I) LE CADRE THEORIQUE DE BENCHMARKING..6 INTRODUCTION...........................................................................7 ; 8 A) Prsentation de benchmarking.........................................................9
1) Dfinition de benchmarking...9 2) Lhistorique de benchmarking..10 3) Typologie de benchmarking..............................11 ; 12 ; 13 ; 14 4) Objectifs de benchmarking..................................................15 ; 16
B) Les tapes de la ralisation du benchmarking.................................17 a) Avant la dmarche....17 1) Source dinformation.17 ; 18 ; 19 2) Avant la ralisation (prise de dcision)....20 ; 21 b) Pendent la dmarche.....22 1) Les procdures ou les phases de la ralisation. ....22 ;23 ; 24 2) Aspect juridique...25 3) Condition de succs..26 ; 27 c) Aprs la dmarche...28 1) Les techniques dvaluation28
C) Benchmarking prive et public ....29
1) Le benchmarking prive......29 2) Le benchmarking public..30
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 2 D) Avantages et limites du benchmarking...31
a) Avantage :....31 1) Avantage de benchmarking pour lentreprise ....31 2) Avantage de benchmarking pour le client..32 b) Limite :.33 1) Limites de benchmarking pour lentreprise.33 ; 34 2) Limites de benchmarking pour le client..34 ; 35 CONCLUSION..36
II) LE CADRE PRATIQUE DE BENCHMARKING37
Introduction.38 Mieux vous connaitre....39 Supply chain management44 Logistique, stratgie, management....52 Recommandation..60 Conclusion de la partie....61
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Nous ddions ce travail en premier lieu nos chers parents qui nous ont prouv le grand amour et linfini respect dont nous serais fidle durant toute notre vie, rien ne pourrait compenser leurs sacrifices sauf les sentiments dauto satisfaction et le bonheur de voir leurs efforts compenss par notre russite. On le ddie aussi :
Nos frres et surs.
Tous nos enseignants.
Nos amis du dpartement Techniques de commercialisation et de communication.
Donc veuillez accepter nos meilleurs vux de russite, de bonheur et de prosprit
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 4 REMERCIEMENT
Nous tenons exprimer nos sincres remerciements, gratitude et de respect, envers Mme BOUCHRA BOUIZMAN, pour son encadrement ainsi que son soutien quelle a dploy tout au long daccomplissement de ce prsent travail. Et pour ces instructions et ses conseils qui, sans eux, nous naurions pas pu parvenir tablir ce projet de fin dtudes.
Notre expression de gratitude vont galement tous les enseignants de lcole suprieure de technologie et notamment ceux du dpartement technique de communication et de commercialisation.
Notre profonde reconnaissance nos familles, amis et tous ceux qui, de prs ou de loin, nous ont assists accomplir ce modeste travail.
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INTRODUCTION GENERALE
Dans le cadre de notre formation de lcole suprieure de technologie de Mekns (ESTM), nous sommes amens effectuer un projet de fin dtude pour pouvoir mettre en uvre et dvelopper notre comptence et connaissance acquise durant notre formation.
De ce fait, notre projet de fin dtude aborde un thme pratiquement rcent et dactualit, au niveau des entits commerciales et industrielles et il est intitul : LA NOTION DE BENCHMARKING DANS UNE ENTREPRISE , ainsi que cette notion tant un lment important dans le marketing stratgique de lentreprise qui porte sur llaboration des stratgies des entreprises afin dtre comptitives , voire dtre leaders incontests sur le march quelles oprent, mme si quil sagit dune notion moins reconnue par son appellation benchmarking , ainsi considr comme un lment confidentiel qunous avons pu constate celui-ci lors de notre enqute auprs des entreprises.
Toutefois, dans le contenu de notre rapport, nous avons mis laccent, en premier lieu, le cadre thorique de benchmarking sur quatre volets tels que : La prsentation de benchmarking Les tapes de sa ralisation La diffrence entre benchmarking public et prive Ses avantages et ses limites Et dans un deuxime lieu, nous allons voquer les cas des entreprises oprant au Maroc, toute en rpondant la question cl suivante : comment une entreprise marocaine organise- t -elle ses stratgies de benchmarking ?
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PARTIE 1 : LE CADRE THEORIQUE DU BENCHMARKING
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 7 INTRODUCTION
De nos jours, une entreprise cherche de se dmarquer de ses concurrents par divers moyens quelle va mettre en place, aprs avoir analyse, tudie et value sa performance.
De ce fait, elle emprunte des stratgies de guerre, pour attirer un nombre trs important du client potentiel du march dont elle opre, en dautres termes, elle tente doccuper une part de march assez important de celle de ses concurrents qui lui permettra davoir la position dun leader sur le march en rsistant les diffrents menaces concurrentielles susceptibles de mettre en faillite lentreprise en question.
Toute fois, les moyens techniques quelle dispose et quelle va mettre en place seront son bouclier et ses armes de guerres , en revanche, lentreprise en question peut tre vaincue ou crase par ses adversaires qui peuvent avoir des forces tels que : un moyens financier important, anciennet sur le march apportant des expriences professionnelles ses adversaires et entre autres. elle va donc se permettre de chercher tantt les points forts de ces adversaires, tantt les autres entreprises qui ont pu marquer plus des points dans le domaine stratgique, en vue de prendre des meilleurs pratiques, des concurrents dans les domaines ou elle a dtect ses faiblesses, on parle donc de BENCHMARKING. Pour laborer de nouvelle dmarche surpassant ses concurrents.
La notion de benchmarking va donc permettre lentreprise identifier des pratiques en vigueur dans le secteur et principalement dans un domaine identifi, de celle qui sont les plus performantes : par performance , il faut entendre toute pratique innovante sur la thmatique identifie, pratique qui en loccurrence aura eu les meilleures retombes conomiques dans lentreprise. Dans certains secteurs, souvent caractriss par des entreprises de grande taille.
Lentreprise va donc sorienter analyser les diffrents volets des problmatiques portant gnralement sur sa politique de produit ou service, limage et la perception de consommateurs, pour quelle soit une entreprise innovatrice et capable de rentrer nouveau la bataille toute en esprant de remporter la guerre .
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 8 Nous allons donc prsenter dans cette premire partie la thorie du benchmarking dans un dtail en divisons en quatre sous- parties, savoir : Prsentation de benchmarking Les tapes de la ralisation du benchmarking Benchmarking prive et public Avantages et limites du benchmarking.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 9 A) LA PRESENTATION DU BENCHMARING 1-DEFINITION DU BENCHMARKING
Plusieurs auteurs, conomistes, gestionnaires, professionnels et marctors ont tents de dfinir par multiples manires la notion de benchmarking qui a comme nature dun terme anglais signifiant talonnage concurrentiel Parmi ces multiples interprtations avances, on distingue :
selon J.BRILMAN, elle est dfinie comme : un processus qui consiste identifier, analyser et adapter, en les adaptant les pratiques des organisations les plus performantes dans le monde en vue damliorer les performances de son organisation (1)
Selon JLENDRAVE, J. LEVEY et D. LONDON, (2) le benchmarking se prsente comme une mthode par laquelle on value la performance dune entreprise en le comparant celles de concurrents significatifs.
