CDGCAE
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LA COMPTABILITE ANALYTIQUE :
UN OUTIL DE BASE INDISPENSABLE AU CONTROLE DE GESTION
Mais cela ne veut pas dire que la comptabilité générale est totalement inutile pour
le contrôle de gestion; elle demeure seulement d’un apport limité pour le contrôle
des coûts, comparée à la comptabilité analytique d’exploitation.
Par ailleurs, l'aspect calcul et analyse des écarts est souvent du ressort du
contrôle de gestion, auquel la comptabilité analytique fournit les éléments de
base.
Enfin, signalons qu' il n'est pas nécessaire que la comptabilité analytique couvre
tous les aspects cités précédemment : on peut calculer le coût de revient (coût au
stade final, c'est à dire au stade de la vente ; Il était appelé aussi prix de revient),
sans analyser de façon très poussée les coûts (par coût on entend une somme de
charges ou de frais élémentaires). Mais surtout on peut analyser les coûts sans
calculer systématiquement le coût de revient qui n'est plus alors qu'un "sous-
produit" de la comptabilité analytique conçue dans ce cas surtout pour le suivi des
consommations et des frais.
Dans tous les cas, une analyse des charges, souvent différente de celle opérée
par la comptabilité générale, s'impose pour bien préparer la comptabilité
analytique aux buts recherchés.
La notion de section devait être reprise plus tard en 1946 par les auteurs du
plan comptable français qui l'on défini comme étant un compartiment d'ordre
comptable dans lequel sont groupées, préalablement à leur imputation aux
comptes de coûts et prix de revient intéressés, les éléments de charges qui ne
peuvent être directement affectés à ces comptes.
Dans certains cas on parle aussi de centre d’analyse des coûts. Les centres
d’analyses correspondent généralement aux centres de travail (bureaux,
magasins, ateliers...) tels qu’ils résultent de l’organisation de l’entreprise. Un
centre d’analyse peut correspondre à une section, mais il peut aussi
regrouper deux ou plusieurs sections. Certains de ces centres sont « en prise
directe » sur les produits, sur les commandes ; Leurs œuvres pouvant donc
être imputées aux coûts des produits ou commandes ; d’autres centres
(service entretien, service financier,...) sont dits auxiliaires et leurs œuvres,
du fait qu’elles ne peuvent être imputées directement aux coûts des produits,
sont cédées aux centres qui les ont reçues et consommées.
Il importe, pour les besoins de calcul des coûts, que la section ou centre
d’analyse ait une activité homogène afin de pouvoir mesurer son activité de
façon satisfaisante par une unité œuvre unique. Il importe aussi pour les
besoins de contrôle des coûts que la section ou centre ait un responsable
unique. Il importe enfin que les sections et centres d’analyse soit significatifs
pour les besoins de la gestion, c'est à dire que l'on puisse y grouper
individuellement un montant appréciable de charges, pouvant être réparties de
façon satisfaisante sur la base d'une unité œuvre unique.
3- notion de fonction
- la fonction technique,
- la fonction commerciale,
- la fonction financière,
- la fonction de sécurité,
- la fonction de comptabilité,
- la fonction administrative.
"fonction" que peut jouer telle ou telle charge au niveau de la formation des
coûts ; on parle parfois d'analyse par destination.
L'analyse des charges par fonction en comptabilité analytique obéit donc plus
à des préoccupations d'analyse des coûts, qu'à des préoccupations
organisationnelles ou de relations de pouvoirs. En comptabilité analytique,
une analyse des charges par fonction (ou destination) est nécessaire pour
établir un compte d'exploitation fonctionnel.
Cette analyse diffère de celle par fonction du fait que plusieurs fonctions
peuvent avoir un seul responsable. Le découpage en centres de
responsabilité, quand il est retenu en comptabilité analytique notamment pour
satisfaire les besoins de contrôle de gestion, constitue donc souvent un
regroupement des différents centres d'analyses qui peuvent être des
fonctions, sections ou centres d'activité.
