Batiment
Batiment
Batiment
SOMMAIRE GENERALE
Chauffage
Eau chaude
Menuiseries
Façade
Aménagements extérieurs
Véranda
Garanties
SOMMAIRE DU CHAPITRE
Les fondations
Définitions
Les différents types de fondations
Le vide sanitaire
Le vide sanitaire, qu'est-ce que c'est ?
Les plus du vide sanitaire
Comment bien isoler et bien ventiler un vide sanitaire ?
Les chapes
Qu'est-ce qu'une chape ?
Les chapes en maison individuelle
3 .LE TERRASSEMENT
La préparation du chantier
Le décapage et le remblayage
Le drainage
Les tranchées de raccordement aux réseaux : VRD
L'assainissement individuel
L'assainissement, de quoi s'agit-il ?
Les démarches pour faire installer un système individuel
d'assainissement
Les différents équipements pour un assainissement
autonome
Terrain et mise en oeuvre
Les différentes solutions
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4. LES MURS ET ELEVATIONS
5. A SAVOIR
Cette colle est obtenue grâce au ciment ou à la chaux qui, par leur finesse et
leurs propriétés physiques de prise, permettent de combler les interstices
microscopiques laissés par les sables et les gravillons et les agglomérer.
La résistance du béton résulte de la présence de gravillons, dont la dureté est
variable : le ciment seul n'offrirait pas la résistance attendue.
Définitions
On distingue :
les fondations profondes : qui cherchent à atteindre la roche dure quand elle se
situe en profondeur (type pieux),
Les semelles : désignent toute pièce constituant la base des ouvrages servant d'appui ou de
renfort. Elles correspondent généralement à un élargissement de la base de la structure :
Les radiers : correspondent à une surface en béton armé qui reprend les charges de toutes
les structures du bâtiment. Ce radier peut également servir de plancher pour certaines
constructions.
Les pieux constituent l'essentiel des fondations profondes. Il s'agit de poteaux de béton, de
métal ou plus rarement de bois enfoncés dans le sol qui permettent de reporter la charge du
bâtiment sur les roches ou sols durs en profondeur. Ces pieux sont utilisés pour supporter le
poids de bâtiments très lourds (type immeubles) ou construits sur des terrains très peu
porteurs (type ancienne tourbière).
Les planchers sont des ouvrages horizontaux servant à séparer les niveaux.
Constitués de plusieurs éléments, ils peuvent être réalisés en bois ou en béton.
Dans ce dernier cas, les planchers comportent :
PREPARATION DE PLANCHERS
- Dans le vide sanitaire on intègre les canalisations (il faut donc pouvoir
accéder à l'intérieur du vide sanitaire !)
Un vide sanitaire est un espace réservé entre le sol naturel et le plancher bas
d'une habitation. Ce vide peut correspondre à toute la surface du bâtiment ou à
une partie seulement. Par exemple, on peut aménager un vide sanitaire sur une
partie du terrassement et un sous-sol à côté.
Le vide sanitaire est d'une hauteur moyenne de 0,60 m, parfois 1m ou plus.
Dans cet espace prennent place les canalisations. Si la hauteur du vide sanitaire
est correcte (et si le constructeur, l'architecte ou l'entrepreneur n'a pas oublié
d'installer un système d'accès !), les éventuelles réparations ou changements de
canalisations se font par là.
Si les dimensions du vide sanitaire dépassent 4 m de longueur ou de largeur, il
faut alors disposer des mini-fondations de soutien.
On installe un vide sanitaire lorsque le terrain est plat ou peu pentu, ou lorsque
on ne fait pas construire de sous-sol. Sur un terrain très pentu, mieux vaut
prévoir d'emblée un sous-sol plutôt qu'un vide sanitaire, et cela pour des raisons
pratiques autant que financières.
Pratique pour des interventions sur les canalisations, le vide sanitaire joue
aussi un rôle d'isolant thermique s'il est bien aménagé. Et s'il est bien
ventilé, votre habitation n'en sera que plus saine.
Si le vide sanitaire est bien isolé, c'est toute votre habitation qui en
profite (d'autant plus si cette isolation va de pair avec une bonne
ventilation).
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Vos canalisations, dans un vide sanitaire bien isolé, ne risquent pas de
geler en hiver et n'ont donc pas besoin d'être autant protégées que
lorsqu'elles sont enterrées ou en surface.
L'isolation
Pour bien isoler un vide sanitaire, il s'agit de ne rien oublier : tant les parois
latérales (les fondations) que la face interne du plancher. Les murs seront
protégés de l'intérieur comme de l'extérieur, afin de ne pas laisser pénétrer
l'humidité, ni sortir la chaleur accumulée (chaleur naturelle du sol, plus chaleur
apportée par les conduits de chauffage et d'eau chaude).
Le top est d'ajouter sur le sol naturel un pare-humidité en polyéthylène (que
vous pouvez recouvrir de sable si vous marchez dans le vide sanitaire).
L'aération
Pour l'aération il est recommandé d'installer des ouvertures d'évent d'au moins
1/150e de la surface horizontale du vide sanitaire. Vous pouvez utiliser des
briques d'aération dans les parties verticales de la construction. Vous avez
également la solution de la ventilation mécanique. Bien sûr, à vous de gérer ces
aérations en hiver afin de ne pas perdre de chaleur !
Les chapes
Une chape est un ouvrage fait de mortier qui recouvre les dalles ou planchers. Lisse, elle
permet de donner au sol une excellente planéité et une bonne régularité de surface ainsi que
de mettre le sol au niveau souhaité. Elle reçoit ensuite directement les revêtements de sol :
carrelages, moquette, linoléums…
Il existe différents types de chape, mais en construction de maison individuelle, les plus
courantes sont :
la chape dite " rapportée " réalisée en mortier de 3 à 5 cm d'épaisseur tiré à la
règle. Ce type de chape est réalisé en mortier de ciment.
Vous avez opté pour un plancher rayonnant électrique (PRE) et vous recherchez le
produit le mieux adapté pour réaliser votre chape ?
Agilia Sols C est un produit novateur de la gamme Système Sols de Lafarge Bétons. C’est une
chape ciment, fluide et prête à l’emploi, préparée industriellement en
centrale à béton et mise en place par pompage et par des applicateurs agréés
et formés dans le respect des règles de l’art. L’autonivelance du produit
offre une parfaite planéité, supprimant ainsi les travaux de remise à niveau
du sol.
Agilia Sols C ne demande pas de temps de séchage supplémentaire par
rapport à une chape ciment traditionnelle et autorise une mise en charge à 7
jours pour montage de cloisons légères.
Grâce à sa fluidité vous obtiendrez un enrobage parfait des tuyaux et des
résistances de chauffage par le sol, et par conséquent un meilleur rendement de vos sols
chauffants. Cela vous permet donc de gagner du temps sur vos délais de chantier tout en
conservant un produit de qualité.
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Les chapes sur plancher chauffant / rafraîchissant
L'accessibilité de la chape après 36 à 48 heures par les autres corps d'état, la mise en
charge possible à 7 jours et une mise en chauffe plus rapide (7 jours au lieu de 21 pour une
chape traditionnelle) en font un produit avantageux en termes de délais de chantier. Un
meilleur rendement des sols chauffants, une perte de chaleur moindre et une meilleure
régulation grâce à la faible épaisseur en font un produit économique.
Le décapage et le remblayage
Remblayer pourra également être nécessaire pour surélever une partie du terrain, combler
une déclivité, épauler un pied de mur ou, d'une manière générale, pour donner le profil
définitif aux abords de la maison. Dans le cas où les remblais supporteraient une partie
construite, un compactage sera probablement souhaitable.
Pour ce faire, on utilisera des remblais, matériaux minéraux bruts sans caractéristiques
particulières n'ayant presque pas subi de transformation. Ces remblais seront ensuite
compactés afin d'éviter des tassements ultérieurs détériorant les maçonneries et le rendu
général des aménagements.
Le drainage
Le drainage peut se faire par " couche ", sous une dalle par exemple
ou, d'une manière plus linéaire, sous forme de drains filants le long
de murs ou de fondations par exemple.
Les volumes d'eau évacués par les drains doivent pouvoir trouver une liberté d'évacuation.
Pour réaliser un drain, il faut utiliser un matériau non lié et dépourvu de fines (élément fins
dont la dimension est inférieure à 0,063mm) afin d'éviter le phénomène dit de colmatage. On
utilise un gravillon d/D. Lafarge propose également des Gravillons Drainants particulièrement
adaptés à cet usage.
La mise en œuvre est réalisée en couches épaisses : 40 à 50 cm en pied de mur. 20 cm suffisent
pour assurer le bon drainage d'un ouvrage en béton.
Attention :
si le drain supporte des charges ou du roulage, assurez-vous de la portance des
matériaux en place,
si le drain intègre un tuyau drainant d'évacuation, celui-ci doit être de préférence
entouré de matériaux roulés afin d'éviter une coupure ou un percement de ce tuyau.
Les profondeurs des tranchées sont définies précisément par les organismes et autorités
responsables et compétentes. Elles sont généralement supérieures à 60 cm.
Il est possible dans certaines conditions d'utiliser une même tranchée pour plusieurs
raccordements (l'ordre de superposition et la profondeur sont précisés dans les DTU
spécifiques). De la même façon, les couleurs des gaines et des treillis de protection sont
également réglementées (jaune pour le gaz, vert pour le téléphone, bleu pour l'eau et rouge
pour l'électricité).
Les déblais issus de l'excavation de ces tranchées sont acceptés sur certains sites
Lafarge Granulats.
Toutes les eaux usées doivent être traitées avant de retourner dans le milieu naturel.
En fonction de la situation de votre habitation, vous bénéficiez ou non du système
communal d'assainissement. Si, pour cause d'habitat dispersé, votre logement ne peut
être raccordé au réseau collectif, à vous de faire installer un système individuel.
L'assainissement est le traitement des eaux usées qui comprennent aussi bien les
eaux ménagères (provenant des cuisines et salles de bains) que des eaux vannes qui
proviennent des toilettes.
En clair, si le terrain sur lequel se trouve votre habitation n'est pas relié au réseau
collectif, c'est à vous de faire installer un système d'assainissement aux normes. Et d'en
assumer le financement.
- Vous devez obtenir un certificat de conformité de la mairie avant obturation des tranchées.
Au même titre que vous devez faire établir des devis pour la construction de votre
maison, vous devez savoir combien vous coûtera votre système d'assainissement
autonome. Cela vous avancera dans vos démarches administratives.
Le bureau d'études vous rendra son étude sur la filière d'assainissement en trois
exemplaires : un pour votre constructeur et deux pour la mairie qui vous transmettra ses
recommandations. Le tout sera joint à votre dossier de permis de construire.
Réseau de collecte, système d’épuration dans une fosse toutes eaux, dispositif
d’évacuation puis rejet dans la nature des eaux traitées… autant d’étapes qui exigent
des équipements spécifiques pour un système d’assainissement individuel.
Le but d’un assainissement individuel est de collecter et de traiter toutes les eaux
usées de l’habitation pour ensuite les rejeter – non polluées – dans le milieu naturel. De la
conception et de la mise en œuvre de votre système dépend votre confort futur. Il s’agit
donc de respecter les étapes et de concevoir une installation adaptée au terrain. A toutes
les étapes de l’installation sont installés des « regards » qui permettent d’intervenir si une
canalisation se bouche.
De chaque point d’eau de l’habitation part une canalisation qui va rejoindre le système
d’assainissement, qu’il s’agisse des toilettes, de la douche, de l’évier ou de la machine à laver.
Pour la partie eaux de vaisselle, sur le circuit est généralement installé un « bac à
graisses ».
La fosse toutes eaux, plus communément nommée « fosse septique » permet de procéder à
une décantation des eaux usées. Un début d’épuration s’effectue là par fermentation.
Restent dans la fosse les matières de vidange qui doivent être retirées régulièrement (la
vidange s’effectue environ tous les 4 ans).
Les eaux usées quittent la fosse toutes eaux pour venir circuler dans des tuyaux perforés
enterrés dans une épaisseur de sable drainante. Là différentes solutions sont proposées en
fonction du terrain.
Les effluents ainsi épurés rejoignent le milieu naturel sans provoquer de stagnation.
Une fois rempli d'eau, il faut attendre que celle-ci se soit entièrement infiltrée puis en
verser à nouveau 10 litres.
Le temps qu'il lui faut pour être absorbée par le terrain est alors chronométré. En dessous
de 30 mn, le terrain est constitué de sable très perméable.
Entre 30 mn et 2 h, il s'agit de sable-limon perméable.
De 2 à 4 h, c'est un limon peu perméable et au-delà de 4 h, un limon-argile très peu
perméable.
Attention ! Il arrive qu'un terrain ne soit pas homogène, notamment lorsqu'il a été
partiellement nivelé ou remblayé (lors de la construction de l'habitation par exemple). Les
temps d'infiltration peuvent alors varier notablement à une dizaine de mètres de distance…
Ce qui n'est pas sans incidence à l'échelle d'un champ d'épandage.
Les murs et élévations peuvent être faits de différents matériaux : béton coulé,
parpaings, briques, béton cellulaire, …
Sols et fondations :
DTU 13.11 Fondations superficielles
DTU 13.12 Règles pour le calcul des fondations superficielles
DTU 13.2 Fondations profondes
DTU 14.1 Travaux de cuvelage
Etanchéité, couverture :
DTU 43.1 Travaux d'étanchéité des toitures-terrasses avec éléments porteurs en
maçonnerie
DTU 43.2 Etanchéité des toitures avec éléments porteurs en maçonnerie de pente <
5%
DTU 40.2 Couverture tuile canal
Enduits :
DTU 26.1 Enduits aux mortiers de liants hydrauliques
Revêtements de sols :
DTU 26.2 Chapes et dalles à base de liants hydrauliques
DTU 52.1 Revêtement de sols scellés.
Tout ce que vous devez savoir sur vos droits et devoirs liés à
un terrain précis, pour construire ou rénover. Le certificat
d'urbanisme précise les règles d'urbanisme de la commune et
vous renseigne sur la constructibilité du terrain. Mais attention
: le certificat d'urbanisme ne remplace pas le permis de construire !
Avant d'acquérir un terrain à bâtir ou avant de vous lancer dans un projet bâti, rendez-vous
à la mairie du lieu pour demander un certificat d'urbanisme : c'est le meilleur moyen de
connaître les règles de construction dans la commune en question. Ce certificat n'est pas
obligatoire, mais peut vous éviter bien des soucis par la suite.
Il existe deux certificats d'urbanisme :
- le certificat d'urbanisme ordinaire (art. L.410-1 du Code de l'urbanisme) : ce sont les
règles générales d'urbanisme sur la commune (limites administratives au droit de propriété,
taxes, couleur des tuiles du toit, forme des fenêtres...) ;
- le certificat d'urbanisme opérationnel (art. L.410-6 du Code de l'urbanisme) : c'est la
constructibilité et les servitudes attachées au lot sur lequel se trouve le terrain. Ces
caractéristiques sont déterminées par le Plan local d'urbanisme, le PLU (ex-POS) de la
commune.
C'est en fonction de vos projets que vous demandez l'un ou l'autre.
Mieux vaut faire appel à un bureau d'études pour procéder à une analyse du sol et du sous-
sol et juger ainsi de sa qualité, de sa stabilité en vue d'une construction.
Autre cas de figure pour lequel vous aurez besoin d'un bureau d'études spécialisé dans
l'analyse du sol, c'est lorsque votre terrain à construire est situé hors zone
d'assainissement municipal. Le bureau d'études, après analyse, vous indique le système
d'assainissement adéquat et la marche à suivre.
Savoir quel sera votre besoin en isolation acoustique ou thermique en fonction du secteur
géographique, de la zone urbaine où vous vous installez, c'est important !
Vous devez faire appel à un géomètre-expert pour borner votre terrain ou procéder à la
détermination de la surface habitable de votre habitation.
Diagnostic Bruit :
SOMMAIRE DU CHAPITRE
1. Les ardoises
Modèles et formes
Les différents modèles
La multiplicité des formes
2. La charpente
3. La cheminée
La souche extérieure
De l'utilité d'une souche
Où placer la souche ?
4. Les tuiles
Comment choisir vos tuiles ?
De quoi est fait un toit ?
A quoi servent les tuiles ?
La diversité des types de tuiles
Quelle tuile pour quelle maison ?
Des tuiles pour tous les toits et pour tous les goûts
Les tuiles Redland Lafarge Couverture
Les tuiles terre cuite Lafarge Couverture
Incombustible, non poreuse, inaltérable, flexible, ... l'ardoise multiplie les qualités.
Elle joue ainsi un rôle essentiel dans la longévité de votre toiture.
L'ardoise, avant de se démocratiser, couvrait les toits des châteaux et bâtisses des
grands propriétaires terriens, et cela dès le XIe siècle. Issue d'une roche qui se débite en
feuillets, le schiste, l'ardoise s'est peu à peu imposée par ses qualités, notamment pour
remplacer le chaume dans le nord-ouest de la France.
L'ardoise est incombustible ; elle peut subir certaines altérations lors d'un incendie, mais
elle le freine. Elle est également imperméable et non poreuse, quelle que soit son épaisseur.
Elle se révèle donc guère sensible au gel. L'ardoise est aussi inaltérable et donc insensible
aux agents atmosphériques, d'où sa très grande longévité. Autre qualité importante pour une
couverture, la flexibilité. Plus une ardoise est flexible et plus elle est facile à tailler et à
percer. Cette facilité de découpe la rend parfaite pour des toitures complexes avec
lucarnes, châssis, capucines…
Couleur ardoise
Du gris au vert en passant par le bleu, l'ardoise n'en finit plus de changer de teinte.
L'ardoise d'Ardennes peut aller du bleu-noir au violet, mais posséder également des
nuances vertes ou des textures marbrées.
En Bretagne, si elle est généralement gris-bleu, elle est verte aussi ou bien tachetée
d'oxyde.
En Corrèze, on l'appelle la " bleue ".
Dans les Alpes l'ardoise a la caractéristique de blanchir à l'air, donnant aux toits la
patine du temps.
C'est en fonction de la qualité et des dimensions des blocs de schiste que l'on détermine
la dimension et l'épaisseur de l'ardoise.
A chaque modèle correspond un usage et un type de toit :
Le modèle ordinaire
De forme rectangulaire, le modèle ordinaire (ou modèle français) est le plus couramment
utilisé, tant en plaine qu'en littoral. Ces ardoises sont généralement d'une épaisseur de 2,7 à
3,3 mm. Les ardoises de petite taille sont préférées en Bretagne car la résistance au vent
est supérieure étant donné le nombre d'attaches au mètre carré.
Le modèle anglais
Lui aussi rectangulaire, le modèle anglais est plus épais (3,8 mm en moyenne) et plus
résistant que le modèle ordinaire et donc généralement utilisé en régions montagneuses pour
supporter des charges de neige et résister au gel.
Le modèle carré
Le modèle carré est peu utilisé pour les habitations car moins résistant que les autres.
Le modèle historique
Le format de l'ardoise est choisi en fonction de son recouvrement, partie recouverte par
les rangées supérieures. C'est un professionnel qui vous aidera à choisir ce format car la
valeur du recouvrement est un savant calcul entre la pente du toit, la zone climatique,
l'exposition, le mode de fixation. Et le recouvrement varie aussi selon la partie du toit.
Le ou les rampants de la toiture doivent avoir une pente qui assure un bon écoulement des
eaux et évite les remontées sous l'effet du vent. Elle s'exprime en pourcentage, en degré ou
mètre par mètre, soit la hauteur de la verticale obtenue pour un mètre de projection
horizontale (0,70 m par mètre = 0,70 mpm = 70 % = 35° environ par exemple). La pente
dépend à la fois de la conception de l'ardoise, de la zone climatique et du site de la
construction. Respectez impérativement ces paramètres.
L'exposition géographique
Le vocabulaire de la charpente
Savez-vous ce qu'est un coyau, un entrait, une volige ? Quelques mots suffisent pour
comprendre la charpente et pouvoir ainsi discuter avec un professionnel.
· Chevron : longue pièce verticale appliquée sur les pannes de la charpente et servant
d'assise aux éléments d'appui de couverture.
· Coyau : petite pièce de bois rajoutée en partie basse de la charpente pour adoucir la
pente en fin de toiture.
· Entrait : pièce horizontale de la ferme formant triangle isocèle avec les arbalétriers.
· Ferme : ensemble des pièces formant, dans un plan vertical, l'ossature en triangle d'une
charpente.
· Fermette : ferme réalisée avec des bois de faible section donnant des charpentes plus
légères que les fermes traditionnelles. Elle est composée d'un ensemble de pièces de bois
assemblées par des connecteurs métalliques inoxydables.
· Liteau : latte étroite positionnée horizontalement qui sert à accrocher les tuiles et les
ardoises.
· Volige : planches clouées horizontalement sur les chevrons pour fixer les éléments de
couverture.
