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Eh bien !

Carmen, car c'est Carmen qui est son nom chrétien, Carmen s'est abandonnée à mes
plus formelles caresses.

- Ah !... Comme ça ?

- Oui, mon cher garçon, comme ça ! Elle n'a mis qu'une condition. Drôle de fille ! Au moment
suprême, elle m'a demandé : «Êtes-vous pour encore longtemps sur ce littoral ? - Jusque fin
octobre, ai-je répondu. - Eh bien ! promettez-moi, si vous tombez malade ici, de vous faire
soigner par mon père ; c'est un très bon médecin». J'ai promis ce qu'elle a voulu. Drôle de fille!

La semaine suivante, je me trouvais à la buvette de la plage quand advint Footer ?

- Un verre de pale ale, Footer ? Accueil de TEXTES LIBRES TEXTES LIBRES

LA BONNE FILLE

Humour

Alphonse ALLAIS

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TABLE des MATIÈRES

1 choix possible

LA BONNE FILLE

TEXTE INTÉGRAL

Ils habitaient tous les deux, elle et son père, une sorte de petite masure juchée tout en haut de
la falaise. L'aspect de cette demeure n'éveillait aucune idée d'opulence, mais pourtant on
devinait que ceux qui habitaient là n'étaient pas les premiers venus.

Nous sûmes bientôt par les gens du pays l'histoire approximative de ces deux personnes.

Le père, un gros vieux débraillé, à longs favoris mal entretenus, ancien médecin de marine,
mangeait là sa maigre retraite en compagnie de sa fille, une fille qu'il avait eue quelque part
dans les parages des pays chauds, au hasard de ses amours créoles.

Il faisait un peu de clientèle, pas beaucoup, car les paysans se défiaient d'un docteur qui restait
dans une petite maison couverte de tuiles et tout enclématisée, comme une cabane de
douanier.

Pour une fille naturelle, la fille était surnaturellement jolie, belle, et même très gentille.

Aussi, au premier bain qu'elle prit, quand on la vit sortir de l'eau, la splendeur de son torse,
moulé dans la flanelle ruisselante ; quand, la gorge renversée, elle dénoua la forêt noire de ses
cheveux mouillés qui dégringolèrent jusque très bas, ce ne fut qu'un cri parmi les plagiaires (1) :

- Mâtin !... La belle fille !...

Quelques-uns murmurèrent seulement : «Mâtin !»

D'autres enfin ne dirent rien, mais ils n'en pincèrent pas moins pour la belle fille.

Et ce spectacle se renouvela chaque jour à l'heure du bain.

Toutes les dames trouvaient que cette jeune fille n'avait pas l'air de grand-chose de propre ; mais
tous les hommes, sauf moi, en étaient tombés amoureux comme des brutes.

Un matin, mon ami Jack Footer, poète anglais vigoureux et flegmatique, vint me trouver dans ma
chambre et me dit, en ce français dont il a seul le secret :

- Cette fille, mon cher garçon, m'excite à un degré que nul verbe humain ne saurait exprimer...
J'ai conçu l'ardent désir de la posséder à brève échéance... Que m'avisez-vous d'agir ?

- Ne vous gênez donc pas !


- C'est bien ce que je pensais. Merci.

Et le lendemain, je rencontrai Footer, radieux.

- Puis-je faire fond sur votre discrétion ? dit-il.

- Auprès de moi, feu Sépulchre était un intarissable babillard.

- Eh bien ! Carmen, car c'est Carmen qui est son nom chrétien, Carmen s'est abandonnée à mes
plus formelles caresses.

TABLE des MATIÈRES

1 choix possible

LA BONNE FILLE

TEXTE INTÉGRAL
Ils habitaient tous les deux, elle et son père, une sorte de petite masure juchée tout en haut de
la falaise. L'aspect de cette demeure n'éveillait aucune idée d'opulence, mais pourtant on
devinait que ceux qui habitaient là n'étaient pas les premiers venus.

Nous sûmes bientôt par les gens du pays l'histoire approximative de ces deux personnes.

Le père, un gros vieux débraillé, à longs favoris mal entretenus, ancien médecin de marine,
mangeait là sa maigre retraite en compagnie de sa fille, une fille qu'il avait eue quelque part
dans les parages des pays chauds, au hasard de ses amours créoles.

Il faisait un peu de clientèle, pas beaucoup, car les paysans se défiaient d'un docteur qui restait
dans une petite maison couverte de tuiles et tout enclématisée, comme une cabane de
douanier.

Pour une fille naturelle, la fille était surnaturellement jolie, belle, et même très gentille.

Aussi, au premier bain qu'elle prit, quand on la vit sortir de l'eau, la splendeur de son torse,
moulé dans la flanelle ruisselante ; quand, la gorge renversée, elle dénoua la forêt noire de ses
cheveux mouillés qui dégringolèrent jusque très bas, ce ne fut qu'un cri parmi les plagiaires (1) :

- Mâtin !... La belle fille !...

Quelques-uns murmurèrent seulement : «Mâtin !»

D'autres enfin ne dirent rien, mais ils n'en pincèrent pas moins pour la belle fille.

Et ce spectacle se renouvela chaque jour à l'heure du bain.

Toutes les dames trouvaient que cette jeune fille n'avait pas l'air de grand-chose de propre ; mais
tous les hommes, sauf moi, en étaient tombés amoureux comme des brutes.

