Ιεραποστολικές Ιστορίες Στο Κονκγό Γαλικά
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Ιεραποστολικές Ιστορίες Στο Κονκγό Γαλικά
Copyright:
A/ Monastère de Saint-Grégoire, Mont Athos.
B/ Association Missionnaire “Saint Cosmas
d’Aitolie”.
PROLOGUE DE L’ASSOCIATION
MISSIONNAIRE
6
Le Conseil d'Administration
9
INTRODUCTION
CHAPITRE UN
HISTOIRE DE LA VIE DU FEU RÉVÉREND
PÈRE COSMAS
CHAPITRE DEUX
HISTOIRES DE SORCELLERIE
(FÉTICHISME)
32
1. Il y a un autre sorcierÉ
Quand le Père Cosmas était encore en vie, lorsquÕil était venu
un jour dans notre monastère pour se reposer, il mÕa raconté
lÕévénement suivant:
Dans un village où se trouve une de nos paroisses orthodoxes, il
avait réussi, grâce au soutien du commissaire de Kolwezi, à
faire élire comme chef du village un de nos fidèles. CÕest un
fait que, partout en Afrique, quantité de personnes pratiquent la
sorcellerie, quelque soit leur rang social. Chaque chef de village
est le premier responsable de son entité administrative pour tout
ce qui concerne la vie des habitants: il sÕoccupe de lÕadminis-
tration, des soins médicaux, des écoles et de toutes questions
ethniques, religieuses ou morales. A cet effet, tous les villageois
vont chez lui pour trouver de lÕaide dans tous les domaines, y
compris la religion.
Ce fidèle orthodoxe, élu chef du village, alors quÕil était affligé
par un problème, sÕétait souvenu du sorcier en chef du grand
village voisin et était allé lui rendre visite pour lui demander de
lÕaide. Mais ce sorcier lui avait répondu de manière caractéris-
tique: ÒJe ne peux pas tÕaider car il y a un autre sorcier qui
me dépasse en puissance, cÕest celui qui tÕa baptisé (il parlait
du Père Cosmas). Je ne peux rien faire contre lui, voire même
lÕapprocher. Va donc chez lui pour trouver de lÕaide, il est
plus grand que moiÊ!Ó Telle fut la confession du sorcier.
CHAPITRE TROIS
SIGNES ET MIRACLES DE NOS SAINTS
5. La Colombe et lÕétincelle.
Parmi les clercs et les membres de notre Mission de Kolwezi, il
y a un diacre nommé LÉ. Il se distingue par sa grande obéis-
sance, par son humilité et son amour du travail.
Un jour, je lÕai approché et lui ai demandé: ÒPère, comment
es-tu devenu orthodoxe?Ó Ð ÒJe suis resté sans baptême
jusquÕen 1983. JÕai entendu parlé des Méthodistes et je me
suis dÕabord adressé à eux. JÕai suivi leurs enseignements,
mais lorsquÕils mÕont proposé de recevoir leur baptême, jÕai
senti que mon âme sÕy opposait. Je suis ensuite allé chez les
Pentecôtistes, mais jÕen suis parti pour la même raison. Mon
âme ne pouvait trouver la paix nulle part.
57
Un jour en passant près de lÕéglise Orthodoxe, mes pensées
mÕont poussé à y entrer. CÕétait la toute première fois que
jÕai senti la paix et la joie intérieure. Une voix intérieure mÕa
dit que je me trouvais dans la vraie Église que je cherchais. JÕai
demandé le prêtre, qui était alors le Père Cosmas. JÕai suivi le
catéchisme et, après un an, jÕai été baptisé avec dÕautres frè-
res. Lorsque je suis sorti du fond baptismal, jÕai vu une
colombe voltigeant au-dessus de la tête des nouveaux baptisés,
et dÕautres frères lÕont vu également. Le Père Cosmas nous a
expliqué que cÕétait le symbole de la descente du Saint-Esprit
sur nous, comme il est descendu lors du Baptême du Christ
dans le Jourdain.
Ð Comment es-tu devenu diacre Père LÉ ?
Ð Le Père Cosmas mÕa présenté à notre Archevêque Timothée
pour être ordonné. Je me rappelle ceci: Lorsque jÕai incliné la
tête sur lÕautel et que lÕévêque a mis sa main sur ma tête en
lisant la prière dÕordination, jÕai sentis dans mon cœur comme
sÕil y avait un feu ardent comme un cierge allumé ou à la
manière du feu de cuisine allumé avec des charbons ardents. Je
ressentais alors une telle joie que jÕai demandé au Christ de ne
pas laisser ce feu sÕéteindre en moi. Cependant, après un
temps, ce feu sÕest affaibli. Mais une voix intérieure mÕa laissé
entendre en me tranquillisant un peu que ce feu ne sÕéteindrait
pas complètement et quÕil demeurera toujours comme une étin-
celle. Et cÕest cette étincelle que je ressens toujours, parfois
elle sÕamenuise dÕautres fois elle sÕintensifie.
