Cours Normes Et Protocoles
Cours Normes Et Protocoles
Cours Normes Et Protocoles
2017/2018
Chapitre 1: Notions fondamentales
1. Normes et protocoles
2. Organismes de Normalisation
3. Élaboration d'une norme : l'exemple des normes internationales ISO
Chapitre 2: Normes associées à la diffusion analogique et Numérique
1. Norme et standard de télévision analogique
2. Norme et standard de télévision Numérique
Chapitre 3. Normes associées aux réseaux de communication Numérique
1.Classifications des réseaux de communication.
2.Réseaux et normalisation.
3.Historique et évolution des réseaux.
4.Réseau numérique à intégration de services.
5.Rappels sur les modèles OSI et TCP/IP.
6.Les différents protocoles de niveaux trame et paquet.
6. Les différents protocoles de niveaux segment et message:
7. Les protocoles de l’ADSL.
Chapitre 4. Les protocoles des réseaux sans fil et des réseaux mobiles
1.Les protocoles 802.11
2.Les protocoles 802.15
3. Les protocoles 802.16.
4. Les protocoles GSM.
5. Les protocoles 3G (UMTS).
6.Les protocoles 4G (LTE). .
Chapitre 5. Les protocoles Internet
1.Internet (Historique et évolution).
2.Classification des protocoles Internet
3.Protocoles des services de messagerie (SMTP, POP, IMAP).
4. Protocoles des services d’information (http, ftp, protocoles d’application)
2. Organismes de Normalisation
Les organismes de normalisation sont des organismes reconnus au niveau national ou
international. Ils peuvent être constitués soit par des États, soit par des consortiums
internationaux de professionnels. Dans l'acceptation européenne, la norme émane des
organismes officiels de normalisation.
2.1. ISO (International Organization for Standardization): L’ISO, créé en février 1947,
est le plus grand organisme de normalisation au monde. C’est une organisation internationale
non gouvernementale dont le siège social se situe en suisse à Genève. L’ISO travaille aussi
bien sur la standardisation d’éléments comme l’électronique, l’informatique, l’environnement,
la construction.
L’ISO est constitué d’instituts nationaux représentant 156 pays mais aussi de représentants du
secteur privé (industriels, représentants des consommateurs …), lui donnant ainsi une
légitimité encore plus forte.
Pour tout ce travail, il existe 3000 groupes techniques ce qui représente quelques 50000
experts. Pour
qu’une norme soit adoptée, il est nécessaire que 75% des organismes nationaux votants
l’approuvent.
Le site internet de l’ISO se situe à l’adresse http://www.iso.org.
L'élaboration d'une norme ISO est divisée en plusieurs stades. Les éléments de base de ce
processus sont les comités techniques (TC) ou leurs sous comité (SC). Le bureau technique de
l'ISO est divisé en environ 200 comités techniques (exemple : TC 216 chaussure, TC 148
machine à coudre, TC 176 Management et assurance de la qualité etc) dont le rôle principal
est l’élaboration des normes.
A. Proposition :Une proposition de rédaction ou de révision d’une norme est rédigée à partir
d’une demande d’un organisme national adhérent à l’ISO, d’un comité ou d’un sous-comité,
du secrétariat général de l’ISO, ou d’une organisation en liaison avec l’ISO. Cette proposition
est en général effectuée parce qu’un besoin a été exprimé par un secteur de l’industrie.
C. Comité: C’est le stade principal où les observations et les remarques des organismes
nationaux sont prises en compte. C’est une phase de recherche de consensus. Le secrétariat du
comité fait parvenir aux comités nationaux participants le projet. Les comités disposent de
trois mois pour émettre des observations et peser sur le contenu de la future norme.
Une fois, le projet validé, il est appelé DIS, le document porte la référence ISO/DIS XXXX.
D. Enquête : Le projet « DIS » est diffusé aux comités nationaux qui disposent de cinq mois
pour voter (positivement, négativement ou abstention) et émettre des observations. Le vote
positif peut être accompagné d’observation (souvent rédactionnelles). Le vote négatif doit être
systématiquement accompagné de remarques techniques. Dans le cas contraire, le vote sera
rejeté.
