1 AS - Projet III - La Nouvelle PDF
1 AS - Projet III - La Nouvelle PDF
1 AS - Projet III - La Nouvelle PDF
Intention communicative:
Objet d’étude:
La nouvelle
Sujet :
En mobilisant tout ce que vous avez appris sur le récit au cours de votre scolarité,
complétez l'extrait suivant par des passages narratifs et descriptifs afin d'obtenir un récit
qui aura du sens.
Il arriva par le train, excité à l'idée de découvrir la grande ville. Il descendit de
son wagon et se retrouva sur le quai de la gare.
...................................................................................................................................
.........................................................................................................................................
.........................................................................................................................................
.........................................................................................................................................
Il rassembla ce qui lui restait d’affaires, remonta dans son train et se jura de ne
plus revenir dans ce lieu infernal.
Production proposée :
Texte :
Robert passait ses vacances d'été au bord de la mer, comme d’habitude. Le matin, il
partait pour la plage qui se trouvait juste devant la maison qu'il avait louée.
Un jour, il décida d'aller à la pêche aux crabes. Il prit un panier, se dirigea vers les
rochers que la mer découvrait complètement quand elle est basse, comme ce matin-là, et
commença sa pêche. Il était si absorbé par sa tâche qu'il ne se rendit pas compte à quel
point il s'éloignait du rivage.
Soudain, il vit que la mer était en train de remonter, et qu'il ne pouvait plus regagner la
plage. Alors, il se mit à crier, et appelait à l’aide.
Heureusement, un pêcheur l'entendit et vint le sauver avec sa barque. Après cette
mésaventure, le reste des vacances se passa tranquillement sur la plage.
Source : Internet
6 - Dans le troisième paragraphe, le mot " Soudain " peut être remplacé par :
Souvent - Toutefois - Tout à coup - Parfois. (Recopiez la bonne réponse)
Soudain = Tout à coup
Texte :
Robert passait ses vacances d'été au bord de la mer, comme d’habitude. Le matin, il
partait pour la plage qui se trouvait juste devant la maison qu'il avait louée.
Un jour, il décida d'aller à la pêche aux crabes. Il prit un panier, se dirigea vers les
rochers que la mer découvrait complètement quand elle est basse, comme ce matin-là, et
commença sa pêche. Il était si absorbé par sa tâche qu'il ne se rendit pas compte à quel
point il s'éloignait du rivage.
Soudain, il vit que la mer était en train de remonter, et qu'il ne pouvait plus regagner la
plage. Alors, il se mit à crier, et appelait à l’aide.
Heureusement, un pêcheur l'entendit et vint le sauver avec sa barque. Après cette
mésaventure, le reste des vacances se passa tranquillement sur la plage.
Source : Internet
6 - Dans le troisième paragraphe, le mot " Soudain " peut être remplacé par :
Souvent - Toutefois - Tout à coup - Parfois. (Recopiez la bonne réponse)
Mr. Chamekh Amor
Lycée Abi Obaida – Tébessa
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
I- Image du texte :
Observez le texte puis identifiez les éléments du paratexte.
- Un titre : une vendetta
- Nombre de paragraphes : 11 paragraphes.
- Auteur : Guy de Maupassant.
- Source : Boule de suif et autres nouvelles. ENAG, éditions (1988)
V- Analyse :
1- Quels sont les personnages qui figurent dans ce texte ?
Les personnages : la veuve de Paolo Saverini - Le fils Antoine Saverini - La chienne
Sémillante - Nicolas Ravolati - un pecheur sarde.
2- Qu’est-t-il arrivé à Antoine Saverini ?
Antoine Saverini fut tué par Nicolas Ravolati.
3. Où se réfugiait Nicolas Ravolati ?
Il se réfugiait à la Sardaigne.
4- Que promit la veuve Saverini à son fils ?
Elle lui promit la vendetta (la vengeance)
5. Comment la veuve arriva-t-elle à se venger ? Qui l’aidait dans son projet ?
Elle arriva à se venger en tuant Nicolas Ravolati à l’aide de sa chienne.
6. Expliquez la fin du récit.
La veuve dormit bien car elle a réussi à se venger à son fils.
7- Relevez dans le texte les termes et expressions qui expriment un sentiment, une sensation.
« Traitreusement, ne pleura pas, mon pauvre enfant, vendetta, songeant la vengeance, eut une
idée de sauvage vindicatif et féroce, furieuse, surprise, affolée, frémissait, elle dormit
bien… »
8- Relevez du texte tous les indicateurs de temps.
Les indicateurs de temps : un soir - la nuit- du matin au soir - tout à coup - tout le jour et
toute la nuit - au jour levé - une semaine après - depuis deux jours - pendant quelques
secondes - le soir.
9- Quels sont les temps qui dominent dans ce texte ? Justifiez leur emploie ?
