Ms ELN Touala+Djali PDF
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MEMOIRE
Présenté pour l’obtention du diplôme de MASTER
Thème
Avant tout je remercie notre dieu tout puissant qui a répondu à mes prières
Remercie à tous.
Chapitre 1 : Généralité.
Figure2.3 Transformateur……………………………………………………………………18
Figure 2.4 Circuit de redressement double alternance………….............................................20
Figure 2.7 Schéma structurel initial et schéma structurel lorsque le transistor est saturé……24
Figure 2.8 Schéma structurel initial et schéma structurel lorsque le transistor est bloqué…..25
Le relais piloté par un son permet d’allumer un appareil (un téléviseur….), ou d’ouvrir
une porte à serrure électrique sur la présence d’une commande sonore à la voix (sifflement ou
un battement de mains : clap-inter).
Notre projet a pour objectif d’étudier et de réaliser un montage d’un relais piloter par un
son ou un clap inter, simplement en détectant l’allumage d’une led lorsque le microphone
reçoit un son; il est divisé en trois chapitres :
- Dans le deuxième chapitre, nous étudions théoriquement les différents étages qui
constituent le montage.
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Chapitre1 : Généralités.
Un son
Un son
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Chapitre1 : Généralités.
1.3. Définitions :
1.3.1. Un capteur :
C’est un objet qui sert à transformer les grandeurs physiques ou chimiques non électrique (la
mesurande) en un signal électrique.
Généralement, on obtient une grandeur de sortie du type électrique. Elle peut être soit :
-Une tension,
-Un courant.
Capteurs Passifs :
Les capteurs dont le signal électrique délivré est une variation d'impédance sont dits passifs
s‘ils nécessitent une source d'énergie électrique pour que l'on puisse lire. Ce sont
généralement des capteurs résistifs, capacitifs ou bien inductifs.
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Chapitre1 : Généralités.
Capteurs Actifs :
Fonctionnant en générateur, un capteur actif est généralement fondé dans son principe sur un
effet physique qui assure la conversion en énergie électrique de la forme d’énergie propre à la
grandeur physique à mesurer (énergie thermique, mécanique ou de rayonnement).
Les principes physiques mis en jeu sont présentées ci-dessous :
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Chapitre1 : Généralités.
Le corps d’épreuve :
C‘est un élément mécanique qui réagit à la grandeur à mesurer, il a pour rôle de transformer la
grandeur à mesurer en une autre grandeur physique dite mesurable. Cette grandeur constitue
la réaction du corps d’épreuve (Exemple : Membrane, Micro levier, Micro pont, Etc…).
L’élément de transduction :
C‘est un élément sensible lié au corps d’épreuve. Il traduit les réactions du corps d’épreuve en
une grandeur électrique constituant le signal de sortie (Exemple : Condensateur variable,
Résistance variable).
Le boîtier :
C’est un élément mécanique de protection, de maintien et de fixation du capteur.
Chaîne de mesure :
C’est une suite d’éléments transducteurs et d’organe de liaison d’un instrument de mesure
allant du capteur qui est le premier élément au dispositif d’indication, de stockage ou de
traitement qui en est le dernier élément.
L’air est un milieu élastique et les variations de pression s’y propagent de proche en proche.
Sous l’action d’une perturbation (détonation, claquement de doigts, etc…) les molécules
S’entrechoquent et créent une onde de pression qui va mettre en mouvement un élément
Sensible du microphone, sa membrane. Celui-ci est capable aussitôt de générer un signal
électrique à partir des vibrations de la membrane.
Les microphones sont des transducteurs : ils transforment l’énergie mécanique
Véhiculée par une onde sonore, en énergie électrique (capteur).
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Chapitre1 : Généralités.