Bien sûr, il s'agit avant tout de choisir un bois de charpente parfaitement traité. En
matière de traitement du bois, les normes sont très strictes. Elles vous garantissent
un bois résistant aux diverses agressions : humidité, champignons ou xylophages.
La norme NF
Le bois destiné à la charpente doit être d'une excellente résistance, notamment en traction,
et sa qualité est fonction de sa résistance aux attaques diverses.
L'ennemi du bois, dans la construction, est bien sûr l'humidité. Non seulement l'humidité
extérieure, mais aussi l'humidité propre au matériau bois lui-même, d'où une normalisation
NF en quatre catégories en fonction de l'usage du bois. Pour les bois de charpente, la classe
n°2 correspond à un degré d'humidité compris entre 13 et 17 % ; ce bois est appelé " bois
sec à l'air ".
Vous devez donc vérifier que le bois choisi est bien normalisé NF. Si le bois sélectionné
répond bien aux normes, cela ne dispense pas de surveiller son évolution une fois la
charpente montée. Car le bois vit !
Les bois de charpente sont désormais bien traités contre les attaques les plus courantes :
termites, capricornes, champignons…mais, là aussi, une fois montée, la charpente doit être
surveillée de près. Il suffit d'un excès d'humidité pour favoriser le développement de
champignons. Certaines essences sont aussi plus sensibles que d'autres : les résineux
peuvent être attaqués par les capricornes, les feuillus par les lyctus.
La partie du bois choisie a également son importance quant à la fragilité par rapport aux
petites bêtes : si la charpente contient plus de 10 % d'aubier, vous devez être vigilant car
l'aubier est plus sensible aux attaques que la partie centrale de l'arbre.
Que de choix !
Le chêne
En matière de charpente, si n'était son prix, le chêne serait l'un des favoris. Il est d'une
excellente résistance mécanique et d'une grande densité. Cela dit, il est également fissile,
et donc à surveiller.
Le châtaigner
Le châtaigner est aussi un choix sûr car il est d'une faible rétractabilité (par exemple,
lorsqu'une maison est chauffée, le bois de charpente se dessèche ; il est alors sujet à un
retrait plus ou moins fort selon l'essence) et d'une bonne résistance en flexion. Petit plus
fort appréciable : il fait fuir les araignées, car son odeur tannique les dérange...
Le hêtre est d'une très grande résistance en compression, il est stable mais d'une forte
rétractabilité. Choisir le hêtre oui, mais dans sa région de production car le faire venir de
son lieu d'origine peut se révéler coûteux.
Pins et consorts
Pin Laricio, pin maritime, pin des Landes, pin sylvestre, sapin Douglas... autant d'essences de
qualité pour une charpente car le pin est très résistant en flexion et en compression et d'un
rapport qualité prix intéressant. Ces bois légers sont parfaits pour les voliges et les
tasseaux. Petit bémol, le pin pleure parfois de la résine.
Bois tendres
Pour des charpentes légères, vous pouvez opter pour l'épicéa, l'épicéa de Sitka, le peuplier
et certains sapins. Ces bois tendres et légers ne manquent pourtant pas de résistance !
L'humidité
L'humidité est la source la plus courante de dégâts dans les charpentes. Bien sûr, en
fonction de leur densité, les bois sont plus ou moins sensibles à l'hygrométrie. Mais de
quelque essence qu'il s'agisse, certaines zones de la charpente sont particulièrement à
surveiller : faîtage, coyau, parties en contact avec la maçonnerie.
Si coyau il y a dans votre charpente, sachez que cette zone est sensible aux
infiltrations. Le coyau étant la partie " mourante " d'une toiture, la pente est quasi
nulle et des infiltrations peuvent donc se produire à la jointure entre le coyau et la
panne.
Le bois vit !
Le bois se rétracte, se dilate, boit et rejette de l'eau, fléchit... Tous ces comportements
sont pris en compte par le charpentier lors de la réalisation d'une ossature de toit : le taux
d'humidité est contrôlé, la partie de l'arbre utilisée est adaptée à l'usage, l'épaisseur de la
pièce calculée en fonction de la charge à porter, etc.
Mais il peut y avoir des erreurs de choix dans la qualité du bois (vouloir faire trop
d'économies au niveau de la qualité du bois de charpente induit des risques sur le long
terme), des erreurs de calcul de charge entraînant une surcharge et donc un affaiblissement
d'une pièce de charpente. Ou des impondérables (généralement atmosphériques...).
Pour des questions d'humidité (qu'il y ait infiltration ou intempéries), la masse volumique des
éléments de charpente peut augmenter excessivement (la variation peut aller jusqu'à 7 %)
et les assemblages en être affaiblis.
Le sous-dimensionnement de certaines pièces de bois entraîne leur fléchissement pour cause
de surcharge. Les versants du toit peuvent ainsi s'affaisser peu à peu.
Les solutions
Si la déformation est due à l'humidité, avant de réparer les dégâts, il est impératif de
régler les problèmes d'étanchéité.
Consolider la partie affaiblie, soulager la pièce sous pression, renforcer les assemblages
sont autant d'opérations à réaliser dès que l'on décèle une déformation de charpente.
Quelle que soit la solution technique choisie, il est très important d'utiliser la même essence
que celle d'origine, car il peut y avoir " incompatibilité" entre deux essences.
La lutte contre les termites devient l’affaire de tous en France puisque leur territoire
s’étend peu à peu. Les dégâts causés par les termites sont d’autant plus considérables
que souvent « cachés » puisqu’ils attaquent le bois de l’intérieur. Petits trous dans les
plâtres, plinthes creuses, insectes volants suspects… autant d’indices à prendre en
compte.
Les zones contaminées sont délimitées par arrêté préfectoral ou par arrêté municipal. Vous
pouvez donc vous renseigner en mairie.
Quant aux autres xylophages, les capricornes ou les vrillettes par exemple, on en trouve par
petites zones sur tout le territoire. Sachez que si vos voisins découvrent des capricornes
dans leur charpente, mieux vaut faire procéder à un diagnostic sur votre propre toiture.
Les termites
La lutte contre les termites devient l'affaire de tous en France puisque leur territoire
s'étend peu à peu. Les dégâts causés par les termites sont d'autant plus considérables
que souvent "cachés" puisqu'ils attaquent le bois de l'intérieur. Petits trous dans les
plâtres, plinthes creuses, insectes volants suspects... autant d'indices à prendre en
compte.
Les termites sont des insectes blancs qui fuient la lumière et vivent dans la terre et le bois.
Les termites préfèrent les zones chaudes et humides, d'où leur intérêt pour les villes et
leur chauffage urbain... Les termites s'attaquent de plus en plus aux habitations. Ils y
trouvent leurs matériaux de prédilection : bois, papier, cartons et tissus. Ils pondent leurs
oeufs généralement dans le bois ; il en éclôt des larves qui s'enfoncent dans le bois pour se
nourrir, le réduisant en poudre. Une fois adultes, ils émergent en perçant un trou vers la
surface, puis poursuivent leur cycle reproducteur.
C'est donc de l'intérieur que les termites creusent le bois, l'affaiblissant et l'empêchant de
jouer son rôle de maintien de la structure de construction. Pour atteindre les éléments en
bois, les termites sont capables de se déplacer à travers plâtre, isolants, papiers peints,
voire béton !
- par essaimage : les reproducteurs quittent le nid et s'envolent pour implanter une nouvelle
colonie dans un autre terrain favorable ;
- par transport involontaire : il suffit de transporter, lors d'un déménagement par exemple,
un élément infecté... Autre hypothèse : vous ramassez du bois en forêt afin d'alimenter
votre cheminée et vous le stockez dans la cave ou le grenier. Ce bois peut très bien être
infecté sans que vous le sachiez;
- par bouturage : une partie de la colonie se sépare et forme progressivement une nouvelle
colonie dans une construction avoisinante.
En France, les zones les plus touchées sont le sud-ouest et le sud mais, peu à peu, les
termites remontent au centre et vers le nord et sont désormais présents dans cinquante-six
départements.
Devant le risque croissant d'invasion, maires et préfets sont autorisés, de par la loi, à
organiser la prévention et la lutte contre les termites. Il incombe aux occupants et aux
propriétaires de suivre leurs directives. Contrevenir vous expose à des sanctions.
Dès la découverte de termites, la loi vous impose d’en avertir la mairie. La non-déclaration
est sanctionnée par une amende pouvant aller de 1500 à 7 500 €, sans compter l’obligation
de faire intervenir un professionnel de la lutte contre les termites.
Si vous vivez dans une zone où la présence de termites est avérée, vous devez participer aux
actions de prévention et de lutte.
Le maire peut prendre un arrêté demandant de procéder à la recherche et aux travaux de
lutte contre les termites. Vous devez justifier, dans les six mois, du respect de la recherche
en présentant un état parasitaire. Vous justifierez également de la mise en œuvre de
travaux de prévention et d’éradication par un professionnel.
Lors de travaux de démolition, il faut brûler sur place ou traiter le bois et les matériaux
infestés après avoir fait une déclaration en mairie.
En cas de non-exécution de ces mesures, c’est une amende de pouvant aller de 1500 à 7 500
€, que vous risquez.
Si vous habitez dans une zone à risques (zone délimitée par le préfet ou le maire de la
commune) et que vous vendez un bien, la loi vous oblige désormais à joindre à l’acte de vente
un état parasitaire de moins de trois mois conforme à un modèle établi par arrêté et établi
par un expert agréé.
Le Centre technique du bois et de l’ameublement (CTBA) tient à disposition une liste
d’experts et de professionnels de la lutte contre les termites.
D'indispensables précautions
Première des précautions, même si vous n'habitez pas dans une zone infestée : entretenir
une bonne hygiène de l'habitation en résorbant les infiltrations d'eau, en ne laissant pas de
tas de bois de chauffage trop près des murs, etc.
Pour construire dans une zone à risques, utilisez du bois traité.
Si vous êtes dans une zone infestée, optez pour un traitement préventif : des barrières de
protection physique, chimique ou physico-chimique sont créées autour de l'habitation.
Certaines aides sont accordées par l'Etat pour la réalisation de travaux de lutte contre les
termites. La Direction départementale de l'équipement (DDE) vous renseigne sur ces aides.
Très prolifiques et très vivaces, une fois installés les termites sont difficiles à
déloger…
Les termites s'attaquent de plus en plus aux habitations. Ils y trouvent leurs matériaux de
prédilection : bois, papier, cartons et tissus.
Ils pondent leurs oeufs généralement dans le bois ; il en éclôt des larves qui s'enfoncent
dans le bois pour se nourrir, le réduisant en poudre. Une fois adultes, ils émergent en
perçant un trou vers la surface, puis poursuivent leur cycle reproducteur.
C'est donc de l'intérieur que les termites creusent le bois, l'affaiblissant et l'empêchant de
jouer son rôle de maintien de la structure de construction.
Pour atteindre les éléments en bois, les termites sont capables de se déplacer à travers
plâtre, isolants, papiers peints, voire béton !
Comment se propagent-ils ?
En France, les zones les plus touchées sont le sud-ouest et le sud mais, peu
à peu, les termites remontent au centre et vers le nord et sont désormais
présents dans cinquante-six départements.
Seuls des professionnels agréés sont à même de lutter contre les termites
et autres xylophages. Ne faites confiance qu’à eux seuls !
Qui intervient ?
La lutte contre les termites ou tout autre xylophage est une affaire de
professionnels ! C’est en mairie ou à la Direction Départementale de l’Equipement
(DDE) que vous obtenez les coordonnées de sociétés agréées pour lutter contre
les termites et autres xylophages.
Attention : un certificat de traitement fourni par une société non agréée n’est
pas valable, lors d’une transaction immobilière par exemple.
Il est important de ne faire appel qu’à des sociétés spécialisées car il existe des
entreprises peu scrupuleuses qui vous proposent, en faisant du porte à porte,
d’effectuer chez vous un diagnostic de termites. Ces personnes profitent d’un
moment d’inattention de votre part pour sortir de dessous leur blouse un
morceau de charpente « mangé » par les xylophages et vous le présentent comme
venant de votre charpente ! Paniqué, vous signez un devis pour une intervention
rapide…
Première démarche, envoyer une lettre recommandée à votre mairie. Elle vous
contactera très vite pour vous donner la marche à suivre, et vous donner une
liste de professionnels agréés. Leur intervention donnera lieu à un certificat
dont vous donnerez copie à la mairie.
Seconde démarche importante : avertir vos voisins. Si vous êtes infesté, il est
probable qu’un périmètre de voisinage l’est aussi. Et si l’on intervient chez vous
sans intervenir dans les habitations mitoyennes, cela ne sert à rien : les termites
reviendront en force chez vous !
Les remèdes
Il existe quelques gestes simples qui peuvent vous éviter ces invités
inattendus que sont les termites, les capricornes ou les vrillettes.
Luttez contre l’humidité : les termites sont attirées par les lieux humides,
que ce soit votre cave, le garage, une buanderie…
Charpentes nordiques
Les spécificités
La charpente nordique est généralement conçue pour un toit pentu (des pentes de 40° et
60°). L'argument d'ordinaire avancé est climatique : pluie, neige, gel... auraient incité les
charpentiers à réaliser des ossatures permettant à l'eau de glisser, à la neige de s'évacuer…
En fait, la forme nordique des charpentes vient davantage d'une tradition séculaire que
d'une volonté de protection contre les intempéries.
Charpentes méditerranéennes
Pas toujours facile d'aménager des combles avec une toiture méditerranéenne ! La pente est
souvent limitée entre 18 et 30°. Sa forme est d'origine romaine et adaptée à une couverture
de tuiles canal. Autre caractéristique des charpentes du Sud, elles ne sont que très peu
élaborées et se réduisent souvent à des chevrons (éléments verticaux) posés sur des pannes
(éléments horizontaux) entre deux murs maçonnés.
Une belle charpente traditionnelle est une œuvre d'art ! Conçue et réalisée selon des
méthodes ancestrales - modernisées bien sûr - , la charpente traditionnelle a l'énorme
avantage de laisser la place à des combles si la pente du toit est assez importante.
Structure porteuse triangulée, la ferme donne sa forme à la toiture (ferme simple, ferme à
la Mansart, ferme à entrait retroussé...).
Valeur ajoutée
Plus longue à mettre en place que la charpente fermette industrielle, elle utilise davantage
de bois, car il faut prévoir un plancher pour le plafond (avec les charpentes fermettes, ce
sont les entraits des fermettes qui servent de plancher), des pannes et des chevrons. Le
nombre de fermes de la charpente dépend bien sûr de la superficie de l'habitation.
Si le coût de revient d'une charpente traditionnelle est généralement plus élevé que celui
d'une fermette, la qualité est au rendez-vous, ainsi que le charme du travail artisanal.
Avec ses fermettes, la charpente industrielle est de pose rapide et plus économique
que la charpente traditionnelle.
Un produit industriel
Valeur ajoutée
La production des fermettes étant industrialisée, le coût de revient est moindre par rapport
à une charpente traditionnelle. La mise en œuvre est très facile, puisque la fermette porte
directement la toiture sans interposition de pannes et de chevrons, les liteaux de
couverture s'appuyant directement sur les arbalétriers. Cette simplification induit une
grande rapidité d'exécution.
Rénovation ou construction ?
Construction
Lors de la construction d'une cheminée à foyer ouvert, le choix des matériaux est essentiel
car le but est de limiter leur échauffement et leur fissuration, d'éviter que vous ne vous
brûliez à leur contact et d'éliminer le risque d'incendie.
Terre cuite, ciment, torchis ont leur version réfractaire parfaitement adaptée à la création
d'une cheminée.
En fonction de l'élément de la cheminée, certains matériaux sont autorisés ou prohibés, par
exemple pas de plâtre pour l'avaloir, cette partie qui coiffe le foyer et fait le lien avec le
conduit de fumée ; pierre, béton, cellulaire, marbre, fonte, métal, bois, céramique ne sont
autorisés que pour certaines parties.
Rénovation
Jadis, les artisans ne maîtrisaient pas toujours les règles de construction des cheminées.
D'où, parfois, des conduits mal adaptés à la taille du foyer, ou bien l'absence d'arrivée d'air
frais au niveau du foyer... Il existe bien sûr de nombreuses solutions pour qu'une cheminée
ancienne fonctionne parfaitement : abaissement du linteau, création d'une arrivée d'air,...).
Il est de toute façon impératif, en rénovation, de faire contrôler par un professionnel la
conformité et l'efficacité de chaque élément de la cheminée, du foyer à la souche sur le
toit.
Que l'on soit en construction ou en rénovation, le poids d'une cheminée est toujours à
prendre en considération. Il peut varier de 300 à 1500 kg. Il faut donc prévoir un éventuel
renforcement des structures.
A quoi ça sert ?
Dommage de laisser les calories partir en fumée ! La cheminée à foyer ouvert a en effet
davantage un rôle esthétique et convivial qu'un pouvoir chauffant (le rendement d'un foyer
ouvert est limité à 10 ou 15 %). Une partie de la chaleur s'enfuit vers l'extérieur avec les
gaz brûlés. Mais vous pouvez considérablement augmenter le rendement de votre cheminée
(de 25 à 50 %) - et ainsi augmenter la température de la pièce ou de pièces mitoyennes - en
installant un récupérateur de chaleur. Certes, l'opération est plus simple en construction
qu'en rénovation, mais tout à fait réalisable sur de vieilles cheminées.
Comment ça marche ?
Sous la cheminée ou au-dessus, on crée une surface de chauffe avec des matériaux
spécifiques qui absorbent et restituent très vite les calories. Une circulation importante
d'air est installée : au contact du matériau chauffé, l'air monte en température et est
rediffusé dans la pièce.
Il existe plusieurs systèmes : récupérateurs à prise d'air extérieure, double foyer avec
combustion inversée, récupérateurs à eau qui s'apparentent à une chaudière.
La solution de base ce sont les chenêts soufflants. Ce système de récupération de chaleur
n'exige pas de travaux. On installe le chenêt soufflant dans un foyer de cheminée ouvert. Le
chenêt soufflant est en fait un corps de chauffe équipé d'un ventilateur : le bloc moteur,
placé à l'extérieur de la cheminée, récupère l'air extérieur. Cet air circule dans le chenêt et
se réchauffe au contact du feu. L'air chaud est ensuite expulsé dans la pièce grâce au
ventilateur.
L'insert s'encastre dans une cheminée existante, le foyer fermé, quant à lui, nécessite
la construction d'une cheminée autour. Ces deux types d'appareils s'adaptent très
aisément à un conduit de fumées et vous apportent bien-être et sécurité lorsqu'ils
répondent aux normes.
Distingo
Comment ça marche ?
L'insert est très simple d'installation puisqu'il suffit de l'encastrer dans le foyer de la
cheminée et de le raccorder au conduit de fumées (en ayant pris soin de contrôler et
d'adapter ce dernier aux normes actuelles). Le foyer fermé, quant à lui, est équipé d'une
façade vitrée et doté d'un dispositif de récupération de chaleur. Les façades latérales
peuvent aussi être vitrées, d'où augmentation du rendement. La plupart des modèles de
foyers fermés laissent la possibilité d'utiliser la cheminée en foyer ouvert.
Inserts et foyers fermés présentent le grand avantage à la fois d'offrir le charme des
cheminées à feu ouvert, en respectant une large vision des flammes, et de diffuser
une chaleur confortable tout en étant économiques. Ils peuvent aller jusqu'à servir
réellement de chauffage d'appoint ou de base selon l'espace et le volume à chauffer.
Une installation peut même, au moyen de gaines, répartir la chaleur produite sur
plusieurs pièces.
Le choix d'un appareil sera donc fonction de l'usage que vous voulez en faire: agrément,
chauffage d'appoint, chauffage principal ; des caractéristiques qui vous semblent
importantes : rendement, capacité en bois, durée en feu continu, esthétique...
Mais le premier critère de choix sera obligatoirement sa conformité à la norme française
NF D-35 376. Il est tout aussi important que l'insert ou le foyer soit posé par un
professionnel spécialisé, qui suivra des règles d'installation très strictes et très précises.
Sans ces deux précautions, vous risquez l'incendie.
La conception d'un insert ou d'un foyer permet la diffusion d'air chauffé en circuit par le
feu de bois, dans toute la pièce.
L'air chaud sort par des bouches (grilles) situées sur l'insert ou sur la hotte pour un foyer.
La chaleur est par conséquent plus largement diffusée et mieux répartie qu'avec un feu
ouvert. Au lieu de s'échapper à 65% par le conduit de fumées, elle se propage dans la pièce.
De plus, la consommation de bois diminue dans un ordre de grandeur de 2 à 3.
Écart du feu 16 cm
À quoi ça sert ?
Un insert ou foyer fermé installé sans précaution peut devenir cause d'incendie. La chaleur
dégagée étant de l'ordre de 500°C, l'installateur doit impérativement respecter une
distance minimale de 16 cm entre la paroi intérieure du conduit et l'élément combustible le
plus proche, en général la structure en bois.