Lentreprise XEROX (3) linterprte comme suite : le benchmarking est la mthode par laquelle on value ses produits et ses pratiques par rapport ceux et celles de ses concurrents les plus durs ou des entreprises bnficient sur le march du statut de leader .
En effet, ces nombreuses dfinitions nous aide dduire que le benchmarking porte sur lapprentissage et puis lintroduction des informations des meilleures pratiques sur un domaine bien dtermin, fin de rsulter une amlioration sur la performance de lentreprise, en dautre terme, le benchmarking signifie se rendre efficace et performant en apprenant et se rfrant des autres.
Quant au Maroc, le concept de benchmarking nest prsent quune dcennie, car il sagit dun concept embryonnaire .
________________________________ (1) : J.BRILMAN ouvrage les meilleurs pratique du management chapitre 9 : benchmarking & management, page 288-289. (2) : JLENDRAVE, J. LEVEY et D. LONDON, dans louvrage de Mercator , page 1 (3) : XEROX, lentreprise inventrice du concept de benchmarking
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2- LHISTORIQUE DU BENCHMARKING
Le benchmarking entant que dmarche ne date pas daujourdhui. En effet, la reconnaissance militaire, consiste comparer la puissance de lennemie sa propre force afin de prendre des dcisions stratgiques et tactiques, et une application trs ancienne.
Les japonais ont pratiqu cette mthode depuis plusieurs dcennies comme un procd aussi ancien que le monde, savoir ce que font les autres pour mieux utiliser les processus quils mettent en uvre.
Ds la fin du dix-neuvime sicle, les travaux de Frdric Taylor sur la mthode scientifique de lorganisation industrielle incitait comparer les processus oprationnels. Pendant la seconde guerre mondiale lhabitude de se mesurer dautre pour dgager les normes de rmunrations, de sret et autres facteurs dhygines de travail (4). Cette ide sest rapidement tendue lanalyse de la concurrence commerciale.
En 1976, la compagnie Xerox initie un processus appel benchmarking comptitif dans ses oprations manufacturires. La division Fuji-Xerox au Japon analyse les caractristiques et la qualit de ses produits et ceux de ses comptiteurs japonais. On se rend vite lvidence que les cots de fabrication sont plus levs aux USA. Les comptiteurs vendaient leurs produits aux cots de fabrication de ceux de Xerox. Ces nouveaux points de repres seront utiliss par la direction de Xerox dans ses plans daffaires. En 1981, le benchmarking est adopt dans toutes les units daffaires de Xerox. Aprs la pratique du benchmarking par Xerox, beaucoup lont suivi tel que : Hewlett Packard ; Chrysler ; IBM ; Motorola ; lont pratiqu au plus haut niveau
________________________________ (4) : G.J. BALM, Evaluer Et Amliorer Ses Performances : Le Benchmarking , dition, AFNOR, 1992, p.38
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 11
3-LES TYPOLOGIE DE BENCHMARKING
Les typologies de benchmarking peuvent se classer en plusieurs catgories, nanmoins, les auteurs les classe en quatre volets, savoir :
III.1 Le benchmarking interne: (5)
Il sagit de comparer un processus, produit ou service un autre processus, produit ou service similaire, lintrieur de lorganisation, Il est pratiqu chaque fois qu'une entreprise peut identifier des processus similaires sur plusieurs sites, rgions, pays ou continents. Il leur est alors possible de mettre en parallle les pratiques en usage dans ces diffrents lieux d'activit sans sintress a concurrence.
Cette solution prsente des avantages et des limites :
L'avantage est caractris par une plus grande possibilit comparer les rsultats, puisqu'ils s'appliquent au mme secteur, lier les contacts et effectuer les visites. L'ajustement est galement facilit, puisqu'elle porte sur le mme mtier.
Nanmoins, ce type de benchmarking ne dbouche en gnral pas sur des pratiques trs innovantes, puisqu'elles se placent dans un contexte de culture d'entreprise avec une mission, des ides et des buts communs.
De plus, trs souvent, les mutations et promotions internes amnent les personnels transporter leurs habitudes d'un lieu de travail l'autre. Cest le cas par exemple dentreprises comme Xerox, Texas Instruments, Schindler, France Tlcom, EDF.
____________________________________ (5) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-4 P.37
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 12
III.2 Le benchmarking concurrentiel : (6)
Cette typologie de benchmarking se caractrise par la comparaison effectue avec des concurrents directs sur le march.
Ils sont gnralement facile identifier, les concurrents choisis doivent rpondre toute les tests de compatibilit, il faut, en particulier prendre garde ce qui rend deux oprations concurrentes comparable, leur taille par exemple : la comparaison du service logistique dune grande chelle rvlera des diffrences sensibles, une production de masse peut signifier un transport par rail, au lieu dun transport par route.
Contrairement ce que lon pense gnralement, ce type de benchmarking est abondamment opt dans certaines zones de l'industrie. Il ne porte videmment pas sur les processus les plus stratgiques en termes de place sur le march. Mais il est trs souvent utilis pour tout ce qui touche la productivit, aux cots administratifs et aux relations avec les sous-traitants, qui sont souvent communs.
L'avantage de choisir ce type de benchmarking porte sur dans la facilit de partir de principes de mesure finale simplement comparables, puisque sur le mme secteur.
De mme que pour le benchmarking interne, l'adaptation est facilite par la similitude de pratiques. Il est cependant assez difficile de pratiquer le vrai benchmarking concurrentiel, qui trouve toujours ses limites dans la confidentialit. Ce qu'on appelle parfois benchmarking concurrentiel n'en est pas vraiment si les concurrents n'oprent pas sur la mme zone d'achalandage, ou si pour un mme secteur donn, ils ne sadressent pas aux mmes utilisateurs finals.
Exemples de vrai benchmarking concurrentiel : Toyota et BMW, Sun Microsystems avec Hewlett Packard et IBM.
Exemples de faux benchmarking concurrentiel : RATP avec les autres transporteurs urbains des grandes mtropoles, informatique de gestion avec informatique mdicale.
_______________________________________ (6) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-4 P.38
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 13
III.3 Le benchmarking fonctionnel : (7)
Il consiste de nous comparer avec les meilleurs au monde qui font ce que nous faisons. En gnral, nous les dcouvrons dans les mmes branches dactivit, et il y a de fortes chances pour quils soient prts changer des informations mme confidentielles ; il est aussi sr que nous pouvons dcouvrir des ides damliorations ou de performance.
Dans un mme secteur, des entreprises, concurrentes ou non, comparent leurs processus de support qui peuvent tre dordre gestion des ressources humaines, logistique, administration et ajustent les ides susceptibles d'amliorer leur comptitivit.
Les avantages sont du mme ordre que ceux que l'on trouve en pratiquant le benchmarking interne : facilit de relation et de comparaison, ajustement relativement simple.
Les inconvnients sont celles du champ d'application, qui ne porte pas sur des processus stratgiques ou tactique, et de labsence de caractre cratif du fait d'une culture lie au secteur de l'industrie. Par exemple dans les domaines comme de la chimie/pharmacie, de l'nergie, de l'automobile, de l'informatique et des tlcommunications.