5- notions de charge\produit
On appelle charge variable une charge qui varie en fonction de l'activité, cette
dernière pouvant être caractérisée par un débit de production, de ventes ou
par un chiffre d'affaires.
Si la liaison entre une charges et l'activité est linéaire (de la forme y = ax, où x
désigne l'activité et a, la charge unitaire), la charge est dite variable. C'est le
cas notamment des charges relatives aux consommations de matières et à la
main œuvre saisonnière.
Enfin, s'il n'existe pas de liaison avec l'activité, la charge est dite fixe ou
indépendante de l'activité. C'est le cas des charges de structure, dont le
niveau est indépendant de celui de l'activité, comme par exemple le loyer, les
frais d'administration générale, etc.
La distinction entre charges variables et charges fixes est très utile pour bien
comprendre le comportement des charges et déterminer le seuil de rentabilité.
Elle peut être faite sur la base d'une étude statistique de corrélation/
régression portant sur les charges.
Une charge directe (qui n'est pas nécessairement variable), est un élément de
coût d'un seul produit, d'un seul service ou d'une seule commande et que l'on
affecte directement au produit, service ou commande qu'il concerne.
Une charge indirecte (qui n'est pas nécessairement fixe), est un élément de
coût qui est commun à plusieurs produits, services ou commandes et qui, de
ce fait, doit faire l'objet d'une répartition avant imputation aux coûts des
produits, services ou commandes concernés. Une charge indirecte transite
donc par une section, fonction ou centre d'activité avant d'être imputée aux
coûts des biens, services ou commandes concernés.
Un frais ne peut être mentionné ni intégré dans les calculs sans qu'il soit
précisé le fait auquel il se rapporte, alors qu'une charge est sous-entendue
d'exploitation.
Grâce à ces comptes réfléchis, on peut s'assurer a priori que toutes les
charges incorporables de la comptabilité générale sont bien saisies en
comptabilité analytique, ce qui permettra de vérifier plus tard la concordance
des deux comptabilités.
Un coût peut être total (coût d'une section par exemple), ou unitaire (coût de
l'unité d'œuvre de la section).
Il y' a plusieurs types de coûts possibles : coût réel, coût standard (norme),
coût budgété, coût préétabli (qui peut être suivant le cas standard ou
budgété), coût variable (opérationnel), coût fixe (de structure), coût direct et
coût indirect, etc.
Bien que le coût de revient ne soit pas retenu pour l'évaluation des stocks, son
calcul est indispensable pour :
Quand le coût moyen atteint son minimum, il devient égal au coût marginal
comme cela apparaît sur le graphe suivant :
couts
cout marginal
cout moyen
optimum quantites
Les coûts joints sont des coûts communs indissociables par leur nature. Il
s'agit donc d'une catégorie particulière de coûts communs : alors que les coûts
communs ou indirects sont répartis suivant leur destination moyennant des
clés de répartition, les coûts joints sont générés par des processus de
transformation donnant lieu simultanément à plusieurs produits appelés
produis joints.
On appelle coût préétabli, un coût fixé a priori pour chiffrer ou évaluer certains
éléments d'exploitation tels que les devis, les sorties de stocks, les prestations
internes.
Les coûts préétablis servent plus tard de référence pour apprécier la gestion
et la contrôler par le biais du calcul et de l'analyse des écarts par rapport aux
coûts réels.
Un coût préétabli peut être soit un coût standard (norme), soit un coût budgété
servant de base au calcul des budgets.
Le coût d'opportunité d'un capital, un bien ou un service, est le produit que l'on
pourrait obtenir en changeant le placement ou l'affectation de ce capital, bien
ou service.
Seules les charges directes, donc celles qui concernent un seul produit, un
seul centre d'activité, etc. font l'objet d'une affectation.
