La Fleur de Vie
La Fleur de Vie
La Fleur de Vie
Si l'on tente de mesurer par radiesthsie, le niveau vibratoire de cette fleur de vie, le pendule dpasse tous les indices et va bien au-del de 5 millions d'angstrms. En fait il s'agit de l'infini non mesurable, de mme ue la !arole de "ieu dans Ses #vlations. $'a%oute ue ce dessin bien plac dans une pi&ce 'voir le (eng Shui) augmente normment le niveau vibratoire de la pi&ce en rtablissant l' uilibre avec les forces telluri ues plus ou moins fortes du lieu. "e plus cela annihile tous les effets nfastes des ordinateurs et autres metteurs d'ondes lectro-magnti ues. *l est donc recommand pour un cabinet de travail thrapeuti ue, mais pas pour une chambre coucher ou une pi&ce vivre.
Elle est constitue d'un cercle, par le centre du uel passent 8 autres cercles ui engendrent eu9-mmes d'autres cercles : on se limite 5 cercles dans le sens de la hauteur et 5 dans les diagonales, le tout tant contenu dans un grand cercle. L'Arbre des Sephiroth, dont nous allons maintenant parler, est une des figures loges dans ce schma. Si vous ralise; vous-mmes ce dessin et ue vous tente; de le pro%eter en < dimensions, vous 5 dcouvrire; les 5 corps platoniciens ou pol5&dres rguliers, bases de tous nos s5st&mes de vie = le cube partir du carr, le ttra&dre partir du triangle uilatral divis en <, un octa&dre partir de l'he9agone ui comporte > faces de triangles uilatrau9 identi ues et enfin un dodca&dre pentagonal ui comporte dou;e facettes pentagonales identi ues, et enfin l'isoca&dre. ?a rotation du cube l'intrieur d'un cercle sur un angle de @-A, cre la molcule d'2"B ui est la base mme de la vie. ,e nombre de @-, li au nombre d'or, se rapporte au treillis de la ,onscience cosmi ue e9istant tout autour de notre globe terrestre. !our en savoir plus, lire le livre de "runvaloo Cl'ancien secret de la (leur de 3ieC au9 ditions 2riane 'prendre bien le temps d'intgrer le tome * avant de lire la suite).
tuni ue de peau ui est mas ue5protection& en passant de l'inaccompli l'accompli !mort soi-m6me comme e+pli u par le m(the dluge o7 toutes choses doit mourir sau% $o et sa tribu !8ense 9:: versets ;<5;;&. 4e premier retournement ! ui correspond plus une prise de conscience de notre nature d'6tre& a lieu au niveau de la ligne "od-$et3ah appele )=orte des "ommes) alors ue le vritable retournement, pour aller vers son accomplissement se vit au niveau de la gorge !donc vertbres cervicales> =orte des Dieu+& correspondant la note ?a@ du s(stme d'volution bas sur <A cha#ras.
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Ioute volution spirituelle reste blo ue, tant ue le probl&me soulev ou dsign de la sorte n'est pas rgl et ue la prise de ,onscience des comportements errons n'est pas venue.
.! Aspe%t ph&siolo/i'ue ,'est ainsi ue l'2rbre est la reprsentation du corps humain au plan ph5siologi ue, et ce titre, les di9 Sephiroth sont organises, on pourrait dire dresses la mani&re d'un corps 'c'est l u'on va commencer comprendre ue c'est vraiment une structure de vie, le s uelette temporel de l'homme divin). ?'6nergie premi&re de "ieu se matrialise dans la premi&re Sephira reprsente les racines ue sont les %ambes '0alHuth = le #o5aume), puis monte au comple9e uro-gnital et ses fonctions liminatrices et se9uelles 'Lesod), ensuite viennent le ventre et le torse avec leurs organes transformateurs et enfin le retour la tte au poste de commande '1ther). "e par leur rapport avec
les organes, les Sephiroth ont galement leurs correspondances avec l'nergti ue chinoise et l'enseignement indien et nous 5 retrouverons, outre les huit Cmerveilleu9 vaisseau9C, les centres d'nergie ue sont les CchaHrasC.