Un matin, mon ami Jack Footer, poète anglais vigoureux et flegmatique, vint me trouver dans ma
chambre et me dit, en ce français dont il a seul le secret :

- Cette fille, mon cher garçon, m'excite à un degré que nul verbe humain ne saurait exprimer...
J'ai conçu l'ardent désir de la posséder à brève échéance... Que m'avisez-vous d'agir ?

- Ne vous gênez donc pas !

- C'est bien ce que je pensais. Merci.

Et le lendemain, je rencontrai Footer, radieux.

- Puis-je faire fond sur votre discrétion ? dit-il.

- Auprès de moi, feu Sépulchre était un intarissable babillard.

- Eh bien ! Carmen, car c'est Carmen qui est son nom chrétien, Carmen s'est abandonnée à mes
plus formelles caresses.Il meurt frappé d'une embolie pulmonaire, consécutive à une phlébite
pour laquelle son médecin lui ordonna de rester au lit pendant six mois. Négligeant cette
recommandation, il va au café, comme tous les jours et à un ami qui le raccompagne à son
domicile, il fait sa dernière plaisanterie : « Demain je serai mort ! Vous trouvez ça drôle, mais
moi je ne ris pas. Demain, je serai mort ! » Comme il l'avait annoncé, il meurt le lendemain
matin, le 28 octobre 1905.

Il nous reste de lui l'image d'un homme à l'humour acide et un spécialiste de la théorie de
l'absurde. Ses travaux scientifiques sont moins connus (recherches sur la photographie couleur
et dépôt d'un brevet pour du café lyophilisé, ainsi que des travaux très poussés sur la synthèse
du caoutchouc).
Il a fait partie du mouvement Fumiste, était membre du club des Hydropathes, fut un pilier du
cabaret le Chat noir dont il dirigea la revue et présenta de fameuses toiles monochromes,
Combat de nègres dans une cave, pendant la nuit, Récolte de la tomate sur le bord de la mer
rouge par des cardinaux apoplectiques, etc.) au salon des Arts Incohérents Alphonse Allais a
composé des centaines de contes humoristiques, tous ou presque écrits dans l'urgence. Poète
autant qu'humoriste, il a cultivé entre autres le poème holorime, c'est-à-dire constitué de vers
entièrement homophones, où la rime est constituée par la totalité du vers. Exemple :

« Par les bois du djinn où s'entasse de l'effroi,

Parle et bois du gin ou cent tasses de lait froid. »

ou encore :

« Alphonse Allais de l'âme erre et se f... à l'eau.

LE PETIT CHOSE

LES FEMMES D'ARTISTES

LETTRES DE MON MOULIN

SAPHO

TARTARIN DE TARASCON
BIOGRAPHIE

Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840. Après avoir suivi les cours de l'institution Canivet
à Nîmes, il entre en sixième au lycée Ampère. Alphonse doit renoncer à passer son baccalauréat
à cause de la ruine en 1855 de son père, commerçant en soieries. Il devient maître d'étude au
collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1869).
Daudet rejoint ensuite son frère à Paris et y mène une vie de bohème. Il publie en 1858 un
recueil de vers, Les Amoureuses. L'année suivante, il rencontre le poète Frédéric Mistral. Il a son
entrée dans quelques salons littéraires, collabore à plusieurs journaux, notamment Paris-Journal,
L'Universel et Le Figaro.

En 1861, il devient secrétaire du duc de Morny (1811-1865) demi-frère de Napoléon III et


président du Corps Législatif. Ce dernier lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire
des contes, des chroniques mais meurt subitement en 1865 : cet événement fut le tournant
décisif de la carrière d'Alphonse.

Après cet évènement, Alphonse Daudet se consacra à l'écriture, non seulement comme
chroniqueur au journal Le Figaro mais aussi comme romancier. Puis, après avoir fait un voyage
en Provence, Alphonse commença à écrire les premiers textes qui feront partie des Lettres de
mon Moulin. Il connut son premier succès en 1862-1865, avec la Dernière Idole, pièce montée à
l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel - pseudonyme d'Ernest Lépine. Puis, il
obtint, par le directeur du journal L'Événement, l'autorisation de les publier comme feuilleton
pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales.

Certains des récits des Lettres de mon Moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires
de notre littérature, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du
Révérend Père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet fut Le Petit Chose écrit en
1868. Il s'agit du roman autobiographique d'Alphonse dans la mesure où il évoque son passé de
maître d'étude au collège d'Alès (dans le Gard, au nord de Nîmes). C'est en 1874 qu'Alphonse
décida d'écrire des romans de mœurs comme : Fromont jeune et Risler aîné mais aussi Jack
(1876), Le Nabab (1877) – dont Morny serait le "modèle" – les Rois en exil (1879), Numa
Roumestan (1881) ou L'Immortel (1883). Pendant ces travaux de romancier et de dramaturge (il
écrivit dix-sept pièces), il n'oublia pas pour autant son travail de conteur : il écrivit en 1872
Tartarin de Tarascon, qui fut son personnage mythique. Les contes du lundi (1873), un recueil de
contes sur la guerre franco-prussienne, témoignent aussi de son goût pour ce genre et pour les
récits merveilleux.

Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, mais
continue de publier jusqu'en 1895. Il décède le 16 décembre 1897 à Paris, à l'âge de 57 ans.