Les temps employés : (L’imparfait - décrire), (le passé simple - raconter)
10-L e narrateur est il un personnage extérieur ou intérieur à l’histoire ?
Le narrateur est un personnage extérieur.
11- D’après les évènements racontés, cette nouvelle est- elle réaliste ou fantastique ?
C’est une nouvelle réaliste.
VI- Synthèse :
A partir l’analyse du texte tracez le schéma narratif en complétant le tableau suivant :
7- Relevez dans le texte les termes et expressions qui expriment un sentiment, une sensation.
9- Quels sont les temps qui dominent dans ce texte ? Justifiez leur emploie ?
11- D’après les évènements racontés, cette nouvelle est- elle réaliste ou fantastique ?
- Synthèse :
A partir l’analyse du texte tracez le schéma narratif en complétant le tableau suivant :
Situation initiale
Elément perturbateur
Déroulement des
Actions
événements
Dévouement
Situation finale
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
I- Eveil de l’intérêt :
- Votre cousin(e) vous fait part de son mariage. Pour ‟ vous mettre sur vos 31”, qu’est ce que
vous portez ?
On porte des accessoires : bijoux, montre, chapeau ou cravate.
- Si vous ne possédez pas cet accessoire, qu’est ce que vous faites ?
On sollicite un ami, un voisin pour l’emprunter.
VI- Analyse :
1- Qui est Mathilde Loisel ? Comment vivait-elle ?
Mathilde est l’épouse de Monsieur Loisel, un employé du ministère de l’instruction. C’est une
charmante femme qui menait une vie simple, modeste, aisée. Songeuse.
7- Du sixième paragraphe, relevez les phrases qui montrent que la vie de la famille Loisel a
totalement changé depuis la perte du bijou.
- Ils s’endettaient lourdement; Ils déménageaient;
- Ils devenaient pauvres et menaient une vie horrible des nécessiteux.
- Mathilde était obligée de faire le travail des domestiques
- Le mari faisait de rudes petits travaux d'écriture après son travail.
8- Après dix ans, Mme Loisel et Mme Forestier se rencontrent dans un parc à Paris.
Elles se sont avoué des vérités. De quelles vérités, s’agit-il ?
- Mme Loisel révèle à son amie, toute la vérité, à-propos de la parure empruntée (perdue puis
remplacée par une autre toute identique).
- A son tour Mme Forestier lui avoue une vérité plus choquante que celle de son amie : le bijou
n’était pas fait en vraies pierres de diamants. La parure était fausse. Elle valait au plus cinq
cents francs!
9- Relevez du texte tous les indicateurs de temps.
Les indicateurs de temps : Un soir, soudain, dix années, un dimanche, autrefois, durant la
soirée.
10- Quels sont les temps qui dominent dans ce texte ? Justifiez leur emploie ?
Les temps employés :
- L’imparfait – décrire
- Le passé simple – raconter
11- D’après les évènements racontés, cette nouvelle est- elle réaliste ou fantastique ?
C’est une nouvelle réaliste.
VII- Synthèse :
Dégagez la structure du récit en complétant le tableau ci-dessous :
Outils
Structure du récit Contenu
linguistiques
Situation initiale Présentation et
[C’était une de ces jolies filles … description des Le portrait de Mathilde - L’imparfait
pour elle] personnages
L’invitation - Les indicateurs de
Actions L’emprunt temps
Déroulement des événements
Le bal - Soudain
[Un soir … qui sait ?]
La perte de la parure - Le passé simple.
Perturbation L’endettement
Situation finale La rencontre de Mme Forestier
Résolution
[Un dimanche … 500 F !] La parure était fausse
La parure
C’était une de ces jolies et charmantes filles. Elle n’avait aucun moyen d’être connue,
comprise, aimée, épousée par un homme riche; et elle se laissa marier avec M. Loisel, un
petit employé du ministère de l’instruction publique, mais qui en fait beaucoup pour elle.
Un soir, son mari rentra du travail, arrivant avec une invitation pour une fête organisée
par le ministre de l’Instruction, à Paris. Il demanda à son épouse de l’ accompagner à cette
fête; chose qu’elle refusa au début…
Ayant le désir d’être la reine du bal, Mathilde décide d'emprunter une parure de diamant
à son amie riche Madame Forestier.
La soirée se déroulait à merveille. Mathilde était plus jolie que toutes, élégante, souriante
et folle de joie. Tous les hommes la regardaient.
En rentrant à la maison, elle changea ses vêtements. Mais soudain elle poussa un cri. Elle
n'avait plus sa parure autour du cou! En effet sa vie et celle de son mari va basculer du tout
au tout, désormais.
Toutes les recherches n'y changent rien, et le précieux bijou estimé à 40 000 francs
demeure introuvable. Gênée, elle n'ose rien dire à son amie et elle lui acheta une parure
identique. Endettant lourdement sa famille pour rembourser les crédits engagés : ils
déménagent. Mathilde connut la vie horrible des pauvres étant obligée de faire tous les
pénibles travaux réservés aux domestiques. Le mari fait de rudes petits travaux d'écriture
après son travail. Cela dure dix ans.