A. Définition :
Un microphone à électret est un microphone doté d’un composant appelé Electret, qui peut
être assimilé à un condensateur. Ce dernier possède la particularité d’être polarisé de façon
permanente au moment de la fabrication. Permanente en théorie, car en pratique, la
polarisation diminue au fil du temps, ce qui provoque une baisse lente mais progressive de la
sensibilité du micro. L’impédance de sortie de composant electret interne est très élevée, et en
ne peut pas y connecter directement une charge fortement capacitive ou d’impédance trop
faible. A cause de cela, il est impossible de raccorder directement la cellule à l’entrée d’un
préampli « classique », surtout si le câble de liaison est de grande longueur. Pour cette raison,
la capsule elctret comporte dans son boitier même, un petit étage électronique chargé
d’abaisser cette haute impédance de sortie en une impédance de sortie plus faible et donc plus
facilement exploitable. On trouve deux types de micro electret : ceux à deux fils et ceux à
trois fils.
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Chapitre1 : Généralités.
B. Principe de fonctionnement :
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Chapitre1 : Généralités.
C’est un composant électronique analogique. Il constitue une brique de base dans un circuit
électronique. Il peut réaliser diverses opérations sur un signal électrique : amplification,
comparaison, soustraction, addition, déphasage (décalage dans le temps), filtrage, etc…
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Chapitre1 : Généralités.
1.3.3.2.2. Caractéristiques:
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Chapitre1 : Généralités.
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Chapitre1 : Généralités.
Ce dispositif permet de mémoriser la valeur crête d'un signal. Il est très utilisé en
instrumentation.
C'est en fait un redresseur simple alternance avec filtrage dont la charge est quasi nulle (aux
courants de fuite près) : la constante de temps de décharge du condensateur est théoriquement
infinie, (très grande en pratique).
Il se charge donc à la valeur crête (moins la tension de seuil de la diode) et reste chargé à cette
valeur.
Lorsque la tension e est supérieure à la tension aux bornes du condensateur U plus la tension
de coude de la diode, celle ci conduit et charge le condensateur à travers la résistance R.
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Chapitre1 : Généralités.
A noter que tel quel, ce montage est inexploitable pour des petits signaux : la tension
mémorisée par la diode et le condensateur est inférieure à la valeur crête du signal d'entrée de
la tension de seuil de la diode.
Il existe une version améliorée avec amplificateur opérationnel qui pallie cet inconvénient. Il
faut aussi adjoindre à ce montage un système permettant de décharger le condensateur pour
faire une nouvelle mesure.
En technologie électrique la commutation peut être réalisée par des contacts de relais
(ou contacteurs).
En technologie électronique on utilise le fonctionnement en commutation des
plusieurs composants (diodes, thyristors, triacs, transistors MOS, IGBT…).
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Chapitre1 : Généralités.
1.3.5.1Transistor en commutation :
1.3.6. Bascules :
La logique combinatoire présente des sorties qui, à un instant donné, ne dépendent que
des valeurs présentes sur les entrées. La logique séquentielle prend en considération les
Conditions antérieures à l'instant donné, ce qui permet de réaliser des dispositifs à mémoire.
Les bascules sont les circuits séquentiels élémentaires permettant de mémoriser une
information binaire (bit) sur leur sortie. Elles constituent le point mémoire élémentaire. Elles
peuvent être synchrones ou asynchrones mais toutes ont au minimum trois modes de
fonctionnement (et par conséquent au moins deux commandes). Les bascules sont de manière
générale des bistables, ce qui permet d'obtenir des niveaux logiques stables sur leur sorties
(soit "1" ou "0"). Ces derniers pouvant être aussi annulés à tout moment.
1.3.7. Un relais :
Un relais est un appareil dans lequel un phénomène électrique (courant ou tension) contrôle la
commutation On / Off d'un élément mécanique (on se trouve alors en présence d’un relais
électromécanique) ou d'un élément électronique (on a alors affaire à un relais statique). C'est
en quelque sorte un interrupteur que l'on peut actionner à distance, et où la fonction de
coupure est dissociée de la fonction de commande. La tension et le courant de commande
(partie "Commande"), ainsi que le pouvoir de commutation (partie "Puissance") dépendent du
relais, il faut choisir ces paramètres en fonction de l'application désirée. Ainsi, il faut choisir
des relais différents selon qu'il faut commuter des signaux audio ou des tensions ou courants
importants. Comme la Commande peut être réalisée sous faible puissance (faible tension,
13
Chapitre1 : Généralités.
faible courant), et que la partie Coupure peut commuter des puissances importantes, on peut
dire que ce composant est un amplificateur de courant.