Comment faire ?
Les règles de mise en œuvre d'un insert ou d'un foyer fermé sont détaillées avec précision
dans un Document Technique Unifié (DTU-24-2-22). Elles doivent impérativement être
suivies par l'installateur.
Comment l'utiliser ?
Le conduit sert à évacuer les fumées par la toiture à l'extérieur du logement. Il doit être
non fissuré et ramoné deux fois par an. Le foyer peut être relié au conduit par un tuyau de
raccordement, qui ne doit pas traverser de paroi. L'étanchéité entre ce tuyau et le conduit
doit être parfaite.
Comment faire ?
Le conduit de fumées, raccordé à un foyer fonctionnant porte fermée ou porte ouverte, doit
avoir une section minimale de 400 cm2 ou un Ø minimal de 20 cm. Il doit être composé d'un
même matériau et ne desservir qu'un seul foyer. Le conduit doit déboucher dans la pièce où
est situé le foyer à raccorder, sur une hauteur de 5 cm.
Bois à brûler
Comment l'utiliser ?
Pour que le bois brûle avec un bon rendement, il doit être suffisamment sec, avec une
tolérance
de 15 à 18 % d'humidité intérieure.
Comment le choisir ?
Le bois doit avoir été abattu depuis au moins 18 mois et stocké pendant un an dans un
endroit ventilé et protégé de la pluie. La longueur des bûches doit être choisie en fonction
de la largeur de l'insert
(33 ou 50 cm en général). Certaines essences brûlent plus longtemps que d'autres.
Grilles de ventilation
À quoi ça sert ?
Le fonctionnement d'une cheminée, équipée d'un insert ou d'un foyer fermé, nécessite un
apport d'air plus important que le simple renouvellement d'air. Si l'admission d'air dans la
pièce est insuffisante, une amenée d'air supplémentaire propre à la cheminée doit être
réalisée. Lorsque l'habitation est équipée d'un système d'extraction mécanique de l'air
(VMC), cette amenée d'air est obligatoire.
Comment faire ?
L'amenée d'air supplémentaire doit être prise directement sur l'air extérieur pour ne pas
consommer les calories intérieures, garantir un bon tirage, améliorer le rendement
d'exploitation ainsi que le confort.
Porte vitrée
À quoi ça sert ?
Une paroi vitrée pour fermer le foyer permet à la fois d'obtenir un meilleur rendement de la
cheminée et d'avoir une vision du feu de bois. De nouvelles techniques ont permis d'agrandir
la paroi vitrée et de la rendre complètement transparente.
Comment la choisir ?
La vitre doit être en vitro-céramique pour pouvoir résister à 800°C. Les vitres peuvent être
autonettoyantes grâce à un système réducteur de bistrage : maîtrise de la circulation d'air
pour éviter le dépôt de goudron et élévation de la température du foyer pour brûler les
résidus.
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Construction et rénovation d'un conduit de cheminées
Un tubage, plus simple et moins cher, est préférable. Il est quasiment obligatoire
lorsqu'une nouvelle chaudière ou cheminée est installée. C'est une formule très rapide qui
rectifie la section du conduit si nécessaire, limite les risques de bistrage et renforce
l'isolation thermique.
Il faut prévoir une ventilation de l'espace entre le conduit et le tubage pour éviter des
risques de condensation prolongée sur la paroi extérieure du tube. Un orifice est ménagé au
sommet de la sortie de toit et un second en partie basse du conduit.
Après tubage, la section du conduit peut être ramenée à un Ø intérieur de 180 mm s'il est
raccordé à une cheminée à foyer ouvert et à 153 mm s'il s'agit d'un foyer fermé ou semi-
ouvert.
Dans un conduit vertical, on pose des tubes rigides métalliques.
Ils sont assemblés entre eux et descendus au fur et à mesure. En céramique, le tube -
moins cher, se réutilise après un feu de cheminée, il est garanti 30 ans contre la corrosion
et peut être ramoné avec un hérisson métallique plus efficace qu'un modèle en nylon.
Lorsque le conduit n'est pas vertical, on utilise un tubage souple en acier inox.
À parois alvéolées, les boisseaux sont polycombustibles pour la plupart. Ils conviennent pour
la partie du conduit qui traverse les pièces habitables. Très bon marché, ils sont habillés
avec une cloison en carreau de plâtre de 50 mm d'épaisseur, désolidarisée du conduit par un
vide d'air ventilé de 30 mm d'épaisseur ou isolé avec de la laine de roche.
À isolation intégrée, les boisseaux comportent de la laine minérale collée sur leur paroi
extérieure et recouverte d'un enduit ou d'un film d'aluminium qui assure la protection
mécanique de l'isolant. Ils complètent les précédents dans les combles perdus et dans les
parties extérieures en supprimant l'apport d'une isolation.
À triple paroi, les boisseaux se composent d'un tube en céramique réfractaire, d'une coquille
d'isolation en laine minérale haute densité de 35 mm d'épaisseur et d'une paroi extérieure
en béton allégé. Compatibles pour un usage extérieur et intérieur, ils permettent de réduire
l'écart au feu à 2 cm des bois de charpente et un habillage du conduit dans les parties
habitables par simple collage d'une plaque de plâtre ou par application d'un enduit. Une
excellente solution mais très chère.
Ce sont les solutions les plus chères mais parfaitement adaptées à la structure légère des
charpentes modernes. Elles se montent rapidement par emboîtement et serrage d'un collier
et le conduit de fumée est utilisable immédiatement après la fin des travaux. Leur
destination est fonction de la compatibilité du métal avec le combustible, de leur situation
dans la construction et leur capacité d'isolation.
À simple paroi en inox flexible ou rigide, ils sont destinés principalement au raccordement du
foyer au conduit de fumée ou au tubage des conduits maçonnés.
À double paroi séparée par une lame d'air, de la vermiculite, de la céramique ou de la laine de
roche, ils sont "mono" ou "poly" combustibles. Comme les boisseaux isothermes, ils évitent
ainsi les phénomènes de condensation et de bistrage qui peuvent corroder le métal.
Les conduits placés à l'intérieur sont en acier avec une paroi interne en inox ou en alu et une
paroi externe galvanisée.
Pour la souche, on utilise soit un conduit avec solin et cône de finition en inox-inox, soit en
inox-galva habillé d'une sortie de toit préfabriquée. Certaines imitent les cheminées
régionales.
À triple paroi, composé d'un tube en céramique, d'une coquille en laine minérale de 6 cm
d'épaisseur et d'une enveloppe extérieure en acier inox, le conduit est réutilisable après un
feu de cheminée. Il permet de réduire l'écart au feu à 5 cm des bois de charpente et il est
garanti 30 ans contre la corrosion. Dans les parties habitables, des supports métalliques
fixés sur le conduit permettent la pose d'une cloison avec une garantie.
La souche extérieure
Partie émergente de la cheminée, la souche joue un rôle capital pour un bon tirage.
La souche est la partie du conduit qui émerge du toit. Elle permet d'expulser en hauteur les
gaz brûlés, mais aussi de récupérer l'air extérieur indispensable au tirage de la cheminée.
La souche doit être bien isolée afin d'éviter un refroidissement trop rapide des fumées qui
auraient ainsi du mal à sortir. De plus, une souche mal isolée peut atteindre une température
de 45° C ce qui favorise des condensations.
Où placer la souche ?
Pour jouer pleinement son rôle la souche doit être implantée sur le versant de la
toiture situé sous le vent dominant. De plus, il est impératif de respecter la
réglementation en matière de hauteur.
La souche se place sur le versant de toiture situé sous le vent dominant, en dépression, ce
qui favorise le tirage.
Pour connaître le bon versant d'implantation de la souche, mieux vaut se renseigner auprès
des voisins car, certaines régions possédant plusieurs vents dominants, il est parfois
difficile de trouver la bonne orientation.
Vous pouvez prévoir un dispositif anti-refoulement qui permet d'éviter les retours de
fumées à l'intérieur en cas de fortes pluies ou de vents plongeants.
Seul bémol, le dispositif ne doit en aucun cas modifier la section du conduit, au risque de
modifier la qualité du tirage.
Son rôle premier est d'évacuer correctement les gaz de combustion en assurant une
régularité de tirage. En diffusant les gaz dans l'atmosphère au dessus des habitations,
il préserve la qualité de l'air au niveau du sol et élimine les risques d'intoxications dues
aux rejets à hauteur d'homme le long des façades.
Il s'agit de la dépression qui se crée au débouché du conduit et qui se traduit par une
aspiration de l'air à la base du conduit. Le tirage sera d'autant meilleur que les fumées
seront chaudes, le conduit sera haut et bien isolé. Le tirage peut être perturbé par des
conditions météorologiques défavorables (pluie, vents plongeants).
Les produits innovants, quant à eux, ont suivi l'évolution de la réglementation et offrent
des systèmes complets et performants, autorisant les dévoiements et permettant
souvent de réduire l'encombrement total du conduit tout en respectant les exigences de
sécurité.
Le conduit de cheminée joue deux rôles essentiels. Il évacue les produits de combustion
et il assure le tirage. Il doit résister à des températures de 200 à 400° (voire 500°
pour certains foyers fermés) et à l'action chimique des gaz brûlés.
Le conduit fonctionne comme une pompe : il aspire les gaz intérieurs, moins denses que
les gaz extérieurs à la maison. Plus le gaz brûlé par la combustion est chaud (et donc
léger), plus le conduit l'évacue facilement et meilleur est le tirage. Au fur et à mesure
de leur montée vers l'extérieur, les gaz ont tendance à se refroidir, ce qui est néfaste
pour le tirage. Il est donc important de ne pas avoir un conduit de fumée trop haut (20 à
30 mètres sont la norme).
Les briques
Terre cuite et brique réfractaire ont une importante résistance à la chaleur (jusqu'à
950° pour la brique réfractaire). En briques, le conduit doit être autoportant et, s'il est
adossé au gros œuvre, leur libre dilatation doit être assurée. L'épaisseur de la paroi doit
être de 10 cm afin d'assurer la stabilité de l'ouvrage et son isolation thermique.
Les boisseaux
Le béton armé
Avec le béton armé, le conduit peut être monolithe, c'est-à-dire coulé sur place entre
des coffrages spéciaux, ou composite, c'est-à-dire constitué d'éléments préfabriqués.
L'intérieur des conduits en béton armé est généralement garni de briques ou de
boisseaux.
Le fibrociment
Lorsqu'il est en fibrociment, le conduit est alors adossé au mur porteur et fixé par des
colliers.
Le métal
Qu'il soit en tôle d'acier noir, en tôle d'acier inoxydable ou en tôle d'aluminium, le
conduit est généralement réalisé à l'extérieur.
C'est surtout en rénovation que l'on procède au tubage d'un conduit de fumée. En
tubant un conduit de fumées existant, on évite d'avoir à le refaire pour qu'il réponde
aux normes de constructions actuelles et on garantit sa sécurité.
Attention : le tubage est interdit lorsqu'il s'agit d'un foyer ouvert, une cheminée
traditionnelle donc (dans ce cas, pour rendre le conduit conforme il faut le chemiser,
c'est-à-dire en couvrir les parois intérieures d'un enduit spécial).
Le tubage flexible
Le tubage flexible permet de s'adapter aux dévoiements (les coudes) du conduit. Il est
fixé par des colliers et des raccords flexibles.
Le tubage rigide
Avoir un toit sur la tête, ça ne suffit pas ! Encore faut-il que ce soit un toit de
qualité. Pour cela, toutes les parties de la toiture comptent. De la charpente aux
accessoires en passant par la sous-toiture, chaque élément joue son rôle pour
protéger, ventiler et pérenniser votre toiture. Dessus, dessous… on vous dit tout.
La charpente
Un écran de sous-toiture
Entre charpente et couverture se situe l’espace de la sous-toiture. C’est là que l’on peut
poser un écran dont les effets sont clairement bénéfiques.
Bien sûr, les matériaux de couverture sont prévus pour résister à l’eau et protéger votre
habitation, mais la protection peut être renforcée. Ainsi, ni pluie, ni air, ni pollens ni
poussière ne pourront franchir le cap de la sous-toiture. De plus, l’écran protège également
l’isolant contre l’humidité. L’écran de sous-toiture va servir de barrière, tout en laissant
respirer la toiture.
La couverture en tuiles
Couverture en tuiles
La couverture se segmente en deux catégories d'éléments :
Les points singuliers. Ce sont les parties de la couverture qui ont une fonction ou un
emplacement particulier. Ces points singuliers particulièrement sensibles sont :
- les sorties de cheminé et de VMC (Ventilation mécanique contrôlée) pour l'évacuation d'air
en provenance de l'intérieur ;
- les lucarnes et fenêtres de toit pour l'éclairement des combles ;
- les égouts, rives, faîtières et arêtiers qui marquent les changements de volume de la
couverture et ses limites.
Pour chacun de ces points singuliers, il est nécessaire d'assurer une étanchéité parfaite.
Les tuiles sont un matériau de construction qui a fait ses preuves. Elles protègent
durablement votre toit, tout en assurant l’intégration de votre habitation dans son
environnement. En plus, un toit de tuiles c’est chaleureux. Et les tuiles se marient aussi
avec les architectures les plus modernes.
Les tuiles constituent le principal élément de protection de votre toiture contre les
intempéries. Les tuiles actuelles, grâce à leur technique de fabrication, offrent une
excellente résistance aux vents et à la pluies. Des tuiles de qualité doivent d’ailleurs être
étudiées et testées en soufflerie climatique dans des conditions extrêmes pour en vérifier
les qualités. C’est le cas des tuiles Lafarge. Les tuiles se posent sur des toits à faible pente
comme des toits à forte pente, seul le système de pose varie en fonction du type de toit et
de la forme des tuiles. La pose peut s’effectuer par emboîtement ou par recouvrement. Au
même titre que les accessoires de fixation, la pose joue un rôle essentiel pour conserver à
votre toiture de tuiles toutes ses qualités protectrices. D’où l’intérêt de faire appel à un
professionnel.
Les tuiles spéciales ont deux fonctions, une fonction pratique et une fonction esthétique. En
recouvrant les angles ou les bords du toit (faîtage, noues, arêtiers ou rives), ces tuiles
garantissent un bon écoulement des eaux pluviales et une meilleure étanchéité. Elles
permettent aussi une finition parfaite de la toiture et peuvent être complétées par des
accessoires décoratifs comme les poinçons.
Claires, foncées, roses, paille… les nuances de tuiles créent une diversité culturelle
sur tout le territoire. Les formes aussi sont très variées, répondant à un climat et
des usages locaux. Les nouvelles techniques de fabrication les rendent plus
résistantes et retrouve la multiplicité des nuances. De la tradition à la modernité.
La couleur
Historiquement, la couleur des tuiles était celle que prenait la terre locale après cuisson.
Désormais, avec les techniques de coloration et l’évolution du goût, les tuiles peuvent
prendre toutes les couleurs possibles. Reste un contexte culturel régional qu’il est
préférable de respecter pour être dans le ton :
l'orange est la couleur privilégiée des côtes atlantiques et du Nord de la France ;
le rose et la paille sont avant tout méditerranéens ;
le brun et le rouge sont les tonalités historiques de la plupart de nos régions ;
le noir est caractéristique de la Bretagne et des Pays de Loire.
Toutes ces teintes se retrouvent déclinées dans la gamme des tuiles Lafarge en
Unies, Nuancées et Contrastées.
Les teintes
Teintes unies
Un rendu monochrome de couleurs peut être obtenu par l’application d’un colorant de
surface (coating), ce qui est le cas de notre modèle Redland, ou par l’ajout de pigments
minéraux avant la cuisson (ainsi sont faites nos tuiles Terres de France).
Teintes nuancées
Un mélange de tons proches, disposés de manière aléatoire donne, à l'assemblage, un
aspect patiné a la toiture et lui permet de se fondre dans l'environnement.
Teintes contrastées
Un mélange de plusieurs couleurs de tonalités éloignées les unes des autres donne à la
toiture un aspect vieilli.
Les formes
Cinq formes de tuiles coexistent, issues d’une ancienne tradition ou d’études physiques
et scientifiques plus contemporaines. Chaque forme est adapté à un type de toit, à une
pente et à un climat.
Les tuiles plates. On les trouve plutôt dans le nord de la France sur les toits à forte
pente.
Les tuiles d’aspect plat (ou planes). Ces tuiles à emboîtement permettent une pose
rapide et sûre, tout en conservant le style des tuiles traditionnelles.
Les tuiles à faible galbe. Ces tuiles, posées par emboîtement, existent dans différents
profils (panne, flamande, à côte) pour satisfaire les exigences locales.
Tuiles à fort galbe. Basées sur le principe des tuiles à emboîtement, ces tuiles
reproduisent les formes rondes des tuiles canal du Midi de la France.
Les tuiles canal. Typiquement du sud de la France, ces tuiles sont aussi appelées
"romaines". Elles couvrent surtout des toits à faible pente.
De bon conseil
Chaque modèle de tuile a un format différent. Le type de pose (par emboîtement ou par
recouvrement) n’implique pas non plus le même nombre de tuiles au mètre carré. Pour
schématiser on peut dire que, pour les tuiles à emboîtement, il y a le format « grand
moule » qui implique de 10 à 15 tuiles au mètre carré et le format « petit moule » qui
donne de 16 à 22 tuiles au mètre carré. Les petites tuiles plates caractéristiques du
Nord de la France, notamment Ile-de-France et Normandie, ont des formats qui varient
de 30 à 65 tuiles au mètre carré. Les tuiles canal, qui symbolisent le Sud de la France,
se posent de 22 à 36 tuiles par mètre carré.
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Pour un parfaite ventilation: le closoir
Essentiel pour la protection de votre toiture, le closoir est un élément préfabriqué qui
crée un lien étanche entre des points sensibles de la toiture (faîtage ou arêtes) et le
premier rang de tuiles mitoyen. tout en assurant une excellente ventilation.
Le closoir est une pièce de couverture qui permet de faire le lien entre des éléments
singuliers de la toiture - faîtage ou arêtes - et le premier rang de tuiles adjacent.
Pour une parfaite efficacité, le closoir doit être étanche afin d'empêcher tout passage
d'eau, de poussières ou de neige. Mais si l'étanchéité est une qualité nécessaire elle n'est
pas suffisante: le closoir doit aussi permettre une parfaite ventilation. Ainsi, le matériau
utilisé doit-il laisser circuler l'air entre l'extérieur et la sous-toiture afin de participer à la
ventilation générale de la couverture, seul moyen d'avoir un toit sain.
FUNIPLAT est un closoir spécifique pour faîtage. Il est aussi spécialement conçu pour créer
une étanchéité totale avec les tuiles plates. Tout en laissant respirer la toiture sous le
faîtage.
Etant en PVC, il est très léger et d’une grande souplesse.
Il est de couleur ardoise et se fait donc très discret avec des tuiles de cette couleur.
Eviter les phénomènes de condensation, maintenir une atmosphère saine dans toute la
maison, laisser respirer le bois de charpente, autant de fonctions dévolues en partie
aux sorties de toit. Quant à l’aération de toute l’habitation, elle se fait par des
conduits qui atterrissent aussi en sortie de toit.
L’aération de la toiture
L’aération de l’habitation
Les sorties de toit peuvent également protéger un conduit de fumées ou une Ventilation
mécanique contrôlée (VMC), type de ventilation motorisée qui permet de renouveler l’air
vicié dans toute la maison. Grâce à ces sorties de toit spécifiquement étudiées, l’air vicié ne
peut être refoulé dans le conduit et le conduit lui-même est protégé contre l’intrusion de
pluie, de neige, d’insectes…
Votre Ventilation mécanique contrôlée (VMC) mérite une sortie en toiture discrète et
efficace. Et resistante
Pour une aération de qualité, mieux vaut des sorties de toit de qualité, efficaces,
durables et discrètes
Vous aimez les matériaux naturels ? Vous voulez une aération performante ? Les sorties
de toit Terre Cuite Lafarge Couverture sont faites pour vous.
ASPECT RELIEF
Tuile Prestige couleur Tuile Perspective Tuile Medoc couleur Tuile Regence couleur
ardoise couleur ardoise littoral terron
Tuile Regence couleur Tuile Regence couleur Tuile Regence couleur Tuile Regence couleur
terron terron terron terron
Tuile Palace couleur Tuile Palace couleur Tuile Regence couleur Tuile Regence couleur
rustique rustique brun vieilli brun vieilli
Tuile Regence couleur Tuile Regence couleur Tuile Regence couleur Tuile Prestige couleur
brun vieilli brun vieilli brun vieilli Ardoise
ASPECT RELIEF
Tuile Perspective Double Romane couleur Tuile Marseille couleur Tuile Marseille couleur
couleur badiane séquoïa brun fumé brun fumé
Tuile Doubel Romane Tuile Double Tuile Double Romane Tuile Double Romane
couleur ardoise Romane couleur couleur ardoise couleur séquoïa
ardoise
Tuile Double Romane couleur Tuile Gallo Romane couleur tons Tuile Gallo Romane couleur Tons
séquoïa variés Variés
Tuile Plein ciel couleur Tuile Plein ciel couleur Tuile Plein ciel couleur Tuile Plein ciel couleur
muscade muscade muscade muscade
Tuile Plein ciel couleur Tuile Occitane couleur Tuile Abeille couleur Tuile Abeille couleur
muscade littoral littoral littoral
Tuile Abeille couleur Tuile Occitane couleur Tuile Occitane couleur Tuile Occitane couleur
littoral silvacane xahara silvacane xahara littoral
PLATE
Tuile Arpège couleur Tuile Arpège couleur Tuile Vieille France Tuile Arpège couleur Tuile Arpège couleur
basalte basalte couleur badiane badiane badiane
SOMMAIRE DU CHAPITRE
La base en est le sable naturel, auquel on ajoute des fondants ainsi que des produits de
recyclage.