En cas de vote défavorable, le secrétariat peut soit diffuser un projet révisé pour vote au stade
enquête, soit renvoyer un projet en comité ou examiner le projet en réunion.
E. Approbation : Le projet FDIS est de nouveau soumis au vote (durée : deux mois) des
organismes nationaux. Avec les mêmes règles que pour le stade enquête. Le projet est soit
adopté et envoyé à la publication, soit renvoyé en comité pour réexamen. Le comité peut alors
décider soit de proposer un nouveau projet, soit d’annuler le projet.
Processus d'élaboration d'une norme ISO suivant Directive ISO/CEI, partie 1 (Procédures
pour les travaux techniques, 5e édition 2004.
Les diffuseurs ATSC doivent maintenir un signal analogique sur deux canaux séparés, parce
que le système ATSC exige l'utilisation d'un canal entier de 6 MHz. Celui-ci a été critiqué car
il est considéré comme compliqué et cher à mettre en œuvre et à employer.
Comme on peut le voir, il existe aussi bien des formats en mode entrelacé ou non entrelacé,
sauf pour la résolution la plus élevée (1 080 lignes) où il n'est pas possible d'avoir 50 ou 60
images en mode non entrelacé. Une transmission sans fil terrestre demande 19,39 Mbit/s, à
comparer au débit d'un DVD (Digital Versatile Disc ) qui a typiquement une limite
supérieure à 9 ou 10 Mbit/s.
2.3. NICAM : Nicam est un acronyme qui signifie Near Instantaneous Companded Audio
Multiplex : « Multiplexage audio à compression quasi instantanée ». Ce procédé permet la
transmission d’un son numérique stéréo en complément d'un signal de télévision analogique.
La première diffusion NICAM a eu lieu en septembre 1994 avec la chaîne TF1. À la fin de
l'année 2011, la suppression de la diffusion analogique des chaînes nationales par voie
terrestre, sur satellite et le câble a entrainé l'arrêt définitif du NICAM en France.
2.3.1. Qualité audio du signal : Dès le lancement de la norme audio, la promotion présentait
la qualité sonore du NICAM, équivalente à celle du CD audio. Toutefois, bien que d'une
performance supérieure à la modulation AM et monophonique associée au standard
historique SECAM et à la « norme L », la qualité sonore du NICAM est limitée ; si l'encodage
numérique du CD exploite 44,1 kHz avec 16 bits d’échantillonnage, le NICAM est pour sa
part, encodé seulement à 32 kHz avec 14 bits d’échantillon compressé sur 10 bits. Le spectre
sonore restitué en NICAM est donc, selon Shannon, réduit à ~15 kHz contre ~20 kHz pour le
CD. Enfin, la dynamique (le rapport entre le son de niveau le plus élevé et le son le plus faible
Enseignante: Hassiba Louazene Page 9
théoriquement reproductible) maximale se limite à 84 dB au lieu de 96 dB ; Enfin, la norme
de compression Musicam peut engendrer dans certains cas, des artefacts plus ou moins
audibles par l'oreille humaine.
Pour permettre néanmoins la diffusion de son stéréo, la norme NICAM a été développée par
la BBC dans les années 1980 (Première diffusion stéréo NICAM en 1986 sur la BBC).
2.4. DVB :Digital Video Broadcasting (abrégé en DVB, et qu'on pourrait traduire par
« diffusion vidéo numérique ») Lancé en 1993 à la même période où en Amérique du Nord, le
forum "Grand Alliance" organise également le même type de développements, avec en ligne
de mire, la télévision numérique puis la Haute Définition , est un ensemble de normes
de télévision numérique édictées par le consortium européen DVB, et utilisées dans un grand
nombre de pays. Ses principales concurrentes sont les normes ATSC(utilisées aux États-
Unis et au Canada) et les normes ISDB (utilisées au Japon et au Brésil).