Principales OEUVRES :

Le Roman du Chaperon Rouge. Michel Lévy, 1862

Le Petit Chose. Hetzel, 1868

Tartarin de Tarascon, 1872

Fromont Jeune et Risler Aîné, 1874

Jack. Dentu, 1876

Le Nabab. Charpentier, 1877

Les Lettres de mon moulin, 1870

Les Contes du lundi, 1873

"Promenades en Afrique". Le Monde illustré, 27 décembre 1862

"La mule de Cadi". Le Monde illustré, 3 et 10 janvier 1863

"Le Bon Dieu de Chemillé qui n'est ni pour ni contre" (légende de Touraine). L'Événement, 21
juillet 1872

"Le Singe". L'Événement, 12 août 1872

"Le père Achille". L'Événement, 19 août 1872

"Salvette et Bernadou". Le Bien public, 21 janvier 1873

"Le Cabecilla". Le Bien public, 22 avril 1873

"Wood'stown" (conte fantastique). Le Bien public, 27 mai 1873


La Dernière Idole, drame en un acte et en prose, avec Ernest Lépine. Paris, Théâtre de l’Odéon, 4
février 1862. Pièce entrée au répertoire de la Comédie-Française en 1904

Les Absents, musique de Poise. Paris, Opéra-Comique, 26 octobre 1864

L'Œillet blanc, avec Ernest Lépine. Paris, Théâtre-Français, 8 avril 1865

Frère aîné, avec Ernest Lépine. Paris, Théâtre du Vaudeville, 19 décembre 1867

Lise Tavernier. Paris, L'Ambigu, 29 janvier 1872

L'Arlésienne, pièce de théâtre en trois actes, d'après la nouvelle de Daudet, musique de Georges
Bizet. Paris, Théâtre du Vaudeville, 1er octobre 1872

Fromont Jeune et Risler Aîné, adapt. du roman de Daudet par Daudet et Belot. Paris, Théâtre du
Vaudeville, 16 septembre 1876

Jack, d'après le roman de Daudet. Paris, Théâtre de l'Odéon, 11 janvier 1881

Le Nabab. Paris, Théâtre du Vaudeville, 30 janvier 1880

Source WikiPédiabjvhbdhkjfbvC'est en juin 1905, au cours d'une brève promenade sur les quais
de la Seine, qu'il rencontra Yvonne de Quiévrecourt, qui fut le premier grand amour de sa vie et
dont il s'inspira pour composer le personnage d'Yvonne de Galais dans son roman. Il ne la
retrouva que huit ans plus tard mariée et mère de deux enfants; cette brève rencontre n'eût
aucune suite.

En 1957, Pauline Benda au théâtre « Madame Simone » révéla la liaison qu'elle avait eue avec
l'écrivain lorsque celui-ci était secrétaire de son mari Claude Casimir-Perier. Leur correspondance
a été publiée en 1992. Après la mort d'Alain-Fournier , Madame Simone refit sa vie avec le poète
cognaçais François Porché, mais la famille d'Alain-Fournier lui reprocha de ne pas rester fidèle au
souvenir d'Alain-Fournier.

Lieutenant de réserve, il partit en campagne dès la mobilisation avec le 288e régiment


d'infanterie. On porta Fournier disparu au cours des combats des Éparges, près de Verdun, le 22
septembre 1914, dans les premiers affrontements de la Première Guerre mondiale. Cette
disparition fit travailler l'imaginaire de beaucoup jusqu'à ce que son corps fût retrouvé et
identifié en 1991 à quelques centaines de mètres de la Tranchée de Calonne. Il avait été enseveli
dans une fosse commune creusée par l'armée allemande à Dommartin-la-Montagne, avec 20
autres soldats français originaires pour la plupart de la région de Mirande.

Il fut inhumé l'année suivante dans le cimetière militaire de Saint-Rémy-la-Calonne, laissant


derrière lui l'un des grands classiques de la littérature.

Son nom figure sur les murs du Panthéon de Paris dans la liste des écrivains morts au champ
d'honneur pendant la guerre 1914-1918.

Principales OEUVRES :

1913 : le Grand Meaulnes (publié de juillet à novembre dans la Nouvelle revue française et chez
Emile Paul la même année)

La peinture, le cœur et l'esprit. Correspondance inédite (1907-1924). André Lhote, Alain-


Fournier, Jacques Rivière.

1925 : Correspondance avec Jacques Rivière.

Lettres au petit B... (le "petit B." était René Bichet, poète, et ami d'Alain-Fournier et de Jacques
Rivière)

Lettres à sa famille (1905-1914)

Miracles (poèmes)C'est en juin 1905, au cours d'une brève promenade sur les quais de la Seine,
qu'il rencontra Yvonne de Quiévrecourt, qui fut le premier grand amour de sa vie et dont il
s'inspira pour composer le personnage d'Yvonne de Galais dans son roman. Il ne la retrouva que
huit ans plus tard mariée et mère de deux enfants; cette brève rencontre n'eût aucune suite.

En 1957, Pauline Benda au théâtre « Madame Simone » révéla la liaison qu'elle avait eue avec
l'écrivain lorsque celui-ci était secrétaire de son mari Claude Casimir-Perier. Leur correspondance
a été publiée en 1992. Après la mort d'Alain-Fournier , Madame Simone refit sa vie avec le poète
cognaçais François Porché, mais la famille d'Alain-Fournier lui reprocha de ne pas rester fidèle au
souvenir d'Alain-Fournier.
Lieutenant de réserve, il partit en campagne dès la mobilisation avec le 288e régiment
d'infanterie. On porta Fournier disparu au cours des combats des Éparges, près de Verdun, le 22
septembre 1914, dans les premiers affrontements de la Première Guerre mondiale. Cette
disparition fit travailler l'imaginaire de beaucoup jusqu'à ce que son corps fût retrouvé et
identifié en 1991 à quelques centaines de mètres de la Tranchée de Calonne. Il avait été enseveli
dans une fosse commune creusée par l'armée allemande à Dommartin-la-Montagne, avec 20
autres soldats français originaires pour la plupart de la région de Mirande.