La matière est fondue à 11OO° dans un four électrique. Le fibrage se fait par centrifugation
au travers d'assiettes percées. Le fibrage est intégral. On ajoute des produits de collage
ainsi que des éléments spécifiques à chaque usage, et le matelas de laine est polymérisé et
calendré.
Avant emballage, les produits en panneaux ou en rouleaux sont fortement comprimés,
profitant ainsi des avantages d'élasticité et de reprise d'épaisseur du matériau. TELSTAR
est une qualité de fibrage garantissant des fibres longues et souples, une excellente
résistance au passage de l'air (Classe VA), des contrôles rigoureux et continus.
L'usine d'ORANGE bénéficie de la norme ISO 9002.
- Il isole aussi bien des murs que des vides sanitaires ou des combles.
Le matériau PSE
Constitué de cellules fermées, remplies d'air, le PSE est de ce fait un matériau isolant très
performant. Il est composé à 98 % d'air, c'est donc un matériau léger mais rigide, doté
d'une très bonne résistance mécanique.
La gamme UNIMAT de Lafarge Plâtres est une gamme complète de blocs et panneaux en
PSE permettant de remplir toutes les fonctions isolantes.
Economies d'énergie : avec sa résistance thermique élevée, le PSE se situe parmi les
matériaux isolants les plus performants et vous permet d'abaisser votre consommation de
chauffage.
· Le PSE respecte l'environnement : il préserve la couche d'ozone car ni le produit fini ni
le procédé de fabrication n'utilisent de HCFC. Totalement inerte, le PSE ne risque pas de
polluer les cours d'eau ou les nappes phréatiques. Il est aussi 100 % recyclable.
· Le PSE travaille sur la durée : matériau stable et inerte, il conserve ses qualités dans le
temps et ne risque pas de se dégrader à cause de l'humidité.
· Le PSE est facile à poser : matériau léger, il se transporte et se travaille très
facilement avec des outils courants (scie égoïne, cutter). Il ne nécessite ni gants, ni masque,
ni lunettes ; il est sans danger pour l'homme.
· Pour isoler vos murs : les complexes de doublage PREGYSTYRENE Th38 ou PREGYMAX
32 et les panneaux PSE de la gamme UNIMAT.
· Pour isoler vos planchers sur vide sanitaire : les entrevous PSE (également nommés
hourdis, les entrevous complètent les poutrelles en béton d'un plancher préfabriqué) de la
gamme UNIMAT PLANCHER.
· Pour isoler vos sols sur terre-plein et les planchers chauffants : les panneaux PSE de
la gamme UNIMAT.
· Pour isoler vos combles : les panneaux PSE de la gamme UNIMAT.
Styrodur C vert est expansé avec du gaz carbonique issu du recyclage de la production
intégrée du site. Après fabrication, le CO2 est restitué à l'air ambiant avec pour résultat un
bilan neutre sur l'effet de serre ; les cellules du Styrodur C vert ne contiennent que de
l'air, d'ou la stabilité dans le temps de la performance thermique du produit.
Autres atouts du Styrodur C vert : son excellent pouvoir calorifuge, sa tenue mécanique
inégalée, sa résistance aux cycles gel/dégel, son étanchéité à l'eau et sa réaction au feu.
Il est principalement utilisé dans le BTP pour l'isolation des sols, les bâtiments agricoles et
de stockage, les chambres froides, l'isolation des toitures.
Le chanvre est utilisé depuis l’antiquité pour des usages aussi divers que la confection des
vêtements, des cordes, des voiles ou des sacs... Il s’agit du «Cannabis
sativa», réputé pour la robustesse de ses fibres. Ce chanvre
«industriel» ne doit pas être confondu avec le chanvre indien
(Cannabis indica) aux vertus psychotropes et à l’usage interdit dans
notre pays. Le chanvre industriel est quant à lui autorisé et contrôlé
par l’Union Européenne.
Cultivé notamment en France, le chanvre a un cycle de production très court. La plante est
semée en mai et se récolte en septembre. En trois mois, et quelles que soient les conditions
météorologiques, elle pousse de deux à quatre mètres sur des types de sols les plus variés.
Grâce à cette croissance rapide, elle couvre le sol en 8 à 10 jours et étouffe les mauvaises
herbes.
Ce chanvre a cette propriété exceptionnelle d’être naturellement résistant aux parasites. Il
n’a donc besoin ni d’insecticides, ni de fongicides ...
Mieux encore, ses racines profondes drainent la terre et régénèrent le sol comme de
véritables aspirateurs à nitrates. Elle convient ainsi particulièrement bien à la rotation des
cultures. (rendements : 7 à 12 tonnes par ha).
Aujourd’hui, le chanvre retrouve, grâce aux process industriels de BioInnova, une application
maîtrisée dans l’isolation. Une maîtrise en terme d’isolation thermo-acoustique (voir les
performances ci-dessous)... mais également en termes d’imputrescibilité ou encore d’effets
répulsifs sur les insectes.
Pour arriver à ces objectifs, BioInnova extrait mécaniquement la fibre de la plante, et, pour
en faire de la «laine de chanvre», y ajoute, dans une très faible proportion (9 à 15%), un
liant synthétique qui assure la stabilité du produit, sa cohésion, sa souplesse et sa résistance
dans le temps.
L'avis du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) a été publié dans le numéro
de mars/avril 2001 de CSTB Magazine ; nous en reprenons ici les principaux extraits :
"Les films dits " réfléchissants " font appel à un principe physique connu depuis longtemps,
qui consiste à réduire les échanges thermiques par rayonnement entre deux parois en
diminuant l'émissivité de l'une des deux surfaces en vis-à-vis.
"La synthèse des résultats de mesures effectuées par plusieurs laboratoires indépendants
de Suisse, d'Allemagne, de Grande Bretagne et en France par le CSTB " fait apparaître que,
même en ne prenant pas en compte la durabilité, les produits minces réfléchissants ne sont
pas équivalents à 200 mm de laine de verre de faible densité, ni même à 100 mm et ceci pour
les produits réfléchissants associés à deux lames d'air non ventilées.
Ces produits à eux seuls sont, dans la plupart des cas, insuffisants vis-à-vis de la
réglementation thermique dans les logements."
CLOISON
CONTRE-CLOISON
PLAFOND
Plafond Plafond
PREGYMETAL PREGYMETAL
SOLS &PLANCHERS
Unimat Sol Unimat Sol Supra Unimat Sol Plus Unimat Terrasse
SOMMAIRE DU CHAPITRE
Le plâtre est un produit parfaitement naturel puisqu’il est issu du gypse, minéral qu’il
suffit de chauffer à un peu plus de 100 °C pour qu’il perde son eau. Et devienne ce
plâtre que l’on réduit en poudre et que l’on utilise, entre autres, dans le bâtiment : en
le laissant en poudre pour la construction ou en le transformant en carreaux de plâtre,
en enduit, en colle…
Le plâtre est l’un des plus anciens matériaux de construction fabriqués par l’homme.
Totalement naturel, il est issu du gypse, minéral également nommé « pierre à plâtre ». Le
gypse est un sulfate de calcium hydraté à structure cristalline. Chauffé à 150 ou 200 °C, il
se transforme en plâtre en perdant son eau. Le plâtre est donc un sulfate de calcium
anhydre (c’est-à-dire avec peu ou sans eau) que l’on réduit en poudre.
Magie du produit : en le gâchant, on lui rend l'eau volée durant la cuisson, la pâte se
reconstitue, durcit et redevient gypse.
En fonction du traitement qu’il subit, le plâtre a maintes utilisations, tant manuelles que
mécaniques :
· plâtres en poudre pour la construction et la décoration,
· plâtres spéciaux à très haute résistance mécanique ou au feu,
· produits préfabriqués pour le bâtiment (carreaux ou plaques de plâtre),
· plâtres spéciaux pour le moulage, le modelage, la céramique, la fonderie industrielle,
l'orfèvrerie, la dentisterie, la chirurgie,
· les colles, les enduits, etc.,
Elle est longue l’histoire du plâtre ! Des premières traces d’enduit datant de plus de
9000 ans avant J-C aux carreaux de plâtre ultra-modernes en passant par les
pyramides d’Egypte, les cathédrales du Moyen-Age ou l’intervention de Louis XIV pour
prévenir les incendies, le plâtre a su se rendre indispensable au fil des siècles.
C'est avec l'invasion romaine que nos ancêtres firent connaissance avec les procédés de
construction faisant appel à la maçonnerie au plâtre.
A partir du XIIe siècle, et pendant toute la fin du Moyen-Age, la construction en
maçonnerie et les enduits utilisant le plâtre connaissent un regain de faveur : le stuc (plâtre
additionné de gélatine et de colorants) et le plâtre à plancher sont déjà connus.
La Renaissance étend le domaine d'emploi des plâtres dans la décoration et l'époque baroque
fait un large appel au plâtre à stuc.
Le plâtre multiplie les performances, tant en isolation acoustique que thermique et cela
essentiellement grâce à sa structure micro-poreuse. Son comportement au feu fait de
lui un matériau de protection véritablement efficace. Mais le plâtre est aussi séduisant
par sa malléabilité et sa finition impeccable qui autorisent tous les jeux esthétiques.
Au-delà de toutes ces performances, le plâtre est également fort apprécié pour ses
qualités décoratives. Architectes, maîtres d'œuvre et artistes jouent de sa propension au
moulage, de sa finition lisse et blanche et de la possibilité de décoration ultérieure pour
mettre en espace leur créativité.
Rapidité de pose et coût modéré sont les principaux avantages de la cloison alvéolaire. Autre
plus : la possibilité d’incorporer des gaines électriques. PREGYFAYLITE est donc la solution
idéale si votre budget est restreint et si vous n’avez pas d’exigences acoustiques.
Votre artisan plaquiste vous conseillera utilement sur les critères d'utilisation de la cloison
alvéolaire et vous orientera, si besoin, sur une cloison à ossature métallique.
Outre cette grande adaptabilité, les avantages d’une solution PREGYMETAL sont nombreux :
Une cloison en carreaux de plâtre se monte très rapidement et très simplement. Et est
prête pour le décor dès la pose. Massive, étanche, votre cloison vous protège du bruit
et joue très bien son rôle d’isolant thermique. De plus, le carreau de plâtre se décline
en plusieurs catégories : à chacune son usage.
Moulés en plâtre pur de haute qualité, les carreaux de plâtre PF3 comportent un système
d'emboîtement par tenon/mortaise qui permet un assemblage rapide et simple par collage et
garantit l'auto-alignement, ainsi qu'une parfaite planéité de votre cloison.
Disponibles en épaisseur de 50 à 100 mm et en différentes qualités (pleins, alvéolés,
hydrofugés, haute dureté), ils s'adaptent à toutes les contraintes des chantiers modernes.
Autre plus, ils permettent la réalisation de cloisons traditionnelles sans apport d'eau sur le
chantier.
Montage d’une cloison en carreaux Pose du dernier rang de carreaux Suppression du surplus de
colle
· Pour les pièces humides (salles de bain, cuisines, caves, garages, celliers non chauffés), rien
ne vaut les carreaux résistant à l’humidité PF3 Hydro.
· En rénovation, le carreau PF3 alvéolé est idéal car allégé de 20 à 25 % par rapport aux
carreaux standards. La surcharge sur un plancher bois ou sur une dalle béton de faible
épaisseur sont ainsi évités.
· Cloisons très légères, aménagement de combles ont leur carreau, le PF3 Isoplume, qui est
40 fois plus léger et 2 fois plus isolant qu’un carreau standard.
· Pour les petits travaux d’habillage intérieur, le carreau de faible épaisseur (40 mm) trouve
pleinement son usage.
Depuis dix ans, la gamme de plâtres s’est élargie pour répondre aux exigences d’une
profession en constante évolution :
· Les plâtres manuels ont vu leurs performances s’améliorer.
· Les plâtres manuels allégés sont nés : faciles à gâcher, onctueux
et souples à la règle, ce sont les compagnons des plâtriers
modernes. Colorés ou utilisés en mélange avec des sables siliceux
lavés, ils permettent la création de décors et de finition très
variés.
· Les plâtres à projeter se sont développés : en assurant la
régularité du gâchage, ils garantissent la performance de l’enduit
terminé et permettent d’obtenir un fini de haute qualité.
Matériau noble et naturel par excellence, le plâtre est inséparable d’un art de construire. La
réalisation d’une cloison enduite au plâtre nécessite l'intervention d'un artisan plâtrier
qualifié : tour de main et art du lissage exigent beaucoup d’expérience et de
professionnalisme. Pour la réussite de votre projet , faites appel à des Compagnons de
métier dont vous aurez pu apprécier les références. A savoir : le "moins disant " est
quelquefois à éviter !
CARREAUX DE PLATRE
ENDUITS PLATRE
PLAQUES DE PLATRE
SOMMAIRE DU CHAPITRE
Réglementation et sécurité
Les installations intérieures alimentées en gaz (naturel ou propane en citerne)
L'entretien des installations
Chauffage électrique : le top de la sécurité
A quoi ça sert ?
Comment ça marche ?
Il s'agit de la dépression qui se crée au débouché du conduit et qui se traduit par une
aspiration de l'air à la base du conduit. Le tirage sera d'autant meilleur que les fumées
seront chaudes, le conduit sera haut et bien isolé. Le tirage peut être perturbé par des
conditions météorologiques défavorables (pluie, vents plongeants).
rapide.
Les conduits raccordés sur les chaudières ou les poêles démarrent très souvent au
sol. La solution à privilégier dépend de certains critères tels que le type
d'appareil, le combustible, les risques de condensation, la position du conduit … On
peut classer ces solutions en deux grandes familles qui sont les conduits maçonnés
et les conduits non maçonnés.
Allumer un vrai feu par simple pression sur un bouton, c'est possible grâce à un insert
gaz naturel. Facile à installer dans le foyer de votre cheminée, il vous offre toutes les
joies d'un feu de bois tout en vous garantissant une température bien supérieure et
sans la corvée des bûches. L'insert gaz est aussi un chauffage à part entière des plus
chaleureux.
Vous disposez d'une cheminée mais n'avez aucune envie de commander du bois, nettoyer le
foyer, surveiller les éventuelles flammèches… Le meilleur moyen d'utiliser votre foyer est
alors d'y encastrer un insert au gaz naturel.
Comment procéder ?
L'insert, qui est un caisson métallique équipé d'un brûleur spécial alimenté au gaz naturel,
est inséré dans le foyer de votre cheminée. Il est raccordé au conduit de fumées si celui-ci
est en bon état. et conforme pour un appareil gaz naturel. Si le conduit est trop vieux, le cas
échéant, le chauffagiste peut procéder à son tubage pour le mettre aux normes, ou équiper
l'insert d'une ventouse qui rejettera les gaz de combustion directement à l'extérieur de
l'habitation.
L'insert est raccordé à la canalisation de gaz naturel par un tube de cuivre rigide ou un
flexible à raccords vissables. La canalisation se dissimule aisément derrière une plinthe
décorative prévue à cet effet.
· L'insert est conçu pour vous donner l'illusion parfaite d'un feu de cheminée. Les flammes
du brûleur au gaz réchauffent et font rougir des bûches en céramique. Mouvements,
couleurs… l'effet est surprenant !
· Pour l'allumer, il vous suffit d'appuyer sur un bouton et de régler le thermostat. Vous
pouvez même utiliser une télécommande ou gérer l'allumage à distance, par téléphone ou
Minitel.
· Votre chauffagiste vous aidera à choisir la puissance de l'insert en fonction du volume de
la pièce. L'insert n'est pas, comme un feu de cheminée traditionnel, un simple appoint : il
représente un appareil de chauffage à part entière grâce à son excellent rendement.
· Question sécurité : si la flamme s'arrête accidentellement, l'arrivée de gaz est coupée
automatiquement. L'appareil ne fonctionne que porte fermée, évitant ainsi tous risques.
Votre installation de chauffage central vous convient parfaitement pour l'hiver, mais
pourquoi subir l'inconfort d'une canicule estivale ? La climatisation fait désormais
partie du bien-être basique. D'autant que les climatiseurs sont désormais faciles à
régler, insonores et beaucoup plus esthétiques qu'il y a peu.
Si vous n'êtes pas dans le cas d'une nouvelle installation de chauffage susceptible de
gérer aussi bien le chaud que le froid c'est à dire que vous ne voulez pas remplacer ou
modifier votre installation, vous pouvez tout à fait prévoir, en complément de votre
chauffage central, un climatiseur version froide pour les beaux jours.
Split ou monobloc ?
Avec les climatiseurs biblocs, dits splits, le circuit frigorifique est séparé en deux
éléments : un échangeur se trouve dans la pièce à climatiser, l'autre se trouve à
l'extérieur. Le second échangeur comporte aussi le compresseur, élément le plus
bruyant du système de climatisation. Au résultat, l'unité installée à l'intérieur est la
plus esthétique et la plus silencieuse. La distance entre les deux éléments peut aller de
3 à 20 mètres. Le bibloc peut se transformer en multibloc (multisplit) si vous souhaitez
équiper plusieurs pièces. Vous pouvez relier jusqu'à 8 multisplits à l'unité extérieure.
Les climatiseurs monoblocs, quant à eux, intègrent l'ensemble du circuit frigorifique
dans la même unité. Ils sont donc plus bruyants et plus encombrants que les splits. De
plus, un percement vers l'extérieur est indispensable pour évacuer la chaleur. Ils sont
réputés moins performants que les splits car généralement moins puissants.
L'énergie solaire, quoi de plus naturel ! Quelques capteurs sur votre toit, un
système de circulation d'eau, un plancher solaire direct et voilà votre maison
thermiquement équipée. Petit bémol : l'énergie solaire suffit rarement à votre
besoin thermique. D'où chauffage d'appoint, au gaz naturel par exemple. Le
surcoût de l'installation est compensé par des aides gouvernementales.
Le plancher solaire direct procure les mêmes sensations qu'un plancher chauffant basse
température : douceur et confort. Ce plancher est constitué d'une dalle de béton de 15
à 30 cm d'épaisseur dans laquelle est noyé un réseau de tubes. C'est dans ces tubes que
circule l'eau chauffée par les capteurs solaires positionnés sur le toit. La dalle stocke la
chaleur et la diffuse lentement dans la pièce. Il faut compter 5 à 10 heures pour que
soit restituée la chaleur.
Et pourquoi pas un plafond rayonnant en même temps ? Il suffit d'alimenter une dalle de
béton maillée de tubes. Ainsi, la chaleur se diffuse par le plafond dans la pièce du bas et
par le plancher dans la pièce du haut.
Dans une installation thermique solaire, tout est conçu pour optimiser votre confort.
Ainsi, durant les périodes les plus froides et aux moments de forte demande, un appoint
se révèle indispensable. Chaudière et appareils de chauffage au gaz naturel prennent le
relais dès que la chaleur solaire faiblit. Ainsi, vous restez sur une énergie naturelle !
Ce relais peut se faire sur simple programmation. Il suffit que l'installation soit bien
conçue dès le départ. Bien sûr, entre l'installation solaire et l'appoint, il y a surcoût par
rapport à un système de chauffage traditionnel. Mais il ne faut pas oublier que l'énergie
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solaire est gratuite. De plus, plusieurs aides et facilités fiscales viennent alléger la
facture.
· Deux chaudières en parallèle : à la base, vous installez une chaudière pour combustible
solide, généralement du bois ou du charbon. Lorsque le combustible solide est épuisé,
une seconde chaudière (au fioul ou au gaz naturel) prend le relais. La première chaudière
est dotée d'une chambre de combustion de grande capacité et d'une boîte à cendres
retirable.
· Une chaudière simple ou double foyer : la chaudière utilise principalement le bois, mais
est également équipée d'un brûleur fioul ou gaz naturel qui prend le relais. Et vous
n'avez besoin que d'un seul conduit de fumées.
Le bois ne brûlant pas de manière régulière il est indispensable que votre chaudière soit
équipée d'un système de régulation doté d'une soupape de sécurité. Ainsi, lorsque le feu
brûle trop fort et chauffe l'eau du circuit de chauffage au-delà d'une température de
95 °C, de l'eau froide vient refroidir le circuit.