Un relais est doté d'un bobinage en guise d'organe de commande. La tension appliquée à ce
bobinage va créer un courant, ce courant produisant un champ électromagnétique à l'extrémité
de la bobine (il ne s'agit ni plus ni moins que d'un électro-aimant). Ce champ magnétique va
être capable de faire déplacer un élément mécanique métallique monté sur un aux mobile, qui
déplacera alors des contacts mécanique
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Chapitre1 : Généralités.
Sur la figure précédente, on voit nettement la bobine, constituée d'un très grand nombre de
spires d'un fil de cuivre très fin. Quand cette bobine est parcourue par un courant suffisant, un
champs magnétique attire la partie mobile vers lui (sur la figure, l'élément marqué Partie
mobile se soulève), et déplace par le biais d'un axe, les contacts mécaniques situés à côté (sur
la figure, les contacts mécaniques se déplacent vers la droite). Quand plus aucun courant ne
circule dans la bobine, les contacts reprennent leur position de repos grâce à un ressort de
rappel. Les connexions extérieures permettent simplement d'avoir accès aux fils de la bobine
et aux contacts électriques solidaires des parties mécaniques mobiles.
• Capacité de commuter aussi bien des signaux continus qu'alternatifs sur une large
gamme de fréquences.
• Fonctionnement avec une dynamique considérable du signal commuté.
• Aucun ajout de bruit ou de distorsion.
• Résistance de contact fermé très faible (il est moins facile de trouver des valeurs aussi
faibles avec des composants électroniques).
• Résistance de contact ouvert très élevée (il est moins facile de trouver des valeurs
aussi élevées avec des composants électroniques).
• Très grande isolation entre circuit de commande (bobine) et circuit commuté
(contacts).
• Possibilité de résoudre des problèmes d'automatisme de façon parfois plus simple
qu'avec un circuit électronique.
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Chapitre1 : Généralités.
• Elément de commande possédant une composante inductive non négligeable (c'est une
bobine, après tout), provoquant une surtension importante lorsque le courant circulant
dans la bobine est interrompu (loi de Lenz). Ce qui impose l'emploi d'au moins un
composant de protection (une diode par exemple) pour protéger le circuit de
commande si ce dernier est de type électronique.
• Présence de rebonds lors des commutations, le passage de l'état ON à l'état OFF (ou
inversement) n'est pas "net" (même phénomène de rebonds mécaniques que l'on
observe dans les interrupteurs). Il est intéressant de savoir que le nombre de rebonds,
et donc la rapidité de la mise en contact franc, dépend du courant de commande
circulant dans la bobine. Le nombre de rebonds est en effet plus important quand ce
courant de commande est bien inférieur ou bien supérieur à la valeur de courant
nominal spécifiée par le fabricant (appliquer une tension de commande de 8 V à un
relais dont la tension nominale est de 12 V, peut le faire coller, mais de façon moins
franche et avec plus de rebonds).
• Compatibilité pas toujours assurée avec les circuits numériques, notamment pour les
relais de forte puissance, qui peuvent nécessiter un circuit d'interface spécifique.
• Couplage capacitif entre les contacts pour les modèles multipolaires (à plusieurs
pôles).
• Diminution de l'isolation à l'état ouvert à cause du couplage capacitif (d'autant plus
embêtant que les signaux commutés montent haut en fréquence).
• Durée de vie "faible" si nombre important de commutation (fatigue des contacts et du
ressort de rappel, qui peut se "ramollir" ou même casser).