Madame Loisel semblait vieille, maintenant. Mais parfois, elle rêvait à cette soirée
d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle. Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu
cette parure ? Qui sait ? Qui sait ?
Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Élysées, elle rencontra
Madame Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante et décida enfin de lui
avouer la vérité.
- « J’ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères... et cela à
cause de toi !... pour pouvoir remplacer le collier que tu m’avais prêté, et que j’avais perdu
durant la soirée ».
- Madame Forestier, désolée, lui répondit :
« Oh ! Ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents
francs !... »
D’après Guy de Maupassant,
Boule de Suif et autres nouvelles. ENAG édition 1988.
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
Observation :
1- Repérez les éléments du paratexte.
Paratexte : - Titre : ‘Un jour quand j’étais enfant’
- Nombre de § : 03§
- Source : L’enfant noir.
D’après les éléments cités, pouvez-vous dire de quoi le texte va-t-il nous parler ?
Le texte va nous parler d’une histoire d’un enfant.
Lisez le texte et soulignez les indicateurs de temps.
Les indicateurs de temps : brusquement – presque aussitôt – un peu plus tard.
Analyse :
1- Relevez tout ce qui peut vous aider à identifier avec précision le lieu de l’action.
Le lieu d’action : (près de la case de mon père - dans l'atelier - autour de la case - dans la cour)
4- Quels sont les temps employés dans le texte ? Justifiez leur emploi.
Les temps employés : (L’imparfait - décrire), (le passé simple - raconter)
5- Complétez le tableau suivant (schéma narratif) à partir du texte :
Etapes du récit Contenu
Situation initiale Présentation des personnages et du lieu de l’action
Déroulement des événements a) Brusquement.
a) Elément modificateur b) Actions :
b) Actions - L’enfant vit un serpent rampait autour de la case.
- Il joua avec le serpent.
- Damany le sauva.
Situation finale La mère l’avertit.
Un jour quand j’étais enfant
J'étais enfant et je jouais près de la case de mon père. Je devais être très jeune encore:
cinq ans, six ans peut-être. Ma mère était dans l'atelier, près de mon père, et leur voix me
parvenaient rassurante, tranquille, mêlée à celles des clients de la forge et au bruit de
l'enclume.
Brusquement j'interrompis de jouer, l'attention, toute mon attention, fut captée par un
serpent qui rampait autour de la case, je m’approché bientôt. Je ramassai un roseau qui
traînait dans la cour et, à présent, j'enfonçai ce roseau dans la gueule de la bête. Le serpent
ne se dérobait pas: il prenait goût au jeu; il avala lentement le roseau, il l'avala comme une
proie. Il vint un moment où le roseau se trouva à peu près englouti, et où la gueule du
reptile se trouva terriblement proche de mes doigts. Je riais, je n'avais pas peur du tout, et
je crois bien que le serpent n'eût plus beaucoup tardé à m'enfoncer ses crochets dans les
doigts si, à l'instant, Damany, l'un des apprentis, ne fût sorti de l'atelier. L'apprenti fit signe
à mon père, et presque aussitôt je me sentis soulevé de terre: j'étais dans les bras d'un ami
de mon père !
Un peu plus tard, j’entendis ma mère m’avertir sévèrement de ne jamais
recommencer un tel jeu.
Camara LAYE. In. L’enfant noir. Ed. Plon. Paris. 1953
A- Observation :
- Dégagez le paratexte.
B- Analyse :
1- Relevez tout ce qui peut vous aider à identifier avec précision le lieu de l’action
4- Quels sont les temps employés dans le texte ? Justifiez leur emploi.
Synthèse :
- A partir de cette étude complétez le résumé suivant par le mot qui convient :
Je voyageai avec quelques marchands sur bateau vers Bassora jusqu’à ce que nous
percevions une ile, nous décidâmes d’embarquer, tout à coup, l’ile bougea et ce ne fus que le
dos d’un géant, chacun se plongea dans l’eau pour rejoindre le bateau mais je restai seul à la
mer pendant deux jours.
Un homme me sauva et je rejoignais mes camarades qui étaient heureux de me voir.
A la mort de mes parents, je me rendis à la Bassora, où je m’embarquais avec plusieurs
marchands sur un vaisseau.
Un jour que nous étions sous voiles en pleine mer, le calme nous prit en face d’une petite ile,
et quelques-uns d’entrer nous y débarquèrent avec la permission du capitaine. Mais l’ile tre mbla
tout à coup et nous donna une rude secousse.
