Code Barre 666
Code Barre 666
Code Barre 666
fr
Code Barre,
Dans le signe de la bête
Introduction
Il y a dans notre temps tout un ensemble de phénomènes qui attirent l'attention de l'homme
actuel. La fin de ce millénaire avec son évolution critique à déjà envoyé pas mal d'ombre à
l'avance sur notre temps. Nous avons eu la chance de pouvoir découvrir une de ces ombres.
C'est une histoire qui semble fantastique, mais rien de ce qui a été écrit ici n'a été inventé
tout a été étudié avec beaucoup de soin et de précision.
Figure 1
Nous vivons aujourd'hui dans ce qu'on appelle une société de consommation. Nous
achetons toutes sortes de produits pour nos besoins journaliers. La grande majorité de
toutes ces choses que nous achetons, par exemple se qu'il faut pour vivre ou de la
pharmacie, contient un signe sur l'emballage, un signe que vous voyez à la première
reproduction qui est dessinée ici est un signe exemplaire. C'est un numéro d'article
international (figure 1). Ce numéro d'article est imprimé au moment de la production des
marchandises, notamment dans ce qu'on appelle des articles de marque et se trouve sur
l'emballage. Ces numéros facilitent la connaissance des articles pour le commerce et
permettent aux caisses scanner automatiques des magasins de reconnaître et l'article et son
prix.
Dans les grands magasins et aussi à la poste, c'est la même chose. On suppose
qu'aujourd'hui plus de 90% de tous les articles sont signés par ce genre de numéro.
On y trouve des informations sur le pays de production, sur le producteur, sur la façon, le
genre du produit, etc., de tous les articles.
En plus de cela, il se cache derrière ces numéros un nombre particulier qui est
toujours le même indépendant de l'information qui concerne le produit. Ce numéro
caché est un numéro occulte, un nombre important.
Les Fondements
Il faut apprendre à comprendre ce genre de numéro que nous appellerons par la suite code
barre et nous devons comprendre comment ces codes barres sont construits.
I - Chacun de ces codes barres compte 12 chiffres décimaux. Dans notre exemple, ce sont
les chiffres :
0. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 0 1.
Ces 2 fois 6 chiffres sont représentés par les barres qui se trouvent au dessus, c'est à dire,
ces barres représentent une autre manière d'écrire les chiffres, un codage.
II - Les 3 barres plus longues doubles représentées ici en gris ne représentent pas des
chiffres décimaux.
III - Le 4 qui se trouve en dehors du code barre n'est pas représenté par une barre mais par
un métacode qui n'est pas visible, ces chiffres qui sont en dehors, ici le 4, sont le 13ème
chiffre du code.
Contenu du code barre - le 4 est le signe du pays de production, le 0 va avec. Les chiffres 1,
2, 3, 4, 5 sont le numéro de l'entreprise au plan national. 6, 7, 8, 9, 0 sont les numéros du
producteur pour l'article en question et le 1 est un chiffre de contrôle.
La figure 2 montre la formation d'un code barre. En principe les scanners sont en mesure de
reconnaître des chiffres décimaux normaux comme 0, 1, 2, 3. Il est vrai que des fautes de
lecture sont fort probable surtout lorsque des parties de chiffres sont abîmées. C'est pour
cette raison qu'on traduit les chiffres décimaux ordinaires en une suite de barres de largeur
différente, en noir sur le dessin, et en interstices blancs. Ce code est facilement lisible par les
machines et atteint une sécurité de 99%. Des fautes de lecture sont presque exclues.
Le code
Chaque code décimal est représenté par 2 barres et 2 interstices. Il y a ainsi 4 parties pour
chacun, 2 fois 2 parties pour chaque chiffre décimal. Nous pouvons reconnaître sur la figure
les barres et les interstices de largeur différente suivant le chiffre qui est représenté.
La figure 3 montre 3 modules séparés avec un partage qui autrement n'est pas visible. De
même faut-il s'imaginer les Barres noires ainsi divisées. Par ailleurs, chaque chiffre décimal
peut être représenté de 3 manières différentes, c'est-à-dire que 3 ensembles différents de
Barres et interstices peuvent représenter finalement le même chiffre. On distingue alors 3
sortes d'ensemble qu'on désigne par A, B, et C.
On voit maintenant comment naissent les différentes largeurs des Barres La largeur
maximale d'une barre est 1/7ème de l'ensemble du module puisqu'il s'ajoute une autre barre
et 2 interstices avec au minimum 1/7ème de la largeur du module, ceci ensemble représente
un chiffre.