• Encombrement mécanique plus important pour les relais de moyenne et forte
puissance, qu'il faut cependant comparer au transistor munis de leur (parfois gros)
radiateur.
• Brochage pas vraiment normalisé, malgré quelques efforts faits pour certaines
catégories de relais (relais Reed en boitier DIL et relais norme "européenne").
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
2.1. Introduction :
Comme tout les circuits notre montage constitué de plusieurs étages :
2.2. Alimentation :
2.2. 1. Introduction
La plupart des systèmes électroniques ont besoin d’une source de courant continue pour
Fonctionner. Puisque la tension fournit par le réseau électrique est une tension alternative, la
Première chose qu’on doit faire est de transformer cette tension en une tension continue. La
partie du montage qui effectue cette opération s’appelle « alimentation ». Cette dernière est
constituée d’un redresseur qui permet au courant de circuler dans une seule direction, d’un
filtre généralement RC, d’une diode Zener ou d’un régulateur de tension.
2.2.4. Transformateur :
Il permet de transférer de l'énergie (sous forme alternative) d'une source aune charge,
tout en modifiant la valeur de la tension. La tension d’entrée V(t) peut être soit augmentée ou
abaissée selon l'utilisation voulue. Le changement d'un niveau de tension a un autre fait par
l'effet d'un champ magnétique, il assure aussi l’isolation entre le secteur et le reste.
Figure2.3Transformateu
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Electronique :
(a) alimentation à basse tension.
(b) adaptation d’impédance.
Electrotechnique :
(a) transformation de la tension pour le transport et la distribution d’électricité.
(b) alimentation à basse tension (par exemple, lampes halogènes).
Mesure :
(a) transformateurs d’intensité de courant.
(b) transformations de potentiel.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
dans un seul boîtier. Ce bloc est plus facile à utiliser mais a un inconvénient. Lorsqu’une des
diodes moulées est défectueuse, il faut changer l’ensemble.
Dans ce cas, le plus répandu pour les courants importants, deux diodes conduisent en même
temps, alors que les deux autres sont bloquées.
Les deux alternances se retrouvent sur Rch et de même polarité. Les deux alternances sont
redressées. Donc on obtient un redressement double alternances.
Les diodes doivent supporter une tension inverse égale à la tension de crête UDINV = Û et la
valeur de la tension moyenne sur la résistance de charge vaut
UDCmoy = (Û - 1,2) . 2 /π .
Les limites de fonctionnement de ces montages sont imposés par le courant direct maximum
des diodes ainsi que par la tension inverse maximum. Si l'une ou l'autre de ces deux
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
caractéristiques sont dépassées, la diode en question devient détruite, soit coupée soit en
court-circuit.
2.2.6. Filtrage :
Le filtre sert à lisser le courant redressé brut fourni par le redresseur sous forme de tension
pulsée. Sur nos matériels de faible puissance on utilise des filtres à capacité d’entrée
(condensateur), celle-ci servant de stockage pour les impulsions débitées par le redresseur. Le
filtrage s’effectue à l’aide des capacités de filtrage.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
2.2.7. Régulateur :
C’est un dispositif capable de fournir une tension de sortie stable malgré les variations
de la tension d’entrée ou les variations de la charge, en mettant à profit les seules propriétés
2.3.1. Présentation :
L’amplificateur opérationnel (désigné par AO) est constitué d’un circuit intégré c’est-à-
dire un support de silicium de quelques mm2 sur lequel sont assemblés de multiples
composants électroniques (diodes, transistors, résistances, capacités ….). On le trouve en
général dans un boîtier plastique à double rangée de connexions (DIL : Dual In Line en
Anglais) pour les applications courantes. Un boîtier contient un, deux ou quatre AO. Le
brochage (attribution du rôle de chaque connexion) dépend du modèle utilisé.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Le sens du boîtier est indiqué soit par un point en relief, soit par une encoche. Les broches
sont numérotées. Un AO est un circuit à deux entrées (l’une dite inverseurs et notée -, l’autre
appelée non inverseurs et notée +) et une sortie.