L'opération de répartition, qui est courante dans les méthode du full costing
telle que la méthode des sections homogènes, suppose donc au préalable
que soit défini un système de répartition, notamment un système d'unités
d'œuvre assorti des principes de répartition.
L'unité d'œuvre est une unité physique que l'on définit pour mesurer l'activité,
généralement d'une section ou d’un centre d’analyse, dans l'objectif de mieux
apprécier la contribution de ladite section à l'activité d'autres sections ou à
l'élaboration d'un bien ou service. Elle sert principalement à imputer le coût
d’un centre d’analyse ou section aux comptes de coût des produits ( biens ou
services) ou des commandes ( internes ou de clients) intéressés. C’est donc
par l’intermédiaire des unités d'œuvre que les charges indirectes sont
incorporées, en finale, aux comptes de coût des produits.
La définition des unités d'œuvres des sections est faite généralement sur la
base d'une étude technico-économique des sections ou d'une étude
statistique de leurs coûts.
Dans tous ces cas, les prestations internes entre centres doivent être faites au
prix d’équilibre, afin de ne pas générer de pseudo-profits dans l’entreprise.
leurs œuvres sont imputées aux coûts des produits ou commandes, pour un
montant égal à :
Une marge est le résultat obtenu en faisant la différence entre le prix de vente
et un coût. On peut calculer plusieurs types de marges suivant le coût retenu.
A titre d'exemple, on peut citer:
- la marge sur coût d'achat des matières, la marge sur coût de production,
la marge sur coût de distribution. Ces marges sont obtenues à partir d'un
compte d'exploitation fonctionnel;
- la marge nette, qui est la marge obtenu après avoir déduit toutes les
charges.
En sommant les marges nettes , on obtient à quelques ajustements près,
le résultat net de l'entreprise.
Comme le coût, la marge peut être totale ou unitaire. On dira par exemple que
tel produit dégage une marge variable contribuant à l'absorption de x % des
frais fixes, ou que chaque unité de ce produit laisse une marge nette de x
dirhams.
Par ailleurs, la marge est plus significative quand elle est calculée sous forme
d'un taux, qui est le pourcentage obtenu en rapportant la valeur de la marge à
une grandeur d'activité comme le chiffre d'affaires. On dira par exemple que tel
produit a un taux une marge brute de x % du chiffre d'affaires.
Si toutes les charges sont affectées ou imputés aux coûts de revient des
produits, marchandises ou services, le résultat global de l'entreprise est
constitué par la somme de tous les résultats analytiques.
exemples de groupes de frais: frais des PTT, frais d’entretien, frais des
véhicules, frais informatiques, frais de missions et réception, frais de
déplacements, etc.
En conclusion, on peut dire que ces différentes analyses que l'on vient de
présenter sont complémentaires et ont chacune son utilité. C'est pourquoi la
comptabilité analytique en combine souvent deux ou plusieurs. Un choix de
priorité parmi elles doit cependant être arrêté en fonction des objectifs assignés à
la comptabilité analytique, et ce avant de procéder au calcul des coûts
analytiques.
Un coût peut être total (coût d'une section par exemple), ou unitaire (coût de
l'unité œuvre de la section).
Il y' a plusieurs types de coûts possibles: coût réel, coût standard (norme), coût
budgété, coût préétabli (qui peut être suivant le cas standard ou budgété), coût
variable (opérationnel), coût fixe (de structure), coût direct et coût indirect, etc.
• le coût d'achat: qui est égal à la somme des charges d'achat (prix d'achat
au fournisseur) et des charges d'approvisionnement. Selon le CGNC, les
stocks de matières sont inscrits au bilan à leur prix d'achat.