Il fut inhumé l'année suivante dans le cimetière militaire de Saint-Rémy-la-Calonne, laissant


derrière lui l'un des grands classiques de la littérature.

Son nom figure sur les murs du Panthéon de Paris dans la liste des écrivains morts au champ
d'honneur pendant la guerre 1914-1918.

Principales OEUVRES :

1913 : le Grand Meaulnes (publié de juillet à novembre dans la Nouvelle revue française et chez
Emile Paul la même année)

La peinture, le cœur et l'esprit. Correspondance inédite (1907-1924). André Lhote, Alain-


Fournier, Jacques Rivière.

1925 : Correspondance avec Jacques Rivière.

Lettres au petit B... (le "petit B." était René Bichet, poète, et ami d'Alain-Fournier et de Jacques
Rivière)

Lettres à sa famille (1905-1914)

Miracles (poèmes) fois les problèmes de son père arrangés, Charles fréquentera de 1824 à 1827
une école privée, la Wellington House Academy. Il devient successivement polisseur de
chaussures dans une usine (dès l'age de douze ans), clerc d'avoué, reporter sténographe dans les
cours de justice, puis reporter parlementaire. En 1833, il commence à écrire des histoires qu'il
fait publier dans des journaux et des magazines. Celles-ci furent republiées plus tard sous le titre
de Esquisses par 'Boz' (Sketches by 'Boz').

En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Les Aventures de M.
Pickwick (Pickwick Papers), chef-d'œuvre de l'humour britannique dont le succès est immédiat.
Avant que Pickwick ne s'achève, Dickens, devenu en 1836 éditeur du Recueil de Bentley avait
entamé la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837-1839).

En avril 1836, il épouse la fille du rédacteur en chef de l'Evening Chronicle, Catherine Hogarth,
qui lui donna 10 enfants de 1837 à 1852.

Dickens publie La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby de 1838 à 1839 en revue mensuelle
puis en épisodes hebdomadaires : Le Magasin d’antiquités (The Old Curiosity Shop) de 1840 à
1841 et Barnabé Rudge (Barnaby Rudge) en 1841.

Il visite l'Amérique en 1842 et publie ses observations dès son retour, Notes américaines
(American Notes), et inclut un épisode américain dans La Vie et les aventures de Martin
Chuzzlewit (1843 à 1825).

Le premier de ses cinq « livres de Noël », Un chant de Noël (A Christmas Carol) voit le jour en
1843 et le livre de voyage Images d'Italie (Pictures from Italy) en 1846. Dans cette année
également, il créa un quotidien "le Daily New".

Puis ce fut Dombey et fils (Dombey and son), diffusé en feuilleton de 1846 à 1848, suivi en 1849-
1850 de « l'enfant préféré de Dickens », à demi autobiographique, David Copperfield.

Viennent ensuite La Maison Désolée (Bleak House) de 1852 à 1853, Les Temps difficiles en 1854
et Petite Dorrit de 1855 à 1857.

Dickens acheta une maison de campagne, Gad's Hill près de Rochester, en 1856 et il se sépara de
sa femme en 1857.

Il retourna au roman historique avec Le conte de deux cités (A Tale of two Cities) en 1859 et à
l'utilisation de la première personne dans Les Grandes Espérances (Great Expectations) de 1860
à 1861.
Son dernier roman Notre ami commun (Our Mutual Friend) fut publié de 1864 à 1865. Le
Mystère d’Edwin Drood (Edwin Drood) resta inachevé à la mort de Dickens le 9 juin 1870.

Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Il est enterré dans le coin des poètes à l'abbaye
de Westminster.

Écrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation


de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie
quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui
un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

Principales OEUVRES :

Esquisse par Boz (1833-1836)

Les Papiers posthumes du Pickwick Club (1836-1837)

Oliver Twist (1837-1838)

Les Mémoires de Joseph Grimaldi (1838)

La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby (1838-1839)

Le Pendule de Maître Humphrey (1840-1841)

Le Magasin d’antiquités (1841)

Barnabé Rudge (1841)

Notes américaines (1842)

La Vie et les aventures de Martin Chuzzlewit (1843-1844)

Un chant de Noël (1843)

Les Carillons (1844)

Le Grillon du foyer (1845)


La Bataille de la vie (1846)

Dombey et fils (1846-1848)

L’Homme au spectre (1848)

David Copperfield (1849-1850)

L’Arbre de Noël (1850)

Bleak House (1852-1853) (Autre titre : La Maison d'Âpre-Vent)

Les Temps difficiles (1854)

La Petite Dorritt (1855-1857)

Le Pauvre voyageur (1858)

Paris et Londres en 1793 (1859) (Autre titre : Le Conte de deux cités)

Message venu de la mer (1860)

Les Grandes Espérances (1861)

La Terre de Tom Tiddler (1851)

Notre ami commun (1864-1865)

Le Docteur Marigold (1865)

L’Embranchement de Mugby (1866)

L’Abîme (1867)

fois les problèmes de son père arrangés, Charles fréquentera de 1824 à 1827 une école privée, la
Wellington House Academy. Il devient successivement polisseur de chaussures dans une usine
(dès l'age de douze ans), clerc d'avoué, reporter sténographe dans les cours de justice, puis
reporter parlementaire. En 1833, il commence à écrire des histoires qu'il fait publier dans des
journaux et des magazines. Celles-ci furent republiées plus tard sous le titre de Esquisses par
'Boz' (Sketches by 'Boz').

