Villers-Pol
Villers-Pol est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Villers-Pol | |||||
La mairie de Villers-Pol. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de Mormal | ||||
Maire Mandat |
Olivier Yzanic 2020-2026 |
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Code postal | 59530 | ||||
Code commune | 59626 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 262 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 104 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 17′ 08″ nord, 3° 37′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 124 m |
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Superficie | 12,17 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Le Quesnoy (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valenciennes (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-sur-Helpe | ||||
Législatives | 12e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://villerspol.fr | ||||
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Géographie
modifierDescription
modifierVillers-Pol fait partie de l'Avesnois, région naturelle composant elle-même la partie sud du Hainaut. L'urbanisation de la Commune s'est initialement développée le long de la Rhonelle puis, plus récemment, vers la route départementale 934. Villers-Pol se situe sur une des sept anciennes voies romaines autour de Bavay à 5 km au nord du Quesnoy. Hameau : En son extrémité nord-ouest, elle comprend un hameau dénommé "Le Wult" situé également sur le territoire des communes voisines de Préseau et Maresches.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Rhonelle, le ruisseau de l'Ange et[1],[Carte 1].
La Rhonelle, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Locquignol et se jette dans le Vieil Escaut à Valenciennes, après avoir traversé douze communes[2].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang du Moulin (0,3 ha)[Carte 1],[3].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Villers-Pol est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Le Quesnoy[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,8 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (7,6 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie-Etymologie
modifierNoms anciens : 1057 : Vilarium, 1121 : Vilare episcopi, 1142 : Vileirs , 1186 : Villers-Sirpol, Etymologie : La terminaison "Pol" du nom de la Commune correspond probablement au nom d'un des seigneurs de la localité, à savoir Polius de Vileir.
Histoire
modifierDe traces d'habitations romaines ont été trouvées à Villers-Pol. Un texte de 885 mentionne Villare, quae est sita in pago hagnoense (Villare dans le pays d'Hainaut) Il fallait bien specifier, avec tant de villages nommé Villers. Le clergé utilisait (1142) le latin Villare episcopi[17]. Il n'en était pas pareil pour le peuple: Vulgo dictus Villare Polii, Gallicè Villers Pol (Appelé par le peuple Villare Polii, en français Villers Pol)[18]
Le seigneur de Villare episcopi était donc un évêque: c'était celui de Cambrai, qui possédait dès 885 la terre et la cure. Dans la période féodale l'évêque offre des parties de la terre en don, il les reprend, mais toujours les liens de dépendance envers l'évêché de Cambrai restent enracinés.
Toujours au Moyen Âge, sous les ducs de Bourgogne comtes palatins de Hainaut, le bourg est signalé dans les actes des échevins, Villers Monseigneur Polle. Des notables de Valenciennes et de Le Quesnoy possédaient également des bois (futaies), prés, terres ahanables (labourables), et courtils sur l'entité. En effet, dans les archives du Chapitre métropolitain de Cambrai[19], des parchemins mentionnent entre les années 1451 et 1457, les héritages que ces familles possédaient sur Villers-Pol et, dont certaines firent des donations partielles à l'évêché : telles, Marguerite des Ghaukiers veuve de Jehan de Mons, châtelain, gouverneur du Quesnoy et, Marguerite de Maroilles veuve de Jehan de Surie (ou, de Sury(e)), échevin de Le Quesnoy, qui détenaient ensemble des prés au lieu-dit « au chemin Tommesiau », attenant aux terres de la Maison (cense) de le Follie, aux terres de la cense du Linsoit et aux terres de l'abbaye d'Orsinval[20]; héritages de bois (futaies), au lieu-dit « au chemin de le Haie » détenus par les hoirs Jacquemart de Bohaing et de Piérart de Ruesnes ; les terres de Hauwain de Kievraing (ou, Hauwiel de Quiévrain, chevalier) et de Jacquemart dou Melz (ou, du Melz), près de « l'arbre de la Croisette » ; les terres de Jehan d'Oisy, de Jehan de Segry, et de Martin de Frasnes, attenant au lieu-dit « aux buissons à Welt », etc. Ces parchemins, riches d'enseignement pour la connaissance des anciens lieux-dits de la commune, nous relatent aussi les mouvances de fiefs et les passations d'héritages familiaux, dont une partie, comme signalé plus haut, tombait dans l'escarcelle de l'évêché. La paroisse de Villers-Pol, qui comprenait aussi Orsinval, dépendait du décanat de Valenciennes, et cela du XIIe siècle jusqu'à la Révolution.