_____________________________________ (7) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-4 P.38-39
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 14
III.4 Le benchmarking gnrique (horizontal) : (8)
Il sagit dune typologie de benchmarking qui se caractrise par la comparaison effectue avec une organisation d'un secteur compltement diffrent. Nous pouvons donc trouver chez le partenaire des pratiques qui sont d'autant meilleures qu'elles sont la principale raison de sa performance.
Les avantages sont donc varis tes : une coopration sans contrainte de confidentialit, accs d'ides innovantes, relations durables et stables bases sur un besoin mutuel et permanent d'informations.
en revanche certains difficults qui subsistent sont relates une plus grande difficult ajuster des pratiques qui viennent d'un secteur diffrent.
Les exemples, nombreux dans ce type de benchmarking, dmontrent une grande capacit d'ouverture vers l'extrieur des entreprises qui le pratiquent : Schneider Electrique, Xerox, Auchan,
Il est important de prendre en considration que la majorit des entreprises cites pratiquent aussi le benchmarking interne et dans leur secteur. Cela signifie trs clairement que l'outil doit tre considr sous tous ses aspects, si lon veut en tirer le meilleur profit.
_____________________________________________ (8) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-4 P.39
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 15
4- LES OBJECTIFS DU BENCHMARKING :
Le benchmarking ou appel aussi en franais, ltalonnage de performances comptitives des organisations est un outil de qualit et de marketing stratgique en vue de constitu un instrument damlioration continu consistant des processus de management des organisations.
Son utilit se repose sur la recherche permanente des meilleurs pratique en se rfrant une autre entreprise, gnralement leader sur le march, dans un domaine spcifique et prcis, fin daccder aux pratiques oprationnelles , toute en tant comptitif et ractif vis--vis de la concurrence rude d la mondialisation et l volution technologique.
Ce processus dtalonnage a une double vocation. Il permet dune part danalyser la conformit de sa propre organisation aux pratiques, mthodes, processus et outils des leaders, dautre part il constitue un processus dapprentissage permanent. Il a pour objet lobservation et lanalyse des processus dordre dcisionnels, organisationnels, industriels, et commerciaux. Il fournit aussi des lments de rfrence qui permettent de base pour mesurer les performances.
Lentreprise peut, partir de ceux-ci ; innover et/ou amliorer ses processus mais elle doit dabord procder l analyse et la mesure de ses propres performances. Do elle doit stalonner .
Ltalonnage nest pas quivalent danalyse de comptitivit qui se repose sur lanalyse de chiffres, de ratios, dindicateurs et dautres lments statistiques car il permet galement didentifier, danalyser les meilleures pratiques et la manire dont elles sont maintenu den mesurer les carts avec celles de lentreprise pour pouvoir ensuite les adapter voire les transposer a lorganisation.
Le Benchmarking claircit le niveau de performances auquel lorganisation peut souhaiter. Il lui rvle aussi comment aboutir ce niveau.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 16
Finalement, on peut dire que le Benchmarking cre des principes utilise au bon sens, ce procd a dmontr tre l'un des instruments les plus efficaces pour rsulter des amliorations dcisives au niveau des performances. Le Benchmarking donne:
Une fixation des finalits daprs une vision concerte de lenvironnement externe.
Une dtermination de baromtre authentique de la productivit.
Laccs dun avantage concurrentiel.
La connaissance de lexistence de mthodes particulirement adquates et leur recherche constante.
Un signal d'alarme et permet de construire un dossier fort au soutien du changement.
Des moyens pratiques par le biais desquels des changements importants dans les performances peuvent tre suivis en profitant de la pratique d'autres qui ont dj mis en uvre de tels changements.
L'lan indispensable la recherche de nouvelles manires de faire les choses et la naissance d'une culture avide d'approches rcent.
Lalternative pour les employs de profiter de nouvelles aptitudes et d'tre impliqu dans le processus de changement.
Par contre, plusieurs dfinitions et objectifs proposs au benchmarking aucune delles na fait quivoque lexistence dun ou des nombreux types du benchmarking.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 17 A) Les tapes de la ralisation de benchmarking
A) AVANT LA REALISATION
1-LES SOURCES DINFORMATION POUR TRE EFFICACE
Gnralement on se trouve dans une situation la plus favorable de flux dinformation.il faut donc parvenir mobiliser tous les participants du projet de benchmarking au profit de partager car, les sources seront varies.
LES SOURCES EXTERNE : La recherche des informations sur les entreprises leaders , en tant que partenaires potentiels de Benchmarking, doit tre observe comme un processus perptuel et non comme un vnement ponctuel. Il faut collecter les donnes systmatiquement selon :
Le type de donnes par exemple : rsultats, tendances, ratio
La quantit de donnes : le temps disponible pour les collecter, les vrifications ncessaires
Lexactitude des donnes : prcision, vrification, importance.
Le cot des donnes : le cot financier et le temps pour la collecte et lanalyse.
Le choix des personnes qui vont assembler les informations.
Avant de dbuter par contacter ou visiter les entreprises partenaires, il faut exploiter l'ensemble des sources d'information utilisables.
En effet, l'entreprise doit entamer par utiliser toutes les informations disponibles dans le domaine public pour reconnatre les entreprises avec lesquelles effectuer les comparaisons et runir le maximum d'informations leur sujet.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 18 FUGURE SUR LHIERARCHE DES INFORMATIONS
COMMENTAIRE
Cette schma (9) nous reprsente une brve description sur les diffrents sources dinformation pour lentreprise dsirant de trouver un partenaire fin dappliquer un benchmarking externe (en dehors de lentreprise) pour cela, elle a la possibilit de consulter et de trouver un partenaire qui lui convient. _____________________________________________ (9) : INSTITUT DINNOVATION INFORMATIQUE POUR LENTREPRISE (3IE) LE BENCHMARKING (Analyse comparative) CONCEPT ET MISE EN PLACE P. 17 URL : www.3ie.org
Informations internes Experts, tudes et Analyses internes Rapports et rfrences
Contacts personnels Visites et conversations Tlphoniques Avec le partenaire de Benchmarking
Recherche de base Journaux, magazines Spcialis, missions tlvises
Recherches Personnalises Questionnaires, enqutes tudes de consultations
Information du Domaine public Confrences et sminaires Recherches documentaires Experts extrieurs
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 19
Les contacts personnels : cette partie regroupe les flux dinformations crits, les contacts tlphoniques en passant par les vidoconfrences et enfin les visites de sites.
Avant de passer cette tape, il faut auparavant bien prparer son questionnaire et argumentaire.
Lentreprise peut ainsi envoyer une liste de questions son associ de Benchmarking avant de lui tlphoner, dorganiser une vidoconfrence ou une visite. Lassoci pourra ainsi mieux prparer ses rponses.
Visiter lentreprise associe est la stratgie la plus enrichissante en termes de recherche dinformation.
