe siècle, Valderoure, la vallée des roures (chênes), de développe alors que Séranon dépérit. Elle est alors érigée en paroisse.

Le , Valderoure est séparé de Séranon et devient une commune. Son maire, Jean-Antoine David procède à la vente des biens des institutions religieuses dont le domaine de Pugnefort.

Les Templiers et les Hospitaliers

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Au Moyen Âge, les Templiers ont possédé des biens sur le territoire, dont le château-fort de Saint-Pierre de Serro, au-dessus de La Ferrière. Après la suppression de l'ordre, en 1309, leurs propriétés passèrent à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui les a gardé jusqu'à la Révolution. Après 1454, les chevaliers ne furent plus présents sur le site mais se contentèrent de percevoir les dîmes et de rendre la justice. Leurs propriétés dépendaient du commandeur de Thorenc. Les Hospitaliers possédèrent le domaine de Pugnefort comprenant un moulin et trois cents hectares de terre[18].

Politique et administration

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 1995 Rémy David    
juin 1995 avril 2013 Sylvain Butelli SE  
juin 2013 juillet 2021 Jean-Paul Henry DVG Retraité Fonction publique
2021 En cours Bernard Roux    

Budget et fiscalité 2016

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En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

  • total des produits de fonctionnement : 530 000 , soit 1 252  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 555 000 , soit 1 313  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 110 000 , soit 259  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 128 000 , soit 302  par habitant ;
  • endettement : 512 000 , soit 1 210  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 9,83 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 22,02 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 447 [20].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Pyramide des âges

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 495 habitants[Note 2], en évolution de +15,38 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350295309317309354351319329
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
317322341355353320333262235
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
229215205180171146155157155
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
111132110167178306375384421
2017 2021 - - - - - - -
452495-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[25] :

  • Écoles maternelles à Séranon, Saint-Auban, Andon,
  • École primaire[26],
  • Collèges à Saint-Vallier-de-Thiey, Castellane, Annot,
  • Lycées à Grasse.

Professionnels et établissements de santé[27] :

  • La maison médicale[28],
  • Médecins à Valderoure, Saint-Vallier-de-Thiey,
  • Pharmacie à Saint-Vallier-de-Thiey, Saint-Cézaire-sur-Siagne,
  • Hôpitaux à Castellane, Cabris.

Économie

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Activités agricoles[31].
  • Producteur de plantes médicinales et aromatiques en agriculture biologique et biodynamique.

Tourisme

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Commerces et services

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  • Commerces et services de proximité[34].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La chapelle Saint-Léonce avec un sarcophage gallo-romain.

Patrimoine religieux[35] :

Autres patrimoines et lieux de mémoire :

  • Ancienne maison forte au hameau de Malamaire, construite au XVIIIe siècle, place forte des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui possédaient le domaine de Pugnafort avec son château et son moulin (à Malamaire) et trois cents hectares de terres[44].
  • Lavoirs[45].
  • Monument aux morts[46],[47].

Héraldique

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  Blason
D'argent à la branche de chêne rouvre de sinople, englantée d'or, chaussé de sinople.
Devise
Semper robur (Toujours solide)[48].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  Blason
Texte blasonnement manquant[49].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Didacticiel de la règlementation parasismique
  2. Dossier Départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-Maritimes
  3. L'eau dans la commune
  4. Description de la station
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Valderoure et Le Mas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. Commune desservie par le réseau Sillages
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Commanderie de Saint-Jean-de-Jérusalem : Inventaire sommaire des Archives hospitalières antérieures à 1792: série H : Pugnefort
  19. Les comptes de la commune
  20. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Établissements d'enseignements
  26. École élémentaire
  27. Professionnels et établissements de santé
  28. Maison de santé rurale
  29. Paroisse Sainte-Marie-des-Sources
  30. Centre régional bouddhiste de la tradition Karma Kagyu
  31. Les produits locaux dans le Pays de Grasse
  32. Domaine équestre de Val Ranch à Valderoure (06) et La Martre (83)
  33. Gîtes ruraux et chambres d'hôtes
  34. Commerces et services de proximité
  35. L'histoire et le patrimoine de la commune
  36. Les églises et édifices religieux, recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
  37. Église Saint-Roch, le soutien de la Fondation du patrimoine à restauration de l'église
  38. « Chapelle Saint-Léonce (vestiges) », notice no PA00080905, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Chapelle Saint-Léonce (vestiges)
  40. Chapelle Saint-Léonce
  41. Chapelle romane, ancienne dépendance de l'abbaye de Lérins
  42. Chapelle Saint-Jean-Baptiste
  43. Institut Karmapa
  44. Valderoure qui dépendait initialement de Séranon
  45. Oratoires, lavoir...
  46. Livret des moments de vie des soldats inscrits sur le Monument aux Morts pour la guerre de 1914/1918
  47. Monument aux morts, Conflits commémorés Première Guerre mondiale et Seconde Guerre mondiale
  48. Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Valderoure », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  49. « Armorial de Valderoure », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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