Le dessin N°4A représente encore une fois un exemple de code, mais maintenant avec les
12 modules et ce qui n'est pas généralement visible la différentiation en 1/7ème de chacun.
L'aspect occulte.
Jusqu'à présent nous nous sommes préoccupés de codes apparents. Tout ce qui a été
expliqué et représenté jusqu'à présent est basé sur des normes qui ont été fixées sur le plan
international pour se genre de code barre. Ces signes A, B, C peuvent être vérifiés dans des
feuilles normalisées internationales.
Nous arrivons à présent au noyau occulte de ces codes barres. La figure suivante conduit
notre regard sur ce qui est essentiel.
En particulier on a recours à des signes initiaux asymétriques qui ne se répètent pas et à des
signes asymétriques de séparation (code de presse).
Un coup d'oeil sur le tableau international des codes montre la chose suivante.
Figure 6
La figure 6 montre les 3 possibilités de l'ensemble des traits qui représente le chiffre 6. Après
la figure 6, la manière de placer les barres pour le chiffre 6 des modules B et C est identique
avec celle des 3 doubles barres allongées vers le bas des codes barres. Ces doubles barres
prolongées vers le bas sont caractéristiques du chiffre 6 même lorsque 3 des 4 interstices
consécutifs situés avant ou après la double barre manquent comme c'est le cas pour la
double barre du milieu (voire le tableau de l'appendice). Par contre le chiffre 0 du module B
pourrait être confondu avec le chiffre 5 du module C, si l'on procédait de la même manière,
c'est-à-dire, si l'on éliminait ses interstices. Mais la double barre ainsi formée ne peut être
associée dans l'ensemble du système des codes barres à aucun autre chiffre que le 6. Cela
signifie qu'entre temps presque toutes les marchandises que nous achetons portent
le signe du nombre 666.
Figure 7.
A cet endroit, nous nous permettons une digression et portons notre regard sur un ancien
document de l'humanité et la bête fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et
esclaves reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front et que personne ne put
acheter ni vendre sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici
la sagesse que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête car c'est un nombre
d'homme et son nombre et 666.
D'après la Cabale d'Henri Cornélius Agrippa de Nettesheim, le nombre 666 se traduit par la
bête "Sorath". Ce nom désigne de démon solaire c'est à dire l'Antéchrist.
Conséquences...
Ici nous devons faire appel de manière insistante à la bonne volonté de la force de
compréhension. Pour la plupart des hommes le nombre 666 n'est tout au plus un nombre
fumeux sans grande signification. D'autres objecterons que les codes barres ne sont
pourtant que des conventions arbitraires permettant de désigner des signes sans autre
signification et que l'on pourrait aussi bien convenir qu'une croix désigne le nombre 6 ou
d'autres choses analogues.
Ces mêmes personnes diraient que même les chiffres ne sont que convention arbitraire de
signe particulier. Attirons ici brièvement l'attention sur la signification de notre mot "chiffre". Il
a pour origine le mot séphira, pluriel sephiroth qui est mentionné pour la 1ère fois dans
l'enseignement des mystères hébraïques, qui porte le nom de Cabale. La Cabale parle des
10 sephiroth sacrés, des 10 idées créatrices. Ceci est le fondement de notre système
décimal. Séphiroth est le pluriel de séphira ce qui à l'origine signifie lumière, éclat.
Les chiffres avaient autrefois, tout comme la mathématique et la géométrie qu'on effectue
avec eux , une signification et une origine spirituelle. Ile étaient de ce fait tout autre chose
que des instruments neutres ne servant à désigner que des quantités. Si l'on ne veut prendre
conscience des fondements originels et spirituels des nombres, tout ce qui a été développé
jusqu'ici ne peut apparaître que comme des divagations. Mais si l'on s'appuie sur un arrière
fond spirituel des chiffres, alors se pose les questions suivantes qui nous mènent plus loin.
- Pourquoi n'utilise-t-on pas ici, pour marquer le début, le milieu et la fin, des signes neutres
excluant toute confusion ?
- Pourquoi a-t-on choisi pour marquer les séparations, des signes présentant une
"ressemblance troublante" avec celui du chiffre 6 ?
- Pourquoi ces signes marquant le début, le milieu et la fin sont-ils de plus prolongés vers le
bas ?
Cette accentuation des 3 doubles barres due à leurs prolongations vers le bas a encore pour
effet que virtuellement les 4 interstices successifs (qui appartiennent au chiffre 6) sont
également conservés en principe pour la double barre du milieu. Pourquoi a-t-on codé 12
chiffres ?
