Introduction
Introduction
Introduction
II-Objectif :
Dans ce TP, il vous est demandé de :
1. Réaliser un réseau poste à poste entre deux ordinateurs.
2. Effectuer un partage de dossier dans le réseau précédemment.
III- Partie théorique
Pour faire face à la complexification croissante des systèmes et des codes (codes de représentation,
codes de comportement) on introduit la notion de couche et de composant.
Composant : un composant est une unité fonctionnellement bien identifiée et dont on peut
caractériser les interfaces.
Interface : c'est l'ensemble des actions qu'un composant N peut réaliser sur un composant
N+1 ou N-1 ou subir d'un composant N+1 ou N-1.
Protocole : c'est un ensemble de règles de conversation (ou suite d'actions) entre
composants que ce soit au niveau physique ou au niveau logique. Un protocole définit donc
les relations des composants, aux travers de leurs interfaces.
Pour diminuer la complexité, on définit les relations des composants deux à deux, et on limite le
nombre d’interfaces : A l'intérieur d'un système on découpe les traitements en couches superposées.
Une couche possède une interface directe avec les couches immédiatement adjacentes, et une
interface indirecte avec les couches de même niveau : Les couches d'un type donné sont décrites de
manière indépendante et sont supposées ne dialoguer qu'avec des couches du même type.
L'empilement des couches réalise donc une hiérarchie des protocoles de communication entre
couches de même niveau.
Le modèle OSI (Open Systems Interconnection) définit de quelle manière les ordinateurs et les
périphériques en réseau doivent procéder pour communiquer :
a) Description du modèle
Le modèle OSI, créé dans les années 80, se décompose en 7 parties appelées couches et suit les
préceptes suivants :
• une couche de niveau N communique avec les couches N+1 et N-1 par le biais d'une
Interface ;
• une couche inférieure transporte les données dela couche supérieure sans en connaître la
Signification ;
Commun.
L'organisation en couches permet d'isoler les fonctions réseaux et de les implanter indépendamment
de l'ensemble du système. Cette organisation facilite l'évolution des logiciels réseau (Client /
Serveur), en cachant les caractéristiques internes de la couche au profit de la description des
interfaces et des protocoles.
La couche physique
La couche physique se charge de la transmission de bits à l'état brut sur un canal de communication.
Un des objectifs de conception de ce niveau est de s'assurer qu'un bit à 1 envoyé sur une extrémité
arrive aussi à 1 de l'autre côté, et non à 0.
Les questions que l'on se pose portent généralement sur le nombre de volts à fournir pour
représenter un 1 et un 0, le nombre de nanosecondes que doit durer un bit, la possibilité de
transmission dans les deux sens en même temps, l'établissement initial d'une connexion et sa
libération lorsque les deux extrémités ont fini, ou encore le nombre de broches d'un connecteur et
leur rôle.
Le rôle principal de la couche liaison de données est de faire en sorte qu'un moyen de
communication brut apparaisse à la couche réseau comme étant une liaison exempte d'erreurs de
transmission. Pour cela, elle décompose les données sur l'émetteur en trames de données
(généralement de quelques centaines ou milliers d'octets), et envoie les trames en séquence. S'il
s'agit d'un service fiable, le récepteur confirme la bonne réception de chaque trame en envoyant à
l'émetteur une trame d'acquittement. Un autre point important à résoudre dans cette couche, mais
aussi dans la plupart des couches supérieures, est de savoir comment éviter qu'un récepteur lent soit
submergé par les données d'un émetteur rapide. Il faut souvent recourir à des mécanismes de
régulation pour que l'émetteur connaisse à tout moment la quantité d'espace disponible dans le
tampon du récepteur. Il est fréquent que les fonctions de régulation de flux et de gestion des erreurs
soient intégrées. Les réseaux à diffusion sont confrontés à une difficulté supplémentaire : comment
contrôler l'accès au canal partagé. C'est une sous-couche spéciale de la couche liaison de données, la
sous-couche d'accès au média, qui gère ce problème.
Couche réseau
Couche transport
La fonction de base de la couche transport est d'accepter des données de la couche supérieure, de
les diviser en unités plus petites si c'est nécessaire, de les transmettre à la couche réseau, et de
s'assurer qu'elles arrivent correctement à l'autre bout. De plus, tout ceci doit être réalisé
efficacement tout en maintenant les couches supérieures isolées des changements matériels
inévitables dus aux progrès technologiques. La couche transport détermine aussi le type de service à
fournir à la couche session, et finalement, aux utilisateurs du réseau. Le type de connexion de
transport qui connaît le plus grand succès est le canal point-à-point exempt d'erreurs, qui remet les
messages ou les octets dans l'ordre dans lequel ils ont été envoyés. Il existe d'autres types de
services de transport, tels que la remise de messages isolés sans garantie de l'ordre d'arrivée, ou la
diffusion de messages à plusieurs destinataires. Le type de service à assurer est déterminé lors de
l'établissement de la connexion. Il faut savoir qu'il est impossible d'obtenir un canal totalement
exempt d'erreurs : lorsque ce terme est employé, cela signifie que le taux d'erreurs est suffisamment
faible pour qu'il soit ignoré dans la pratique.