En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Les Aventures de M.
Pickwick (Pickwick Papers), chef-d'œuvre de l'humour britannique dont le succès est immédiat.
Avant que Pickwick ne s'achève, Dickens, devenu en 1836 éditeur du Recueil de Bentley avait
entamé la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837-1839).
En avril 1836, il épouse la fille du rédacteur en chef de l'Evening Chronicle, Catherine Hogarth,
qui lui donna 10 enfants de 1837 à 1852.

Dickens publie La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby de 1838 à 1839 en revue mensuelle
puis en épisodes hebdomadaires : Le Magasin d’antiquités (The Old Curiosity Shop) de 1840 à
1841 et Barnabé Rudge (Barnaby Rudge) en 1841.

Il visite l'Amérique en 1842 et publie ses observations dès son retour, Notes américaines
(American Notes), et inclut un épisode américain dans La Vie et les aventures de Martin
Chuzzlewit (1843 à 1825).

Le premier de ses cinq « livres de Noël », Un chant de Noël (A Christmas Carol) voit le jour en
1843 et le livre de voyage Images d'Italie (Pictures from Italy) en 1846. Dans cette année
également, il créa un quotidien "le Daily New".

Puis ce fut Dombey et fils (Dombey and son), diffusé en feuilleton de 1846 à 1848, suivi en 1849-
1850 de « l'enfant préféré de Dickens », à demi autobiographique, David Copperfield.

Viennent ensuite La Maison Désolée (Bleak House) de 1852 à 1853, Les Temps difficiles en 1854
et Petite Dorrit de 1855 à 1857.

Dickens acheta une maison de campagne, Gad's Hill près de Rochester, en 1856 et il se sépara de
sa femme en 1857.

Il retourna au roman historique avec Le conte de deux cités (A Tale of two Cities) en 1859 et à
l'utilisation de la première personne dans Les Grandes Espérances (Great Expectations) de 1860
à 1861.

Son dernier roman Notre ami commun (Our Mutual Friend) fut publié de 1864 à 1865. Le
Mystère d’Edwin Drood (Edwin Drood) resta inachevé à la mort de Dickens le 9 juin 1870.
Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Il est enterré dans le coin des poètes à l'abbaye
de Westminster.

Écrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation


de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie
quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui
un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

Principales OEUVRES :

Esquisse par Boz (1833-1836)

Les Papiers posthumes du Pickwick Club (1836-1837)

Oliver Twist (1837-1838)

Les Mémoires de Joseph Grimaldi (1838)

La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby (1838-1839)

Le Pendule de Maître Humphrey (1840-1841)

Le Magasin d’antiquités (1841)

Barnabé Rudge (1841)

Notes américaines (1842)

La Vie et les aventures de Martin Chuzzlewit (1843-1844)

Un chant de Noël (1843)

Les Carillons (1844)

Le Grillon du foyer (1845)

La Bataille de la vie (1846)

Dombey et fils (1846-1848)

L’Homme au spectre (1848)

David Copperfield (1849-1850)


L’Arbre de Noël (1850)

Bleak House (1852-1853) (Autre titre : La Maison d'Âpre-Vent)

Les Temps difficiles (1854)

La Petite Dorritt (1855-1857)

Le Pauvre voyageur (1858)

Paris et Londres en 1793 (1859) (Autre titre : Le Conte de deux cités)

Message venu de la mer (1860)

Les Grandes Espérances (1861)

La Terre de Tom Tiddler (1851)

Notre ami commun (1864-1865)

Le Docteur Marigold (1865)

L’Embranchement de Mugby (1866)

L’Abîme (1867)

fois les problèmes de son père arrangés, Charles fréquentera de 1824 à 1827 une école privée, la
Wellington House Academy. Il devient successivement polisseur de chaussures dans une usine
(dès l'age de douze ans), clerc d'avoué, reporter sténographe dans les cours de justice, puis
reporter parlementaire. En 1833, il commence à écrire des histoires qu'il fait publier dans des
journaux et des magazines. Celles-ci furent republiées plus tard sous le titre de Esquisses par
'Boz' (Sketches by 'Boz').

En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Les Aventures de M.
Pickwick (Pickwick Papers), chef-d'œuvre de l'humour britannique dont le succès est immédiat.
Avant que Pickwick ne s'achève, Dickens, devenu en 1836 éditeur du Recueil de Bentley avait
entamé la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837-1839).

En avril 1836, il épouse la fille du rédacteur en chef de l'Evening Chronicle, Catherine Hogarth,
qui lui donna 10 enfants de 1837 à 1852.

Dickens publie La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby de 1838 à 1839 en revue mensuelle
puis en épisodes hebdomadaires : Le Magasin d’antiquités (The Old Curiosity Shop) de 1840 à
1841 et Barnabé Rudge (Barnaby Rudge) en 1841.

Il visite l'Amérique en 1842 et publie ses observations dès son retour, Notes américaines
(American Notes), et inclut un épisode américain dans La Vie et les aventures de Martin
Chuzzlewit (1843 à 1825).