• résistance d'entrée infinie signifie que le courant qui traverse R1et R2 est le même.
• le gain de l'ampli-op. En fonctionnement linéaire est infini, ce qui entraîne que la différence
de potentiel u est nulle.
Cela signifie que l'on pourra obtenir le gain que l'on désire par le choix d'un rapport de deux
résistances, ce qui est commode parce que les résistances sont des composants très bon
marché, de bonne qualité et de valeurs extrêmement variées.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Quand un transistor est utilisé en commutation, il peut être soit "bloqué", soit "passant".
Lorsqu'il est passant, la tension VCE du transistor est alors quasiment nulle. Dans ce cas on dit
alors que le transistor est "saturé" car il n'est pas possible de faire passer plus de courant dans
le collecteur du transistor ceci peut être représenté par la figure suivante :
Figure 2.9 Schéma structurel initial et schéma structurel lorsque le transistor est saturé.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Pour que le transistor soit saturé il faut que le courant de base (I B ) soit égal à I Bsat
qui est le courant de saturation. En général, on considère que le transistor est saturé lorsque :
Lorsque la condition de saturation n'est pas remplie, le transistor n'est pas saturé. Pour qu'il
soit bloqué il faut que le courant de base (I B ) soit nul. On à alors le montage ci-dessous.
Figure 2.10 Schéma structurel initial et schéma structurel lorsque le transistor est bloqué.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Le HEF 4027 est une bascule duale déclenchée par le front d’impulsion double JK
flip-flop ; il comporte un ensemble indépendant-directe (SD), claire-directe (CD), les entrées
(CP) d’horloges et les sorties (Q, Q/).
Les données sont acceptées quand le CP est bas, elles sont transférées avec un bon rendement
à la sortie sur le front montant de l’horloge. Les bonnes synchronisations des claire-directe
(CD) et des entrées-directes (SD) sont indépendantes et dépassent les entrées de JK et des
horloges (CP).
Les sorties sont mises en mémoire tampon dans le but d’avoir une meilleure exécution du
Système.
L’action du déclenchement de la bascule de Schmitt rend l’entrée d’horloge fortement
tolérante pour ralentir le temps de montée et de descente du signal.
Ce circuit fonctionne sur une gamme d’alimentation (Vdd) recommandée entre 3V à 15V,
référencée à Vss (habituellement rectifies). Les entrées inutilisées doivent être reliées à Vdd, à
un Vss ou à une autre entrée.
2.6.2. Bascule JK :
Une bascule JK élémentaire est réalisée à partir d’une bascule RS. Les états de J et K qui
entrainent un chargement de la sortie Q sont :
K=1, J=0 : mise à zéro de Q ; k=0, J=1 : mise a un de Q.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Dans les bascules qui déclenchement sur un front actif du signal d’horloge les entrées de
commande synchrone, J et K, doivent reste stable, durant un temps minimal spécifié par le
constructeur. La structure maitre-esclave évite cette contrainte Elle est composée de deux
bascules JK câblées l’une à la suite de l’autre, mais avec une commande d’horloge
complémentaire.
La bascule maitre reçoit les informations d’entrée sur le front actif du signal d’horloge. La
bascule esclave recopie la bascule maitresse sur le front opposé de l’horloge.
2.6.3. Bascule RS :
Le circuit le plus connu parmi les bascules RS(reset et set).ON trouve des bascules qui
utilisent des opérateurs NON-ET ,NON-OU et même des bascules RSH qui sont
synchronisées sur les impulsions d’une horloge Halle principe de fonctionnement de la
bascule RS est :
-mise à 1 de S (set) : La sortie Q passe à 1
-mise à 1 de R (reset) : La sortie Q passe à 0
-R =S=0 : maintien de l’état précédent des sorties.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Le schéma de la figure B.13 concerne une bascule a opérateurs NON-ET et la table de vérité
est donnée à la figure B.14 noter que l’état QN représente l’état précédant l’application de
l’impulsion et Qn+1 représente suit l’impulsion.