Conseil sur le pilotage choisir :
Demander une visite dtaille de ltablissement ;
Prendre et donner du sens aux gestes, examiner votre environnement ;
Echanger de faon spontane ;
lentretien peut mener des ides nouvelles, nanmoins aussi des points de tensions sur des points de confidentialit, bnficiez au plus du temps lors de votre entretien en :
Ayant des communications pour organiser la visite ;
fixant en premire lieu qui doit y cooprer.
guidant la visite.
expliquant la visite aprs coup.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 20 2-AVANT LA DECISION DE BENCHMARKER
Avant le commencement sur un projet dun processus de benchmarking une entreprise doit diagnostiquer ses capacits en mesurant sa force et sa faiblesse, toute en considrant les menaces quelle va rencontrer, ses points morts, mais aussi les valeurs ajout quelle va bnficier travers ces dmarches stratgiques.
Il est important de prsenter une quipe motive et prsent. Nanmoins il est indispensable que lentreprise soit prpare accepter les pratiques nouvelles. Il est primordial de dbuter par un processus dont le fonctionnement ne satisfait pas la direction. Il est trs important de se connatre avant de se comparer plus performant que soi. On se contentera cependant dvaluer les processus cls de son entreprise, en vue dviter les risques dans une analyse des processus, qui serait peu efficace.
Selon les crivains (10), une entreprise peut sauto valuer fin dentreprendre le benchmarking en plaant le chiffre 1 en face de chaque question et dans la colonne approprie selon que son entreprise est : compltement, partiellement, trs peu ou pas du tout prte, et ensuite en multipliant le total de chaque colonne par le coefficient de 6 0, il obtiendra un total pondr par colonne. Le rsultat de laddition des totaux pondrs est le score permettant de positionner lentreprise.
(10) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-5 P.47-48
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 21
Compltement Partiellement Trs peu Pas du tout 1 - Les processus sont documents avec des mesures pour en comprendre la performance.
2 - Les collaborateurs connaissent les processus relatifs leur propre travail.
3 - Les interactions directes avec le client, les retours dinformations ou les enqutes client influent sur les dcisions produits ou services
4 - Les dysfonctionnements sont rsolus en quipe
5 - Les collaborateurs dmontrent par des mots et des actes quils ont compris la mission, la vision et les valeurs de lentreprise
6 - La direction donne les ressources et supporte activement les projets damlioration de la qualit
7 - Lentreprise dmontre par des mots et par des actes que lamlioration continue fait partie de sa culture
8 - Lengagement au changement sarticule autour dune planification stratgique de lentreprise
TOTAL DE LA COLONNE
COEFFICIENT 6 4 2 0 TOTAL PONDERE
SCORE GLOBAL
Interprtation des scores
de 34 48 : votre entreprise est prte ;
de 18 32 : votre entreprise doit complter sa prparation ;
de 0 16 : votre entreprise nest pas prte.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 22
B) PENDENT LA DEMARCHE
1- LES PROCESSUS OU LES PHASES DE REALISATION
Mthodologie
Les mthodologies de R.C CAMP et de Gerald J.BALM (11) sont universellement reconnues. Nous nous inspirons de ces deux approches et des recherches rcentes pour proposer une dmarche en 6 phases et 20 tapes, ncessaires au succs de ce processus.
La phase de diagnostic nest pas du Benchmarking, mais un pr requis indispensable toute dmarche. Il permet de recommander des axes damliorations avec une mise en uvre immdiate. Il met en vidence les forces et faiblesses de lorganisation qui permettront de dfinir lobjet du Benchmarking et didentifier les benchmarks eux-mmes.
________________________________________
(11) : FABIEN LEPOIVRE NEVAOCONSEIL BENCHMARKING CONCEPT ET METHODOLOGIE P.10-11
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 23
Phase 1 : Diagnostic Etape 01 : Analyser les activits et leurs rsultats Etape 02 : Analyser les systmes de mesure et les mesures ralises Etape 03 : Evaluer la performance actuelle de lentreprise
Phase 2 : Planification
Etape 04 : Constituer et former lquipe du Benchmarking Etape 05 : Dfinir lobjet du Benchmarking et les benchmarks Etape 06 : Identifier les meilleures organisations et slectionner les partenaires potentiels Etape 07 : Etablir la relation et rdiger le protocole daccord Etape 08 : Dterminer une mthode de collecte des donnes et de recherche dinformation
Phase 3 : Traitement de linformation
Etape 09 : Collecter et organiser les donnes Etape 10 : Analyser les indicateurs et comparer les carts de performance Etape 11 : Comprendre lcart et fixer les futurs niveaux de performance
Phase 4 : Appropriation
Etape 12 : Communiquer les rsultats du Benchmarking Etape 13 : Etablir les objectifs fonctionnels et oprationnels Etape 14 : Elaborer des plans dactions et allouer des ressources
Phase 5 : Action
Etape 15 : Mettre en uvre les actions dfinies Etape 16 : Evaluer la performance Etape 17 : Encourager les prises dinitiatives
Phase 6 : Suivi et ajustement
Etape 18 : Analyser les retours dexpriences Etape 19 : Ajuster si ncessaire Etape 20 : Prenniser la pratique du processus
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 24
Le suivi continu des rsultats de la dmarche en cours dans lorganisation et celui des volutions des organisations avec lesquelles elle sest compare, est lun des facteurs cls de la russite dun Benchmarking.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 25
2- Aspect juridique
Il semble judicieux de rappeler quelques rgles et de donner quelques rudiments de droit aux participants ces changes. Quils sachent comment ragir sils sont confronts une situation potentiellement dangereuse.
Il faut rdiger un protocole entre les parties en prsence et le respecter scrupuleusement.
Pour tayer le protocole, il y a lieu dinsister sur laspect co-optition qui demeure dans le cas dun Benchmarking auprs dun concurrent direct. Il y a la fois concurrence et collaboration.
Lchange dinformation est parfaitement lgitime. Il permet gnralement damliorer lefficacit et lefficience dune organisation. , un Benchmarking na pas pour but une collusion, une concertation ou autre coordination dont la finalit serait dorganiser un march voire de sentendre sur les prix.
Il sera prcis auprs de qui pourront tre diffuses toutes les informations collectes, qui resteront confidentielles. Il sera aussi mentionn que toutes les informations ne pourront pas tre employes dautres fins que celles prcises.
Il est bon de rappeler quun Benchmarking nexonre pas du respect des rgles concernant la proprit industrielle, les brevets, modles et dessins.
Le transfert de secrets de fabrique et autres savoir faire obtenus par indiscrtion, les transferts de fichiers et autres bases de donnes pourraient tre considrs comme une concurrence dloyale avec toutes les consquences juridiques et financires qui sy rapportent.
Le Benchmarking soulve de nombreuses questions thiques et juridiques, do la ncessit dinsister sur la qualit de la rdaction du protocole daccord et de son application rigoureuse et permanente
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 26 3-LES CONDITIONS DE SUCCES
Lors dlaboration du projet, la direction gnrale manifestera sa forte intervention tout en :
Assignant des assistants la mission Accordant un budget suffisant lachvement de la mission Eluant un cadre responsable qui participera la mission Effectuant le planning avec le responsable de projet Accomplissant un reporting hebdomadaire avec le responsable de projet approuvant linformation qui sera communique
Ce processus exige une grande ouverture desprit, pour tudier le plus objectivement possible ses clairs processus et pour les comparer un indicateur de rfrence, le benchmark. Pour les comparer, il faut les comprendre et les documenter.