Signalons que le calcul du coût de revient complet selon la méthode des sections
oblige à répartir les charges indirectes, notamment les charges de structure, et à
procéder à des prestations entre sections, ce qui suppose la définition préalable
d’un système de répartition pour chacune des charges, et d’unités d'œuvres pour
mesurer l’activité des sections. La définition d’unités œuvre et des clés de
répartition est souvent une tâche délicate, en raison de la difficulté de trouver un
système totalement objectif et indiscutable pour résoudre ce problème. (voir par
exemple liste des unités œuvre définies pour réaffecter les charges internes des
centres à l’ONE).
A cet égard, il convient de rappeler que sauf exceptions, selon le CGNC (Code
Général de Normalisation Comptable), les stocks de produits finis sont inscrits au
bilan des entreprises à leur coût de production, à l'exclusion des coûts de
distribution et de financement.
Par ailleurs, la production dans une entreprise a trois destinations possibles: elle
est soit vendue, soit stockée, soit immobilisée (dans le cas où l’entreprise
réaliserait des travaux ou ouvrages pour ses propres besoins). La comptabilité
analytique peut alors rendre de précieux services pour la valorisation de cette
production immobilisée.
Sous toutes ses facettes, la gestion des stocks est un domaine assez vaste, et
constitue souvent une application très importante et indispensable au
fonctionnement de la comptabilité analytique. Son étude couvre des aspects qui
sortent du cadre propre de la comptabilité analytique, et le temps à lui consacrer
sort du cade de ce séminaire. Nous nous contenterons par conséquent ici de
mentionner ci-après quelques indications en matière d’évaluation des stocks.
La gestion des stocks consiste pour chaque matière ou produit stocké, à tenir une
fiche sur laquelle on porte au fur et à mesure les entrées et les sorties, en
précisant leur destination pour savoir quel coût est concerné. Cela permet de
connaître le niveau des existants et de vérifier qu’il est suffisant pour éviter les
ruptures de stock. Le problème principal pour la comptabilité analytique est celui
de la valorisation de ces mouvements de stock, qui deviennent difficile à suivre du
fait de leur multiplicité, d’où la nécessité d’ailleurs des les informatiser.
Avec cette méthode appelée aussi FIFO ( first in, first out), on
valorise les sorties en supposant qu’on sort les articles dans
l’ordre où ils sont entrés, c’est-à-dire en commençant par les
plus anciens. Cela oblige à individualiser fictivement les lots
sur la fiche de stock.
Avec cette méthode appelée aussi LIFO (last in, first out), on
valorise les sorties en supposant qu’on sort d’abord les
articles les plus récents, ce qui oblige à individualiser
fictivement les lots sur la fiche de stock.
Une marge est le résultat obtenu en faisant la différence entre le prix de vente et
un coût. On peut calculer plusieurs types de marges suivant le coût retenu,
comme par exemple:
- la marge sur coût d'achat des matières, la marge sur coût de production, la
marge sur coût de distribution. Ces marges sont obtenues à partir d'un
compte d'exploitation fonctionnel;
- la marge nette, qui est la marge obtenu après avoir déduit toutes les
charges. En sommant les marges nettes , on obtient à quelques ajustements
près, le résultat net de l'entreprise.
Comme le coût, la marge peut être totale ou unitaire. On dira par exemple que tel
produit dégage une marge variable contribuant à l'absorption de x % des frais
fixes, ou que chaque unité de ce produit laisse une marge nette de x dirhams.
Par ailleurs, la marge est plus significative quand elle est calculée sous forme
d'un taux, qui est le pourcentage obtenu en rapportant la valeur de la marge à
une grandeur d'activité comme le chiffre d'affaires. On dira par exemple que tel
produit a un taux une marge brute de x % du chiffre d'affaires.
Si toutes les charges sont affectées ou imputés aux coûts de revient des produits,
marchandises, commandes, ou services, le résultat global de l'entreprise est
constitué par la somme de tous les résultats analytiques.