Couche session
La couche session permet aux utilisateurs de différentes machines d'établir des sessions. Une session
offre divers services, parmi lesquels, la gestion du dialogue (suivi du tour de transmission), la gestion
du jeton (empêchant deux participants de tenter la même opération critique au même moment), et
la synchronisation (gestion de points de reprise permettant aux longues transmissions de reprendre
là où elles en étaient suite à une interruption).
Couche présentation À la différence des couches les plus basses qui sont principalement concernées
par le déplacement des bits, la couche présentation s'intéresse à la syntaxe et à la sémantique des
informations transmises. Pour permettre la communication entre ordinateurs travaillant avec
différentes représentations de données, les structures de données échangées peuvent être définies
de façon abstraite et associées à un système d'encodage standard utilisé « au fil de l'eau ». C'est la
couche présentation qui gère ces structures de, données et autorise la définition et l'échange de
structures de plus haut niveau (par exemple, des enregistrements bancaires).
Couche application
La couche applications contient une variété de protocoles qui sont utiles aux utilisateurs. HTTP
(HyperText Transfer Protocol), qui forme la base du World Wide Web, est un protocole d'application
largement utilisé. Lorsqu'un navigateur doit afficher une page Web, il transmet le nom de la page au
serveur au moyen du protocole HTTP. Le serveur envoie la page en guise de réponse. D'autres
protocoles d'application sont utilisés pour le transfert de fichiers, le courrier électronique et les
nouvelles (news).
C-Tableau récapitulatif
En revanche, l’adresse MAC ne change jamais et permet quant à elle d’identifier chacun des
périphériques réseau, notamment sur un réseau local.
Windows
Sur Windows, cliquez sur le bouton “Démarrer”, puis tapez “cmd” dans “Rechercher” pour
atteindre l’Invité de Commande. Saisissez la fonction ipconfig /all (ou getmac /v) et vous
verrez l’adresse MAC s’afficher sur votre écran.
MAC
Sur MAC, sélectionnez le “Menu Pomme” puis “A propos de ce Mac”. Choisissez le menu
“Réseau” puis “Configurations” et vous verrez apparaître votre adresse MAC.
Adresse MAC
Ne doit pas être confondu avec Adresse physique, Adresse IP ou Macintosh.
Une adresse MAC (Media Access Control1), parfois nommée adresse physique2,
est un identifiant physique stocké dans une carte réseau ou une interface
réseau similaire. À moins qu'elle n'ait été modifiée par l'utilisateur, elle est unique au
monde. Le MAC (acronyme de Media Access Control) n'a aucun rapport avec
le Mac d'Apple (diminutif de Macintosh). Toutes les cartes réseau ont une adresse
MAC, même celles contenues dans les PC et autres appareils connectés (tablette
tactile, smartphone, consoles de jeux, frigos, montres connectées, ...).
MAC constitue la partie inférieure de la couche de liaison (couche 2 du modèle OSI).
Elle insère et traite ces adresses au sein des trames transmises. Elle est parfois
appelée adresse ethernet, UAA (Universally Administered Address), BIA (Burned-In
Address), MAC-48 ou EUI-48.
L'IEEE a défini un format similaire à 64 bits appelé EUI-64.
Utilisation
Les adresses MAC, attribuées par l'IEEE, sont utilisées dans beaucoup de
technologies réseau, parmi lesquelles [réf. nécessaire]:
ATM ;
Ethernet et AFDX ;
Réseaux sans fil Bluetooth ;
Réseaux sans fil Wi-Fi ;
Token Ring ;
ZigBee ;
LoRaWAN
Structure[modifier | modifier le code]
1 bit I/G : indique si l'adresse est individuelle, auquel cas le bit sera à 0 (pour
une machine unique, unicast) ou de groupe (multicast ou broadcast), en passant
le bit à 1 ;
1 bit U/L : indique 0 si l'adresse est universelle (conforme au format de l'IEEE)
ou locale, 1 pour une adresse administrée localement ;
22 bits réservés : tous les bits sont à zéro pour une adresse locale, sinon ils
contiennent l'adresse du constructeur ;
24 bits : adresse unique (pour différencier les différentes cartes réseaux d'un
même constructeur).
Les concepteurs d'Ethernet ayant utilisé un adressage de 48 bits, il existe
potentiellement 248 (environ 281 000 milliards) d'adresses MAC possibles.
L'IEEE donne des préfixes de 24 bits (appelés Organizationally Unique Identifier -
OUI) aux fabricants, ce qui offre 224 (environ 16 millions) d'adresses MAC disponibles
par préfixe.
Ordre de transmission
En Ethernet, le bit le moins significatif de chaque octet est transmis en premier, c'est-
à-dire que le bit I/G est le premier à être transmis. La convention de Token Ring est
inverse, ce qui peut mener à des confusions (RFC 24695).
EUI-64
Construction d'une adresse d'interface EUI-64 modifiée à partir d'une adresse MAC.