La accomplissement dun Benchmarking est difficile et ne peut se comprimer en quelques semaines. La dure moyenne est entre 6 et 8 mois. Par contre un projet qui dpasserait une anne devrait tre reconsidr.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 27 Pour russir une opration de Benchmarking, il faut prendre soin de raliser les oprations suivantes (12) :
Analyser les organisations ayant les meilleures pratiques. Analyser r, dans lorganisation, les bons interlocuteurs. Etablir une communication et engendrer des liens. Etablir et tenir une relation de confiance et garder la Confidentialit des informations stratgiques. Disposer de la considration pour ses associs qui offrent au Projet ce quils ont de plus important: du temps.
Il sagit dun processus donnant, donnant , gagnant, gagnant
___________________________________________________________________________________ (12) : Hermel & P.Achard (2007) 100 questions pour comprendre le benchmarking dition AFNOR page 92
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 28
C) APRESL LA REALISATION
1- Les techniques dvaluation : Pour valuer combien nous sommes loin de l'imaginaire et de ce que lentreprise doit chercher amliorer, on estime quelques variables ou indicateurs qui permettent d'obtenir une premire lecture de la distance avec l'entreprise ou dpartement sur lequel on sidentifie. Ces paramtres doivent tre, autant que possible, quantitatifs(13) :
Cot : units montaires ncessaires pour la ralisation de cette activit.
Temps : une mesure de la rapidit ou lenteur du procd.
Qualit : niveau de qualit perue par le client (en %).
Il sagira de mettre en place un systme de mesure qui servira dtalon pour valuer les rsultats des processus et les comparer efficacement avec dautres rsultats. Ce systme de mesure devra comporter des indicateurs pertinents que lentreprise aura elle-mme slectionns.
___________________________________________________________________________________ (13) : Hermel & P.Achard (2007) 100 questions pour comprendre le benchmarking dition AFNOR page 92 (14) : INSTITUT DINNOVATION INFORMATIQUE POUR LENTREPRISE (3IE) LE BENCHMARKING (Analyse comparative) CONCEPT ET MISE EN PLACE P. 17 URL : www.3ie.org
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 29
C) Le Benchmarking prive et public
Le benchmarking peut tre loption du propritaire en cas dune entreprise prive, comme il peut provenir dans le secteur public, en vue de mener une amlioration organisationnelle
1-LE BENCHMARKING PRIVEE
Le secteur prive eut benchmarker en vue dobtenir des avantage sur a concurrence. Toute en recherchant des solutions de changement au niveau organisationnel.
Dans ce sens le benchmarking est un des instruments de gestion les plus utiliss et le gain quil suscite dans le monde entier continu de samliorer.
Le benchmarking est galement un outil reconnu en matire de stratgies d'apprentissage externe.
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2- LE BENCHMARKING DANS LE SECTEUR PUBLIC
Dans ce cadre le benchmarking est utilise comme un outil fort de dveloppement et d'introduction des changements indispensables des services publics modernes. Cela se fait sentir dans un contexte dans lequel les forces du changement deviennent aussi intenses que les pressions de la concurrence ressenties dans le secteur industriel.
Il est galement reconnu que des services publics efficaces et comptitifs jouent un rle tout propre dans l'amlioration de la comptitivit du secteur priv en diminuant la charge des frais commerciaux et de conformit.
Le benchmarking est l'un des moyens donnant naissance un nouvel lan pour le changement, au niveau des activits principales et autres ainsi que pour lever les rgles du service public par la distribution des bonnes pratiques.
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D) AVANTAGES ET LIMITES DU BENCHMARKING A- AVANTAGES DU BENCHMARKING Le benchmarking a dune part des atouts pour lentreprise lappliquant aussi que pour ces clients et dune autre part il a aussi des limites pour la firme et sa clientle. On peut casser des avantages pour lentreprise ainsi que pour sa clientle : 1- Avantages du Benchmarking pour lentreprise :
Le benchmarking a plusieurs avantages pour lentreprise, cette dmarche permet de : Reconnatre les points forts de certains services et activits
distinguer les assistants les plus performants
mettre en parallle et changer sur ses pratiques
Apercevoir de nouvelles pratiques
Mieux connatre son entourage conomique
Persuader les salaris potentiels amliorations possibles
Diminuer les temps de retour sur ses investissements
Amliorer lutilisation et lefficacit des ressources de lorganisation
Augmenter la productivit
Rduire les cots
Limiter les risques
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 32 Accrotre la performance globale
2- Avantages du Benchmarking pour les clients :
Le benchmarking a plusieurs des atouts pour clients car il offre :
Dlais de livraison rapide
Dvelopper le sens du commerce
consolider la notorit de lentreprise auprs de ces clients
Intgrer les nouvelles technologies
Reprer de nouveaux modes de payements
Rechercher les mthodes les plus performantes
tre cratifs, et utiliser les outils de lamlioration de la qualit
Le benchmarking se pose comme intrt principal une satisfaction totale de la clientle.
De plus, ces avantages, le benchmarking talonnage ou encore prsente aussi des limites, tant pour lentreprise que pour ces clients.
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B- LIMITES DU BENCHMARKING :
On distingue aussi des limites pour lentreprise et pour sa clientle :
1- Limites du benchmarking pour lentreprise :
Pour une dmarche benchmarking le choix des partenaires est extrmement important, mais il ne suffit pas a assurer a lui seul le succs dun benchmarking .il faut que ceux-ci aient galement un comportement rsolument coopratif a lgard des autres partenaires.
Ltat desprit conqurant c'est--dire quand lentreprise refuse de reconnatre que dautres entreprises sont plus performantes quelle.
Le choix des collaborateurs qui constitueront lquipe du benchmarking est lui aussi extrmement important.
La direction gnrale simpliquera suffisamment pour vaincre les rsistances et permettre a chacun de sapproprier le processus.
Deux entreprises du mme mtier ne sont pas toujours et vraiment comparables.
Le risque est de comparer des lments qui ne sont pas comparables
Il ny a pas de meilleures pratiques , standard et universelle, adaptable toute organisation.
Il faut sassurer que les donnes fournies par les partenaires du benchmarking sont rcentes et compltes.
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La dmarche sattache essentiellement aux lments tangibles. Elle ne permet pas toujours didentifier et de documenter toutes les variables explicatives du diffrentiel de performances. Il faut toute fois vrifier quil ny ait pas de rtention dinformation tant du partenaire que de lquipe de lentreprise qui ralise le benchmarking.
Un benchmarking nest pas synonyme danalyse de comptitivit.
Un benchmarking ncessite normment de moyens matriels, de temps et de personnel dirigeant comptent.
En fin comme toutes dmarche exigeant un changement et modifiants des habitudes, la rsistance au changement sera au rendez vous.