Du vaisseau, on nous cria de nous débarquer car cette ile n’était que le dos d’une baleine
géante, les plus heureux se sauva dans la chaloupe, d’autres se jetèrent à l’eau et nagèrent vers le
navire. J’étais encore sur l’ile, ou plutôt sur la baleine lors qu’elle plongea brusquement, et je
n’eus que le temps de me cramponner à un morceau de bois.
Croyant avoir recueilli tous ses passagers, le capitaine fit hisser les voiles et le navire
s’éloigna rapidement, je demeurais seul pendant deux jours. Enfin, le courant me jeta contre une
ile où je réussi à prendre pied.
Un moment après, un homme parut, vint à moi et me demanda qui j’étais. Je lui racontais
mon aventure, après quoi, il me fit entrer dans une grotte où il y avait d’autres personnes.
Le lendemain ; ils reprirent le chemin de la capitale et me conduisirent au roi Mihrage, que le
récit de mes aventures apitoya fort. Il ordonna que l’ont prit soin de moi et que l’on me fournit de
tout ce qui me manquait.
Un jour que j’étais allé au port, un navire y vint décharger de marchandises. Il arriva bientôt
des gens du navire qui me reconnurent témoignèrent une grande joie me revoir.
Dieu soit loué, me dit le capitaine, de vous avoir tiré sain et sauf d’un si gr and danger. Voila
vos bien, que nous allions vendrez au bénéfice de votre famille. Tout y est, reprenez-les !
Je choisis ce qu’il y avait de plus précieux et j’en fis cadeau au roi Mihrage pour remercier.
Après un excellent voyage, nous abordâmes enfin à Bassora.
Histoire de Sindbad le marin ; Les mille et une nuits - Tome II
Analyse :
1- Quels sont les personnages du récit ?
2- Complétez le tableau suivant ?
Indicateurs de temps Indicateurs de lieu
Synthèse :- A partir de cette étude complétez le résumé suivant par le mot qui convient :
Bassora, heureux, l’ile, le bateau, marchands,
Je voyageai avec quelques ………….. sur bateau vers ………….., jusqu’à ce que nous
percevions une ile, nous décidâmes d’embarquer, tout à coup, ………….. bougea et ce ne fus
que le dos d’un géant, chacun se plongea dans l’eau pour rejoindre ………….. mais je restai
seul à la mer pendant deux jours.
Un homme me sauva et je rejoignais mes camarades qui étaient ………….. de me voir.
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
2- Observez ces phrases et dites quelle est la valeur du passé simple dans chaque phrase ?
1/- l’enfant tomba une seule fois. L’action unique
2/- Ce jour là, mon père travailla trois heures. Une durée achevée
3/- Hier matin, Il se peignit trois fois. Répétition sans idée de durée
4/- Le ciel se couvrit, tout à coup, il se mit à pleuvoir et l’on vit un éclair. Narration
A retenir :
- L’imparfait exprime un fait passé, mais non achevé (imparfait) entrain de se réaliser
pendant qu’une autre action se produit.
- Le passé simple exprime un fait passé rapide qui s’est produit à un moment précis et qui
est complètement achevé.
1/- Autrefois, nous (passer) les vacances d’hiver chez mes grands parents. Pour préparer
Noël avec nos cousin, nous (décorer) toute la maison. Devant le sapin tout le monde
(danser) et mon grand père (rire) de nous voir heureux. Mes cousines (espérer) ne pas
avoir les mêmes jouets que l’année précédente.
Un jour de Noël, je (regarder) avec tendresse le visage ridé de ma grande mère.
Lorsqu’elle me (voir), elle m (emmener) prés de sapin. Elle (rire) mon regard ébahi
devant tant de cadeaux. A ce moment là, mon père (apporter) la buche. Nous (faire)
silence mais dans nos yeux (refléter) le bonheur.
2/- La journée (être) superbe, les oiseaux (chanter), une brise (siffler). Je (prendre) une
grande inspiration et je me (réjouir) de ce délicieux moment. Je (marcher) ainsi depuis
deux heures lorsque je (rencontrer) Nicolas.
a) Un jour, dans l’école, un petit mioche au visage pâle inquiet se tint tout seul dans un
coin, les mains au dos.
b) Omar avait de temps en temps l’occasion de calmer sa faim. En effet, il faisait de petites
commissions pour Yamina, une voisine… Elle le récompensait en lui donnant une tranche
de pain avec un fruit.
d) Arrivé à bonne distance, il s’arrêta épia le petit garçon. Il le vit de loin fixer des yeux le
bout de pain, puis le saisit d’un geste furtif et mordre dedans.
e) Omar laissa tomber à ses pieds ce qui lui restait de croûton, fit semblant de ne pas s’en
apercevoir et continua de courir.
M. Dib « La grande maison ».
Corrigé : b – a – e – d - c.
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
Sujet 1:
Sujet 2:
C’était un jeudi de novembre, il était midi passé et comme tous les jours à cette
heure-là, nous sortions du lycée en nous pressant et en bavardant gaiement.