Adresses particulières
FF:FF:FF:FF:FF:FF Adresse broadcast
00:00:0c:07:ac:xx Adresses HSRP
00:00:5E:00:01:XX Adresses VRRP
Adresse IP
Une adresse IP (avec IP pour Internet Protocol) est un numéro d'identification qui est
attribué de façon permanente ou provisoire à chaque périphérique relié à un réseau
informatique qui utilise l'Internet Protocol. L'adresse IP est à la base du système
d'acheminement (le routage) des paquets de données sur Internet.
Il existe des adresses IP de version 4 sur 32 bits, et de version 6 sur 128 bits.
La version 4 est actuellement la plus utilisée : elle est généralement représentée en
notation décimale avec quatre nombres compris entre 0 et 255, séparés par
des points, ce qui donne par exemple « 172.16.254.1 ».
Réservé (13,7 %)
Historique (35,9 %)
RIPE NCC (13,7 %)
AfriNIC (1,6 %)
ARIN (14,1 %)
APNIC (17,6 %)
LACNIC (3,5 %)
L'IANA, qui est depuis 2005 une division de l'ICANN, définit l'usage des différentes
plages d'adresses IP en segmentant l'espace en 256 blocs de taille /8, numérotés de
0/8 à 255/8.
Les adresses IP unicast sont distribuées par l'IANA aux registres Internet
régionaux (RIR). Les RIR gèrent les ressources d'adressage IPv4 et IPv6 dans leur
région. L'espace d'adressage unicast IPv4 est composé des blocs d'adresse /8 de
1/8 à 223/8. Chacun de ces blocs est soit réservé, assigné à un réseau final ou à
un registre Internet régional (RIR) ou libreRFC 23738,9. En février 2011, il ne reste
plus aucun bloc /8 libre.
En IPv6, le bloc 2000::/3 est réservé pour les adresses unicast globales10. Des blocs /
23 sont assignés aux RIR depuis 1999.
Il est possible d'interroger les bases de données des RIR pour savoir à qui est
assignée une adresse IP grâce à la commande whois ou via les sites web des RIR.
Les RIR se sont regroupés pour former la Number Resource Organization (NRO)
afin de coordonner leurs activités ou projets communs et mieux défendre leurs
intérêts auprès de l'ICANN (l'IANA), mais aussi auprès des organismes de
normalisation (notamment l'IETF ou l'ISOC).
Plages d'adresses IP spéciales
IPv4
Bloc (adresse de
(adresse de fin
début Usage Référence
correspondante)
et taille CIDR)
Adresses privées :
Ces adresses ne peuvent pas être routées sur Internet. Leur utilisation par un
réseau privé est encouragée pour éviter de réutiliser les adresses publiques
enregistrées. Il faut toutefois prévoir qu'il n'y ait pas de doublon lors de
l'interconnexion de réseaux privés non prévue lors de leurs créations.
Adresses de diffusion :
Adresses spéciales
::/128 indique une adresse non spécifiée. Celle-ci est illégale en tant
qu'adresse de destination mais elle peut être utilisée localement dans une
application pour indiquer n'importe quelle interface réseau ou sur le réseau dans
une phase d'acquisition de l'adresse.
Adresses locales
En IPv6, les adresses locales de site fec0::/10 étaient réservées par
la RFC 351334 pour le même usage privé, mais sont considérées comme obsolètes
par la RFC 387935 pour privilégier l'adressage public et décourager le recours
aux NAT. Elles sont remplacées par les adresses locales uniques fc00::/7 qui
facilitent l'interconnexion de réseaux privés en utilisant un identifiant aléatoire de
40 bits.
En IPv6, les adresses fe80::/64 ne sont uniques que sur un lien. Un hôte peut donc
disposer de plusieurs adresses identiques dans ce réseau sur des interfaces
différentes. Pour lever une ambiguïté avec ces adresses de scope lien local, on
devra donc préciser l'interface sur laquelle l'adresse est configurée. Sous les
systèmes de type Unix, on ajoute à l'adresse le signe pourcent suivi du nom de
l'interface (par exemple ff02::1%eth0), tandis que sous Windows on utilise le numéro
de l'interface (ff02::1%11).
Adresses expérimentales obsolètes
Enjeux sociaux
Si l'adresse IP est initialement conçue dans un usage technique, elle pose aussi des
questions éthiques, dans la mesure où elle peut dans certains pays servir à agréger
un profil très détaillé d'une personne et de ses activités38[réf. non conforme].
Usages
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la
bienvenue ! Comment faire ?
L'identification par adresse IP se fait dans de multiples contextes très différents :
RFC 99744 — Internet numbers, mars 1987
RFC 79145 — Internet Protocol, septembre 1981 (IP).
RFC 151946 — Classless Inter-Domain Routing (CIDR): an Address
Assignment and Aggregation Strategy, septembre 1993
RFC 191813 — Address Allocation for Private Internets, février 1996
RFC 153147 — Dynamic Host Configuration Protocol, octobre 1993 (DHCP)
IPv4RFC 3330 — Special-Use IPv4 Addresses, septembre 2002
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