58. Miracle vécu par une inconnue, pas un rêve mais une réalité.
ÒQue notre Dieu soit béni dans les siècles des siècles. Que
dirai-je de Lui? Dieu des merveilles et de toutes races. Ses mira-
cles sont si nombreux, que nul ne pourrait les compter.
QuÕil me soit permis, à moi lÕindigne, de rapporter ce prodige
vécu pour intensifier la vraie foi Orthodoxe dans les cœurs de
mes frères en Christ. Le lundi 17 juin 1996 à 17h, je suis tombée
dans le coma, suite au taux de sucre qui avait augmenté dans
mon organisme. Dans cet état, jÕai effectué un long et délicieux
voyage vers un monde meilleur, dans lequel règne le bonheur le
plus total et où tout est beau: La nature, les êtres vivants insai-
sissables et les habits somptueux, admirables. Là, les épines ne
piquent pas mais caressent. Le lion ne rugit pas mais sourit et,
tout être peut adresser ses louanges à son Dieu, son Roi, son
Maître et son Sauveur: le Seigneur Jésus-Christ. Le temps me
manque pour pouvoir narrer tout ce que jÕai vécu pendant mon
inconscience. Le mardi 18 juin à 18h, je suis revenue à la raison,
jÕai reconnu mon mari, les médecins et infirmiers qui mÕentou-
raient avec inquiétude. Mais moi, soulagée par ce que jÕavais
vu, jÕétais sans souci. JÕétais dans la joie et la paix du cœur.
La nuit du 18 au 19, je me suis réveillée du sommeil, je ne sais à
quelle heure, jÕai commencé à vivre une scène mystérieuse
dans la salle de réanimation où on mÕavait transportée le lende-
main de ma chute, donc le mardi 18 juin. Les trois petits micros
qui étaient là sur les tables se sont transformés en êtres humains.
Ils discutaient sûrement à mon sujet, car après un instant lÕun
dÕeux mÕa jeté une poudre noire et blanche qui mÕa
recouverte toute entière, à lÕexception des plantes de pieds et
des mains. JÕen ai pris une quantité que jÕai montrée à mon
mari le lendemain, quand il est venu me rendre visite.
91
Cet être monstrueux avait encore deux filets, dont lÕun lancé
sur le pavement avançait vers mon lit en rampant à grande
vitesse chaque fois que je prenais la parole pour raconter tout
ce que je voyais à lÕinfirmière de garde. Il a voulu jeter lÕautre
filet par dessus pour mieux me capturer. CÕest alors que je me
suis décidée dÕinvoquer le Nom du Seigneur et de demander le
téléphone à lÕinfirmière. Pendant ce temps les trois êtres diabo-
liques se moquaient de moi. Mais, jÕai eu le temps de télépho-
ner et de demander à mon mari de venir me rejoindre, ou sÕil
ne le pouvait pas de prier beaucoup pour moi car jÕétais sérieu-
sement menacée. Mon mari nÕest pas venu, car les visites sont
interdites sauf à 6h du matin et à 17h, mais il à fait des Òméta-
niesÓ(prosternations) à la maison.
Tout dÕun coup, il y eut un tremblement de terre. Toute la
pièce que je partageais avec les autres patients, tremblait; jÕai
vu alors la Sainte Vierge Marie accompagnée de deux autres
saints que je ne connais pas. Ils étaient vêtues de robes et de
voiles blancs et étaient en train de parler, à quelques pas de mon
lit. A ce moment-là, les créatures diaboliques confondues ont
été prises de panique.
Après jÕai vu le Christ avec sa couronne dÕépines un peu à
distance, mais en lÕair. Il mÕa sourit, et son Sang Précieux, qui
jaillissait de sa tête, a fleuri sur les murs, les plafond et les
rideaux. Chaque goutte de Sang sÕest divisée en deux. QuÕil
est beau et doux le Seigneur Dieu! JÕai vu ensuite notre Mère
céleste dans toute sa splendeur, qui me souriait.
Peu après, les êtres célestes mÕont réapparu, toujours les
mêmes mais cette fois-là, noirs comme nous, pauvres Africains.