L'avantage du bois est essentiellement économique, le bois étant une énergie peu chère.
Et elle est très respectueuse de l'environnement. Quant à la consommation, tout dépend
de la qualité de l'essence et de son taux d'humidité : préférez les bois durs (chêne,
Comment ça marche ?
· Pour que la chaudière à condensation fonctionne au mieux, il est important que soit
installée une régulation très fine. Ainsi, vous bénéficiez d'un système de chauffage
central et de production d'eau chaude parfaitement optimisé.
· La chaudière à condensation s'adapte aux installations existantes avec de simples
ajustements (tubage éventuel de la cheminée, système d'évacuation des condensats et
pose de la régulation).
· Elle consomme 10 à 20 % de moins que les modèles les plus récents de chaudières.
· Economies d'énergie signifient aussi réduction des émissions de polluants et des gaz à
effet de serre dans l'atmosphère.
La chaudière à condensation est donc idéale - et son système éprouvé depuis plusieurs
années en Europe - aussi bien en habitat neuf qu'en rénovation. Pour votre plus grand
confort, elle fonctionne parfaitement avec les émetteurs basse température :
radiateurs chaleur douce et planchers chauffants.
- Fini les planchers chauffants qui font mal aux jambes ou à la tête !
- Ils sont désormais à chaleur douce : solution très saine.
Comment ça marche ?
Le plancher est constitué de tubes en matériaux de synthèse ou en cuivre répartis sur toute
la surface et posés sur un isolant thermique - qui évite les pertes de chaleur. Ils sont
ensuite noyés dans une chape flottante (c'est-à-dire désolidarisée des murs) ou une dalle de
béton pleine de 3 à 5 cm d'épaisseur. Ces tubes, généralement en polyéthylène réticulé, sont
légers. Lorsqu'ils sont en cuivre, les tubes bénéficient d'un procédé anti-corrosion garanti
10 ans.
Pour une température ambiante à 19° C, le plancher est chauffé entre 20 et 25° C.
Une chaudière basse température ou à condensation est particulièrement adaptée pour
alimenter un plancher chauffant basse température à eau chaude. La régulation se fait à la
fois en contrôlant la température de départ et en gérant le débit des fluides. Pour profiter
au maximum de la chaleur diffusée, il est préférable que le plancher chauffant soit
recouvert de carrelage ou de pierre naturelle (ce qui n'exclut pas d'autres possibilités
comme le plancher bois par exemple).
· Le principe du plancher chauffant est le rayonnement : la chaleur bute contre les objets,
les murs, le plafond et se rediffuse en chauffant ces obstacles. Ce n'est plus l'air qui est
chaud, comme dans les systèmes de chauffage à convection ; ainsi, les poussières ne se
promènent pas dans l'atmosphère et l'air n'est plus trop sec.
· La discrétion est l'un de ses principaux avantages : fini les émetteurs de chaleur posés
contre les murs. Vous pouvez décorer l'espace à votre envie.
· La chaleur se répartit harmonieusement dans la pièce, pas de coins brûlants ou d'espaces
glacés ! Marcher pieds nus devient un réel plaisir, sans risque de jambes lourdes, puisque la
température ne peut réglementairement excéder celle de la plante des pieds, c'est-à-dire
28° C.
· Le plancher chauffant à eau chaude est économique : la chaleur étant plus diffuse, il est
moins nécessaire de monter en température, d'où économies d'énergie. De plus, systèmes
thermostatiques et de régulation sont installés en même temps que le plancher. On estime
l'économie d'un plancher chauffant entre 20 et 30 % par rapport à un chauffage central
avec émetteurs de chaleur.
· Quel silence ! Non seulement le plancher chauffant n'émet aucun décibel mais étant équipé
d'un isolant, il vous garantit un meilleur confort acoustique. Et si votre plancher chauffant
se situe entre deux étages, l'isolant peut être thermo-acoustique, ce qui vous garantit une
bonne isolation contre les bruits de l'étage.
- Ca chauffe dessous…
… Et ça chauffe dessus !
Le principe du rayonnement
Le plafond rayonnant électrique fonctionne donc par rayonnement : la chaleur bute sur
les obstacles que sont les objets, les cloisons, le plancher et repart en se diffusant dans
la pièce.
Ce système par rayonnement vous donne une chaleur harmonieuse et parfaitement
répartie dans le local.
Une structure métallique est posée sous l'ancien plafond. L'électricien y positionne les
panneaux rayonnants constitués d'un réseau de films métallisés enserrés entre deux
films plastiques (il peut également s'agir de films graphités). Le réseau est connecté de
panneau en panneau. Tous les panneaux ne sont pas " efficaces ", certains étant de
simples plaques de plâtre. En effet, pour optimiser le rayonnement, mieux vaut élargir
au maximum la surface de chauffe et donc répartir les panneaux rayonnants sur un
espace le plus vaste possible. La face supérieure du plafond rayonnant est recouverte
de laine de verre. Un thermostat finit l'installation électrique.
Un faux plafond en plaques de plâtre est ensuite réalisé par un plaquiste qualifié. La
température dégagée par le plafond rayonnant étant autour de 28 °C, le faux plafond
peut être recouvert d'une couche de peinture normale. Il peut également être en bois,
ou l'on peut poser un simple plafond tendu. Ni vu ni connu !
La seule contrainte est d'avoir un plafond assez élevé pour supporter la hauteur d'un
faux plafond.
· Comme pour le plancher chauffant basse température, vous évitez la présence des
émetteurs de chaleur traditionnels, convecteurs ou autres panneaux radiants. Et vous
bénéficiez d'une chaleur tout à fait harmonieuse.
· A la différence du chauffage par convection (mode de déplacement naturel de la
chaleur dans les fluides liquides et gazeux), le chauffage par rayonnement évite le
brassage des poussières : l'air est donc beaucoup plus sain.
· Grâce à la laine de verre et à la présence d'un sous-plafond vous gagnez en qualité
d'isolation acoustique.
- Evitez les meubles directement posés sur le sol : c'est une perte de chaleur.
Le plancher rayonnant électrique (PRE) est une technologie désormais mature. Fini
les maux de tête et les jambes lourdes des premiers planchers chauffants des
années 70 ! Des câbles électriques sont posés en serpentins sous une chape en
béton flottante. Pas d'entretien, des murs libérés des radiateurs, une température
contrôlée… votre chauffage se laisse parfaitement oublier !
Des câbles électriques sont disposés en serpentins. Les câbles sont posés sur des
plaques d'isolant incompressible de 5 cm d'épaisseur. Le câble électrique est constitué
d'une résistance électrique enveloppée dans une gaine isolante, il est renforcé par un
blindage métallique pour le protéger des chocs électriques et d'une gaine extérieure
pour renforcer la résistance mécanique. Deux types de câbles coexistent : les câbles
électriques à puissance constante ou à puissance variable. Les câbles à puissance
variable, s'ils sont plus onéreux à l'achat, se révèlent plus performants à l'usage.
Un film plastique et un grillage sont posés sur les câbles avant que soit coulée une dalle
de béton ou une chape flottante. La chape flottante est recommandée car, désolidarisée
du mur elle y est raccordée par une bande isolante extrêmement efficace en matière
acoustique et thermique. Il est préférable que chaque pièce dispose de son plancher
chauffant indépendant équipé de son propre thermostat, ainsi la régulation se fait par
pièce.
C'est la garantie décennale qui intervient pour ce type de travaux. Vous devez bien sûr
faire appel à des professionnels qui utilisent des matériaux ayant reçu un Avis
technique. La plupart des installateurs vous proposent désormais une offre globale et se
chargent de toute l'installation et de tous les matériaux. Ainsi, plus besoin de faire
intervenir plusieurs corps de métier. Sur un plancher chauffant, il est conseillé de poser
du carrelage, un sol de pierre, voir du bois plutôt que de la moquette qui risque de faire
perdre de l'efficacité au système.
· Aucun entretien, une chaleur propre puisque rayonnante, des murs libérés d'émetteurs
de chaleur… le plancher rayonnant basse température électrique a tout pour vous
séduire.
· Au-delà des atouts de discrétion, le plancher chauffant vous garantit une chaleur
homogène dans la pièce. Marcher pieds nus devient un réel plaisir, et la température ne
peut réglementairement excéder celle de la plante des pieds, c'est-à-dire 28° C. En
fait, le plancher chauffant ne dépasse généralement pas les 22 ou 23 °C pour vous
assurer une température ambiante de 19 °C.
· La chaleur rayonnante ne provoque pas de dessèchement de l'air comme peut le faire la
chaleur par convection. Ainsi, vous bénéficiez d'une atmosphère saine et propre.
· Un conseil cependant : mieux vaut éviter les meubles posés directement sur le sol, car
ils empêchent la chaleur de se diffuser depuis cet espace-là. Donc préférez les meubles
à pieds !
Le dimensionnement des émetteurs chaleur douce est conçu pour compenser la baisse de
température. De plus, dans les maisons récentes, bien isolées, pas besoin de chauffer
autant qu'avant.
L'un des avantages de la chaleur douce : l'émetteur de chaleur ne déplace plus les
poussières dans la pièce, l'air est donc beaucoup plus sain et moins sec. La chaleur douce
évite également l'accumulation de poussières (ces zones sombres si disgracieuses)
autour du radiateurs. Autre avantage : de substantielles économies d'énergie.
Au résultat, l'efficacité est réputée supérieure de 10 % par rapport à un radiateur
traditionnel pour une consommation moindre : un plus pour l'environnement.
Avec les panneaux rayonnants électriques, c'est environ 40 % de la chaleur qui est
diffusée par rayonnement, le reste l'étant par convection : ils intègrent une résistance
qui chauffe par convection* et une plaque métallique qui diffuse la chaleur par
rayonnement.
Le principe du rayonnement : lorsque la chaleur rencontre un obstacle (paroi, meuble ou
corps humain), elle se transmet à lui qui, à son tour, la renvoie dans l'espace de la pièce.
Le panneau rayonnant doit disposer d'un espace libre de 0,60 m devant lui pour
fonctionner au mieux.
Gaz de France vous conseille de faire appel à un professionnel pour les travaux
d'installation d'un système de chauffage. En effet, toute intervention sur une
installation de gaz nécessite des compétences techniques spécifiques et une parfaite
connaissance de la réglementation en vigueur. Pour la conception et la réalisation de
votre installation, adressez-vous à lui.
Deux qualifications sont délivrées par Gaz de France associé à des organisations
professionnelles d’installateurs :
PGP (Professionnel gaz propane) : l’obtention du label est soumis aux mêmes exigences
de savoir-faire et de maîtrise technique que pour le PGN. Pour en savoir plus, adressez-
vous à votre conseiller Gaz de France.
électriques, vous délivre des certificats qui garantissent la bonne qualité de toute votre
installation électrique, et notamment de celle du chauffage. Il vous suffit d'en faire la
demande : un diagnostic sera établi par un expert indépendant. Et si toutes les normes
sont respectées, vous obtiendrez le label " Confort électrique " si votre habitation est
dans du neuf, ou le label " Habitat existant " pour l'ancien.
Pour " Confort électrique ", il y a trois variantes d'installation de chauffage labellisées :
équipement d'appareils muraux (convecteurs et panneaux radiants) pour la première
version, la deuxième prévoit planchers ou plafonds rayonnants ; quant à la troisième, le
système est basé sur la climatisation réversible.
Obtenir un label vous permet de bénéficier d'aides financières forfaitaires. C'est votre
chauffagiste qui servira d'intermédiaire entre EDF, PROMOTELEC et vous.
Si votre installation n'est pas totalement sécurisée, l'intervenant vous suggère toutes
les solutions de confort maximum, vous informe sur des possibilités de prêt et sur les
avantages fiscaux liés aux travaux d'amélioration.
La qualité garantie
Vous pouvez hésiter sur la couleur, la forme ou la fonction d'un appareil, mais
jamais sur la sécurité qu'il procure. C'est pourquoi, il vous faut choisir une grande
marque qui s'engage sur la qualité de ses produits en dépassant les exigences des
normes.
Legrand innove et perfectionne en permanence ses produits pour apporter une qualité
totale, une grande facilité d'utilisation et une sécurité infaillible.
Legrand respecte scrupuleusement les normes et va largement au-delà. En choisissant
les produits Legrand, vous avez la garantie de mieux vivre l'électricité en toute
sécurité.
Le marquage CE ne peut en aucun cas remplacer une marque de qualité. Il est rendu
obligatoire par des directives du Conseil des Communautés Européennes.
Le fabricant doit apposer le marquage CE sur ses produits ou leurs emballages sous sa
seule responsabilité. Sa production ne fait l'objet d'aucun contrôle de conformité par
un organisme tiers.
Le marquage CE est destiné aux autorités administratives qui contrôlent la libre
circulation des produits déclarés conformes aux directives.
Vous êtes propriétaire d'une maison ou d'un appartement et souhaitez renouveler votre
installation de chauffage/eau chaude individuel au gaz naturel en utilisant les matériels
suivants : chaudière à basse température ou à condensation, avec ou sans chauffe-eau
solaire, système solaire combiné.
Plus ! Vous pourrez bénéficier de crédits d'impôts jusqu'à 40% en fonction du matériel que
vous aurez retenu. (disposition relative à la loi de finances 2005)
Le règlement s'effectue en une seule fois à l'installateur à l'achèvement des travaux dès
réception d'une attestation signée par vous et votre installateur, et copie de la facture.
Pour tout renseignement complémentaire sur les prêts de la Banque Solfea consultez le
site Internet www.banquesolfea.fr ou téléphonez au 01 40 17 55 95.
(*)Le prêt DolceVita® Rénovation Durable est un crédit classique affecté sous réserve
d'acceptation par la Banque Solfea, 49, avenue de l'Opéra, 75083 Paris cedex 02, RCS Paris
562 059 832 et après expiration du délai de rétractation de 7 jours.
Montants financés de 1 700 à 10 000 €, de 15 à 46 mois. Mensualités fixes de 79 à 299 €
(hors assurance) sauf la dernière constitué du solde. TEG annuels fixes hors assurance
bonifiés par Gaz de France.
Conditions au 1/11/2005 pouvant être modifiées sans préavis.
Partenaire financier de Gaz de France, la Banque Solfea accompagne le financement des solutions Gaz de
France DolceVita® avec des prêts aux taux bonifiés par Gaz de France.
Le prêt Diagnostic
Comment faire ?
Pour bénéficier des prêts de la Banque Solfea, c'est très simple : il vous suffit de
demander le prêt qui vous convient à l'entreprise qui réalise vos travaux ou directement
à la Banque Solfea ; elle vous remettra la demande de prêt correspondante ; vous la
retournez à la Banque Solfea avec les pièces justificatives demandées et vous recevez
votre contrat de prêt en retour.
Plus de renseignements
Comment faire ?
Pour bénéficier des prêts de la Banque Solfea, c'est très simple : il vous suffit de
demander le prêt qui vous convient à l'entreprise qui réalise vos travaux ou directement
à la Banque Solfea ; elle vous remettra la demande de prêt correspondante ; vous la
retournez à la Banque Solfea avec les pièces justificatives demandées et vous recevez
votre contrat de prêt en retour.
Plus de renseignements
La Banque Solfea vous propose des financements pour tous types de travaux de
rénovation de l'habitat.
Comment faire ?
Pour bénéficier des prêts de la Banque Solfea, c'est très simple : il vous suffit de
demander le prêt qui vous convient à l'entreprise qui réalise vos travaux ou directement
à la Banque Solfea ; elle vous remettra la demande de prêt correspondante ; vous la
retournez à la Banque Solfea avec les pièces justificatives demandées et vous recevez
votre contrat de prêt en retour.
Plus de renseignements
Avec la loi de finances pour 2005, l'Etat entend aider encore plus qu'en 2004 les
particuliers qui engagent de gros travaux favorisant les économies d'énergie et le
développement durable.
- Les dépenses concernées doivent être payées entre le 1er janvier 2005 et le 31 décembre
2009.
- Ces dépenses concernent l'habitat principal.
- Le bénéficiaire du crédit peut être propriétaire ou locataire.
- Le logement doit être achevé depuis plus de 2 ans. Exception : si les dépenses
d'équipements concernent une source d'énergie renouvelable, le logement peut être
indifféremment neuf ou ancien.
- Le crédit d'impôt n'est accordé que si les travaux sont effectués par des professionnels
et sur présentation de facture (faisant apparaître la main d'œuvre). Le crédit s'applique sur
le montant TTC.
- Plafond du crédit d'impôt : 8000 euros pour une personne seule, 16 000 euros pour un
couple (avec majoration par enfant à charge).
Beaucoup de pays ont des certifications et des marques de qualité nationales visant à
contrôler et à garantir la qualité et la conformité des produits. C'est un gage de sécurité
pour les utilisateurs.
En France, ces marques s'appellent NF et CSTBat.
Elles sont destinées à apporter aux usagers l'assurance de la qualité et de la conformité
des produits.
Marque CSTBat
Marque NF
Ce qui suit n'est qu'un extrait des nombreuses exigences de la réglementation. Ce sont
celles dont on a entendu parler et que l'on connaît plus ou moins bien …
Le dépassement du faîtage
L'isolation de la souche
L'écart au feu
Le ramonage
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Le ramonage est le nettoyage mécanique de la paroi intérieure du conduit à l'aide d'un
hérisson, par exemple. Il permet d'éliminer les goudrons et suies qui se seraient déposés
sur la paroi et qui pourraient entraîner un disfonctionnement de l'installation voire un
danger pour les usagers.
L'utilisation de produits chimiques (poudres, bûches …) ne se substitue pas à une action
mécanique et n'est pas reconnue en tant que ramonage.
Le règlement sanitaire départemental demande 2 ramonages par an dont un pendant la
période de chauffe. Il doit être réalisé par une entreprise qualifiée qui doit remettre un
justificatif à l'usager.
CHAUDIERES
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acier MUTINE B BORA BI EDENA LE fioul SEMPRA B
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RADIATEUR
SOMMAIRE DU CHAPITRE
- Plus l'appareil est prêt du point de puisage, plus vite arrive l'eau chaude.
La production d'eau chaude sanitaire accumulée au gaz naturel est un excellent moyen,
pour votre famille et pour vous de bénéficier du confort au quotidien. Eau chaude à
volonté, c'est le moins que vous puissiez demander ! A température constante, l'eau
chaude stockée dans un ballon répond à tous vos besoins importants et répétés.
Comment ça marche ?
L'eau chaude sanitaire accumulée est distribuée à partir d'un ballon de stockage. Ce ballon
peut être intégré dans votre chaudière ou relié à elle, la chaudière produisant à la fois le
chauffage et l'eau chaude (d'où son appellation de " chaudière mixte ").
Autre solution, le ballon est indépendant et muni de son propre brûleur fonctionnant au gaz
naturel. Le chauffage est dans ce cas assuré le plus souvent par une chaudière indépendante
(dite " chauffage seul ").
L'eau est chauffée à l'avance à une température déterminée et constante. Dès que vous
puisez de l'eau chaude, le contenu du ballon se renouvelle. En fonction de la taille du ballon,
la réserve d'eau chaude met 15 à 30 minutes pour se réchauffer. Quelle que soit l'heure, et
toujours au même tarif.
La contenance d'un ballon relié à votre chaudière peut aller de 40 à 150 litres. A titre
d'exemple, une chaudière équipée d'un ballon de 150 litres produit en une heure jusqu'à 550
litres d'eau chaude : de quoi prendre quelques bains sans avoir à tirer à la courte-paille !
La contenance d'un accumulateur indépendant, quant à elle, varie de 75 à 300 litres. Notez
qu'un système comme l'accumulateur indépendant est idéal pour les douches multijet qui
consomment une quantité vraiment importante d'eau chaude en un temps record.
Plus la puissance de l'appareil est grande, moins vous avez besoin de stockage car, à grande
puissance, l'eau chaude atteint plus vite sa température programmée. Vous n'avez plus aucun
souci lorsque toute la maisonnée décide de prendre un bain.
Plus la distance est courte entre l'accumulateur et le point de puisage, plus vite arrive l'eau
chaude.
Si le ballon est loin de la chaudière, mieux vaut installer des tuyaux et des branchements
calorifugés pour préserver la température de l'eau. Vous pouvez aussi installer une pompe
de circulation assurant le maintien en température dans toute la canalisation d'eau chaude
(boucle eau chaude).
- Plus votre appareil est près du point de puisage, plus vite arrive l'eau chaude.
Avec un accumulateur électrique l'eau est chauffée durant la nuit, au tarif Heures creuses,
et restituée le jour. Vous devez donc prévoir la contenance du ballon en fonction de vos
besoins quotidiens.
Quoi de plus désagréable que de tomber en panne d'eau chaude sous la douche ? Les
paramètres à prendre en considération pour éviter tout manquement : le nombre de
personnes, le nombre de points de puisage, la place dont vous disposez pour installer un
accumulateur et, bien sûr, vos habitudes de vie (nombre de douches ou de bains par jour,
vaisselles à répétition, etc.).