Nous marchions en groupe moi et mes copines depuis à peine quelques instants,
quand tout à coup une voiture grise est arrivée à toute vitesse sur nous . . .
Support : ‘Les vrillettes sont-elles des fantômes ?’ ; Pierre Pascaud « La vie des bêtes ».
2- Parmi les substituts relevés, quels sont ceux qui représentent réellement le fantôme ?
Les vrillettes, les insectes.
3- Par quel verbe pouvez-vous remplacer le verbe « dire » pour introduire les paroles du
paysan et celles de Dégeer ?
Déclara, affirma le paysan, proposa Dégeer.
b- d- a- f- c- e.
Les vrillettes sont-elles des fantômes ?
Par une nuit d’automne de 1809, en pleine campagne bretonne, le naturaliste Dégeer trouva
porte close chez les amis qu’il était venu voir. Il demanda alors l’hospitalité à leur fermier.
« Je suis heureux de vous accueillir sous mon toit, lui dit le paysan, mais je ne pourrai vous
offrir que la chambre du mort. J’espère que vous n’avez pas peur des fantômes. Le nôtre est
celui d’un officier républicain tué lors d’une bataille. Son âme revient chaque nuit dans la
chambre. Les paysans s’étaient partagés ses affaires : sa montre revint à mon oncle qui, rentré à
la maison, constata qu’elle ne marchait pas. Il la mit sous l’oreiller et s’endormi. Au milieu de
la nuit, il se réveilla et entendit le tic-tac alors que les aiguilles demeuraient immobiles. Le
lendemain, il s’empressa de vendre la montre et de donner l’argent à l’église. Pourtant le tic-tac
continua dans la chambre ensorcelée où mon oncle refusa désormais de coucher. Depuis, aucun
de nous n’a osé aller y dormir. »
« Eh bien, dit Dégeer. Je ne serai pas venu chez vous pour rien, car je me charge de vous
débarrasser dès cette nuit du fantôme. »
Dégeer avait déjà deviné, pendant le récit de son hôte, que les vrillettes étaient certainement
à l’origine des bruits suspects. Il réussit à trouver deux ces insectes et, le lendemain les montra
triomphalement au paysan.
La minuscule vrillette, que les paysans appellent « l’horloge de la mort », fait un bruit qui,
en effet, rappelle le battement d’une montre. Elle creuse des galeries, de préférence dans les
meubles, et certains entomologistes disent qu’elle produit son tic-tac en frappant ses
mandibules d’un coup sec sur les bois.
Pierre Pascaud « La vie des bêtes ».
2- Parmi les substituts relevés, quels sont ceux qui représentent réellement le fantôme ?
3- Par quel verbe pouvez-vous remplacer le verbe « dire » pour introduire les paroles du
paysan et celles de Dégeer ?
Texte : le voyageur
Un voyageur très fatigué s’assit à l’ombre d’un arbre sans se douter qu’il venait de
trouver un arbre magique. « L’Arbre à réaliser des Souhaits ».
Assis sur la terre dure, il pensa qu’il serait bien agréable de se retrouver dans un lit
moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à coté de lui.
Etonné, l’homme s’y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une
jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa très
agréablement.
« J’ai faim, se dit l’homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. ».
Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.
L’homme se régla. Il mangea et il lut. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous
l’action du vin et de la fatigue, s’abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en
pensant encore aux merveilleux événements de cette journée extraordinaire
« Je vais dormir une heure ou deux, se dit il. Le pire serait qu’un tigre passe par ici
pendant que je dors ».
Un tigre surgit aussitôt et le dévora.
O. S. Marden
1- Qui est le personnage principal du récit ?
Un voyageur.
I- Observation :
1- Observez tous les éléments paratextuels, puis dégagez les différentes composantes du texte.
Titre; "la peur"
Texte composé de 8 paragraphes.
La source : contes et nouvelles
II- Analyse :
1- Choisissez les bonnes réponses
a- Où la scène s'est-elle passée?
- Au milieu de la foret de France - Au bord de la mer - Au bord de la rivière
b- Quand la scène s'est-elle passée?
- Le matin - L'après-midi - La nuit
2- Repérez les trois personnages du récit puis reliez chacun d'eux à sa définition
4- Complétez le résumé du texte ci-dessous avec des mots que vous relevez du texte :
« Après une rude journée de chasse, Tourgueniev décida de se baigner dans une rivière. Le
chasseur prit peur en apercevant un monstre. Fou d’épouvante, il se sauva pourchassé par la
bête.
Un berger vint à son secours et frappa la chose. Le mystère s’éclaircit enfin : ce n’était
qu’une folle.