- Pourquoi place-t-on un 13ème chiffre décimal en dehors des autres pour le codé par un
métacode ?
Notons par exemple que la 15ème carte du tarot du livre de la Vie est la carte du Diable.
L'aspect historique.
La numérotation internationale des articles décrites ici est issue de ce qu'on appelle le code
EAN : EAN signifie European Article Number, c'est-à-dire numérotation européenne des
articles. Son développement est dû principalement à un groupe d'experts européens
comportant une forte participation franco-allemande. Le code EAN est basé sur la
technologie de l'UPC (Universal Product Code - Numérotation des articles aux USA et au
Canada).
Déjà l'UPC, l'ancêtre de ce code comporte les 3 doubles barres prolongées. L'étude de
l'UPC débuta en avril 1971 avec l'ordre d'être achevée le vendredi 30 mars 1973. Cet UPC
fut introduit officiellement le mardi 3 avril 1973. Le code EAN dont l'élaboration remonte aux
années 70 fut adopté par la suite en tant que numérotation internationale des articles. Cela
signifie que cette numérotation est valable dans le monde entier. Il existe en fait cet EAN 13
qui est décrit ici, ainsi qu'une version nationale plus petite l'EAN 8.
Les deux formes montrées ici (figures 8 et 9) utilisent la même façon de coder et les mêmes
modules. L'UPC et le petit EAN 8 utilisent aussi les 3 doubles barres comme signe de
séparation comme il a été décrit plus haut. Leur diffusion en Europe est pourtant faible par
rapport à celle de la numérotation internationale des articles (EAN 13). La numérotation
allemande PZN (qui n'est pas représentée ici) n'utilise pas de séparation telle que les 3
doubles barres ni d'autres signes analogues, mais on dit que contrairement à la
numérotation internationale et à ses dérivés, sa lecture ne serait pas possible dans toutes
les positions.
Quo vadis
Les signes, symboles et sceaux d'origine occultes sont beaucoup plus répandus que
l'on ne se l'imagine au premier abord. En particulier les symboles officiels que les états ou
les institutions internationales emploient volontiers un tel arrière fond occulte. Ainsi la
puissance mondiale dominante est certainement scientifiquement éclairée que sont les USA
par exemple imprime-t-elle sur son billet de 1$, un tel signe occulte représentant ce qu'on
appelle l'oeil magique :
Ce signe est entouré d'un cercle comportant les mots, the great seal (le grand sceaux) et
porte de plus l'inscription - novus ordo seclurum (la nouvelle ordonnance du monde).
Complété par Anniut Coeptis, ce qui signifie notre entreprise sera couronnée de succès.
Les signes occultes, les symboles, etc, sont évidemment issus de cercles qui possédaient un
tel savoir, le possèdent encore aujourd'hui et y accordent de l'importance. Ce sont en
général, ce que l'on appelle les Loges ou des sociétés secrètes. Ces loges sont la plupart du
temps organisées en fraternités et se divisent souvent en différents ordres. Comme il y a par
exemple dans le domaine chrétien, ecclésiastique, des ordres divers poursuivant parfois des
buts très divergents. ainsi en est-il de ces loges etc....
Au cours de leur histoire nombre de ces loges, sociétés secrètes, etc. se sont
progressivement détournées des buts louables qu'ils poursuivaient à l'origine. De plus en
plus d'hommes n'ayant pas passé par les purifications et les épreuves préliminaires eurent
accès à ces sociétés secrètes. C'est ainsi qu'il advint et qu'il advient malheureusement de
plus en plus qu'un savoir occulte soit utilisé pour satisfaire les buts égoïstes de certaines
personnes et de groupes liés par des intérêts communs.
A notre époque une grande partie des personnalités politiques ainsi que des décideurs de
l'économie et de la haute finance appartiennent à de telles sociétés secrètes. Pour
l'observateur de ces choses, il existe une grande source de confusion due au fait que les
personnalités et les groupes qui collaborent de cette manière se présentent en public en tant
qu'adversaire politique, adversaire idéologique ou en désaccord sur d'autres plans et
brouillent ainsi leurs pistes.
...Nul ne doit pouvoir acheter ou vendre qui ne porte sur lui le nom de la bête ou le nombre
de son nom sous forme de signe et de marque ... (on pourrait aussi traduire marque par
empreinte).
Il semble que les "bâtisseurs de la nouvelle ordonnance du monde", car c'est ainsi que se
conçoivent certaines de ces confréries ou fraternités, aient créés ici un sceau et pour l'instant
sous une forme imagée représentant le nombre de l'apocalypse.