2-Limites du Benchmarking pour le client :
Lchec dune procdure dun benchmarking se reflte sur les clients de lentreprise car :
Certains Domaines dactivits sont dsormais rservs aux entreprises qui oprent une dmarche qualit : Les petites et moyennes entreprises sont gnralement exclues du champ dapplication de cette technique et ce faute de moyens et de structures souvent indispensables ou inqualifiables pour le lancement de ce genre dopration et donc une certaine catgorie de clientle appropri a ces PME exclue de la dmarche ne bnficient pas de ces apports bnfiques.
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Des domaines dactivits sensibles : Certains secteurs dactivit sont trs sensibles aux changements surtout si celui-ci est ngatif. Un mauvais benchmarking alors peut avoir des effets trs nfaste tant pour les consommateurs clients que pour lentreprise car il peut aller mme jusqu' signer la mort de lentreprise .exemple dentreprise de produits cosmtiques ou pharmaceutiques ou encore de lalimentation * (Johnson&Johnson ; Mars ; Bic .).
Perte de confiance : Cette perte de confiance peut tre le rsultat dun chec de benchmarking qui peut causer le fument des clients cette situation est trs dlicate vu que cest trs difficile de regagner la confiance (sur une dure dtermine) de quelqu'un quand on na pas su la garder
Non adaptation dun changement a la culture du consommateur ou de la population bnficiaire : Un Benchmarking impliquant des changements structurels peut tre refus voir inadapt avec la culture voir situation dans certains cas. Le Benchmarking instaur dans un secteur public en est un exemple .Cest le cas pour le systme ducatif import de la France et instaur au Maroc qui a et qui aboutit a un chec totale la preuve en est le niveau des tudes au Maroc ainsi que le dernier classement du Maroc comme le 5eme avant derniers dans lenseignement des mathmatique et physique !
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Conclusion
En rsum, Le benchmarking est donc une solution adquate pour une entreprise qui souhaite de samliorer et qui compte de persister sur le march grce aux informations pertinentes et innovantes quelle apprendra sur les faits ayant russi sur le march. cet apprentissage de la nouvelle culture et de comptence apportera lentreprise des bonnes pratique et de dveloppement durable dans le contexte ou le secteur dactivit quelle va le mettre en uvre, lentreprise doit tenir en compte les lments de base tels que : les types, les tapes, les dmarches et les mthodes prsents dans cette premire partie considre comme tant thorique et essentielle.
tant donn que le benchmarking implique des changements, il demande des nouvelle politique et dcision provenant de lentreprise pour quil y ait une retombe de changement, nous allons donc sintress dans la deuxime partie les cas des entreprises marocaines selon les secteurs et les mthodologies de benchmarking quelles oprent, toute tudiant les stratgies de benchmarking de ces entreprises.
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Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 38 Introduction Notre tude pratique a pour objectif de nous rapproch la ralit des entreprises sur lorganisation des entreprises effectuant la notion de benchmarking, nous essayons donc de rpondre : comment une entreprise marocaine organise-t-elle ses stratgies de benchmarking ? De plus, notre enqute porte sur 23 entreprises oprant leurs activits dans les domaines : de la tlcommunication et ventes des hardwares informatique (Maroc tlcom, miditel, inwi, info max et biognach quipement), les entreprises de grande consommation (conserve de Mekns, label vie), secteurs automobiles (socit Tizi, SICAR-AUTO, Hyundai, kia Motors Maroc) et bancaires (banque populaire et socit gnrale), fin dobtenir des informations et des rsultats significatifs et pertinents. Nous avons analyser les possibilits-, pour mener une enqute organise, facile interprter et qui donne une image claire sur notre sujet dtude de faon professionnelle, nous avons observ donc, les typologies denqute possible tels que : lenqute par voie postale, lentretien tlphonique sur le web et lentretien face face, lenqute par questionnaire, de ce fait nous avons effectu notre cas pratique laide dun questionnaire car, il a des avantages en matire de cot, le temps et notamment pour ses facilit de linterprtation du rsultat obtenu vis-- vis que les autres moyens denqutes. Le questionnaire de cette enqute traite donc sous les angles de : la connaissance des entreprise qui benchmarkent leurs activits les stratgies de supply Chain management de ces entreprises le stratgique et management de la logistique Finalement, nous avons interprter le dpouillement de notre enqute pour avoir une ide claire, ainsi nous avons soulevs les points essentiels traiter et nous avons donn des recommandations.
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I) La connaissance des entreprises Marocaines appliquant le benchmarking
Primtre dactivit de lentreprise :
Multi sites 76,92% Mono site 23,07%
Commentaire et interprtation n1
Notre enqute montre que 76,92% des entreprises appliquant les stratgies de benchmarking oprent leurs activits en ayant un primtre dactivit multi site, contre 23% des entreprises de primtre dactivit mono site.
Cette situation nous exprime que le benchmarking appliqu par ces firmes, avec les autres services ou sites du mme entreprise sont plus importante, car, il est plus simple de benchmarker les autres services, sans crainte de la confidentialit.
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Lactivit exerce sur le march : Concepteur de produits Transformateur de matires Assembleur de composants Distributeur de produits Service bancaire revendeur 8,33% O % 8,33 % 50 % 33,33%
Concepteur de produits 8% transformateur de matieres 0% Assembleur de composants 8% Distributeur de produits 50% service bancaire et revendeure 34%
Commentaire et interprtation n2
Notre enqute montre que 50% des entreprises appliquant le concept sont des entreprises de distributions de produits , contre, 8 ,33% de concepteurs de produits et assembleurs de composants, et 33, 33% de service bancaire et revendeurs.
Cette situation nous exprime que le concept de benchmarking est trs reconnu dans le domaine de distribution, ainsi que son utilisation est trs fleurissant notamment dans le secteur des automobiles. En outre, le secteur bancaire tiens aussi une part considrable pour lutilisation de ce concept en matire de fidlisation de la clientle.
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La taille de lentreprise : Petit entreprise Moyenne entreprise Grande entreprise 30 % 0 % 70 %
Commentaire et interprtation n3 Nous remarquons que 70% des entreprises benchmarkant sont des grandes entreprises ; le reste 30% est attribu aux petites entreprises, or les moyennes entreprises sont quasiment dsintress par le benchmarking.
Ce cas sinterprte que les grandes entreprises favorisent le benchmarking pour des raisons comme laccs rapide aux grand partenaires pour le benchmarking, grce au moyen financire ou grand capital pour benchmarker et dautre part, les petites entreprises considre ce concept comme un moyen stratgique prosprant, en revanche labsence de moyens entreprises justifie le nombre limit de leurs prsence sur le march.
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Laire de lactivit de Vente de lentreprise :
Rgionale 22% Nationale 65 % Mondiale 13 %
Commentaire et interprtation n4
Nous avons constat que 65% des entreprises appliquant le concept benchmarking sont des entreprises nationales, contre 22% rgionales, et 13% des entreprises mondiales.
Nous interprtons cette situation que les entreprise nationale appliquent en majoritaire le benchmarking interne, car cette typologie est moins coteuses et facile en terme de comparaison entre les filiales, contrairement aux entreprises mondiale ou rgionale qui appliquent en majoritaire les autres typologies de benchmarking.