2.5. ISDB : L'ISDB est une norme japonaise de diffusion de télévision et radionumérique.
Elle comporte plusieurs sous-normes, qui sont l'ISDB-T (pour la diffusion dite terrestre),
l'ISDB-S (pour la diffusion par satellite) et l'ISDB-C (pour la diffusion par câble). L'ISDB-T
est elle-même découpée en deux normes dites 1seg et 13seg, la première étant prévue pour la
réception sur appareil mobile.
Cette norme est principalement utilisée au Japon et en Amérique du Sud. Elle fut définie par
l'ARIB (Association of Radio Industries and Businesses) , une organisation de standardisation
japonaise. La vidéo diffusée est encodée au format MPEG-2 (Moving Picture Experts Group).
L'accès conditionnel, qui permet de n'autoriser que certains terminaux à afficher certaines
chaînes (pour la télévision payante par exemple), est défini dans la norme ARIB STD-B25. Cet
accès conditionnel fait appel à l'algorithme de chiffrement par bloc MULTI2.
1.2. Identification des normes et exemples de normes: La dénomination d'une norme doit
tenir compte d'un ensemble de critères :
• Les normes IUT-T sont nommées à l'aide d'une lettre suivie d'un point et d'un numéro :
IUT-T / X.25, IUT-T / X.400 (Messagerie), IUT-T / V.24 (Jonction pour la transmission
de données numériques sur lignes téléphoniques), etc.
• Les normes de l'IETF/IRTF sont appelées des RFC ("Request For Comments") :
RFC 791 (Internet Protocol), RFC 768 (UDP), RFC 793 (TCP), ...
1.3. Cycle de vie d'une norme: Une norme est généralement développée au sein d'un groupe
de travail ad hoc.
production de "draft"
• expérimentation
• périodiquement
• une norme peut être écartée et même disparaître
2.1 Réseaux privés / Réseaux publics :Les réseaux privés concernent en général des réseaux
personnels ou les réseaux d’entreprise. Ils sont privés par la nature des données échangées.
2.2.1. LAN Local Area Network (réseau local d'entreprise): Un réseau local est un réseau
d'ordinateurs situés sur un même site. Les communications sur ce type de réseau y sont
généralement rapides (100 Mbits/s ou 1Gbits/s) et gratuites puisqu'elles ne passent pas par les
services d'un opérateur de télécommunication. Le fait que le réseau soit sur un site bien
délimité n'implique pas nécessairement qu'il soit de taille très réduite. Il est souhaitable de le
segmenter en sous-réseaux quand le nombre de nœuds y devient important. L'ensemble reste
un réseau local tant qu'il est indépendant des services d'un opérateur extérieur.
2.2.2. MAN Metropolitan Area Network ( Réseau métropolitain): Lorsqu'un réseau privé;
s'étend sur plusieurs kilomètre, dans une ville par exemple les réseaux locaux sont
interconnectés via des liaisons téléphoniques à haut débit ou à l'aide d'équipements spéciaux
comme des transmissions hertziennes. Ce type de regroupement de réseaux locaux peut se
faire au niveau d'une ville et l'infrastructure du réseau métropolitain peut être privée ou
publique.
2.2.3.WAN Wide Area Network (Réseau étendu) : Ces réseaux relient plusieurs réseaux
locaux en les interconnectant via des lignes louées ou via Internet. Ex. les réseaux bancaires
qui établissent des liaisons entre les agences et le siège central. Dans le cas de l'utilisation
d'Internet, on parle de VPN (Virtual Private Network) puisqu'on utilise alors un réseau public
pour faire transiter des informations privées.
2.2.4. Internet : Internet est une interconnexion de plusieurs réseaux. C'est le réseau des
réseaux. Les réseaux privés sont connectés à Internet par des équipements spéciaux appelés
routeurs. Les routeurs sont des équipements qui échangent les données entre les machines du
réseau local et les autres réseaux.