5- Voici huit (8) titres dans le désordre. Ils résument chacun un paragraphe. Remettez-les dans l'ordre.
a- Tourgueniev a peur
b- Présentation du personnage principal
c- Entrée en jeu d'un personnage nouveau
d- Description du lieu
e- La fuite
f- L'apparition de la main
g- Présentation du deuxième personnage
h- Explication du mystère
1 2 3 4 5 6 7 8
d b f g a e C h
III- Synthèse :
Complétez le tableau suivant par ces mots:
La folle, Tourgueniev, Lui-même, L’impérieux besoin de se jeter dans la rivière, Le berger, La fuite
Destinateur; Objet; Destinataire;
L'impérieux besoin de se
jeter dans la rivière La fuite Lui-même
I- Observation :
1- Observez tous les éléments paratextuels, puis dégagez les différentes composantes du texte.
2- Repérez les trois personnages du récit puis reliez chacun d'eux à sa définition
4- Complétez le résumé du texte ci-dessous avec des mots que vous relevez du texte :
« Après une rude journée de chasse, ……… décida de se baigner dans une ……….
Le chasseur prit peur en apercevant un ………. Fou d’épouvante, il se sauva pourchassé
par la bête.
……… vint à son secours et frappa la chose. Le mystère s’éclaircit enfin : ce
n’était qu’une ……… ».
5- Voici huit (8) titres dans le désordre. Ils résument chacun un paragraphe. Remettez-les dans
l'ordre.
a- Tourgueniev a peur
b- Présentation du personnage principal
c- Entrée en jeu d'un personnage nouveau
d- Description du lieu
e- La fuite
f- L'apparition de la main
g- Présentation du deuxième personnage
h- Explication du mystère
III- Synthèse :
Complétez le tableau suivant par ces mots: La folle, Tourgueniev, Le berger, La fuite
Destinateur; Objet; Destinataire;
Observation :
1- Repérez les éléments du paratexte.
Paratexte : - Titre : ‘Chasse à la gazelle’
- Nombre de § : 03§
- Source : Je t’offrirai une gazelle.
2- D’après les éléments cités, pouvez-vous dire de quoi le texte va-t-il nous parler ?
L’auteur va nous raconter une histoire de :
- Un animal qui chasse une gazelle.
- Un homme qui chasse une gazelle.
Analyse :
1- Relevez tous les personnages qui figurent dans le texte.
Les personnages : Ali, Moulay et Yaminata.
2- Où se passe la scène ?
La scène se passe dans le désert.
5- Quels sont les temps employés dans le texte ? Justifiez leur emploi
Les temps employés : - L’imparfait ……….…….. décrire
- Le passé simple ………… raconter
7- Relevez les éléments du schéma actantiel dans le récit puis classez-les dans la grille suivante :
Le destinateur Yaminata
Les personnages principaux (sujets) Ali et Moulay
L’objet de la quête Ramener une gazelle vivante à Yaminata.
Le(s) adjuvant(s) Le camion qui permet la poursuite à travers le désert
Le(s) opposant(s) - Les dunes
- La rapidité des gazelles (80Km/h)
Le destinataire Yaminata
Synthèse :
Elaborez le schéma narratif du texte selon le tableau suivant :
1. Situation initiale
le lieu - Le désert saharien. Près de Fort-Flatters.
le but - Attraper une gazelle vivante.
le moment - Vers le milieu de l’après- midi
les personnages - Ali et Moulay
2. L’élément modificateur Des traces de deux gazelles.
3. la transformation La chasse commença. (le camion les prit en chasse.)
4. L’élément de résolution Moulay veut une gazelle vivante. (la poursuite commença)
5. La situation finale La plus petite, faible, épuisée, s’assit sagement, regarda
longuement ses ennemis et mourut.
Chasse à la gazelle
Un jour, avant d’arriver à Fort-Flatters, vers le milieu de l’après-midi, Moulay, Ali et
Yaminata se promenaient dans leur camion parmi les arbustes qui poussaient misérablement dans
ce désert. Ils étaient munis d’outils de chasse.
Soudain, Ali remarqua des traces qu’il reconnut aussitôt. Deux gazelles passaient depuis peu!
Ali chargeait sa carabine italienne. Il riait par ses yeux. « Vivante, je la veux vivante », demanda
Yaminata. Le camion roulait lentement. Attentif, Ali s’installa, un pied posé sur l’aile rayée par le
sable. Moulay ordonna : « Pose ce fusil ! Vivante ! Yaminata veut une gazelle vivante… ». Les
deux gazelles dressèrent leur museau pointu ; elles regardèrent l’ennemi en face. Elles détalèrent
en évitant les dunes fermes qui auraient permis au camion de passer. Elles coupèrent par une sorte
de plateau rouge. Mais au bout de ce plateau, il y avait d’autres dunes, de vraies dunes celles-là,
énormes, hautes d’une cinquantaine de mètres. La poursuite commença. Le camion fonçait, toute
sa ferraille grinçant joyeusement. Nerveux, Moulay accélérait : son pied défonçait le plancher ; le
volant lui battait les poignets et la poitrine. Il scrutait l’horizon, impatient et plein d’espoir. Mais
les gazelles, lancées purent atteindre la vitesse de quatre-vingt kilomètres à l’heure.