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La catgorie du Secteur dactivit de lentreprise:
Emballa ge Chimie, Pharmac ie Paraptr olier Btime nt
Mobili t Produit de grand Consommati on Agroalimen taire Commerce & Distributio n 0 % 0% 0% 23% 0 15% 62%
Commentaire et interprtation n5
Daprs notre analyse la plus part des entreprises appliquant le benchmarking se situent dans le domaine de commerce et distribution, soit (62%), par ailleurs, 15% des ces entreprises oprent dans le secteur agro alimentaire et le 23% dans la mobilit.
Cette situation est due par son apport de prosprit dans le secteur de distribution notamment dans le secteur des automobiles. Contrairement les entreprises ayant un secteur dactivit dans le domaine demballage, de chimie, para chimie, ptrolier et btiment qui sont quasiment absent sur le march national.
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II) Supply chain management
A/ LA VENTE/DISTRIBUTION
A.1. Quelle est la maille de vos prvisions de vente ?
A la famille du produit A la sous famille de Produit
A l'unit de vente consommateur
43% 21% 36%
Commentaire et interprtation n6
Notre analyse nous montre que les entreprise benchmarkant ont une maille de prvision de vente rparties comme suite : 43% des entreprises benchmarkant effectuent leurs provisions de ventes la famille du produit, 36% lunit de vente consommateur et le reste 21% la sous famille de produit.
Ces entreprise organisent en majoritaire leurs prvisions de vente la famille de produit, car celui-ci est exprim par la simplicit de lorganisation
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 45 selon les entreprises et facilit pour connaitre le retomb positive ou ngative du concept et notamment la prise de dcision stratgique de lentreprise.
A.2. Quelle est la frquence de rvision de vos prvisions de vente ?
Chaque semestre
6,25 % Chaque trimestre
12,50% Chaque mois
50% Chaque semaine
12,50% Chaque jour
18,75%
Commentaire et interprtation n7
Nous remarquant 50% des entreprises appliquant le benchmarking effectuent leurs prvisions de vente chaque mois, contre 13% par semaine, 12,5% par trimestre et 19% par jour
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Toute en sachant que la frquence de prvision est un lment de mesure de la nouvelle culture ou de retombe positive de ces entreprises en acclrant le rythme de prvision de vente, lorganisation du prvision de vente tend donc dans ces cas vers la mensualit pour les entreprises benchmarkant.
A.4. Quelle entit est charge dterminer et mettre jour vos prvisions de ventes ?
Une cellule de prvision
Le service Commercial/MRK
Le service logistique/Dist
Le service Production
La direction Gnrale
0% 86% 0% 0% 14%
Commentaire et interprtation n 8:
Notre tude nous indique que 86% des entreprises appliquant le benchmarking ont confie la mise jour de leurs prvisions de vente au service commerciale et marketing, contre 14% la direction gnrale.
Cette situation est d par limportance de entreprise de commerce et distribution qui benchmarkent leurs activits sur le plan national, il est donc facile quelles centralisent et confient au service commerciale qui peut dduire facilement et de mesurer les rsultats du benchmarking appliqus ces entreprises.
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B/ Acheter B.1. Quelle est la maille de vos prvisions dachat ? la famille de produit 40% la sous famille de produit 30% lunit de vente consommateur 30%
Commentaire et interprtation n9 :
Notre enqute indique que 40% des entreprises benchmarkants effectuent leurs prvisions dachat la famille de produit, contre 30% la sous famille de produit et 30% lunit consommateurs.
Ce cas nous exprime que lorganisation de la prvision dachat est effectu selon les entreprises et leurs tailles qui sont en majoritaires des grandes
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 48 entreprises pour quil y ait une bonne dcision stratgique au niveau de la prise de dcision sur lachat que lentreprise va effectuer, toute en prenant en considration la gestion de stock (les entres et les sorties).
B.2. Quelle est la frquence de rvision de vos prvisions dachat ? Chaque anne Chaque semestre Chaque trimestre Chaque mois Chaque semaine Chaque jour 4% 0% 24% 48% 12% 12%
Commentaire et interprtation n10
Notre analyse indique la plus part des entreprises benchmarkant effectuent leurs prvisions dachat chaque mois, soit 48% de ce derniers, contre12% effectuant par jour et par semaine, ainsi 24% par trimestre et le reste4% effectuent chaque anne.
Nous pouvons donc remarquer que ces entreprises choisissent leurs prvisions dachat selon les rsultats obtenus du benchmarking, c'est--dire en cas dexpansion ils vont rviser la frquence de prvision dachat, et on peut dire galement que la partie majoritaires de ces entreprises se situent en dehors des extrmits, ce qui signifie il existe une retombe positive au niveau du concept benchmarking effectu sur lachat.
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B.3. Quelles entits dterminent et mettent jour vos prvisions dachat ?
Une cellule de prvision 6% le service achat/sourcin 18% Le service logistique/approvision 20% Le service production 6 % La direction gnrale 40%
Commentaire et interprtation n11
Selon notre enqute auprs des entreprises benchmarkant, lentit qui se charge de la mise jour de prvision dachat est en majoritaire la direction gnrale, soit 40%, contre 18% le service dachat, 6% service production et aussi la cellule de prvision et finalement 20% service logistique.
Nous pouvons expliquer que la force ou la source stratgique est la direction gnrale, celui-ci donc influence le choix sur lentit qui se chargera pour la mise jour les prvisions dachats.
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Notre enqute dtermine que 67% des entreprises benchmarkent le supply chain management contre, 33% qui benchmarkent les autres activits quils oprent.
Cette situation nous claircis, comme le supply chain management englobe la parties majoritaires des activits exerces par ces entreprises, donc il sagit le sujet plus trait le benchmarking car, le supply chain englobe: lachat, la vente, la distribution, la production et la gestion de ces entreprises.
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Si oui, de quelle faon : avec dautres sites de la mme entreprise avec des confrres du mme secteur avec des entreprises dautres secteurs 46% 44% 10%
Commentaire et interprtation n 13
Notre enqute nous prcise que 46% des entreprises appliquent le benchmarking avec dautres sites de la mme entreprise, contre 44% avec des confrres de mme secteurs et le reste 10% avec des entreprises dautres secteurs.
Cette situation nous rvle donc la typologie de benchmarking la plus applique est le benchmarking interne, il est choisit souvent par ces atouts en matire de cot et de ne pas avoir le risque de confidentialit et les facilits de ses pratiques stratgiques pour ces entreprises appliquant.
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III) Stratgique et management de la logistique
A/ Stratgie A.1.selon vous, le supply chain Mangement est-il compt comme un enjeu stratgique par votre entreprise?
OUI 70% NON 30%
Commentaire et interprtation n16
Notre enqute sur les entreprises effectuant les stratgies de benchmarking nous montre que 70% des entreprises considrent le supply chain management comme tant un enjeu stratgique, contre 30% qui considrent le contraire.
Ce cas nous montre que le supply chain managent est un lment stratgique pour mesurer la performance en rsolvant les problmatiques lies ces entreprises, ses partenaires et ses clients
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A.4. Connaissez-vous les stratgies de Supply Chain de vos principaux concurrents ?
OUI 54% NON 46%
Commentaire et interprtation n17
Selon notre enqute, nous observons que 54% des entreprises connaissent le supply chain management de leurs concurrents contre 46%.