QuÕils étaient beaux dans cette couleur méprisée par certains
hommes de cette terre!
Ensuite, jÕai vu un grand soleil, qui brillait dÕune douce
lumière, avancer vers moi. En observant bien jÕai vu le visage
du Christ au dedans de ce soleil, me souriant. JÕai vu encore un
visage dÕhomme barbu et aux cheveux blancs comme lÕon
représente Dieu le Père. Il me souriait aussi. Enfin, jÕai vu une
92
groupe nombreux de gens heureux parmi lesquels jÕai reconnu
le Père Cosmas qui montait au ciel vers la droite et qui sÕest
retourné vers moi uniquement pour me sourire. A ce moment-là,
je me suis écriée: ÔO! Père Cosmas!Õ Et le groupe à dit: ÔElle
a reconnu son Père!Õ
Après cette apparition, jÕai vu les êtres se fondre et redevenir
des micros. CÕétait le matin et les corbeaux croassaient comme
à leur habitude. Quand mon mari est arrivé je lui ai raconté
toute la scène que les hommes de sciences ne prennent pas au
sérieux, car ils ne comprennent pas. DÕailleurs ils nÕont pas
compris non plus comment je me suis trouvée alors guérie, alors
que mon état de santé était très critique.
Je suis restée en observation jusquÕau dimanche 23 juin à midi,
en me contentant dÕécouter des cantiques religieux, que les
autres personnes dans la salle ne pouvaient pas entendre, et que
jÕaccompagnais de la voix quand ils mÕétaient connues. Il me
suffisait aussi de fermer les yeux pour voir cet autre monde
céleste qui me plaisait tant et que les autres ne voyaient pas.
Quand je suis sortie de la réanimation, je suis allée directement
à la maison sans transiter par la clinique. Et le mardi 25 juin, le
24 étant jour férié, jÕétais en état de reprendre mon travail;
mais, Dieu merci, notre chef de service mÕa accordé quelques
jours de repos car jÕétais en convalescence. Que Dieu lui fasse
miséricorde.Ó
CONCLUSION: Les miracles procurent la joie dans les cœurs,
car ils font partie des grâces que Dieu accorde aux fidèles
orthodoxes. Mais il ne faut pas nous arrêter aux miracles. Nous
devons chercher sans relâche comment mettre en pratique la
Parole de Dieu dans nos vie, avec humilité et crainte de Dieu, et
ce jusquÕà la fin de nos jours. Que le Saint-Esprit nous guide
dans ce monde troublé, afin que nous puissions paraître aussi
dans la gloire du Seigneur, lorsquÕIl reviendra pour juger le
monde. Amen.
93
59. Miracle de Saint Nectaire et de Sainte Anastasie la Romaine
dans la maison du prêtre Lazare de la paroisse Saint-
Georges de Kolwezi.
LÕépouse de notre prêtre Lazare, maman Maria Ikosa, était
tombée malade dÕhypertension (Ta: 28) en 1991 et a été mira-
culeusement guérie par Saint Nectaire.
Cette maladie lui est revenue dans la nuit du 28 au 29 octobre
1996. Son corps en est même devenu tout raide. Le 29, son
mari, le prêtre Lazare, est venu me voir pour me donner lÕétat
de sa santé. JÕai envoyé les Pères faire une prière pour elle en
demandant lÕintercession de Saint Arsène de Cappadoce et de
Sainte Anastasie la Romaine, car cette date est le jour commé-
moratif de sa fête. Parmi les icônes quÕils ont prises avec eux
se trouvait lÕicône de cette sainte. Les envoyés ont fait ce qui
avait été demandé et sont rentrés chez eux. La nuit, la malade a
eu un songe: un évêque blanc, ressemblant à notre Archevêque
Timothée dÕAfrique Centrale, est apparu à ses côtés et a fait
une prière pour elle.
Par la suite, une jeune fille blanche, habillée comme du temps
des Apôtres est apparue. Elle a contrôlé la tension de la malade
et a dit: ÒJe ne peux pas te guérir sans la bénédiction de
lÕévêqueÓ. Quand elle à eu la bénédiction, elle lui a fait une
piqûre à lÕun de ses bras. LÕévêque a alors demandé à maman
Maria:
Ð ÒEs-tu guérie?Ó
Elle a répondu: Ð Oui.
Pour la seconde fois lÕévêque lui a demandé: Ð ÒEs-tu guérie?
Ó
Elle a répondu: Ð Oui.