0! Aspe%t /u$risseur ,'est parce u'il 5 a en permanence un change entre ph5si ue, nergti ue, ps5chologi ue et spirituel, ue l'2rbre des Sephiroth peut tre considr comme un 2rbre gurisseur : en fait il nous renvoie invariablement notre conscience et nos propres capacits internes de gurison. ,'est le ,hrist gurisseur ue !aracelse appelait C0decin fid&leC, ui est en nous et ui fera le travail, dans la mesure oK il est sollicit = pour cela il nous faut entrer dans l'acceptation ue nous sommes rellement des CElohimC, des tres divins par essence. ,ha ue individu, en pntrant l'2rbre des Sephiroth,
incorpore en mme temps le Itragramme divin LM3M 'l'2rbre en tant aussi une pro%ection puis ue comme nous l'avons dit il est le rceptacle de la ?umi&re de "ieu) et entre donc bien dans sa destine terrestre ui est avant tout spirituelle 'la matrialit n'tant u'un outil pour la raliser). ?e cheminement sur notre voie d'volution devient alors une vritable progression alchimi ue 'transformations successives) ui nous emm&ne du sommeil de l'inconscience vers
l'Nuvre au Boir, puis vers l'Nuvre au Olanc par la !orte des Mommes, pour nous prparer au COan uet des "ieu9C, c'est--dire les CBoces 2lchimi uesC avec notre ,rateur, aboutissement de l'Nuvre au #ouge en passant la !orte des "ieu9. ?'Nuvre au #ouge n'est pas une fin en soi, mais doit se prolonger bien au-del. En effet, au-del du triangle suprieur, le chercheur est appel faire l'e9prience du #ien, du 3ide, celui ui tait l avant la ,ration et ui contient LE TOUT en potentialits. *l re%oint alors le feu primaire en ralisant la vritable unit avec l'*ntelligence ,ratrice. 2%outons ue selon une certaine tradition alchimi ue, l'tre humain doit parcourir plusieurs fois le circuit complet de l'2rbre, avant d'entrer dans cette pleine conscience. ,'est ainsi u' cha ue passage, il affine le travail sur lui, en dbus uant certaines facettes de lui ui taient restes mas ues au9 prcdents passages.
D1S2)I3TION 4A**ALIST1
,et 2rbre repose sur < colonnes ui permettent 'ou tentent de russir) l'harmonie et l' uilibre du monde = la responsabilit rside bien sGr dans les hommes ui voudront ou non mettre en application la philosophie ui s'en dgage. La %olo##e de /au%he est appel$e DIN soit la 5usti%e et %elle de droite HESED l'A(our! La %olo##e %e#trale est l'6ar(o#ie #o(($e TIPHERETH, d$%oula#t ou r$u#issa#t les deux autres!
Le (ot "A(our" de la %olo##e de droite rel&ve sans doute d'une traduction %uste dans un
conte9te gnral, mais certainement pas dans celui oK nous l'entendons couramment dans notre socit. En effet, sur un plan ontologi ue, "Hesed (1re sephira de la colonne de droite) est une force d'expansion et d'extension qui se laisse aller sa nature de !anire lar"e "#n#reuse et spontan#e$ %'est la force qui &a la force de l''tre qui n'est que ce qu'il est et qui tra&aille par identification par union co!!union proxi!it# inti!it# et resse!(lance$ %'est la totalit#$" '2rmand 2becassis, ?es temps du partage). ?e Mesed est donc l'nergie incorpore par celui ui recherche son "ieu 'dans son
image premi&re) et pour ce faire il est oblig de se dsorganiser 'casser ses structures premi&res) au ma9imum pour re%oindre "l'Etal# sur l'uni&ers" '"ieu dans la #vlation d'2r&s) en se donnant 'en ph5si ue = entropiePdsorganisation), et ui peut prendre toutes les formes de mani&re indiffrencie 'en ps5chologie cela reprsente tous les lQchers-prises ue l'on est oblig de faire en abandonnant toutes nos cro5ances et actes de vie errons, grQce au9 outils de discernement). 4n pourrait, d'une certaine mani&re le comparer au dernier he9agramme du Li-1ing nA8D C2vant l'accomplissementC, ou tout est faire maintenant ue toutes les nergies ont t nommes. Et comment faire autrement ue par l'2mour, ui est l'agent de crativit par e9cellence.