3.Réseau numérique à intégration de services(RNIS ou ISDN)
Le RNIS (Réseau Numérique à Intégration de Service) en anglais ISDN (Integrated Services Digital
Network) est un réseau haut débit développé à partir d’un réseau téléphonique numérisé. Il autorise
une connectivité de bout en bout et permet de transmettre des données (voix, images, texte…) à une
vitesse tellement supérieure.
3.2.la structure du réseau :Il faut noter qu’un terminal RNIS utilise deux connexions:
contient plusieurs des protocoles nous avons en peut présenter les plus répondus:
5.1.3.Protocole Token Ring : L'anneau à jeton, plus connu internationalement sous le terme
de token ring, est une topologie de réseau associée à un protocole de réseau locale qui
fonctionne sur la couche « liaison » du modèle OSI. Le protocole utilise une trame spéciale de
trois octets, appelée jeton, qui circule dans une seule direction autour d'un anneau. Les
trames token ring parcourent l'anneau dans un sens qui est toujours le même.
Les LAN token ring utilisent habituellement le codage différentiel de Manchester des bits sur
le médium.Un anneau de token ring était limité à 250 stations (et non 256)
6.1.UDP( User Datagram Protocol): UDP est un protocole en mode datagramme et propose
seulement le service de multiplexage applicatif par rapport à IP. UDP ne propose pas de
service supplémentaire et on reste donc dans un mode non connecté avec des problèmes
potentiels de perte de paquets dans le réseau (ce ne sera pas le cas de TCP).
UDP reste néanmoins un protocole rapide qui est très efficace et est utilisé par de nombreuses
applications dont le service de nommage DNS (port 53).
6.2.TCP (Transmission Control Protocol): TCP permet d’avoir une connexion entre
programmes ayant des propriétés bien plus complexes que les datagrammes UDP. TCP
propose, par l’intermédiaire d’acquittements, d’avoir un contrôle de perte de paquet avec
délivrement des données à l’application dans l’ordre d’envoi ainsi qu’un contrôle de
congestion du réseau.
• TCP temporise les données envoyées sous forme de segments dont la taille est adaptée aux
conditions présentes sur le réseau
• Chaque segment est acquitté par le destinataire pour avoir un transport fiable
• La perte de paquets est contrôlée à l’aide de temporisations
• Les données sont transmises "en ordre" à l’application
• TCP propose un mécanisme de fenêtrage pour ne pas saturer le mémoire de l’application
• Les connexions TCP sont bidirectionnelles.
7.1. Définition: L’ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line) est une technique de
communication numérique (couche physique) de la famille xDSL. Elle permet d'utiliser une
ligne téléphonique, une ligne spécialisée, ou encore une ligne RNIS (ISDN pour integrated
services digital network), pour transmettre et recevoir des données numériques de manière
indépendante du service téléphonique conventionnel (c'est-à-dire analogique). La technologie
7.7. PPPoA (Point of Point Protocol over ATM):Dans le domaine des réseaux
informatiques, le protocole PPPoA (Point-to-Point Protocol over ATM) est un protocole de
liaison de données de couche 2 généralement utilisé pour connecter des modems haut débit
2.Les protocoles 802.15 (Les réseaux WPAN ): IEEE 802.15 est un groupe de travail de
l’institute of électrique et électronique engainées (IEEE) du comité des normes qui précise
sans fil réseau local personnel normes (WPAN) .
2.2. Le groupe IEEE 802.15.2: a publié en 2003 un document récapitulant les pratiques
recommandées sur la bande ISM des 2,4 GHz.
2.4.Le IEEE 802.15.4 (Zigbee): est un protocole de communication défini par l'IEEE. Il est
destiné aux réseaux sans fil de la famille des LR WPAN (Low Rate Wireless Personal Area
3.Les protocoles 802.16 (Les réseaux WMAN ): est un groupe de normes contenant des
spécifications pour la mise en œuvre de réseaux métropolitains à liaison sans fil. C'est aussi un groupe
de travail chargé avec le Forum Wi MAX de faire la promotion de ce standard.