Et lÕévêque lui a encore demandé: Ð ÒEs-tu guérie?Ó
Elle a répondu: Ð Oui.
Finalement lÕévêque lui a demandé: Ð ÒAu nom de qui as-tu
été guérie?Ó
Ð ÒAu nom de Jésus-ChristÓ, a-t-elle répondu.
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Comme lÕévêque voulait partir, maman Maria lÕa supplié de
rester encore un peu car elle voulait lui offrir à manger. Elle est
allée acheter un poulet, du riz et des pommes de terre quÕelle a
préparés.
Quand lÕévêque a dit quÕil voulait se reposer parce quÕil était
fatigué, le Père Lazare lui a signalé quÕil nÕavait pas
dÕendroit convenable à lui offrir pour dormir. Et lÕévêque lui a
répliqué quÕil allait passer la nuit dans le lit du prêtre.
Cette conversation a été suivie par le diacre Daniel et son
épouse, qui se trouvaient dehors et qui se sont étonnés de cet
entretien. Quand ils ont rejoint les autres dans la maison pour
voir ce qui se passait, lÕévêque leur a fait comprendre que rien
nÕest impossible, car la bénédiction de Dieu reposait sur la mai-
son du prêtre Lazare.
Le repas étant prêt, lÕarchevêque lÕa partagé avec toutes les
personnes présentes. Ensuite il leur a posé la question suivante:
ÒPourquoi nÕavez vous pas donné la Sainte Communion à
maman Maria?Ó Aucune réponse.
Quand il sÕest levé pour partir, maman Maria lui a demandé:
ÒMonseigneur que puis-je vous donner?Ó La sœur Thècle, qui
était présente, lui a dit: ÒDonnez-lui une icône de la Mère de
Dieu.Ó LÕévêque, tout émerveillé, a pris avec amour et joie
lÕicône en disant: ÒQue sa bénédiction soit avec vous tous.Ó
Puis il est parti.
NB. Nous pensons que : 1. Cet évêque était Saint Nectaire, car
il est mort évêque et quÕen plus la maison du Père Lazare se
trouve dans les environs de lÕéglise Saint-Nectaire. 2. Que la
jeune fille blanche était Sainte Anastasie la Romaine, car le 29
octobre est le jour de sa fête.
CHAPITRE QUATRE
ÉVÉNEMENTS MISSIONNAIRES
100
1. Notre Foi Orthodoxe est arrivée au lointain Sandoa.
Depuis 1993, une nouvelle paroisse est en construction. Le
point important est de constater comment notre Foi est parve-
nue là-bas, dans la ville de Sandoa?
Cette année-là, la Mission avait envoyé un prêtre congolais, le
Père Romanos, pour y visiter sa famille. Quand les autres habi-
tants lÕont vu avec la soutane noire et la barbe, ils lui ont
demandé qui il était et à quelle Église il appartenait. Il leur a
répondu, et ceux-ci, poussés par le Saint-Esprit ont posé des
questions sur la Foi Orthodoxe qui a été apportée par Jésus-
Christ sur la terre.
Le premier qui sÕest montré intéressé était un employé de
banque, de religion protestante. Il sÕest renseigné et est allé à
Kolwezi pour y rencontrer le Père Mélétios et en apprendre
dÕavantage. Il a ensuite pris avec lui des livres de catéchisme,
des icônes et est rentré à Sandoa. Cet homme a aussitôt com-
mencé lÕœuvre missionnaire avec un zèle inhabituel. Il a attiré
environ 300 catéchumènes auxquels il a donné un enseignement
intensif, sur la base de ce quÕil lisait. Il a poursuivi le ministère
de la parole dans deux autres villages et a recommandé aux
catéchumènes de construire eux-mêmes leurs églises, de
manière provisoire comme cÕest lÕhabitude, avec des briques
et en les couvrant dÕherbes. Toutes ces œuvres ont été accom-
plies en lÕespace de deux ans. Le Père Supérieur de la Mission
de Kolwezi leur a rendu visite à deux reprises pour les aider
dans les débuts de leur vie spirituelle. Ils se sont préparés
convenablement, et en Octobre 1994, 250 catéchumènes ont été
baptisés dans trois paroisses.
CHAPITRE CINQ
TÉMOIGNAGES DE BAPTÊMES
1. Maximos Bulungo
ÒAvant dÕentrer dans lÕeau, jÕavais très peur et honte devant
les personnes qui étaient tout autour du bassin baptismal. Mais
lorsque je suis monté sur les marches du fond baptismal, jÕai
senti que la peur et la honte mÕavait quitté.