7! )1FL18ION 36ILOSO36I9:1 )1LI;I1:S1 !our bien comprendre l'importance de cette ide d' uilibre et d'harmonie comme %uste dosage de l'2mour et de la $ustice, il est intressant de comparer les trois grandes religions en regard de la thorie des < colonnes. 0me si une schmatisation est rductrice par principe, elle a le mrite de donner penser, au-del de toutes les ractions de votre part, vous lecteur. "'ailleurs toute raction, n'est-elle pas le signe u'une vrit est en train de nous titiller pour faire un travail de sape dans nos certitudes E ,'est ainsi ue le 2hristia#is(e a port son choi9 sur le culte de l'2mour. *l a h5pertrophi la notion bibli ue en enseignant ue l'amour divin comble l'homme de ses grQces et ue les rapports entre les hommes doivent tre bass uni uement sur l'amour et la charit 'pilier de droite). En ignorant pres ue totalement le second pilier, le christianisme a provo u un affaiblissement de la conscience morale et a ouvert la porte au9 graves crises sociales au milieu des uelles l'hu(a#it$ %her%he e# <ai# la s&#thse de l'a(our et de la =usti%e so%iale! ?'Isla(, au contraire, a pous le )in pouss l'e9trme, l'ide de la loi absolue. *l l'a rig en cro5ance e9clusive et, l'appli uant au principe universel, il proclame la dpendance de l'homme envers une loi omnipotente, aussi bien dans sa volont ue dans ses oeuvres et sa destine. ?'homme est soumis, impuissant, au9 dcrets absolus de "ieu, la prdestination du bien et du mal, la fatalit. 2insi, la civilisation musulmane a-t-elle pu former des populations dont certaines franges peuvent facilement tomber dans le pi&ge du fanatisme ui dborde vers le terrorisme, seule faRon pour les fanati ues d'imposer leur loi. Et bien sGr, la force e9altante de l'amour fait dfaut, de ce fait, l'islam ne peut, lui non plus, tracer pour l'humanit la voie du salut. La reli/io# de *ouddha> 'et ses religions cousines comme le ShivaSsme, l'*ndouisme ou le 3ishnouSsme...) a voulu se rattacher l'a9e du milieu. ,e furent les peuples du Cro5aume du milieuC ui eurent les contacts les plus directs et les plus anciens avec les communauts %uives, mais leurs grands sages dlaiss&rent un autre aspect du %udaSsme et certainement le principal. En effet les trois colonnes n'e9istent ue pour soutenir l'difice lui-mme, ui comprend le plan suprieur 'forces spirituelles), le plan mdian 'forces morales) et le plan infrieur 'forces matrielles). 4r le salut du monde dpend du maintien de l'harmonie prconRue dans l'ensemble de ces divers lments. Et le Oouddhisme, tout en recherchant la voie du milieu, est rest fig dans les sph&res suprieures, oK il se perd dans la contemplation m5sti ue. !arall&lement, il e9ige une vie ascti ue, considrant ue la souffrance, ui est le contenu de la vie humaine, rsulte de la passion, et ue le renoncement soimme est le seul mo5en de s'affranchir de cette derni&re. En se dtournant ainsi de la sph&re infrieure, de la vie concr&te sous toutes ses formes, au lieu de tenir compte de sa ralit 'ne dit-il pas ue le monde n'est u'illusion = !a+a), le bouddhisme forge une civilisation m5sti ue et spiritualiste, au caract&re impassible et stati ue, man uant de ce fait d'essor pour transformer la condition humaine. Iout entier perdu dans sa mditation, un bouddhiste est incapable de raliser le ro5aume de "ieu sur terre. $'oserai avancer ue la civilisation tibtaine s'est effondre et passe sous la coupe d'une ,hine tr&s matrialiste, %ustement en corollaire de ce principe. +ne civilisation construite sur un seul des piliers est destine s'crouler plus moins longue chance. La reli/io# =ui<e n'chappe pas non plus au ris ue de ds uilibre social et spirituel. S'il se produit, cela est encore dG une mauvaise comprhension des principes divins et de ce ue "ieu veut rellement pour l'humain. En effet, "ieu a cr le monde mais n'a pas cr la religion. Et de ce fait la plus grande catastrophe ui arriva au peuple %uif fut uand la Tora est devenue une religion T ?ors ue les lois de la Iora, deviennent une fin en soi, en oubliant toute la dimension spirituelle la uelle ces commandements pourraient nous porter si nous les appli uions, il 5 a CreligionC ' ui a perdu son sens de reliance). Bous vo5ons alors naJtre une orthodo9ie ui, dans le schma des < colonnes, peut certes positionner le %udaSsme sur la colonne du milieu, mais vers les sph&res du bas, dconnect des sph&res de la spiritualit. 4n voit au%ourd'hui comment *sraUl se dbat 'et se bat) pour subsister : l'effondrement de sa civilisation hbraS ue ne lui a pas servi d'e9emple et elle recommence les erreurs du pass.