Cette situation nous claircis que les entreprises ayant une connaissance sur le supply chain management de leurs concurrents tentent de mieux connaitre les menaces potentielles ou les meilleurs pratiques fin de mettre en place une stratgie adquate et solide qui lui permettra de benchmarker une activit qui lui semble par exemple faible ou en rgression.
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B/ Management B.1. Existe-t-il un manager qui gre globalement et de faon centralise la Supply Chain management ?
OUI 62% NON 38%
Commentaire et interprtation n18
Notre enqute nous montre que 62% des entreprises appliquant le concept de benchmarking ont un manager qui centralise le supply chain management, contre le reste 38% de ces entreprises qui ne le dispose pas.
Cette situation nous prcise limportance de centraliser les activits de supply chain management, notamment pour ceux qui benchmarkent une de leurs activit se relatant avec la clientle, lentreprise elle-mme ou le fournisseur doivent tre centralises par un responsable.
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B.3. Si oui, ce manager a-t-il un rle ? Fonctionnel Oprationnel 30% 70%
Commentaire et interprtation n 19
Notre enqute dmontre que 70% des manager de supply chain management dans les entreprises appliquant le concept benchmarking ont une mission fonctionnelle, contre 30% qui ont des rles oprationnels.
Cette situation nous dmontre que le manager de supply chain management aussi le manager dune ou plusieurs activit benchmarking doit un rle plus oprationnel que fonctionnelle, parce que, le benchmarking est un concept qui demande plus de vertu.
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B.4 Si non, quelles entits ont les responsabilits logistiques ?
la direction gnrale 25% la direction industrielle 25% la direction de production 25% la direction des ventes 0% la direction des achats 0% la direction administrative 25%
Commentaire et interprtation n20
Notre enqute dmontre que les entreprises appliquant le concept de benchmarking et nayant pas centralises la direction de supply chain management confient, 25% la direction administrative, 25% la direction de la production, 25% la direction industrielle et 25% pour la direction gnrale.
Cette situation nous exprime les principaux acteurs qui sont prsents en cas ou les entreprises ne centralisent pas leurs supply chain management avec un responsable dtermin.
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C/ Indicateurs, mesures et tableaux de bord
C.2. Benchmarkez-vous votre logistique ? OUI NON 73 27
Commentaire et interprtation n 21
Notre analyse rvle que 73% des entreprises benchmarkant la logistique, contre 27% de ces derniers.
Cette situation nous exprime que parmi le sujet rsolu par le benchmarking, on trouve aussi la logistique, car il sagit un lment dcisif dune entreprise
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Si oui, de quelle faon :
avec dautres sites de la mme entreprise avec des confrres du mme secteur avec des entreprises dautres secteurs 33,33% 33,33% 33,33%
Commentaire et interprtation n22
Notre enqute indique que la logistique est benchmarke par ces entreprises de faon gale, par cette proportion 33,33%, pour chaque typologies telles que :avec dautres sites des mmes entreprises, avec des confrres des mmes secteurs et avec des entreprises dautres secteurs.
Cette situation nous exprime que lenjeu de la logistique en matire dun lment stratgique est important.
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C.3. Comment est ralise la traabilit
Pas de traabilit Sur papier et archivage Informatiquement avec saisie manuelle Informatiquement avec saisie automatise 7% 38% 38% 15%
Commentaire et interprtation n23
Selon notre enqute que 38% de ces entreprises effectuent leurs traabilits sur papier et archivages, 38% informatiquement avec saisie manuelle, 15% informatiquement avec saisie automatise et 7% ne disposent pas de traabilit.
cette situation nous dmontre quil existe une partie qui nglige lenjeu de traabilit en matire de facilit aux information qui sont gnralement trs important pour lanalyse et la prise de dcision ou pour les enqutes qui seront ralise dans lentreprise .
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RECOMMANDTION
Suite notre analyse, nous avons remarqu certains points essentiels qui ncessitent des modifications sur les stratgies de benchmarking.
A) Les points modifier :
Contrairement au pays dvelopps le benchmarking est plus prsent dans le domaine de distribution et commerce mais non pas dans les domaines dindustriels Pour les entreprises appliquant le benchmarking sur la vente, la tche de prvision de vente est majoritairement (80%) est confient au service commerciale. Une partie des entreprises appliquant le concept non ngligeable (30%) ne considre pas que le supply chain management tant un enjeu stratgique 38% de ces entreprise appliquant le benchmarking sur le supply chain management (achat, vente distribution, production, gestion) ne centralisent pas ces derniers avec un manager. Pour les entreprises benchmarkant la prvision dachat, lajustement de la prvision est majoritairement confi la direction gnrale.
B) Les solutions :
la prise en considration par les entreprises que le benchmarking est un concept aussi important dans le domaine industriel. La centralisation de la prvision de vente par le responsable dsign pour le suivi de benchmarking La centralisation de supply chain management par un chef dsign, car la meilleure faon dorganiser ce concept est de dsigner un responsable qui fait le suivi de processus. Confier les tches de lajustement la personne charge au benchmarking
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CONCLUSION
Le concept de benchmarking est un concept important, en revanche il nest pas largement utilis par les entreprises oprant au Maroc.
Il sagit dun processus trs rentables, car il est fonde sur les principes des meilleurs pratique que normalement qui doit se confronter avec la violent de chaque entreprises, car pour gagner il faut trouver une meilleure pratique et se prsenter sur le terrain professionnelle.
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Le concept de Benchmarking est donc une pratique stratgique puisquil reprsente une technique de gouvernance de lentreprise ; son usage mne lentreprise un change une amlioration de lefficacit de la fonction de lentreprise.
Son enjeu est important car cette dmarche est une forme dtalonnage concurrentiel cherchant orienter la direction dans ses applications pour contribuer des changements stratgiques (amliorer la comptitivit, rduire les cots, amliorer le niveau de satisfaction de la clientle, ) et valider le progrs ralis lintrieur dune dmarche damlioration continue de lefficacit.
Rapport de projet de fin dtude : La notion de BENCHMARKING dans une entreprise 64 Bibliographie J.BRILMAN ouvrage les meilleurs pratique du management chapitre 9 : benchmarking & management, page 288-289.
J.LENDRAVE, J. LEVEY et D. LONDON, dans louvrage de Mercator , page 1
XEROX, lentreprise inventrice du concept de benchmarking
G.J. BALM, Evaluer Et Amliorer Ses Performances : Le Benchmarking , dition, AFNOR, 1992, p.38
Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU- BLAIRE - Guy CHADEBEC - Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-4 P.37
INSTITUT DINNOVATION INFORMATIQUE POUR LENTREPRISE (3IE) LE BENCHMARKING (Analyse comparative) CONCEPT ET MISE EN PLACE P. 17
Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU- BLAIRE - Guy CHADEBEC - Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET Louvrage le guide de benchmarking Chapitre-5 P.47-48
FABIEN LEPOIVRE NEVAOCONSEIL BENCHMARKING CONCEPT ET METHODOLOGIE P.10-11
Harmel & P. Achard (2007) 100 questions pour comprendre le benchmarking dition AFNOR page 92