͞R S͞ ͞ Etat
Qn+1 Qn+1
0 0 XX XX Interdit
0 1 0 1 Mise à 0
1 0 1 0 Mise à 1
1 1 Qn Q͞n Mémoire
Une bascule RSH est une bascule RS à laquelle est rajoutée une troisième entrée notée CK
pour désigner l’horloge (clock) :
_ Si l’horloge est à l’état haut : CK = 1, la bascule répond normalement comme indiqué
auparavant dans la table de vérité.
_ Si l’horloge est à l’état bat : CK = 0, la bascule maintient son état précédent et ceci quels
Que soient les niveaux appliqués aux entrées R et S.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
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Chapitre 2 : Etude théorique des différents étages.
Cette porte présente la particularité de pouvoir recréer des portes AND, OR, NON
dans un circuit électronique en utilisant seulement des montages composés uniquement de
portes NAND. On effectue toujours une opération ET logique entre les deux sorties mais cette
fois le résultat obtenue est inverse.
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Chapitre 3: étude pratique.
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Chapitre 3: étude pratique.
Ce signal travers un amplificateur opérationnel LM358 qui monte en mode inverseur (étage
d’amplification : on a deux étapes).
_ Dans la première étape, le signal électrique traverse La broche d’entrée inverseur (broche
2) du premier amplificateur opérationnel IC1/A .Ce dernier amplifié le signal 100 fois donc,
on calcule le gain en divisant la valeur de R6 par la valeur de R3 et on trouve :
10000/100=100 fois.
gain de 10000(100*100).
_ La tension continue sert à polarisé la base du transistor NPN TR1 qui, à son tour , polarisé la
base du transistor NPN TR2, chaque fois que le microphone capte un son ,sur le collecteur de
TR1 nous retrouvons un niveau logique 0 et , par conséquent , sur le collecteur de TR2 un
niveau logique 1 c’est à dire un signal carré.
_Dans l’étage de circuit de commande qui composé une double flip-flop, Le signal carré est
relié directement à la broche 4 reset du flip flop IC2/A afin d’évité le bruit qui active ou
désactive le relais. Le second flip flop IC2/B est un simple diviseur par deux servant à obtenir
sur la broche 15 un niveau logique 1 au premier son capté et un niveau logique 0 au second
son capté, qunand on a un niveau logique 1 , cette tension positive polarisé la base de
transistor TR3 qui, en se mettant a conduire ,déclanche l’activation du relais .
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Chapitre 3: étude pratique.
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Chapitre 3: étude pratique.
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Chapitre 3: étude pratique.
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Chapitre 3: étude pratique.
Etage 02 : Quand on augmente la fréquence 660 HZ, on remarque que la tension d’entrée est
amplifiée 60 fois. Donc V(s)=60*V(e).
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Conclusion générale.
Il est connu que n’importe quel projet de fin d’étude n’est et ne pourra jamais être une
fin en soi.
Dans le cadre de notre projet, notre but était de faire l’étude et la réalisation pratique d’un
relais piloté avec un son.
En premier lieu une description générale a été donnée sur les capteurs, circuits de bases
d’amplification d’ampli-op, détecteur de crête et enfin les circuits de commutation à base de
transistor qui vont nous permettre d’approfondir nos connaissances sur leurs structures et
leurs fonctionnements.
Nous avons ainsi présenté l’étude théorique des différents étages, ce qui nous permit de les
diviser en scinque (Circuit d’amplification double, Redressement, Etage commutation, Circuit
de commande, Alimentation) puis nous avons présenté leurs stratégies de commande.
50
Bibliographie :
Ouvrage :
[3] TP Atelier Electronique Pratique n°1 : Etude & réalisation d'une Alimentation Stabilisée
(Institut Supérieur des Systèmes Industriels de Gabès (ISSIG)).