Les capacités de stockage des accumulateurs électriques varient de 15/30 litres à 300
litres. On estime que, pour une famille de 3 à 4 personnes, et dans un logement comportant
douche, baignoire, évier et lavabo, la consommation journalière d'eau chaude s'élève à
environ 200 litres.
A accumulation classique : pour une consommation régulière, cet accumulateur est parfait.
Les nombreuses capacités disponibles vous permettent de choisir au mieux la solution
correspondant à vos besoins. Ainsi, vous pouvez en installer un de 50 litres dans la cuisine et
un autre de 200 litres pour la salle de bains.
A double puissance : aucun risque de tomber en panne d'eau chaude en cas d'urgence. Une
résistance supplémentaire permet de réchauffer une partie du volume d'eau en moins d'une
heure. Idéal pour les consommations en dents de scie.
A faible capacité : ce modèle-là est parfait pour les petits points de puisage, un lavabo
isolé, votre évier de cuisine. C'est un excellent complément pour votre consommation d'eau
chaude. Il existe même des tous petits modèles, d'une quinzaine de litres et de puissance
réduite (2 à 3 kW).
La production d'eau chaude sanitaire, c'est bien l'application que préfère l'énergie
solaire ! Fonctionnant grâce à des capteurs solaires, le chauffe-eau solaire peut être
auto-stockeur, monobloc ou à éléments séparés, chaque type trouvant sa justification
en fonction de la zone géographique où il est installé.
Les capteurs solaires - positionnés sur le toit ou au sol, mais toujours au sud - servent de
serre : les rayons solaires les traversent pour délivrer leur chaleur à des absorbeurs
métalliques. La chaleur réchauffe de l'eau contenue dans des tuyaux qui constituent le
circuit primaire. Vous avez le choix entre deux types de tuyaux : le tuyau de cuivre noirci qui
permet à l'eau d'atteindre une température de 60 °C et les tubes sous vide, plus chers mais
plus efficaces puisque l'eau atteint les 80 °C. L'eau rejoint ensuite le chauffe-eau solaire
individuel. Après avoir réchauffé l'eau contenue dans le ballon, le fluide repart vers les
capteurs pour se rechauffer.
En règle générale, pour chauffer un ballon de 200 litres à 60 °C, comptez 4 m2 de capteurs.
L'utilisation du solaire thermique bénéficie d'aides financières accordées par les pouvoirs
publics par l'intermédiaire de l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de
l'énergie).
Afin de compenser les coûts encore peu compétitifs du solaire, une prime vous est octroyée
pour l'acquisition d'un chauffe-eau solaire, sous réserves que le matériel soit certifié CSTB
(Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et la pose effectuée par un professionnel
qualifié Qualisol.
SOMMAIRE DU CHAPITRE
1. LES FENETRES
Les vitrages
Les vitrages
Comment bien choisir son vitrage ?
Choisissez le bon verre pour votre double vitrage
Changer les fenêtres, en particulier dans les maisons anciennes, vous permet de tirer le
meilleur parti pour faciliter les manœuvres ou libérer l'espace intérieur. Les grandes
baies d'un immeuble haussmanien ou la fenêtre d'un atelier s'ouvrent "à la française",
ou s'entrebâillent par le haut avec le principe "oscillo-battant" et le "soufflet", juste
pour aérer, en toute sécurité alors que les enfants jouent dans la pièce.
Pensez également aux possibilités offertes par le choix du mode d'ouverture
"coulissant". Par exemple, la mise en place de coulissants en remplacement de portes-
fenêtres à frappe dégage de la surface utile intérieure, à l'avant et sur les côtés de la
baie. Sur un évier de cuisine, la vue et l'aération sont optimales sans gêner l'exploitation
du plan de travail.
Murs de lumière
Compositions à l'infini
Redessinez vos ouvertures. Composez avec les arcs cintrés. Associez les châssis. Percez de
nouvelles ouvertures et repoussez les ombres. Créez sans contrainte !
Les fenêtres sont le deuxième poste de déperditions d'énergie, immédiatement après les
pertes par le toit. Remplacer des fenêtres en mauvais état par des modèles isolants
réduit immédiatement la facture de chauffage, dès la première année et de façon
sensible.
Baies coulissantes
L'ouverture coulissante
Le coulissant est alors une application privilégiée pour les profilés en aluminium qui
apportent leur qualité de résistance à la déformation et à l’usure, pour concevoir des
menuiseries très fines, qui se manœuvrent sans effort, sans mobiliser d’espace
supplémentaire.
L’ouverture coulissante se combine à loisir. A vous de choisir si vous préférez, un vantail
fixe et l’autre mobile, ou deux vantaux coulissants, ou quatre, ou six, ou huit vantaux :
c’est le maximum pour habiller un passage jusqu’à 12 mètres de large !
Comme son nom le laisse soupçonner, un coulissant à galandage, s’efface totalement et libère
l’ouverture. Il disparaît dans l’épaisseur du mur, en dégageant la totalité du passage. Cette
solution très ancienne retrouve toute son actualité dans les constructions modernes et dans
les rénovations lourdes. Le galandage accepte jusqu’à quatre vantaux escamotables, deux
par côtés avec une ouverture par le centre de la baie.
Sous cette dénomination, sont regroupées toutes les fenêtres à un ou deux vantaux
dont l’ouverture s’effectue par pivotement.
Le mode d’ouverture à frappe est également une solution courante pour les portes-
fenêtres traditionnelles, celles qui donnent accès à un balcon ou une terrasse. Les
fenêtres à frappe sont aussi très bien adaptées aux ouvertures particulières. Elles
s’adaptent parfaitement aux ouvertures cintrées. Quel que soit le rayon de courbure,
les profilés en aluminium acceptent toutes les mises en forme.
Ligne Saphir,
épaisseur des profilés 52 mm
Vous êtes habitué à vous offrir le meilleur, choisissez la ligne Saphir. Vous bénéficiez alors de
la plus belle offre actuelle en termes de confort, d'esthétique, de performance et de sécurité.
Avec un module aluminium commun de 52mm, Saphir existe en fenêtres, coulissants ou
portes-fenêtres.
La référence
La fenêtre Saphir est le fruit d’une conception très poussée. Aucune quincaillerie
d’assemblage n’est visible. Les profilés sont délicatement galbés. Chaque détail est
spécialement adapté : les bouchons de battue, sans fixation apparente, sont de la teinte
choisie, le drainage bas est caché, le déflecteur invisible. Même les joints de vitrage, grâce à
un solin réduit, apprennent la discrétion et ne viennent plus perturber l’harmonie de l’ensemble.
L’exigence de Saphir se traduit également par ses performances supérieures. L’épaisseur des
profilés à rupture de pont thermique, certifiés NF, atteint 52 mm. A frappe, Saphir supporte
jusqu’à 130 kg pour un oscillo-battant et 200 kg par vantail en version basculante ou
coulissante. Cela autorise la prise de volume des vitrages les plus épais ainsi que les grandes
dimensions. Saphir est la réponse attendue depuis longtemps par les concepteurs de baies
exceptionnelles, destinées à des créations au design hors classe pour les propriétaires qui
exigent le meilleur.
Ligne Topaze,
un module commun de 46 mm
Les résultats des tests d’étanchéité à l’air, à l’eau et au vent sont conformes aux
normes européennes. Ce sont aussi des fenêtres bénéficiant des dernières évolutions
techniques, en particulier pour leurs performances d’isolation thermique, conformes à la
Réglementation Thermique (RT 2000), et acoustique jusqu’à 35dB (RA,tr) pour les
coulissants et 38 dB (RA,tr) pour les fenêtres à frappe. La ligne des menuiseries Topaze
offre un excellent rapport entre ses performances et le coût d’investissement. La
gamme Topaze met à votre disposition la plus large gamme de coulissants, à 2, 3 ou 4 rails,
pour manœuvrer jusqu’à 8 vantaux. A signaler la complémentarité des fenêtres Topaze,
battantes ou coulissantes pour la réalisation d’ensembles menuisés.
Le coulissant Topaze à galandage est proposé avec un ou deux rails de manœuvre, pour
un, deux ou quatre vantaux. Le refoulement à l’intérieur des murs peut être prévu
d’un seul côté ou des deux à la fois. Surtout, le coulissant Topaze à galandage
bénéficie d’une isolation renforcée (conforme à la RT 2000), grâce à une conception
entièrement basée sur des profilés à rupture de pont thermique. Ce principe résolument
innovant préserve votre confort en toutes circonstances, quelles que soient les rigueurs
du climat.
Les fenêtres PVC Technal assurent Le PVC est un matériau Le PVC pour concevoir des menuiseries
une excellente isolation thermique d’aujourd’hui adapté à la selon un rapport performances/coût
et acoustique rénovation particulièrement étudié
Le PVC, polychlorure de vinyle, est une matière plastique largement utilisée aujourd’hui, pour toutes
sortes d’applications. Les raisons de ce succès reposent sur des caractéristiques techniques
particulières, associées à un coût de fabrication modéré. C’est un matériau original, par bien des
aspects. La fenêtre PVC signée Technal bénéficie de tout le savoir-faire de la marque. La matière
première sélectionnée est conforme aux directives européennes. La fenêtre est fabriquée à partir d’un
profilé de 58 mm de largeur, à 3 chambres indépendantes, qui assurent une excellente isolation
thermique et acoustique. Cette technique permet également d’isoler les armatures de renfort
métalliques de tout contact extérieur. La battue centrale est portée à 144 mm dans le cas d’une porte-
fenêtre équipée d’une crémone à barillet. Cette conception fiable et robuste permet l’adaptation à
tous les types d’ouvertures, en particulier dans les applications courantes, en neuf comme en
rénovation.
Expression « Tradition »
La fenêtre tradition tout en équilibre Parclose moulurée avec joint de Battue centrale moulurée étroite
et distinction vitrage blanc (104mm) Poignée centrée
La fenêtre PVC Tradition présente un équilibre distingué, aux lignes simples, discrètement rehaussées
de moulures tendance. Le profilé droit, le recouvrement à pan coupé, établissent une référence mise en
valeur par les parecloses de maintien de vitrage et le battement central finement moulurés. Chaque
détail a fait l’objet d’une attention spécifique, à l’exemple des caches à turlupet, des assemblages à
coupe d’onglet ou du joint de vitrage blanc. Ce design, sobre et traditionnel, se prête très bien à
l’utilisation de vitrages composés avec petit-bois intégrés dans le vitrage, pour faciliter l’entretien.
Expression « Contemporaine »
Pour la fenêtre PVC Contemporaine, l’épure imaginée par les designers s’exprime
pleinement par l’utilisation de profilés aux formes douces, sans angle vif. L’ensemble
se caractérise par la pureté des lignes, une simplicité recherchée, qui inscrit la fenêtre
dans son décor, à la manière d’un encadrement de tableau. Elle s’ouvre à la lumière sans
s’imposer. La quincaillerie, paumelles et poignée ergonomique, accompagnent cette
démarche dans la même philosophie d’affirmation discrète. Aucune pièce d’assemblage
n’est visible, une règle d’évidence pour un produit fini.
Du bois pour vos fenêtres
Toujours synonyme de chaleur, il séduit par sa présence et son aspect traditionnel. Le bois
est isolant par nature et évite les problèmes de pont thermique et de condensation. Chêne
ou essences exotiques sont fonction des goûts de chacun et du budget, car le chêne massif
reste un produit cher. De nombreux fabricants proposent aujourd'hui des fenêtres en bois
traitées ou peintes en usine, possédant une excellente résistance aux intempéries et aux
UV. Les finitions sont de plus en plus performantes.
Confort : Le bois permet toutes les fantaisies décoratives y compris les sculptures. Il est
aussi isolant par nature.
Entretien : Pour toutes les fenêtres bois, non dotées d'une finition spéciale, cela reste le
principal inconvénient. Le bois exige un entretien régulier (décapage, lasure, peinture,...)
pour ne pas subir les outrages du temps.
En fonction des qualités que vous souhaitez privilégier pour votre double vitrage, vous ne
ferez pas appel au même type de verre : isolation thermique, phonique, coupe-soleil,
anti-effraction… autant de critères de choix. Ces verres de qualité optimisent le principe
isolant de la lame d'air sec enfermée entre les deux vitrages.
Verre sandwich, il est constitué de deux (ou plusieurs) feuilles de verre que l'on associe à
une feuille de résine plastique transparente qui absorbe jusqu'à 99 % des rayons
ultraviolets (vous savez ces rayons qui jaunissent le tissu du canapé ou des rideaux…). Utilisé
dans les doubles vitrages retardateurs d'effraction, le verre feuilleté a aussi des qualités
d'isolation thermique. Un verre feuilleté renforcé de résines acoustiques amortit les ondes
sonores. A savoir : un double vitrage acoustique est aussi isolant thermiquement, alors
qu'une isolation thermique n'est pas forcément phonique.
Le verre athermique
Ce verre teinté absorbe une grande part du rayonnement infrarouge des rayons du soleil,
limitant l'effet de serre. Dans un double vitrage, l'une des vitres peut être athermique.
L'une des faces est recouverte d'un dépôt de sels métalliques qui réfléchit la plupart des
rayons infrarouges proches. Il est utilisé dans les doubles vitrages à haut coefficient
d'isolation thermique. La face réfléchissante est dirigée vers l'intérieur de la pièce pour y
renvoyer la chaleur. Pas de condensation et pas de sensation de paroi froide !
Verre de sécurité
Verre feuilleté qui contient des additifs. Il est homogénéisé et durci par procédés
chimiques. Il existe également du verre armé.
Comment ça marche ?
La commande individuelle
La commande centralisée
C'est pour mériter et conserver votre confiance que nos produits bénéficient des
technologies de pointe et sont conçus avec un souci de qualité extrême. L'obtention de
différents labels en est l'illustration.
Fabriqués en France depuis 30 ans, les produits SOMFY sont issus d'un processus de qualifié
ISO 9001 pour assurer une qualité constante et durable aux utilisateurs. Ce label récompense
l'organisation complète de l'entreprise, de la conception à la distribution. La norme NF, quant à
elle, répond aux exigences des consommateurs. Cette marque est délivrée par un organisme
indépendant sur la base de critères techniques et de sécurité très contraignants.
La garantie SOMFY
La garantie SOMFY de 5 ans sur les pièces des moteurs et de 30 mois sur les pièces des points
de commande traduit l'assurance qualité de SOMFY quant à la qualité de conception de ses
moteurs.
Les Bloc-baies
Les volets habillent une façade tout en protégeant des effractions, de la chaleur en
et du froid en hiver. Composés de deux battants, l'organisation des lames et leur
montage sont souvent révélateurs d'un régionalisme. Traditionnellement en bois, le v
est aujourd'hui souvent en PVC ou en aluminium.
Héritiers d'une longue tradition, les volets restent les favoris des maisons individuelles.
possèdent des battants pleins (contrairement aux persiennes qui sont ajourées) pivotant
des gonds scellés dans la maçonnerie. Les volets protègent de la lumière durant la nuit, d
durant l'hiver, de la chaleur durant l'été. Mais ils protègent aussi des effractions.
Les volets sont généralement constitués de lames jointives, la plupart du temps verticale
sont consolidées par des barres horizontales et des écharpes diagonales. Les volets sont
aux gonds grâce à des pentures métalliques.
La forme des volets et l'assemblage des éléments sont généralement révélateurs de tra
régionales. Certains modèles possèdent des petites ouvertures, les très décoratives
barbacanes, qui laissent passer un peu d'air et de lumière lorsque les volets sont fermés
Les volets peuvent être un mixte volet/persienne : la partie basse est pleine, la partie ha
ajourée. Ainsi, la protection contre l'effraction est assurée et la lumière passe, même vo
fermés.
Les volets battants habillent les fenêtres depuis toujours. Ils sont indémodables, comme tous les principes simples
qui parviennent à associer charme et facilité d'emploi. L'offre Classiral de Technal franchit une étape
supplémentaire. Le volet, même grand, est facile à manœuvrer. Ses couleurs restent stables. Son entretien est
limité. Le volet aluminium est fabriqué sur-mesure, s'adapte à toutes les fenêtres et baies coulissantes, des plus
petites aux plus grandes (de 1 à 4 vantaux jusqu'à 1700 mm de hauteur pour une fenêtre et 2350 mm de
hauteur pour une porte-fenêtre). Remplissage avec lames aluminium pleines ou persiennées toute hauteur ou mi-
hauteur, filtrez la lumière en fonction de l'exposition des façades de la maison.
L'adaptation régionale
Les volets battants aluminium sont équipés de pentures droites et d'une fermeture classique à l'espagnolette. Ils se
colorient au gré des régions dans 9 coloris standard ou dans les autres nuances de l'aluminium. En option, des barres
et écharpes peuvent être ajoutées.
La pose des volets battants est très simple. En rénovation, ils s'adaptent sur les gonds existants. Dans le neuf, ils
sont installés de façon classique, au moyen de gonds à sceller ou à visser. Notez enfin que le volet Classiral peut se
poser sur un cadre dormant qui améliore l'étanchéité de l'ensemble.
Le volet roulant comporte un tablier de lames horizontales qui coulissent entre deux glissières
et s'enroulent sur un axe. C'est une solution à privilégier, en neuf comme en rénovation, pour
son confort d'utilisation (ne pas oublier la motorisation) - il n'est pas nécessaire d'ouvrir la
fenêtre- et pour sa discrétion, pas d'encombrement sur la façade. La forme galbée du coffre
d'enroulement, l'offre couleur coordonnée (coffre, coulisses et lame finale) permettent
d'intégrer avec soin un volet roulant Quickral de Technal.
Si vous faites construire, le coffre d’enroulement est directement intégré dans les murs.
Discret et parfaitement isolé, il se fond dans le décor tout en demeurant accessible pour une
maintenance éventuelle.
Le volet roulant est fait d'un tablier composé de lames qui se déplacent verticalement dans
des coulisses. Les lames sont souvent en PVC ou en aluminium, parfois en bois. Elles
s'enroulent sur un arbre tubulaire doté d'un mécanisme de commande.
SOMMAIRE DU CHAPITRE
· soit avec des enduits faits sur chantier avec une chaux hydraulique naturelle. Le
mortier est appliqué manuellement en 3 couches.
Il faudra choisir son sable car les sacs ne contiennent que de la chaux.
Un enduit monocouche est un produit prêt à l'emploi dosé et mélangé en usine. Il est
appliqué mécaniquement ou manuellement. L'enduit est réalisé en une couche de 10 mm
pour assurer l'imperméabilisation et l'application dure un jour.
Les couleurs de l'enduit ou du RPE sont obtenues grâce à des pigments minéraux en
poudre, à fort pouvoir de coloration et rigoureusement dosés.
Les teintes sont variées, les plus répandues sont les teintes dites " ton pierre " avec
toutes les nuances possibles, les ocres et les roses.
Tout comme les aspects de finition, on observe en France, une répartition géographique
des couleurs.
La grande moitié sud du territoire ou des régions comme l'Alsace présentent des
façades chatoyantes comme par exemple les jaunes soutenus, J50, J70, ou les roses
soutenus, R50, R60.
Les couleurs " pastel " sont plus répandues dans la grande moitié nord du pays.
Notre nuancier comporte 48 couleurs standard regroupées en six grandes nuances : les
nuances de jaune, de terre, de rouge, de gris, de vert et de bleu.
On entend par aspect de finition, le relief donné à l'enduit lors de la mise en œuvre.
Celui-ci associé à la couleur choisie donnera l'aspect final de votre façade.
L'aspect peut aussi être dicté par des contraintes architecturales départementales
ou régionales (Service départemental de l'architecture et du Patrimoine...).
On entend par couleur la teinte choisie pour l'enduit. Cette teinte combinée à l'aspect de
finition choisi, donnera l'aspect final de votre façade.
Les couleurs de l'enduit sont obtenues grâce à des pigments minéraux en poudre, à fort pouvoir
de coloration et rigoureusement dosés.
Les teintes sont variées, les plus répandues sont les teintes dites "ton pierre" avec toutes les
nuances possibles, les ocres et les roses.
Les couleurs les plus pastels sont plus répandues dans la grande moitié nord du pays.
Notre nuancier comporte 48 couleurs standard regroupées en six grandes nuances; les nuances
de jaune, de terre, de rouge, de gris, de vert et de bleu.
Le choix de la teinte peut aussi être dicté par des contraintes architecturales
départementales ou régionales (Service départemental de l'architecture et du Patrimoine…).
Pierres d'angle, entourage Entourage de fenêtre, finition Fausse clé de voûte Utilisation de deux couleurs sur
de fenêtre en surépaisseur talochée en linteau la façade
Esthétiquement, la peinture de façade est la solution idéale pour personnaliser selon ses
propres goûts.
Techniquement, la peinture de façade est une solution performante et durable.
Avec Tollens, vous avez l'assurance de peintures de façade qui sont performantes, esthétiques
et faciles à mettre en œuvre par votre professionnel.