Le premier de ses cinq « livres de Noël », Un chant de Noël (A Christmas Carol) voit le jour en
1843 et le livre de voyage Images d'Italie (Pictures from Italy) en 1846. Dans cette année
également, il créa un quotidien "le Daily New".

Puis ce fut Dombey et fils (Dombey and son), diffusé en feuilleton de 1846 à 1848, suivi en 1849-
1850 de « l'enfant préféré de Dickens », à demi autobiographique, David Copperfield.

Viennent ensuite La Maison Désolée (Bleak House) de 1852 à 1853, Les Temps difficiles en 1854
et Petite Dorrit de 1855 à 1857.

Dickens acheta une maison de campagne, Gad's Hill près de Rochester, en 1856 et il se sépara de
sa femme en 1857.

Il retourna au roman historique avec Le conte de deux cités (A Tale of two Cities) en 1859 et à
l'utilisation de la première personne dans Les Grandes Espérances (Great Expectations) de 1860
à 1861.

Son dernier roman Notre ami commun (Our Mutual Friend) fut publié de 1864 à 1865. Le
Mystère d’Edwin Drood (Edwin Drood) resta inachevé à la mort de Dickens le 9 juin 1870.

Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Il est enterré dans le coin des poètes à l'abbaye
de Westminster.
Écrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation
de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie
quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui
un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

Principales OEUVRES :

Esquisse par Boz (1833-1836)

Les Papiers posthumes du Pickwick Club (1836-1837)

Oliver Twist (1837-1838)

Les Mémoires de Joseph Grimaldi (1838)

La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby (1838-1839)

Le Pendule de Maître Humphrey (1840-1841)

Le Magasin d’antiquités (1841)

Barnabé Rudge (1841)

Notes américaines (1842)

La Vie et les aventures de Martin Chuzzlewit (1843-1844)

Un chant de Noël (1843)

Les Carillons (1844)

Le Grillon du foyer (1845)

La Bataille de la vie (1846)

Dombey et fils (1846-1848)

L’Homme au spectre (1848)

David Copperfield (1849-1850)

L’Arbre de Noël (1850)

Bleak House (1852-1853) (Autre titre : La Maison d'Âpre-Vent)

Les Temps difficiles (1854)


La Petite Dorritt (1855-1857)

Le Pauvre voyageur (1858)

Paris et Londres en 1793 (1859) (Autre titre : Le Conte de deux cités)

Message venu de la mer (1860)

Les Grandes Espérances (1861)

La Terre de Tom Tiddler (1851)

Notre ami commun (1864-1865)

Le Docteur Marigold (1865)

L’Embranchement de Mugby (1866)

L’Abîme (1867)

Accueil de TEXTES LIBRES TEXTES LIBRES

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DICKENS in Deutsch übersetzen Traducir Charles DICKENS en Español Tradurre Charles
DICKENS in Italiano Traduzir Charles DICKENS em Português Charles DICKENS in het
Nederlands vertalen

Charles DICKENS

avec 10 OEUVRES

AVENTURES DE MONSIEUR PICKWICK, TOME I


AVENTURES DE MONSIEUR PICKWICK, TOME II

BARNABÉ RUDGE, TOME I

BARNABÉ RUDGE, TOME II

CANTIQUE DE NOËL EN PROSE

DAVID COPPERFIELD, TOME I

DAVID COPPERFIELD, TOME II

LE GRILLON DU FOYER ; HISTOIRE FANTASTIQUE D'UN INTÉRIEUR DOMESTIQUE

LES CONTEURS À LA RONDE

LES GRANDES ESPÉRANCES

BIOGRAPHIE

Issu d'une famille peu fortunée, Charles Dickens est né à Landport un petit faubourg de
Portsmouth le 7 février 1812. La famille Dickens déménage à Londres en 1815, puis à Chatham
en 1817. Ce furent les meilleures années de l'enfance de Charles. Il quitte l'école et en 1824 dut
travailler au noir dans un entrepôt, dirigé par un proche. Ceci puis l'emprisonnement de son
père pour dettes, marqua profondément l'enfant de 12 ans. Une fois les problèmes de son père
arrangés, Charles fréquentera de 1824 à 1827 une école privée, la Wellington House Academy. Il
devient successivement polisseur de chaussures dans une usine (dès l'age de douze ans), clerc
d'avoué, reporter sténographe dans les cours de justice, puis reporter parlementaire. En 1833, il
commence à écrire des histoires qu'il fait publier dans des journaux et des magazines. Celles-ci
furent republiées plus tard sous le titre de Esquisses par 'Boz' (Sketches by 'Boz').

En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Les Aventures de M.
Pickwick (Pickwick Papers), chef-d'œuvre de l'humour britannique dont le succès est immédiat.
Avant que Pickwick ne s'achève, Dickens, devenu en 1836 éditeur du Recueil de Bentley avait
entamé la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837-1839).

En avril 1836, il épouse la fille du rédacteur en chef de l'Evening Chronicle, Catherine Hogarth,
qui lui donna 10 enfants de 1837 à 1852.

Dickens publie La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby de 1838 à 1839 en revue mensuelle
puis en épisodes hebdomadaires : Le Magasin d’antiquités (The Old Curiosity Shop) de 1840 à
1841 et Barnabé Rudge (Barnaby Rudge) en 1841.