En 1790, un incendie détruit les archives et ravage l'église ainsi qu'une trentaine de maisons.
Villers-Pol, occupé pendant la Première Guerre mondiale presque jusqu'à la fin du conflit, voit couler beaucoup de sang pour sa libération, début .
Politique et administration
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2021, la commune comptait 1 262 habitants[Note 5], en évolution de +1,53 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 639 hommes pour 645 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Martin de 1772, ravagée par un incendie en 1790, reconstruite.
- Plusieurs chapelles, dont celle de Sainte-Geneviève datant de 1632, la plus ancienne du canton.
- Calvaire de 1852 et 1909.
- Monument de l'abbé Lehu, curé de Villers-Pol et Orsinval tué en .
- L'extension du cimetière communal de Villers-Pol héberge 119 tombes de guerre de soldats tombés en à la Libération. Au cimetière, il y a aussi 74 Allemands enterrés.
- Ferme, brasserie dite brasserie Monier.
-
L'église Saint-Martin
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L'église, statue St.Saulve
-
Le monument aux morts
-
Chapelle de la Vierge Marie
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Calvaire
Personnalités liées à la commune
modifier- Jules Carlier-Caffieri, (1878-1964) né et mort est à Villers-Pol, est un homme politique français, député et maire.
Héraldique
modifierBlason | D'argent à la bande de sable chargée de trois fleurs de lis d'or. |
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Détails |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Villers-Pol sur le site de l'Institut géographique national
- « Villers-Pol »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Le Quesnoy comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Villers-Pol » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Fiche communale de Villers-Pol », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Rhonelle »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Pol et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Quesnoy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-Pol ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Charles Mériaux, Gallia irradiata: saints et sanctuaires dans le nord de la Gaule du haut Moyen Âge, 2006, pg 337
- Baldericus Noviomensis (évêque de Noyon et Tournai), environ 940, édition imprimé par Georgius Colvenerius, 1651: Chronicon Cameracense et Atrebatense, sive historia utriusque ecclesiae, III
- A.D.N. à Lille, Archives du Chapitre métropolitain de Cambrai. Donations et acquisitions à Villers-Pol (lez Le Quesnoy) entre les années 1451 et 1457, par l'évêché de Cambrai. Série « 4G133 », parchemins n°s 1994, 1995 (4 et 7 juin 1456), et 4726 (31 décembre 1453).
- Abbaye d'Orsinval : il s'agissait en réalité, du prieuré d'Orsinval près de la ville de Le Quesnoy, occupé par des moniales se rattachant à l'abbaye Notre-Dame d'Avesnes, de l'Ordre de Saint-Benoît. In « Nobiliaire universel de France ou recueil général de généalogies.. », vol 21, par Nicolas Viton de Saint-Allais, Chez l'auteur, Paris, 1843, p. 369.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
- « Jules, Léon, Ferdinand Carlier-Caffieri (1878-1964) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Dans le Quercitain, le conseil municipal de Villers-Pol est assis entre deux chaises », Nord Éclair, (lire en ligne, consulté le ).
- Estelle Baillieux, « Villers-Pol: Jean-François Chabot ne s'est jamais «imaginé être maire» », La Voix du Nord, édition Maubeuge et ses environs, (lire en ligne, consulté le ).
- « Un nouveau maire qui veut déjà préparer sa relève », L'Observateur de l'Avesnois, no 19461, , p. 28 (ISSN 0183-8415).
- E. B., « Villers-Pol: le second tour reporté, Jean-Marie Simon reste aux manettes malgré lui : Jean-Marie Simon s'apprêtait à raccrocher et à passer la main d'ici à quelques semaines. Au premier tour, aucun candidat des trois listes n'a été élu. Le report du deuxième tour le contraint à continuer sa mission de premier édile », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le )« À 72 ans, il avait pris sa décision de ne pas briguer de second mandat, pour « raisons médicales ».
- Paul Sion, « Villers-Pol : Olivier Yzanic arrive en tête au second tour des municipales avec 48,2% des voix », L'Observateur de l'Avesnois, (lire en ligne, consulté le ) « Il décroche donc 12 sièges sur 15 et s'assure la majorité au conseil municipal. Daniel Lotteau arrive en deuxième position avec 33,94 % des voix et obtient 2 sièges. Thierry Buissé ferme la marche avec 17,88 % des suffrages exprimés et 1 siège ».
- René Harbonnier, « Villers-Pol: Olivier Yzanic devient maire : Samedi matin, les 15 membres du conseil ont procédé à l'élection de leur maire et de ses quatre futurs adjoints », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Pol (59626) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).