Standard Publié Statut
3.1.La norme IEEE 3.2.2. 802.16b : Ce groupe de travail est charge de développer les services de
qualité (QoS) pour 802.16. Ainsi, la bande passante a la demande est un objectif atteint et constitue un
avantage de 802.16, comme ATM (Asynchronous Transfer Mode).
3.2.La norme IEEE 802.16m: Cette variante à vue le jour en 2009. Elle offre des débits en nomade
ou stationnaire jusqu'à 1 Gbps et 100 Mbps en mobilité à grande vitesse. Elle n'est pas encore
accessible au public.
3.4.WIMAX fixe: Egalement appelé IEEE 802.16-2004, le WIMAX fixe est prévu pour un usage
fixe avec une antenne montée sur un toit. Il opère dans les bandes de fréquence 2.5 GHz et 3.5 GHz
pour lesquelles une licence auprès de l'agence de régulation des télécommunications est nécessaire. Il
opère aussi sur la bande libre de 5.8GHz.
2.5.WIMAX mobile: Egalement appelé IEEE 802.16e, le WIMAX mobile prévoit la possibilité de
connecter des clients mobile au réseau internet. Ainsi il ouvre la voie à la téléphonie mobile sur IP ou
plus largement à des services mobiles hauts débit. Le WIMAX mobile permettrait de se déplacer tout
en restant connecté à Internet, ceci par l'intermédiaire d'un appareil mobile équipé d'une carte
WIMAX.
Le réseau GSM est défini à partir de couches de protocoles utilisées au niveau des différentes
interfaces :
Les interfaces ainsi que les protocoles qu'elles utilisent sont normalisés. Toutefois, les normes
de certaines interfaces telles que l'interface Abis ne sont pas toujours respectées par les
constructeurs.
• couche physique,
• couche liaison de données,
• couche réseau.
4.2.1. Le protocole MTP (Message Transfert Part) qui est divisé en trois niveaux (MTP1,
MTP2 et MTP3) proches des trois premières couches du modèle OSI (couche physique,
couche liaison de données et couche réseau). Son but est de permettre le transport et la
distribution fiable des informations de signalisation à travers le réseau et aussi de réagir aux
pannes afin d'assurer continuellement la transmission.
5.2. l’interface radio de l' UTRAN: L’interface radio de l’UTRAN est structurée en couches
dont les protocoles se basent sur les 3 premières souches du modèle OSI
(respectivement la couche physique, la couche liaison de données et la couche réseau).
5.2.2. Couche 2 :
Protocole MAC (Medium Access Control) a pour rôle de multiplexer les données sur les
canaux de transport radio.
Protocole RLC (Radio Link Control) permet la fiabilité du transport des données entre
deux équipements du réseau.
Protocole BMC (Broadcast/Multicast Control) est en charge d’assurer les fonctions
de diffusion de messages sur l’interface radio.
Protocole PDCP ( Packet Data Convergence Protocol) permet de compresser
les données via des algorithmes de compression. Cela permet d’exploiter plus
efficacement les ressources radio. PDCP compresse les en-tetes des paquets TCP/IP
suivant les RFC 1144 et 2507. De plus, cette sous-couche PDCP a aussi pour rôle de
(sous-couches MAC et RLC) par rapport aux couches de transport réseau. Ce type
d’architecture permettra l’évolution future des protocoles réseaux sans modifier les
6.1. Définition 4G: 4G (Beyond 3G), abréviation de quatrième génération, est un terme utilisé
pour décrire la prochaine évolution complète dans les communications sans fil. Un 4G. Où
seriez-vous en mesure de fournir une solution complète Où la voix, les données et le
multimédia diffusé en continu peut être donné aux utilisateurs. Pour le protocole de 4G, Les
trois technologies supposées comme candidates potentielles pour une validation 4G sont:
• le protocole RRC permet transférer les informations de signalisation entre l'UE et la station
de base
• utilise des technologies « full IP », c'est-à-dire basées sur les protocoles Internet pour la
signalization
• le transport de la voix et des données.
• permet l’interconnexion entre les réseaux des autres opérateurs mobiles et les réseaux de
téléphonie fixe et le réseau Internet.