Il visite l'Amérique en 1842 et publie ses observations dès son retour, Notes américaines
(American Notes), et inclut un épisode américain dans La Vie et les aventures de Martin
Chuzzlewit (1843 à 1825).

Le premier de ses cinq « livres de Noël », Un chant de Noël (A Christmas Carol) voit le jour en
1843 et le livre de voyage Images d'Italie (Pictures from Italy) en 1846. Dans cette année
également, il créa un quotidien "le Daily New".

Puis ce fut Dombey et fils (Dombey and son), diffusé en feuilleton de 1846 à 1848, suivi en 1849-
1850 de « l'enfant préféré de Dickens », à demi autobiographique, David Copperfield.

Viennent ensuite La Maison Désolée (Bleak House) de 1852 à 1853, Les Temps difficiles en 1854
et Petite Dorrit de 1855 à 1857.
Dickens acheta une maison de campagne, Gad's Hill près de Rochester, en 1856 et il se sépara de
sa femme en 1857.

Il retourna au roman historique avec Le conte de deux cités (A Tale of two Cities) en 1859 et à
l'utilisation de la première personne dans Les Grandes Espérances (Great Expectations) de 1860
à 1861.

Son dernier roman Notre ami commun (Our Mutual Friend) fut publié de 1864 à 1865. Le
Mystère d’Edwin Drood (Edwin Drood) resta inachevé à la mort de Dickens le 9 juin 1870.

Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Il est enterré dans le coin des poètes à l'abbaye
de Westminster.

Écrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation


de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie
quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui
un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

Principales OEUVRES :

Esquisse par Boz (1833-1836)

Les Papiers posthumes du Pickwick Club (1836-1837)

Oliver Twist (1837-1838)

Les Mémoires de Joseph Grimaldi (1838)

La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby (1838-1839)

Le Pendule de Maître Humphrey (1840-1841)

Le Magasin d’antiquités (1841)

Barnabé Rudge (1841)


Notes américaines (1842)

La Vie et les aventures de Martin Chuzzlewit (1843-1844)

Un chant de Noël (1843)

Les Carillons (1844)

Le Grillon du foyer (1845)

La Bataille de la vie (1846)

Dombey et fils (1846-1848)

L’Homme au spectre (1848)

David Copperfield (1849-1850)

L’Arbre de Noël (1850)

Bleak House (1852-1853) (Autre titre : La Maison d'Âpre-Vent)

Les Temps difficiles (1854)

La Petite Dorritt (1855-1857)

Le Pauvre voyageur (1858)

Paris et Londres en 1793 (1859) (Autre titre : Le Conte de deux cités)

Message venu de la mer (1860)

Les Grandes Espérances (1861)

La Terre de Tom Tiddler (1851)

Notre ami commun (1864-1865)

Le Docteur Marigold (1865)

L’Embranchement de Mugby (1866)

L’Abîme (1867)

Le Mystère d’Edwin Drood (1870), inachevé.

Discours et lettres (1870)

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DICKENS in Deutsch übersetzen Traducir Charles DICKENS en Español Tradurre Charles
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Charles DICKENS

avec 10 OEUVRES

AVENTURES DE MONSIEUR PICKWICK, TOME I

AVENTURES DE MONSIEUR PICKWICK, TOME II

BARNABÉ RUDGE, TOME I

BARNABÉ RUDGE, TOME II

CANTIQUE DE NOËL EN PROSE

DAVID COPPERFIELD, TOME I

DAVID COPPERFIELD, TOME II

LE GRILLON DU FOYER ; HISTOIRE FANTASTIQUE D'UN INTÉRIEUR DOMESTIQUE


LES CONTEURS À LA RONDE

LES GRANDES ESPÉRANCES

BIOGRAPHIE

Issu d'une famille peu fortunée, Charles Dickens est né à Landport un petit faubourg de
Portsmouth le 7 février 1812. La famille Dickens déménage à Londres en 1815, puis à Chatham
en 1817. Ce furent les meilleures années de l'enfance de Charles. Il quitte l'école et en 1824 dut
travailler au noir dans un entrepôt, dirigé par un proche. Ceci puis l'emprisonnement de son
père pour dettes, marqua profondément l'enfant de 12 ans. Une fois les problèmes de son père
arrangés, Charles fréquentera de 1824 à 1827 une école privée, la Wellington House Academy. Il
devient successivement polisseur de chaussures dans une usine (dès l'age de douze ans), clerc
d'avoué, reporter sténographe dans les cours de justice, puis reporter parlementaire. En 1833, il
commence à écrire des histoires qu'il fait publier dans des journaux et des magazines. Celles-ci
furent republiées plus tard sous le titre de Esquisses par 'Boz' (Sketches by 'Boz').

En 1836, commence la publication sous forme de feuilletons mensuels des Les Aventures de M.
Pickwick (Pickwick Papers), chef-d'œuvre de l'humour britannique dont le succès est immédiat.
Avant que Pickwick ne s'achève, Dickens, devenu en 1836 éditeur du Recueil de Bentley avait
entamé la publication d'un nouveau feuilleton Oliver Twist (1837-1839).

En avril 1836, il épouse la fille du rédacteur en chef de l'Evening Chronicle, Catherine Hogarth,
qui lui donna 10 enfants de 1837 à 1852.