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2 toutes ces formes imparfaites de religiosit, la "abbale> issue certes du %udaSsme, est certainement la <oie de l'6ar(o#ie! 1t toutes les personnes, ps5cho-sociologues, thrapeutes, coaches et soignants ui s'5 rf&rent, loin de se limiter une sph&re spciale, veulent embrasser dans leur action, l'ensemble des fonctions et des relations humaines, l'amour et la %ustice, la libert et la loi, la contemplation m5sti ue et l'action cratrice, afin d'tre en mesure de raliser un but universel = ceu9-l peuvent rellement porter le nom d'holoth$rapeutes! A %e stade de la %o(paraiso# il #ous para?t i#dispe#sable de parler des )$<$latio#s re@us A Ars e# ;iro#de> e# ,BC7 et ,BCC! Ioutes les religions dcrites ci-dessus sont issues de dviances partir de #vlations reRues par des Cproph&tesC, hommes du peuple choisis par "ieu pour leurs ualits intrins& ues et donc les plus appropris pour transmettre Sa !arole. ,es #vlations, surtout les derni&res ont tou%ours eu pour ob%ectif de signaler les dviances en uestion et de remettre la spiritualit sa vraie place 'comme le ,oran en dernier). Et, comme *l le dit dans Sa #vlation d'2r&s, "ieu est oblig de venir rguli&rement 'tous les !ille ans "rands ou petits) rappeler au9 Mommes leurs erreurs et leurs pchs. Bous autres, contemporains de cette #vlation donne 2r&s, avons la chance u'elle n'ait pas encore t transforme 'cela ne fait ue <. ans) mais surtout u'elle nous fGt donne une po ue oK l'imprimerie immdiate et la transmission informati ue interdisent dornavant toute fraude, plagiat dformant et rcupration par les pouvoirs en place. *l est bien entendu, ue lesdits pouvoirs se sont coaliss pour ridiculiser !roph&te et !arole, mais nous ne pouvions pas nous attendre autre chose. 2lors, lire la )$<$latio# d'Ars est autant difiant et rassurant pour l'avenir de l'humanit, ue drangeant pour ceu9 ui sont encore attachs tous les avantages ue leur procure leur religion. 3ous verre; ue "ieu ne se place ni du c/t de l'amour btifiant ni du c/t des r&gles strictes, mais tout simplement appelle l'ho!!e se chan"er, en lui montrant le chemin du milieu 'les sentiers che&riers).,'est certes un chemin difficile d'acc&s oK l' on se "riffe et prend des (leus , mais sur le uel chacun peut ressentir Son 2ide ' ,l n'a(andonne personne dans sa p#nitence) = c'est le principe mme des thrapies de transformation alchimi ue et des protocoles de travail ue nous avons mis en
place, sous Son regard bienveillant 'a priori - les dboires ventuels nous auraient depuis longtemps prouv le contraire).
(1) Le s+!(olis!e du corps hu!ain aux #ditions )an"les et en poche che- .l(in /ichel$ 0oir aussi le reste de sa (i(lio"raphie plus tourn#e &ers l'#&olution spirituelle !ais tout aussi passionnante$ '-) La si!ple &isualisation de nos !aux sur l'.r(re des *ephiroth ne suffit pas nous "u#rir$ Encore faut1il enta!er un tra&ail de fond a&ec le th#rapeute ad#quat qui saura d#(usquer au fond de notre inconscient la douleur pri!ale qui a en"endr# nos (loca"es$ 2ien entendu il s'a"it en pre!ier d'un tra&ail actif de la part du consultant auquel le th#rapeute apporte sa colla(oration$ %hacun apportera alors sa technique co!!e par exe!ple l'anal+se trans1"#n#rationnelle et ps+choso!atique ou une certaine for!e de 3in#siolo"ie$ 4ous &errons au chapitre de la pratique 5s+cho1*pa"+rique qu'en cours de s#ances et selon les personnes des !#!oires s'ou&rent d'elles1!'!es (sans r#"ression pro"ra!!#e) a!enant ainsi ces personnes prendre conscience ou les !ettant sur la &oie de leur choc #!otionnel pri!al)$%'est la sur&eillance de nos co!porte!ents et r#actions qui nous disent si on est d#(arrass# ou non de nos "d#!ons"$ En effet on peut facile!ent reto!(er dans nos tra&ers co!pte tenu des !au&aises ha(itudes prises et ancr#es en nous depuis de no!(reuses ann#es$ .prs il faut sou&ent a&oir recours certains auxiliaires !#dicaux qui tra&ailleront aussi sur nos (loca"es ner&eux !usculaires et articulaires$ Le %hrist "u#risseur est en fait notre part spirituelle l'#ner"ie de &ie qui 0EUT notre redresse!ent et notre positionne!ent d'Ho!!e %onscient dans sa &oie d'#&olution$ %'est le /#decin 6idle de 5aracelse$