QCM 16
QCM 16
QCM 16
1. Dans un avion pressurisé, les effets des variations de la pression atmosphérique sur
le corps peuvent provoquer :
2. Dans les différents cas énumérés ci-dessous concernant les effets de variation de
pression en descente sur les cavités semi-closes, choisissez la réponse exacte :
A- pour limiter les risques d’aérocolie, il faut éviter les boissons gazeuses et respecter une bonne
hygiène alimentaire
B- pour éviter une sinusite barotraumatique, il faut pratiquer régulièrement la méthode Vasalva
C- une otite barotraumatique est une atteinte de l’oreille externe due à des variations brutales du
volume de l’air entraînées par les variations de la pression atmosphérique
D- quand la trompe d’Eustache n’est pas imperméable, le tympan se déforme vers l’extérieur
pouvant entraîner une otite barotraumatique.
3. Un passager est sujet au mal de l’air. Pour le soulager et l’aider, vous pouvez :
A- 2–4–6
B- 4–5–6
C- 1–3–6
D- 1–2–6
A- la toxicité de l’ozone est à son maximum entre 20 000 et 22 000 mètres d’altitude
B- aux effets toxiques majeurs de l’ozone peuvent s’ajouter d’autres troubles : maux de tête, baisse
de l’acuité visuelle, l’apparition de douleurs et de gonflements au niveau des grosses
articulations
C- les effets de l’ozone sont essentiellement digestifs : nausées, vomissements, diarrhée et dans les
cas graves apparition d’une hémorragie digestive
D- les effets de l’ozone sont essentiellement respiratoires. Dans les cas graves, peut survenir un
œdème aigu du poumon
1. les accélérations, les odeurs, le positionnement du passager à l’arrière de l’avion peuvent être
des facteurs déclenchant ou aggravant le mal de l’air
2. le nourrisson est très peu souvent touché par le mal de l’air du fait de sa position couchée à bord
3. une respiration de plus en plus rapide, des fourmillements, des mains et des doigts sont des
signes précurseurs du mal de l’air
4. les sujets sensibles au mal de l’air doivent prendre un antinaupathique, sachant que l’effet
survient dans les 10 minutes après la prise, se prolonge environ trois heures, mais provoque une
somnolence pendant une durée approximative de 8 heures
5. le PNC devra donner au passager malade un sac vomitoire et appliquer sur l’estomac une vessie
de glace pour calmer les vomissements et limiter la déshydratation.
6. pour prévenir le mal de l’air le PNC installera le passager en position demi-assise, tête appuyée,
vêtements desserrés, coton dans les oreilles et masque de repos
7. le PNC installera le PAX au centre de gravité de l’avion et ouvrira l’aérateur individuel
A- 1–4–5–7
B- 2–3–6–7
C- 3–4–5
D- 1 – 2 –6
A- 3–4–6
B- 2–5–6
C- 1–4–5
D- 1–2–3
9. Une passagère sur un vol de 8 h après avoir bien bu et bien mangé, assise en zone
fumeur, souffre d’hyperventilation, de nausées, de sueurs, de vomissements. Votre
attitude est de :
A- 1–2 -6
B- 4–5–6
C- 3–5–6
D- 1–2–4
A- l’ozone atmosphérique résulte de l’action des rayons ultra-violets sur l’oxygène de l’air
B- la concentration, en ozone, de l’air atmosphérique est à son maximum entre 30 000 et 50 000
mètres d’altitude
C- l’ozone atmosphérique résulte de l’action des rayons ultra-violets sur l’azote de l’air
D- l’ozone atmosphérique est détruit s’il est exposé à une température de 150° pendant dix
secondes
11. Le décalage horaire entraîne des troubles au niveau de l’organisme. Quels sont-ils ?
A- des troubles du sommeil facilités lors d’un voyage dans le sens Est-Ouest et des troubles digestifs
et gastriques
B- des troubles de l’humeur, des réactions chez les diabétiques et les personnes sous anticoagulants
par la prise irrégulière de certains médicaments
C- des troubles ophtalmiques et des phénomènes de déshydratation
D- des troubles physiques tels que des jambes lourdes, des courbatures.
A- 2 – 4 –6
B- 3–4–5
C- 2–4–5
D- 1–3–5
13. A bord d’un avion de ligne pressurisé, durant un vol de 9 heures, quelle quantité
d’eau est-il conseillé de boire ?
A- 2 litres
B- 2,25 litres
C- 1,75 litre
D- 1,5 litre
14. Au cours d’un vol des turbulences importantes, un passager présente un cas de mal
de l’air avec des vomissements répétés. Votre attitude sera :
A- 1–2–3
B- 1–4
C- 3–4
D- 1–3–4
A- 2–4–6
B- 1–2–6
C- 1–4–5
D- 3–4–5
A- une décélération est causée par une perte de niveau avec chute brutale des masques obligeant
les passagers à s’asseoir, s’attacher et à respirer de l’oxygène pour éviter les malaises hypoxiques
B- une décélération est liée à une augmentation de la vitesse lors du décollage laissant le passager
plaqué à son siège incapable de bouger
C- une décélération survient lorsque l’avion rencontre des masses d’air de températures différentes
provoquant des turbulences sévères avec risque de chutes des bagages et contusions des
passagers
D- une décélération est provoquée par un coup de frein brusque lors du roulage ou par une
accélération arrêt entraînant la chute des bagages et des contusions
1. la concentration de l’air en ozone est très faible au niveau de la mer mais augmente rapidement
au-dessus de 20 000 mètres avec un maximum entre 30 000 et 50 000 mètres
2. la concentration de l’air en ozone est très faible au niveau de la mer mais augmente rapidement
au-dessus de 12 000 mètres avec un maximum entre 15 000 et 25 000 mètres
3. l’ozone est toxique pour l’homme, en trop grande quantité, provoquant essentiellement des
troubles respiratoires avec toux, essoufflement et pouvant entraîner un œdème aigu du poumon
4. l’ozone est toxique pour l’homme en trop grande quantité et provoque des vomissements,
déshydratation, état de choc puis syncope cardiaque
5. d’autres signes : maux de tête, diminution de l’olfaction et de l’acuité visuelle peuvent également
survenir
6. l’ozone est détruit et transformé en O² à la température de 400°C pendant ½ seconde
7. l’ozone est détruit et transformé en O² à la température de 800°C pendant 10 secondes
A- 2–4–7
B- 1–4–6
C- 2–3–5–6
D- 1–3–5–7
20. Le rôle du PNC est capital en vol normal, en vol perturbé, et en cas d’accident. Sa
conduite est prépondérante :
A- dans le cas d’un trouble de comportement d’un passager à qui le PNC devra proposer
immédiatement une boisson alcoolisée et un sédatif
B- dans la claustrophobie d’un passager qui sera calmée en le faisant respirer de l’oxygène au
masque
C- dans l’anxiété d’un passager, car il doit redouter une évolution vers la crise d’épilepsie
D- dans une panique collective provoquée par un événement tel que : l’explosion d’un réacteur, un
incendie ou un crash … car il doit, impérativement garder son sang froid