[4] Électronique de A à Z, Tahar Nefatti, Octobre 2006 en France, page 29,30 et 255.
Mémoires :
[5] Melle BELAID ASMA, Melle ZIANE ASMA Etude et réalisation d’une centrale
d’éclairage, mémoire de master2 en instrumentation électronique, Tlemcen, 2013 – 2014.
[6] Mr. KEDIM ZOUHEYR, Mr. CHEBOUROU ABDERRAZZAQ Etude et réalisation d’un
détecteur de vibration mécanique, mémoire de master2 en instrumentation électronique,
Tlemcen, 2015-2016.
Web :
[7] http://www.artsuqam.net/j-r330/wp-content/uploads/2014/10/Guide-
Microphonessmall.pdf.
[8] http://www8.umoncton.ca/umcm-cormier_gabriel/Electrotechnique/Chap8.pdf.
[9] Electronique et Loisirs n°111, été 2010
http://www.electronique- magazine.com.
[10] http://ressources.univ-
lemans.fr/AccesLibre/UM/Pedago/physique/02/cours_elec/commut.pdf.
[Tapez le titre du document]
R₂: 4.7k Ω.
R₃, R₉:1k Ω.
R₇:47k potentiomètre.
R₈:470 Ω.
R₁₇:120k Ω.
R₁₉ :820 Ω.
Condensateurs :
C₁ :10μF électrolytique.
C₄ :47 nF polyester.
C₇ :680nF.
32
[Tapez le titre du document]
Semi-conducteurs :
DS1:1N4148.
DS2: 1N4007.
S1 : inverseur à levier.
33
: اﻟﺘﻠﺨﯿﺺ
ﯾﺴﻤﺢ ﻟﻨﺎ ھﺬا اﻟﻤﺸﺮوع ﺑﺎﻟﺘﻌﻤﻖ ﻓﻲ ﻋﺎﻟﻢ اﻟﺘﻜﻨﻮﻟﻮﺟﯿﺎ ﻟﻠﻮﺻﻮل إﻟﻰ إﻧﺸﺎء ﺑﻄﺎﻗﺔ اﻟﻜﺘﺮوﻧﯿﺔ ﺗﺘﻀﻤﻦ
ﺗﻈﮭﺮ اﻟﺪراﺳﺔ اﻟﺘﻄﺒﯿﻘﯿﺔ أن ﺗﺮﻛﯿﺒﻨﺎ ﯾﻌﻤﻞ أﺛﻨﺎء إﺻﺪار ﺻﻮت ﺗﻢ إﻧﺘﺎج ھﺬا اﻟﺘﺮﻛﯿﺐ ﺑﺎﺳﺘﺨﺪام ﻣﺨﺘﻠﻒ اﻟﺪواﺋﺮ اﻟﻤﺘﻜﺎﻣﻠﺔ ﻟﺘﻨﻔﯿﺬ
..... ﺑﻌﺾ اﻟﻌﻤﻠﯿﺎت ﻣﺜﻞ ﺗﺤﺴﯿﻦ ﺷﻜﻞ اﻹﺷﺎرة اﻟﺘﻀﺨﯿﻢ اﻟﺘﺮﺷﯿﺢ
Résumé :
Ce projet nous permet d’approfondir dans le monde technologie afin d’arriver à réaliser un
relais piloté avec un son.
L’étude théorique montre que notre montage peut fonctionner suivant un son (clap inter, la
réalisation du montage porte sur l’utilisation de différent circuit intégré accomplissant des
opérations telle que : la mise en forme du signal, l’amplification, le filtrage.
Abstract
This project allows us to deepen in the world of technology in to realiz an relay piloté with
the voice .
The preliminary objective is to stady and realise the assembling of the relay.
The theoretical study shows that our assembling can according to the the voice , the
realization of the assembling concerns the use of different integrated circuits performing
operation such as : singnal shaping, amplification, filtering .
Keywords :Relay,voice.