Cependant, la distance diminuait, les gazelles se rapprochaient. La plus petite se détacha ;
faible, épuisée, elle s’avoua vaincue ; son cœur allait éclater. Elle s’assit sagement. Sa tête se
pencha doucement. Elle regarda longuement ses ennemis, et mourut en pleurant.
D’après Malek Haddad, «Je t’offrirai une gazelle ». (Ed. R. Julliard).
Analyse :
1- Relevez tous les personnages qui figurent dans le texte.
2- Où se passe la scène ?
3- Quand se passe la scène ?
4- Combien de séquences voyez-vous dans ce récit ?
Relevez l’expression qui vous a permis de les retrouver.
5- Quels sont les temps employés dans le texte ? Justifiez leur emploi
6- Relevez du texte 2 énoncés descriptifs qui expriment :
a) L’agressivité des deux hommes.
b) Le sentiment de sympathie de l’auteur envers les deux gazelles.
7- Relevez les éléments du schéma actantiel dans le récit puis classez-les dans la grille
suivante :
Le destinateur
Les personnages principaux (sujets)
L’objet de la quête
Le(s) adjuvant(s)
Le(s) opposant(s)
Le destinataire
Synthèse : Elaborez le schéma narratif du texte selon le tableau suivant :
1. Situation initiale
- Le lieu
- Le but
- Le moment
- Les personnages
2. L’élément modificateur
3. La transformation
4. L’élément de résolution
5. La situation finale
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
Analyse :
1- Par quelle formule est introduit le texte et quel est son type ?
Il était une fois / le conte
7- Choisit parmi les mots suivants, ceux qui caractérisent la femme du pêcheur ?
Générosité, malice, avidité, intelligence, insatisfaction, faiblesse, gaspillage.
La femme du pêcheur : Avidité, insatisfaction, gaspillage
8- La carpe a réagi de sorte à la dernière demande de la femme parce que :
- Elle a compris que la femme était gentille et elle se contente toujours de peu
- Elle a compris que la femme du pêcheur est devenue plus riche.
- Elle a compris que la femme du pêcheur était avide et égoïste et cherchait toujours
plus, elle ne se contente pas du peu
Synthèse :
A partir de cette étude faites le schéma actanciel.
Il était une fois un pêcheur qui vivait à la compagne avec sa femme. Ils habitaient une
pauvre cabane.
Un jour, le pêcheur attrapa une carpe. Celle-ci lui proposa un marché :
- Si tu me laisse repartir, tu auras tout ce que tu voudras.
- Oui, affaire conclue, répondit le pêcheur.
Aussitôt arrivé chez lui, conta l’aventure à sa femme.
Celle-ci demanda une maison.
L’homme retourna au lac et présenta le souhait de son épouse. La carpe exauça ce souhait
sur le champ. Le pêcheur et sa femme poussèrent des cris de joie en voyant la belle petite
maison.
Hélas, la femme du pêcheur, qui avait gouté à la richesse, voulut, quelques mois plus tard,
habiter dans une magnifique demeure. La carpe exauça encore ce souhait.
Elle voulut ensuite habiter dans un château et être la reine du pays.
La carpe accepta mais pour la dernière.
La femme patienta de longs mois sans rien demander, mais un jour, elle demanda à son mari
d’aller voir la carpe, car elle voulait habiter la lune. Le pauvre homme y alla. La carpe, très
courroucée, fit un geste et le pêcheur et sa femme se trouvèrent dans leur petite cabane aussi
pauvre qu’auparavant.
Quant à la carpe, elle disparut pour toujours.
Conte d’Algérie. Texte recueillis par G. Baroud
Analyse :
1- Par quelle formule est introduit le texte et quel est son type ?
2- L’événement raconté est il réel ? Justifiez votre réponse ?
3- Quels sont les personnages du récit ?
4- Complétez le tableau suivant ? Indicateurs de temps Indicateurs de lieu
7- Choisit parmi les mots suivants, ceux qui caractérisent la femme du pêcheur ?
Générosité, malice, avidité, intelligence, insatisfaction, faiblesse, gaspillage.
8- La carpe a réagi de sorte à la dernière demande de la femme parce que :
- Elle a compris que la femme était gentille et elle se contente toujours de peu
- Elle a compris que la femme du pêcheur est devenue plus riche.
- Elle a compris que la femme du pêcheur était avide et égoïste et cherchait toujours plus,
elle ne se contente pas du peu Situation initiale
9- Complétez le tableau suivant ?