1 - diagnostic du support et des éventuels désordres comme par exemple des fissures
2 - choix du traitement adapté
3 - mise en œuvre
Le diagnostic est une évaluation détaillée de la façade par un professionnel du bâtiment selon
les critères définis par les D.T.U. (documents techniques unifiés).
Il étudie les supports, les revêtements existants, et les problèmes présents et à venir.
Le diagnostic est très important car sa qualité permet de définir le traitement le mieux
adapté. Le choix du professionnel se base sur le diagnostic de l'état de la façade et des
contraintes techniques qu'il a mises en évidence lors de l'examen du support.
L'aspect technique relève du professionnel. Il vous propose une solution adaptée à votre cas.
L'aspect esthétique vous revient dans la limite de ses compatibilités avec la solution proposée
et des contraintes de coloris ou d'aspects définis par exemple par les Architectes des
Bâtiments de France.
Les peintures Tollens proposent une gamme complète de produits pour votre façade à
destination de votre professionnel et un nuancier de 160 teintes pour trouver la teinte idéale.
Basée sur l'adaptation de l'habitat aux conditions climatiques locales et sur l'utilisation des
matières premières de la région, l'identité architecturale est nettement marquée dans chaque
région de France.
Alsace
Bretagne
Centre
Provence
1 - Consultez en mairie le Plan Local d'Urbanisme (PLU), l'ancien POS et, le cas échéant, le
règlement du lotissement (si vous êtes en lotissement). Ces documents vous renseigneront
sur les règles applicables et plus particulièrement sur les techniques et couleurs
éventuellement autorisées sur votre secteur.
Pour l'installation d'un échafaudage, ou tout autre dispositif, ou pour l'occupation d'une
emprise sur le trottoir ou la route longeant votre maison, il vous faudra obtenir en plus
l'autorisation écrite du gestionnaire de la voirie correspondante (Mairie pour les voies
communales, Conseil Général pour les routes départementales, la DDE pour les routes
nationales).
Impressionnantes pour leur durabilité, les peintures aux silicates mises en œuvre au siècle
dernier existent encore aujourd'hui.
L'emploi de silicates de potassium comme liant confère aux peintures des caractéristiques
performantes : le film de peinture et la façade ne font plus qu'un, ce qui évite l'écaillage ou le
décollement.
Son excellente perméabilité à la vapeur d'eau, sa forte résistance à la pollution atmosphérique
et à l'encrassement, garantissent à cette ligne de produits minéraux d'excellents résultats
dans le temps.
D'une chaleur chromatique extraordinaire, notre gamme de peintures aux silicates est
particulièrement adaptée à la restauration des édifices historiques et confèrent une touche
d'élégance classique aux structures modernes.
SOMMAIRE DU CHAPITRE
Portails aluminium
Portails aluminium
Les formes de portails
Les clôtures en aluminium
Pour ouvrir votre portail sans quitter votre voiture, SOMFY vous propose une nouvelle
gamme d'automatismes pour portails battants. L'ouverture s'effectue en quelques
secondes, vous permettant de sortir ou de renter chez vous rapidement. Fermez votre
propriété en toute sécurité et à distance avec les automatismes pour portails SOMFY.
Les automatismes SOMFY motorisent tous les portails, qu'ils soient en bois, en fer forgé, en
acier ou en PVC. Pour se faire, chaque ventail ne doit pas excéder une largeur de 2 mètres et un
poids de 200 kg.
Axovia 150S et Axovia 200A : 2 automatismes spécifiques pour les portails battants
L’automatisme Axovia 150S est particulièrement adapté aux portails métalliques. Son angle
d'ouverture maximum de 120° peut être différent sur chacun des vantaux.
Les automatismes Axovia se commandent à distance au moyen d’une télécommande radio. Ils
peuvent éventuellement être associés à une commande murale.
Avec la technologie radio RTS, vous avez toute l’assurance du savoir-faire et de la maîtrise
technologique de SOMFY. La fiabilité de transmission est garantie par une fréquence
spécifique et sécurisée. L'inviolabilité du système contre les intrusions et les interférences
(télécommandes TV, magnétoscope…) est gérée par un récepteur protégé.
Une conception étudiée pour préserver la structure du portail avec une synchronisation des
moteurs et une limitation des efforts
Un récepteur radio protégé par un code tournant de sécurité. Il évite tout piratage de la porte
(scanner, mémorisation de fréquence…)
Une gestion automatique et intelligente des obstacles qui différencie un obstacle physique d'un
coup de vent. Ainsi l’automatisme maintient le portail dans sa position initiale en cas de rafales
Une parfaite compatibilité avec tous les accessoires de sécurité comme : les cellules photo-
électriques, le feu orange…
Pour ouvrir votre portail sans quitter votre voiture, SOMFY vous propose une nouvelle
gamme d'automatismes pour portails coulissants. L'ouverture s'effectue en quelques
secondes, vous permettant de sortir ou de renter chez-vous rapidement. Fermez votre
propriété en toute sécurité et à distance avec les automatismes pour portails SOMFY.
Conformes à la norme NFP 25-362, les automatismes Axovia vont bien au-delà de ses
exigences pour vous apporter une sécurité renforcée.
Un récepteur radio protégé par un code tournant de sécurité. Il évite tout piratage de la
porte (scanner, mémorisation de fréquence …).
Un verrouillage du portail en cas de tentative d'effraction. Il maintient le portail
parfaitement fermé en toutes circonstances.
Un système de débrayage permet la manœuvre manuelle du portail.
Une parfaite compatibilité avec tous les accessoires de sécurité, comme les cellules photo-
électriques qui doivent être impérativement installées pour réaliser la détection d'obstacles
sur l'automatisme Axovia 400C.
La phase préparatoire
Découverte, mini-terrassement
Pour une bonne stabilité dans le temps de vos allées et terrasses, le terrain doit être
soigneusement préparé.
Négliger cette phase risque d'engendrer des décollements et fissurations de vos dalles et
pavés, des fissurations et cassures de vos bétons, des tassements différentiels et orniérages
de vos allées en sables et graviers.
Pour ce faire, dans le cas d'ouvrages sur le niveau naturel du sol, il faut décaper l'épaisseur de
terre végétale et combler cette dénivellation par des graves de type 0/20 concassées et
compactées.
Dans le cas où les terrasses sont construites sur une partie remblayée, le remblayage devra
être soigneusement compacté afin d'éviter toute déformation ultérieure. Si ce remblayage est
surélevé par rapport à une partie de l'habitation (sous-sol ou cave), veiller à étendre un
revêtement étanche à la base de la terrasse pour éviter de futures infiltrations entre les deux
ouvrages.
Pour un effet doux dans un jardin, préférer des allées légèrement courbes. Pour s'aider, on
peut utiliser comme guide un tuyau d'arrosage suffisamment rigide dont les courbes
naturelles sauront reproduire un tracé harmonieux.
Pour un effet géométrique, veillez à ce que les lignes soient bien droites et les angles
respectés en utilisant des règles.
Compter une largeur d'environ 70 cm pour vos allées.
Pour un effet doux dans un jardin, préférer des allées légèrement courbes. Pour s'aider, on
peut utiliser comme guide un tuyau d'arrosage suffisamment rigide dont les courbes naturelles
sauront reproduire un tracé harmonieux.
Pour un effet géométrique, veillez à ce que les lignes soient bien droites et les angles
respectés en utilisant des règles.
Compter une largeur d'environ 70 cm pour vos allées.
Les bétons d'aménagement sont formulés selon les fonctions auxquelles ils sont destinés et
l'aspect final recherché.
Allées de jardin, entrées de garage, abords de piscines..., toutes ces réalisations sont
valorisées grâce aux aspects de surface illimités des bétons décoratifs.
Le BC Désactivé est un béton sur lequel est appliqué un traitement chimique et mécanique
visant à faire apparaître les gravillons en surface. Ces bétons, destinés à rester apparents,
sont formulés selon les fonctions auxquelles ils sont destinés et l'aspect final recherché.
Parmi les aménagements possibles, on notera les accès de garage, les terrasses, les allées de
jardin, les plages de piscine ou plus généralement les accès et environnements de maisons
individuelles.
Ces bétons entrent dans le champ d'application de la norme P18-305, d'où une garantie de
pérennité des aménagements.
La couleur "naturelle" du béton est déterminée par ses composants : ciment gris ou blanc
mélangés aux éléments les plus fins du sable.
Cette couleur peut-être nuancée par l'ajout de colorants qui, dosés avec précision et ajoutés
dans le malaxeur, en centrale, au moment de la fabrication, permettent d'obtenir un mélange
homogène et une teinte dans la masse du béton.
La durabilité de la couleur est ainsi garantie sur plusieurs décenies. Les bétons colorés peuvent
se décliner dans de très nombreuses teintes.
Le béton imprimé est obtenu par application sur le béton, éventuellement coloré, de moules à
l'aspect de pavés ou de dalles.
La liberté de conception des formes, des teintes et des finitions de surface, permet de
structurer l'espace et d'intégrer harmonieusement les ouvrages réalisés dans l'architecture et
le paysage environnants.
D'un entretien simplifié après la protection de surface par des produits anti-salissures, ces
bétons vous garantissent la durabilité de l'aménagement sur plusieurs décennies.
Allées de jardin, entrées de garage, pourtour de piscine… , toutes ces réalisations sont
valorisées grâce aux aspects de surface illimités des bétons décoratifs.
Le béton imprimé
Les sables et graviers constituent une solution particulièrement économique par rapport à
d'autres revêtements (pavé, dalle gravillonnée…), tout en alliant une grande qualité
esthétique.
La simple application de ces sables et graviers en fait déjà un matériau décoratif et il
pourra servir de support à d'autres types gravillons de couleur, à la mise en œuvre d'un
béton désactivé (dans lequel les granulats seront bien apparents) ou d'un enrobé classique,
selon les désirs de chacun.
En choisissant un matériau de la région, vous créerez un environnement naturel très adapté
au contexte local. Vous pouvez également choisir des matériaux de couleur pour des effets
de décoration des plus réussis (associations de couleurs possibles)
Il s'agit de matériaux qui se compactent et qui se règlent aisément, dont l'entretien est
facile.
"Les piscines enterrées non closes privatives à usage individuel ou collectif doivent être
pourvues d'un dispositif de sécurité normalisé visant à prévenir le risque de noyade". Cette
disposition est obligatoire pour toutes les piscines construites depuis le 1er janvier 2004.
Pour les bassins installés auparavant, le délai de mise aux normes expire le 1er janvier
2006.
Les dispositifs de sécurité sont de plusieurs ordres. Cela peut être une barrière physique
(clôture, volet automatique, toit rigide, …) ou électronique (alarme). Ces dispositifs doivent être
conformes aux normes.
Attention, aucune protection ne peut se substituer à la vigilance des parents ou adultes
chargés de la surveillance des enfants.
Portails aluminium
Portails aluminium
Le portail symbolise la frontière entre espace public et domaine privé. Il s'ouvre devant vos
visiteurs et vous préserve des importuns. Au total, Technal vous propose plus de 200 modèles,
tous fabriqués sur-mesure, en aluminium bien sûr ! La ligne Contemporaine des portails
Technal se caractérise par des remplissages à claire-voie ou en panneaux pleins. La ligne
Classique reprend à son compte les standards de la ferronnerie d'art et les adapte au style de
votre entrée. Rosace, fleur de lys, marguerite, fer de lance, feston, tous ces accessoires
soulignent le caractère traditionnel de l'habitat.
Les portails ont proposés en cinq formes, droite, bombée, cintrée et chapeau de gendarme,
classique ou inversé. Le portail peut être battant ou coulissant. Dans la première version, il est
installé au moyen de gonds réglables, verticalement et horizontalement.
Selon l'article 647 du code civil, tout propriétaire peut clore sa propriété. Premièrement
pour séparer les propriétés entre elles. Deuxièmement, pour éviter les intrusions de tiers. Les
principaux modes de clôture sont définis par le Code rural. Il peut s'agir d'un mur, d'une haie,
d'une palissade, de fils barbelés…
Sachez que si vous envisagez de clore votre terrain, rien ne vous oblige à prévenir votre voisin.
Toutefois, afin de maintenir de bonnes relations de voisinage, il est conseillé de lui présenter
votre projet. Dans le cas contraire, assurez-vous que votre clôture sera établie à la limite de
votre propriété. A défaut, votre voisin serait en droit de demander sa démolition si elle venait
empiéter sur son terrain.
En outre, dans certaines zones, vous devez, avant l'édification de la clôture, faire une
déclaration préalable auprès de votre mairie. C'est le cas si votre propriété est située sur le
territoire :
d'une commune dotée d'un plan d'urbanismes local (PLU) rendu public ou approuvé,
d'une commune située dans les anciens périmètres sensibles ou dans une zone de préemption
urbaine ou faisant l'objet de mesures de protection au titre des espaces naturels sensibles :
d'une commune inscrite sur une liste dressée par arrêté préfectoral. Dans ce dernier cas,
renseignez-vous auprès de votre mairie ou de la DDE. Attention également aux sites situés en
secteurs sauvegardés ou sous l'autorité des architectes des Bâtiments de France.
Joignez à votre dossier de déclaration un plan de situation du terrain, un plan sommaire des
lieux comportant l'implantation de la clôture projetée ainsi qu'un croquis de ladite clôture.
L'administration dispose alors d'un délai d'un mois pour instruire votre demande. Elle peut
accepter ou tout simplement refuser votre projet. Si à l'expiration du délai d'instruction, le
service compétent ne vous a pas répondu, son silence vaut acceptation.
Les compositions possibles avec le balcon Gypse sont nombreuses : bande filante avec
remplissage, en verre feuilleté ou en tôle perforée, associée ou non à des lisses horizontales,
panneaux de verre qui peuvent être habillés d'un décor en croix de Saint André, à croisillon,
cintré sur une rosace. Il existe aussi une version classique à barreaudage aluminium vertical. La
structure autorise toutes les configurations et tous les types de pose, sur dalle, en nez de
dalle, entre tableaux et sur muret. Les mains courantes sont rondes ou ovoïdes avec une prise
en main agréable.
SOMMAIRE DU CHAPITRE
Aménagement
Le chauffage
Le sol
Règles professionnelles
Permis de construire
Pour être réussie, la véranda doit avant tout s’adapter à l’architecture de votre maison et
respecter son volume. Pensez également au toit qui, quel que soit son style, doit présenter une
pente d’au moins 6° afin que les eaux pluviales s’écoulent correctement.
Le sud est à proscrire dans les régions très ensoleillées mais plutôt agréable dans les régions
du Nord de la France à condition de prévoir une bonne protection solaire.
Le nord reste trop sombre et trop froid quasiment partout. L’est et l’ouest vous permettront
de profiter des rayons à des moments de la journée très différents : soit le matin, soit en
soirée.
Vous manquez de place en ville ou, à l'inverse, vous voulez profiter de l'espace à la campagne ?
Dans les deux cas, la véranda est une excellente solution. Vous pouvez tout aussi bien la
transformer en atelier d'artiste dans une cour intérieure que la mettre à profit pour créer un
salon. En effet choisir d'installer une véranda ne répond pas seulement à un besoin
d'espace, mais surtout à une envie de "changer de vie".
Un univers magique...
En ville
En ville, la véranda peut permettre de repousser les murs, de les ouvrir, de pouvoir enfin
respirer… ceci d'autant plus qu'en deçà de 20m2, une simple déclaration de travaux suffit
dans le cadre stricte des règlements d'urbanisme. La structure véranda vous met à l'abri du
bruit, de la pollution, elle fait entrer la lumiére, elle est aussi une solution privilégiée pour la
réhabilitation d'ateliers ou d'anciens locaux industriels.
A la campagne...
La véranda vous donne la possibilité de profiter de votre jardin, toute l'année. Elle est alors
souvent prévue comme une extension de la maison mais devient rapidement le lieu de vie
principal. Elle peut être associée à votre projet de construction d'une maison neuve ou parfaire
la rénovation d'un bâtiment plus ancien. Les vérandas grâce à leurs nombreuses variantes, se
marient avec tous les styles et configurations de maisons. Elles constituent alors cette
précieuse touche de raffinement et d'originalité, qui fait qu'une maison est encore plus
agréable à vivre.
La véranda est une nouvelle pièce de votre maison. Convertie en bibliothèque, elle devient un
sanctuaire de culture. Meublée avec élégance, elle fait salon, chaleureuse au sein du cercle
familial, accueillante avec vos amis. Pour les enfants, comme pour les grands, elle se transforme
en salle de jeux ou en atelier d'artiste. Par la subtilité de son atmosphère, elle accompagne le
rythme de la journée, de jour comme de nuit . Et si vous travaillez à la maison, vous pouvez
aussi la transformer en bureau !
Pensez également à tirer le meilleur parti de cette nouvelle source de lumière. Vous pouvez
ainsi revoir la distribution des pièces existantes ou modifier le cloisonnement intérieur. Par
exemple, ouvrir la cuisine sur le salon avec une véranda, augmente la perspective, accentue la
perception des espaces, repousse les zones d'ombre... Apporte une nouvelle pièce à votre
maison.
La véranda n'est pas une pièce indépendante. Elle est intimement liée aux pièces
attenantes d'un côté, à la terrasse et au jardin de l'autre. Elle est un trait d'union entre ces
deux univers. Garantir l'organisation des volumes, la fluidité des espaces, les circulations
intérieures et la communication avec l'extérieur sont les rôles dévolus aux ouvertures.
Le style à la carte
Version régionale
La couleur est un
La véranda encastrée,
Une pièce en plus en élément clé de
liaison entre deux
toutes saisons l'adaptation aux styles
bâtiments
de chaque région
La France présente une multitude de styles différents au fil de ses contrées. Chaque pays,
chaque terroir, exprime ses sensibilités, en particulier par l'harmonie de ses demeures. La
véranda assure parfaitement la transmission de ce patrimoine et crée une transition subtile
entre les origines de la tradition et les principes constructifs contemporains. Respecter
l'unité régionale dépasse les frontières du conformisme, ceci par une nouvelle interprétation
des caractères propres à chaque expression.
Version contemporaine
La véranda privilégie les formes trapézoïdales et le tout intégré. Elle souligne les audaces
d'une demeure d'exception, comme elle valorise l'organisation d'une maison de facture
classique. Ses lignes sont épurées, adoucies en courbes subtiles. Le design des profilés et de
chaque pièce d'assemblage trouve son expression la plus aboutie par l'utilisation de caches
sablière en ogive, ou dans le choix de toute une gamme de décors de chéneaux, aux contours
spécialement dessinés. Cette perfection se décline en lignes fluides, en ouvertures
généreuses, en chevrons de grande portée. Elle est soulignée par l'apport de la couleur et
le souci du détail : aucune pièce d'assemblage, aucune coupe n'est visible, de l'intérieur,
comme de l'extérieur.
Version traditionnelle
La véranda traditionnelle retrouve le charme discret des demeures bourgeoises et lui donne les
clés du confort d'aujourd'hui. Privilégiée, la version rayonnante aux facettes multiples,
conserve la légèreté de la structure par l'utilisation d'un chevron arêtier monobloc, exclusif
chez Technal, articulé sur des rotules. Pentes asymétriques, nombre variable, tout est
possible, dans le respect de l'équilibre des trames et de l'harmonie de l'ensemble. Le
chéneau intégré, les volets d'occultation en façade, les châssis s'associent aux profilés pour
former un ensemble homogène. De nombreux éléments complètent le tableau et soulignent le
détail comme des panneaux-décors, des rosaces, des petits-bois, des arcs cintrés
Jeu de formes
De façon classique, la véranda est rectangulaire, plus large que profonde. Comme elle
empiète peu à l'avant de la maison, cette disposition est intéressante pour un jardin de surface
réduite ou si vous souhaitez habiller toute la longueur du plan de façade. Pour faciliter
l'aménagement, il est utile de prévoir de vastes ouvertures de communication avec l'intérieur
de la maison. Dans un souci d'intégration architecturale, privilégiez des formes de toiture à
pentes multiples, par exemple un versant principal et deux retours latéraux.
Le rapport entre la largeur et la profondeur est plus équilibré en version rayonnante. La
véranda créée constitue une pièce supplémentaire à part entière, dotée d'une vaste zone
centrale, même si la surface créée est limitée. En multipliant les pans coupés, la véranda
s'accorde mieux aux demeures de style, en s'inspirant directement des kiosques des temps
anciens. À l'opposé, pour une maison contemporaine, des pans intermédiaires peuvent être
ajoutés dans les angles principaux afin de casser la rigueur géométrique d'une forme
rectangulaire.
Le recours aux profilés en aluminium autorise une grande liberté d'adaptation et de
création. À partir des formes de base, toutes les combinaisons sont possibles.