Une fois dans lÕeau, lorsque le Père Supérieur a posé sa main
sur ma tête pour me plonger dans lÕeau, jÕai sentis comme si
un courant électrique passait dans mon corps, par la main du
prêtre, et me faisait plonger et remonter. Quand je suis sorti de
lÕeau, jÕétais très content et je me suis senti tout léger, dans
mon corps et dans mon cœur, comme quelquÕun qui vient de
déposer un fardeau quÕil avait sur sa tête.
Lorsque jÕai reçu le Corps et le Sang du Christ, jÕai senti une
chaleur dans tout mon corps et une voix intérieure mÕa dit que
mon âme avait reçu le Salut. Et puis, jÕai prononcé la prière:
ÒGloire à toi notre DieuÉÓ dans mon cœur et en lisant dans le
Livre de prières.Ó
4. Mélétios Ngandu.
ÒCÕest après la confession que jÕai ressenti que quelque chose
avait quitté mon corps, et me suis senti plus léger. On aurait dit
que cÕétait déjà le Paradis pour moi, parce que mon visage
montrait déjà un changement dÕavoir quitté un monde, où lÕon
vivait avant sans savoir ce quÕon faisait, pour trouver un autre
monde, celui de la vie chrétienne. Voilà ce que jÕai ressenti le
jour de mon baptême.Ó
EN GUISE DE CONCLUSION
Mes frères, il nous faut prier pour que Dieu donne la force à
tous ses serviteurs, de l’Intérieur et de l’Extérieur de notre
Pays. Il nous faut prier pour tous les Chrétiens Orthodoxes
néophytes de la terre, qui 2000 ans après le Christ, reçoivent le
message du Salut. Il nous faut proclamer partout l’idéal de la
Mission Extérieure, en rappelant aux autres hommes que le
Christ a aussi dÕautres brebis quÕil nous faut aider à entrer
elles aussi dans Son Bercail, lÕArche du Salut, qui est Son
Église.
110
PROLOGUE.........................................................6
INTRODUCTION................................................9
CHAPITRE UN
HISTOIRE DE LA VIE DU FEU RÉVÉREND
PÈRE COSMAS
1. Comment le Révérend Père a sauvé un enfant de la noyade
dans un
lac...............................................................................13
2. LÕaide procurée par le Révérend Père Cosmas sur les rou-
tes. ..................................................................................
..........13
3. 3. Voyages sur les routes marécageuses. ...........................15
4. Les fêtes des parois-
ses. ......................................................15
5. Possédé par un
démon. .......................................................16
6. Le respect des autorités locales envers le Père Cosmas......16
7. LÕamour du Révérend Père Cosmas envers les
prisonniers...............................................................................1
7.
8. Les traduction du Centre de Mission. ................................17
9. Les écoles de la Mission Orthodoxe de Kolwezi. .............19
10. La mort soudaine du Révérend Père Cosmas. .................21
11. Le lieu de pèlerinage du Père Cosmas. ............................22
12. La déclaration du Père Cosmas après sa mort. ................23
13. Le Père Cosmas réclame la remise de la bouteille. .........23
14. La poursuite de lÕenseignement du catéchisme. ..............24
15. Les enfants de lÕinternat nous ont raconté ce qui suitÉ..24
16. Des prêtres zaïrois nous ont dit ceci. . . ...........................24
111
17. Le professeur Séraphim Ilunga a témoigné ce qui suit. ...25
CHAPITRE DEUX
HISTOIRES DE SORCELLERIE
(FÉTICHISME)
1. Il y a un autre sor-
cier .........................................................32
2. Un enfant victime de la sorcellerie. ...................................33
3. Enfants victimes de la magie..............................................34
4. La découverte des fétiches dans un bar en mai 1991. .......35
5. Le prêtre Orthodoxe est un feu pour le sorcier. .................39
6. Je ne peux pas faire ma prière. ..........................................41
7. Une jeune fille zaïroise qui se préparait à être baptisée est
tombée sans connaissance. ...................................................42
8. Un jeune garçon sorcier a remis ses objets magiques au
prêtre. ....................................................................................4
2
9. Une leçon donnée à un missionnaire protestant. ..............43
CHAPITRE TROIS
SIGNES ET MIRACLES DE NOS SAINTS
CHAPITRE QUATRE
ÉVÉNEMENTS MISSIONNAIRES
CHAPITRE CINQ
TÉMOIGNAGES DE BAPTÊMES
EN GUISE DE CONCLUSION..........................................111
115
TABLE DES MATIERES...................................................112