Cette méthode est basée sur l'analyse des charges en charges directes et
charges indirectes, ces dernières étant dites des charges de sections. Les
sections sont qualifiées d'homogènes selon la définition du plan comptable
général français qui les définit comme étant des compartiments d'ordre
comptable dans lesquels sont groupés, préalablement à leur imputation
aux coûts et prix de revient intéressés les éléments de charges qui ne
peuvent leur être directement affectés.
- homogénéité technique,
- responsabilité unique,
- possibilité de mesurer : les frais (pour toutes les sections) et
l'activité (au moins pour les sections production)
• Le choix, pour chaque section, d'une unité œuvre qui reflète, aussi bien
que possible, la variation des frais de la section, permettent l'imputation
de ces frais aux différents produits.
Un peu plus tard, cette méthode devait à son tour évoluer sous la pression
des critiques, pour prendre en compte une partie des charges fixes,
appelées charges spécifiques, au stade du calcul des coûts des produits,
sans toucher pour autant à son sacro-saint principe de la non-répartition de
ces charges. On en vient alors avec cette méthode, qualifiée de direct
costing évolué par la distinguer de sa première version appelée direct
costing simple, à déterminer pour chaque produit non seulement la marge
de contribution (marge sur coût variable), mais aussi une marge sur coût
spécifique tenant compte des charges fixes propres (spécifiques) à chaque
produit.
- les standards de quantité, qui sont des normes techniques découlant des
études et méthodes de fabrication, et qui sont généralement relatives aux
consommations de matières, aux unités œuvre des sections, aux heures
machines et main œuvre, etc...;
La méthode ABC
Durant les dernières années, les charges dites de structure dans l’analyse en
coûts complets sont devenues le premier poste de dépenses. Du point de vue de
l’entreprise, les coûts de production ne représentent guère plus que la moitié du
total des charges. Ce phénomène s’explique en partie par l’évolution des
technologies de production et de la situation concurrentielle. La durée de vie du
produit s’est fortement raccourcie; le temps de conception devient aussi long
sinon plus que le temps d’exploitation. Les chercheurs ont constaté que le
développement des activités immatérielles durant les deux dernières décennies a
pris le pas sur les activités physiques qui sont devenues de plus en plus
mécanisées et moins consommateurs de temps. Ce phénomène a permis de
mettre en relief l’existence d’une « entreprise occulte » au sein des organisations,
notamment industrielles, c’est à dire d’un ensemble de services dont les activités
Charges
Charges Indirectes répartition Sections
Supplétives ou Centres de Imputation
Incorporées primaire Responsabilité
Prestations
SCHEMA D'UNE CAE DANS LE CAS DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES TRAVAILLANT SUR STOCK
Affectation aux coûts
Charges
Directes Stock Stock
Charges Matières Produits
Incorporables Coût
Coût Coût Coût de Revient
d'achat de Production de Distribution
Charges
Charges Indirectes répartition Sections
Supplétives ou Centres de Imputation
Incorporées primaire Responsabilité
Prestations
Cas des entreprises industrielles ne travaillant pas sur stock produit finis
Pour les entreprises industrielles qui travaillent sur commande ou dans les
produits ne sont pas stockables (cas de l’ONE par exemple puisque l’énergie
SCHEMA D'UNE CAE DANS LE CAS DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES TRAVAILLANT SANS STOCK DE PRODUITS FINIS
Affectation aux coûts
Charges
Directes Stock
Charges Matières
Incorporables Coût
Coût Coût Coût de Revient
d'achat de Production de Distribution
Charges
Charges Indirectes répartition Sections
Supplétives ou Centres de Imputation
Incorporées primaire Responsabilité
Prestations
Les charges indirectes, appelées aussi charges des sections, transitent par les
sections avant d’être imputées aux coûts via des clés de répartition basées sur
des unités œuvre. Pour les besoins de Contrôle de Gestion, il importe que les
sections correspondent à des centres de responsabilité réels, et que les unités
œuvre traduisent le plus fidèlement possible l’activité de ces centres.