Le verre
Autonettoyant en toiture
L'isolation
Une véranda non isolée ne peut pas être utilisée toute l'année et ne peut répondre aux
exigences des la Réglementation Thermique. En revanche, une véranda entièrement protégée,
dotée d'une structure complète à rupture de pont thermique et de remplissages isolants,
préserve parfaitement le confort intérieur toute l'année. Il est tout à fait possible de la
chauffer en hiver, sans gaspillage. En intersaison, la véranda communique la chaleur de soleil au
reste de la maison. Les protections solaires réduisent cet apport l'été, l'air frais circule avec
la toiture ouvrante.
L'implantation
Orientée au Nord, la véranda reçoit peu le soleil direct. Elle constitue un excellent rempart
face aux vents dominants. Cette implantation est aussi favorable en cas d'ensoleillement
estival très important.
Orientée à l'Est, la véranda reçoit le soleil le matin et se trouve à l'ombre l'après-midi, une
particularité intéressante dans les régions chaudes.
Orientée au Sud, la véranda reçoit un ensoleillement maximum idéal, en particulier dans les
régions froides. Des protections solaires sont nécessaires en cas de fort ensoleillement.
Orientée à l'Ouest, la véranda est exposée au soleil l'après-midi. Le gain thermique est
maximum en fin de journée, au coucher du soleil.
La solution classique consiste à mettre en place des arrivées d'air frais en partie basse et
des aérations en partie haute. Au plus simple, celles-ci se composent de châssis ouvrants en
toiture et/ou de soufflets, placés en partie haute des façades.
La ventilation mécanique consiste à créer un mouvement d'air dynamique au moyen d'un coffre
composé de 4 extracteurs électriques. Cet ensemble prend place en partie haute, entre les
chevrons. Deux vitesses d'extraction et la possibilité d'associer plusieurs coffres permettent
de moduler le renouvellement de l'air au gré des besoins. Une pièce de 4m x 2,50m voit ainsi
son volume d'air renouvelé complètement 6 fois en une heure, toutes portes fermées (véranda
Jade Technal).
La toiture isolante de la véranda Jade existe aussi en version ouvrante motorisée. Son
ouverture, jusqu'à 50 % de la surface totale, garantit une aération efficace, le ciel est en
contact direct et la lumière pénètre à flots.
Il est également possible de protéger les parois verticales en installant des volets roulants de
façade Technal, dont le coffre est intégré dans le chéneau de rive. Pratiques et discrets ces
volets assurent la protection solaire et renforcent la sécurité contre les tentatives
d'effraction. Et plus encore avec l'association de vitrage sécurité, fermetures retardateurs
d'effraction et le système anti-dégondage des coulissants.
La marque Technal, l'entreprise Aluminier Agréé Technal et vous. Pour réussir votre
projet, il est indispensable que cette association fonctionne sans la moindre difficulté.
Bien sûr, Technal propose une gamme complète de solutions pour la véranda, les ouvertures
de la maison et l'extérieur de l'habitat. Mais leur mise en œuvre reste du ressort exclusif
de votre Aluminier Agréé. En cas de difficulté, si vous avez un doute ou une question, vous
savez à qui vous adresser. Vous connaissez votre interlocuteur. Il est à votre disposition. C'est
votre Aluminier Agréé Technal.
Lorsqu'il s'agit d'un chantier important comme la réalisation d'une véranda ou la rénovation
d'une maison, ce rapport direct est l'une de vos meilleures garanties. N'hésitez pas à
interroger votre Aluminier Agréé Technal en amont sur les idées de conception. N'oubliez pas
qu'il est parfaitement au fait des tendances et des évolutions au travers des nombreux
marchés qu'il traite dans le bâtiment. Son conseil est précieux, son expertise rigoureuse. Vos
exigences seront prises en compte, sur-mesure et dans les règles de l'art. Si votre Aluminier
Agréé Technal s'engage, vous pouvez avoir confiance.
Aménager une véranda est un projet important. Accordez-vous le temps de la réflexion. Le
concours d'un architecte, pendant la phase de l'élaboration de votre projet, peut s'avérer
nécessaire (obligatoire pour une surface supérieure à 20m²). Il vous aidera à exploiter toutes
ses influences positives sur l'organisation intérieure de votre logement, et sur la modénature
de la façade.
Priorité à l'expérience
Garanties du bâtiment
À la fin du chantier, votre Aluminer Agréé Technal effectue en votre présence la réception
des travaux qui vous permet de vérifier la qualité du travail réalisé. Cette étape est le point de
départ de l'ensemble de vos garanties :
La garantie de parfait achèvement s'applique au cas où une prestation aurait été mal réalisée
à l'occasion des travaux. Elle dure un an.
La garantie de bon fonctionnement intervient en cas d'anomalie sur l'ouvrage, survenant après
la réception des travaux. Elle est valable deux ans.
La garantie décennale vous assure l'intervention de votre Aluminier Agréé Technal si des
désordres affectent gravement l'ouvrage. Elle est valable 10 ans. Votre Aluminier a souscrit
une assurance spéciale pour cette garantie. Il vous fournira son attestation à la première
demande
Le chauffage
Les nombreuses options qui équipent votre véranda (extracteurs d'air, toiture ouvrante,
stores extérieurs, aérateurs statiques, etc) permettent de préserver son atmosphère
pendant les heures les plus chaudes de l'été. D'ailleurs, vous remarquerez qu'en cas
d'excès momentané, la température redescend en quelques minutes, dès que le soleil est
masqué. Vous pouvez installer un système de climatisation dans votre véranda. Pour obtenir
le meilleur confort à moindre coût, il faut alors bien étudier la protection solaire,
l'orientation de la véranda ainsi que le dimensionnement du climatiseur, en fonction du
volume à traiter.
Le sol
Règles professionnelles
Règles professionnelles
Permis de construire
La déclaration comme le permis doivent faire l'objet d'une publicité sur le lieu de chantier
c'est-à-dire que vous devez afficher un panneau réglementaire contenant toutes les
informations requises. Cet affichage déclenche le délai de recours du voisinage, s'il est opposé
à votre projet.
Il est fortement déconseillé de construire sans autorisation. Le cas échéant, les extensions
ainsi réalisées peuvent être démolies, aux frais du propriétaire.
L'augmentation de la surface habitable peut avoir une influence sur le montant des impôts
locaux (taxes foncières et d'habitation). En cas de travaux soumis à permis de construire, une
déclaration doit être déposée au Centre des Impôts Fonciers dont vous dépendez dans les 90
jours de l'achèvement (hors d'eau).
Le droit français, notamment en affaires immobilières, est particulièrement dense et
complexe. Les droits de voisinage (mitoyenneté, écoulement des eaux, …), d'environnement
(voisinage bâtiments historiques, loi littorale, …), les contraintes techniques (zones sismiques,
inondables, …) ou réglementaires (Réglementation thermique, NRA, …) constituent un ensemble
difficile à maîtriser en totalité. Le recours à un professionnel, familier de ces démarches, est
conseillé. Des informations peuvent être également obtenue auprès des ADIL (antennes
départementales d'information sur le logement).
SOMMAIRE DU CHAPITRE
La
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Les travaux concernés par la garantie décennale
Faire jouer la garantie décennale
Les malfaçons retenues sont celles qui compromettent la solidité et l'étanchéité d'un
édifice, ou le rendent impropre à l'usage auquel il est destiné. Que ce soit en
construction neuve ou en grosse rénovation. En effet, les tribunaux considèrent que les
travaux de rénovation de grande ampleur sont couverts par la garantie : piscine, serre,
installation de chauffage, travaux de ravalement dépassant le simple entretien,
réfection de toiture, de dallage, de carrelage… Sont exclus des garanties les travaux
nécessaires pour remédier aux effets de l'usure normale ou de l'usage.
après la construction ou la rénovation, que ces malfaçons soient constatées par vous ou
un acquéreur suivant.
Le point de départ des garanties se situe le lendemain du jour de réception des
Lorsque vous faites construire ou rénover, vous devez souscrire une assurance
dommages-ouvrage : c’est elle qui prend le relais pour faire jouer les garanties. Cette
assurance vous simplifie la vie en cas de problème car les éventuels travaux de
réparation sont couverts par un système de préfinancement avant même que ne soit
recherchée la responsabilité du constructeur. La procédure est également plus rapide
(l’indemnisation intervient dans des délais réglementaires) que lorsque vous vous
lancez dans une procédure à l’encontre d’une entreprise qui refuse d’intervenir dans le
cadre de la garantie de parfait achèvement, de bon fonctionnement ou décennale.
En cas de problèmes avec une entreprise qui intervient lors des travaux de construction ou de
rénovation, on le sait, la recherche de responsabilité et le règlement du litige peuvent prendre
beaucoup de temps. Afin que les travaux de remise en état et d'achèvement ne soient pas
reportés trop longtemps et vous pénalisé d'autant, le législateur a mis au point une assurance
qui vous garantit le financement de la réparation immédiate des sinistres compromettant la
solidité de l'ouvrage ou le rendant inhabitable. Cette assurance joue avant même que la
recherche de responsabilité soit lancée et avant même que n'intervienne la Garantie décennale
du responsable, d'où réduction des délais de solutionnement du problème. Cette assurance est
obligatoire pour vous.
La garantie couvre le coût de l'ensemble des travaux, mais sans dépasser le coût total de la
construction.
La garantie ne fonctionne pas s'il s'agit d'un fait intentionnel, d'une cause étrangère (guerre,
catastrophe naturelle, explosion, incendie), de l'usure normale, d'un défaut d'entretien ou d'un
usage anormal.
Vous devez, à tout moment, laisser l'entrée du chantier ouverte aux experts de l'assureur.
L'une des clauses explique la marche à suivre lors d'un sinistre.
Outre les clauses obligatoires, vous pouvez opter pour des clauses facultatives dont celle qui
couvre les Dommages aux existants si vous êtes en rénovation (les " existants " étant la
construction elle-même). Cela dit, l'assurance Dommages aux existants peut être contractée en
propre.
C'est vous, maître d'ouvrage, propriétaire de la maison à construire, qui devez contracter
l'assurance Dommages-ouvrage. Cela dit, vous pouvez déléguer cette démarche à d'autres, en
accord avec vous. En effet, lorsque vous achetez une maison sur plan, le vendeur se charge
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généralement de contracter ladite assurance. Si vous faites appel à un Constructeur de maisons
individuelles, il est habilité à se charger pour vous de ce contrat. Cela peut même être
intéressant car, de par la multiplicité des contrats qu'il souscrit, le Constructeur de maisons
individuelles est susceptible de négocier un coût avantageux pour vous. Au final, et dans tous
les cas, c'est vous qui acquittez le montant du contrat.
La construction ou la rénovation de votre habitation ne doit pas commencer tant que vous
n'avez pas en main le contrat d'assurance Dommages-ouvrage signé par vous ou par un vendeur
de logement sur plan ou par un Constructeur de maison individuelle (ou un entrepreneur, un
architecte… toute personne susceptible de gérer votre chantier). La société qui aurait
contracté pour vous peut vous remettre une simple attestation d'assurance Dommages-
ouvrage. Cette attestation doit lister les garanties, afin que vous puissiez vérifier la qualité du
contrat. Quelle que soit l'option choisie pour contracter, vous devez " éplucher " le contrat et
les garanties qu'il couvre.
Vous revendez
Lorsque vous revendez un bien immobilier que vous avez fait construire ou rénover, l'assurance
dommages-ouvrage est liée à ce bien et non à vous. Ainsi, elle couvre les éventuels dommages
que pourrait subir le nouveau propriétaire durant la garantie décennale. Le nouveau propriétaire
est en droit d'exiger l'attestation d'assurance lors de l'achat du bien. Si vous n'aviez pas
souscrit cette assurance dommages-ouvrage (bien qu'elle soit obligatoire, son absence n'est
pas sanctionnée pénalement), vous pouvez la souscrire même après l'achèvement des travaux.
Cependant, la prime sera majorée, car l'assureur n'a pas pu apprécier les travaux avant que le
projet soit initié.
Solution amiable
Le litige peut porter sur des travaux prévus au devis et non réalisés ou non conformes, ou
encore sur des vices apparents. Si vous n’avez pas encore paraphé la réception des travaux,
entendez-vous à l’amiable avec l’entrepreneur pour qu’il intervienne, afin que vous puissiez,
ensuite, signer la réception. Lorsqu’une malfaçon apparaît après réception, avertissez-en
l’entrepreneur qui doit réparer dans les plus brefs délais.
Vous pouvez vous faire assister d'une personne compétente (architecte, maître d'œuvre,
contrôleur technique...). Si un maître d'œuvre s'est occupé de votre chantier, la réception
se passe sous sa responsabilité.
A la réception, vous devez voir si les travaux livrés sont conformes à ceux que vous avez
commandés. Vous devez aussi vérifier s'ils sont conformes aux règles de l'art sur ce qui est
visible. Pour les vices cachés, l'entreprise reste responsable.
C'est à ce stade que vous devez signaler tout défaut apparent et émettre des réserves. Si
un défaut apparent n'est pas signalé, il est réputé accepté: il ne sera plus possible de le
contester par la suite.
Si vous avez traité avec une seule entreprise, vous n'avez qu'un seul procès-verbal de
réception à faire.
Si vous avez traité avec plusieurs entreprises, vous devez rédiger un procès-verbal par
entreprise.
Si vous êtes satisfait, vous signez le procès-verbal et faites viser par l'entreprise
concernée. Vous payez le solde et votre relation avec l'entreprise prend fin.
Si vous constatez des défauts, vous les mentionnez dans le procès-verbal et accordez un
délai pour la remise en état (90 jours maximum).
Si les réserves sont trop importantes, il faut estimer que la construction n'est pas achevée
et demander un report de la réception permettant l'achèvement des travaux.
garantie de parfait achèvement (durée 1 an) pour la réparation gratuite des malfaçons
constatées et de celles qui se manifestent lors de la première année;
garantie de bon fonctionnement (durée 2 ans) pour les équipements non soumis à la garantie
décennale.
garantie décennale (durée 10 ans) pour les dommages qui compromettent la solidité de
l'ouvrage ou qui rendent le logement impropre à sa destination.
La procédure de référé
Pour éviter d’avoir à avancer les frais de travaux, vous devez faire en sorte que l’entreprise
soit obligée de payer une provision pour lesdits travaux ou qu’elle soit forcée de les effectuer.
Pour cela, vous devez engager une procédure de référé auprès du Tribunal de grande instance
du lieu de situation de l’immeuble durant l’année de garantie.
Si les désordres mettent en péril la solidité de la construction ou s’il vous est impossible d’y
vivre « en bon père de famille », la garantie de parfait achèvement peut être complétée par la
garantie décennale. Cela, afin de pouvoir faire jouer votre assurance dommages-ouvrage qui
prendra en charge le coût important des travaux.
Vous n’avez pas souscrit de garantie dommages-ouvrage ? Dans ce cas, vous devez traiter
directement avec l’assureur de l’entreprise incriminée. Celui-ci nommera un expert qui
déterminera les responsabilités. En principe, la solution est amiable, mais peut trouver aussi sa
conclusion devant le Tribunal de grande instance.
La garantie de bon fonctionnement est aussi appelé « garantie biennale » car elle joue sur les
litiges intervenant dans les deux ans suivant la réception des travaux. Les menus ouvrages
décrits aux articles R 111-27, R 111-28 du Code de la construction et de l'habitation sont
couverts par la garantie.
Il s’agit des équipements non solidaires d’un autre ouvrage et qui peuvent être réparés sans
nuire au support. Sont donc concernés les éléments mobiles, portes, fenêtres, revêtements de
murs, plafonds et de sols non scellés.
Les équipements indissociables du bâtiment ne sont pas couverts : une canalisation encastrée
sous le carrelage, un carrelage scellé ou un revêtement de marbre scellé sont indissociables et
ne sont pas couverts par cette garantie (mais par la garantie décennale).
Autre cas : les dommages imputables à l’usage normal ou au défaut d’entretien ne sont pas
couverts par cette garantie. Aussi devez-vous entretenir gouttières, chéneaux, fosse septique,
fenêtres, auvents, etc.
Tout dommage entrant dans le cadre de la garantie de bon fonctionnement doit être réparé.
Vous avez deux ans pour agir et le délai court au lendemain de la réception des travaux.
Deux cas de figure peuvent se présenter : vous avez souscrit une assurance dommages-ouvrage
avant le début des travaux, ou vous n’en n’avez pas.
Rappelons que l’assurance dommages-ouvrage est obligatoire si vous faites construire ou si vous
rénovez le gros oeuvre.
Dès que les dégâts sont constatés, vous devez faire une déclaration à votre assureur.
L’assureur procédera sans doute à une expertise avant de vous notifier (dans un délai de
soixante jours) sa décision de mise en jeu des garanties prévues au contrat. S’ensuit
l’indemnisation globale ou fractionnée selon les clauses du contrat.
Vous n’avez pas d’assurance dommages-ouvrage ? C’est alors à vous de régler le problème. Vous
devez vous adresser directement à l’entreprise en cause ou à son assureur. Par lettre
recommandée avec accusé de réception ou exploit d'huissier, vous précisez et décrivez la
défaillance de l'équipement. L’assureur peut procéder à une expertise. Aux résultats de
l’expertise, le constructeur se doit alors de réparer ou de remplacer l'élément défectueux. En
cas de litige, c’est le Tribunal de grande instance qui est compétent.
Vous avez dix ans pour vous retourner contre l’entreprise ayant
construit ou rénové votre habitation s’il y a vice caché ou non
conformité. Sont garantis les dommages qui vous empêchent de jouir
des lieux « en bon père de famille », c’est-à-dire en toute sécurité
et tranquillité. Sont aussi couverts les défauts liés aux équipements
faisant corps avec l’ouvrage.
Durant dix ans, et quels que soient les propriétaires successifs, les dommages qui
compromettent la solidité de l’ouvrage ou qui rendent le logement impropre à sa destination
sont couverts par la garantie décennale. Sont aussi garantis les équipements qui font corps
avec les ouvrages de viabilité, de fondation, d’ossature, de clos et de couvert : infiltrations
d’eau par la toiture, par la façade, rupture de canalisation encastrée dans un plancher, etc.
Rappelons que, pour les équipements ne faisant pas corps avec l’ouvrage, la garantie n’est que
biennale (c’est la garantie de bon fonctionnement).
Tout défaut d’entretien ou de mauvais usage est de votre responsabilité : vous devez par
exemple entretenir régulièrement les chéneaux et gouttières, les ouvrages extérieurs en bois,
vidanger la fosse septique ou ne pas calfeutrer les dispositifs de ventilation.
Tout dommage entrant dans le cadre de la garantie décennale doit être réparé. Vous pouvez
agir pendant dix ans et le délai court au lendemain de la réception des travaux.
Deux cas de figure peuvent se présenter : vous avez souscrit une assurance dommages-ouvrage
avant le début des travaux, ou vous n’en n’avez pas.
Vous n’avez pas d’assurance dommages-ouvrage ? C’est alors à vous de régler le problème. Vous
devez vous adresser directement à l’entreprise en cause ou à son assureur. Par lettre
recommandée avec accusé de réception ou exploit d'huissier, vous précisez et décrivez la
défaillance. L’assureur peut procéder à une expertise. Aux résultats de l’expertise, le
constructeur se doit alors de réparer ou de remplacer l'élément défectueux. En cas de litige,
c’est le Tribunal de grande instance qui est compétent.
Vous devez exiger dans votre Contrat de construction de maisons individuelles (CCMI), au plus
tard à l'ouverture du chantier, l'attestation de garantie de livraison à prix et délais convenus.
Cette garantie doit être nominative et émaner du garant lui-même sous forme d'un document
original.
Cette garantie est une sécurité absolue pour vous et vous apporte la certitude que votre
maison sera construite dans les meilleures conditions.
Qui ?
Innovation majeure de la loi de 1990, cette garantie est obligatoire pour toutes les
entreprises, quelles que soient leurs appellations (constructeurs, entrepreneurs, maîtres
d'oeuvre, artisans...) qui se chargent de la construction et agissent comme un constructeur.
Les constructeurs adhérents de l'UNCMI l'appliquent quant à eux depuis déjà juin 1988.
Quoi ?
Le fait de posséder cette garantie signifie qu'un établissement financier, une banque, par
exemple, ou une compagnie d'assurance spécialement agréés à cet effet, se porte garant de
votre constructeur et s'engage pour lui auprès de vous quoi qu'il advienne.
Comment ?
Le CEQUAMI, filiale de CSTB et de QUALITEL (qui attribue une certification de qualité technique
pour des projets immobiliers neufs en France : appartements, maisons individuelles groupées en
villages et résidences pour étudiants), a mis au point la marque de certification de produits et
services NF Maison Individuelle et a été mandaté par l'AFNOR pour gérer cette certification.
Cette certification concerne uniquement les entreprises qui réalisent des maisons dans le cadre d'un
Contrat de construction de maison individuelle (CCMI) tel que défini dans la loi du 19 décembre
1990.
L'Union nationale des constructeurs de maisons individuelles (UNMCI) incite par exemple ses
adhérents à demander la qualification NF Maison individuelle.