Dickens publie La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby de 1838 à 1839 en revue mensuelle
puis en épisodes hebdomadaires : Le Magasin d’antiquités (The Old Curiosity Shop) de 1840 à
1841 et Barnabé Rudge (Barnaby Rudge) en 1841.
Il visite l'Amérique en 1842 et publie ses observations dès son retour, Notes américaines
(American Notes), et inclut un épisode américain dans La Vie et les aventures de Martin
Chuzzlewit (1843 à 1825).

Le premier de ses cinq « livres de Noël », Un chant de Noël (A Christmas Carol) voit le jour en
1843 et le livre de voyage Images d'Italie (Pictures from Italy) en 1846. Dans cette année
également, il créa un quotidien "le Daily New".

Puis ce fut Dombey et fils (Dombey and son), diffusé en feuilleton de 1846 à 1848, suivi en 1849-
1850 de « l'enfant préféré de Dickens », à demi autobiographique, David Copperfield.

Viennent ensuite La Maison Désolée (Bleak House) de 1852 à 1853, Les Temps difficiles en 1854
et Petite Dorrit de 1855 à 1857.

Dickens acheta une maison de campagne, Gad's Hill près de Rochester, en 1856 et il se sépara de
sa femme en 1857.

Il retourna au roman historique avec Le conte de deux cités (A Tale of two Cities) en 1859 et à
l'utilisation de la première personne dans Les Grandes Espérances (Great Expectations) de 1860
à 1861.

Son dernier roman Notre ami commun (Our Mutual Friend) fut publié de 1864 à 1865. Le
Mystère d’Edwin Drood (Edwin Drood) resta inachevé à la mort de Dickens le 9 juin 1870.

Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Il est enterré dans le coin des poètes à l'abbaye
de Westminster.

Écrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation


de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie
quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui
un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

Principales OEUVRES :

Esquisse par Boz (1833-1836)

Les Papiers posthumes du Pickwick Club (1836-1837)

Oliver Twist (1837-1838)

Les Mémoires de Joseph Grimaldi (1838)

La Vie et les aventures de Nicolas Nickleby (1838-1839)

Le Pendule de Maître Humphrey (1840-1841)

Le Magasin d’antiquités (1841)

Barnabé Rudge (1841)

Notes américaines (1842)

La Vie et les aventures de Martin Chuzzlewit (1843-1844)

Un chant de Noël (1843)

Les Carillons (1844)

Le Grillon du foyer (1845)

La Bataille de la vie (1846)

Dombey et fils (1846-1848)

L’Homme au spectre (1848)

David Copperfield (1849-1850)

L’Arbre de Noël (1850)

Bleak House (1852-1853) (Autre titre : La Maison d'Âpre-Vent)

Les Temps difficiles (1854)

La Petite Dorritt (1855-1857)


Le Pauvre voyageur (1858)

Paris et Londres en 1793 (1859) (Autre titre : Le Conte de deux cités)

Message venu de la mer (1860)

Les Grandes Espérances (1861)

La Terre de Tom Tiddler (1851)

Notre ami commun (1864-1865)

Le Docteur Marigold (1865)

L’Embranchement de Mugby (1866)

L’Abîme (1867)

Le Mystère d’Edwin Drood (1870), inachevé.

Discours et lettres (1870)C'est en juin 1905, au cours d'une brève promenade sur les quais de la
Seine, qu'il rencontra Yvonne de Quiévrecourt, qui fut le premier grand amour de sa vie et dont il
s'inspira pour composer le personnage d'Yvonne de Galais dans son roman. Il ne la retrouva que
huit ans plus tard mariée et mère de deux enfants; cette brève rencontre n'eût aucune suite.

En 1957, Pauline Benda au théâtre « Madame Simone » révéla la liaison qu'elle avait eue avec
l'écrivain lorsque celui-ci était secrétaire de son mari Claude Casimir-Perier. Leur correspondance
a été publiée en 1992. Après la mort d'Alain-Fournier , Madame Simone refit sa vie avec le poète
cognaçais François Porché, mais la famille d'Alain-Fournier lui reprocha de ne pas rester fidèle au
souvenir d'Alain-Fournier.

Lieutenant de réserve, il partit en campagne dès la mobilisation avec le 288e régiment


d'infanterie. On porta Fournier disparu au cours des combats des Éparges, près de Verdun, le 22
septembre 1914, dans les premiers affrontements de la Première Guerre mondiale. Cette
disparition fit travailler l'imaginaire de beaucoup jusqu'à ce que son corps fût retrouvé et
identifié en 1991 à quelques centaines de mètres de la Tranchée de Calonne. Il avait été enseveli
dans une fosse commune creusée par l'armée allemande à Dommartin-la-Montagne, avec 20
autres soldats français originaires pour la plupart de la région de Mirande.

Il fut inhumé l'année suivante dans le cimetière militaire de Saint-Rémy-la-Calonne, laissant


derrière lui l'un des grands classiques de la littérature.
Son nom figure sur les murs du Panthéon de Paris dans la liste des écrivains morts au champ
d'honneur pendant la guerre 1914-1918.

Principales OEUVRES :

1913 : le Grand Meaulnes (publié de juillet à novembre dans la Nouvelle revue française et chez
Emile Paul la même année)

La peinture, le cœur et l'esprit. Correspondance inédite (1907-1924). André Lhote, Alain-


Fournier, Jacques Rivière.

1925 : Correspondance avec Jacques Rivière.

Lettres au petit B... (le "petit B." était René Bichet, poète, et ami d'Alain-Fournier et de Jacques
Rivière)

Lettres à sa famille (1905-1914)

Miracles (poèmes)

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