L’élément perturbateur
-
Déroulement des événements
A retenir :
Le présent imparfait
Le passé composé plus que parfait
Le futur conditionnel présent
Le futur antérieur conditionnel passé
Est-ce que / les questions inversées si
Impératif de + l’infinitif
Qu’est ce que ce que
Qu’est ce qui ce qui
Les questions directes garder le mot interrogatif
Aujourd’hui ce jour là
Hier la veille
Demain le lendemain
Ici là
- Le schéma actanciel :
Le sujet (le héros) est le personnage qui doit accomplir la mission (l’action).
L’objet est ce que le sujet s’efforce de réaliser, d’atteindre ou d’obtenir
Le destinateur désigne au sujet le but à atteindre et le pousse à agir.
Le destinataire est l’ultime bénéficiaire des gestes posés par le sujet.
L’opposant fait obstacle aux visées du sujet.
L’adjuvant vient en aide au sujet dans la réalisation de son entreprise.
Sujet:
6-« Il lui mordit les pattes et le força à détourner contre lui sa colère. Alors, le chameau m’abandonna et
poursuivit le lévrier. »
Réécrivez la phrase en remplaçant « il »par son pluriel
« Ils »« Ils lui mordirent les pattes et le forcèrent à détourner contre lui sa colère. Alors, le
chameau m’abandonna et poursuivit le lévrier. ».
7- Classez les éléments suivants selon le tableau: Sauvetage du garçon, le Sloughi, l’oncle, le garçon, le
chameau
Le destinateur Le destinataire La mission Le héros L’adjuvant L’opposant
L’oncle. / Sauvetage du garcon Le garcon Le saloughi. Le chamaux.
8- Complétez le passage suivant par ce qui est proposés dans la liste ci-dessous :
Sud du pays ; chien, quand, fou furieux, attaqua ; heureusement
« Un jour, quand j’étais enfant, j’allais chez mon oncle au sud du pays une de ses bêtes
enragées m’attaque subitement, un chien m’a sauvé la vie en détournant l’attention du fou
furieux animal ».
Texte :
Lorsque j’étais enfant, on m’envoyait chaque année passer les grandes vacances chez
mon oncle. C’était un nomade qui vivait dans les hauts plateaux du sud algérien. Il possédait
un immense troupeau de chameaux et de moutons. Rien ne me paraissait aussi beau que le
retour des troupeaux au crépuscule. Un grand bonheur me réchauffait lorsque je voyais mon
oncle assis devant sa tente, les jambes croisées et souriant dans sa barbe blanche à
l’apparition des bergers.
Ma première grande peur arriva vers ma onzième année : un des chameaux qui
d’habitude était très calme et se laissait tranquillement guider " par le bout du nez " par un
enfant, devint subitement enragé, fou furieux. et je ne sais pourquoi, il s’en prit à moi. Il me
poursuivit en poussant de sourds grognements, une affreuse bave rouge s’échappant de ses
lèvres. Je me sauvais mais il me suivait partout. Je faisais de brusques écarts pour lui
échapper mais il courait très vite. Soudain, un vieux sloughi, un pur lévrier couleur chamois,
s’élança derrière le chameau. Il lui mordit les pattes et le força à détourner contre lui sa
colère. Alors, le chameau m’abandonna et poursuivit le lévrier.
Affalé à terre, exténué, le souffle coupé, je regardais les deux animaux disparaître au loin
: je l’avais échappé belle. Une heure après, je vis le chien revenir tranquillement s’étendre à
l’ombre. Je me levais et j’allai m’étendre près de lui. Pour le remercier de m’avoir sauvé la
vie, je le caressai avec douceur.
Abdelhamid Baitar "Je suis algérien" (éd S.N.E.D)
1- L’auteur est t-il narrateur et personnage de cette histoire ? Justifiez votre réponse.
2- « Rien ne me paraissait aussi beau que le retour des troupeaux au crépuscule »
La scène se passe
- la fin de l’après midi
- Le début de la journée
- La fin de la matinée
- La fin de la matinée
4- Le garçon éprouvait un sentiment de joie, relevez le mot qui le montre
6- A qui renvoient les mots soulignés dans les passages suivants :
« Le chameau a poursuivi l’enfant qui a couru de toutes ses forces pour lui échapper»
« Ils ne se sont plus quittés »
7- Relevez un mot et deux expressions relatifs au mot « Fatigue »
8-« Il lui mordit les pattes et le força à détourner contre lui sa colère. Alors, le chameau
m’abandonna et poursuivit le lévrier. »
Réécrivez la phrase en remplaçant « il »par son pluriel
10- Classez les éléments suivants selon le tableau : Sauvetage du garçon, le Sloughi ; l’oncle, le
garçon, le chameau.
11- Complétez le passage suivant par ce qui est proposés dans la liste ci-dessous :
Sud du pays ; chien, quand, fou furieux, attaqua ; heureusement
« Un jour......... j’étais enfant, j’allais chez mon oncle au ........., une de ses bêtes enragées
m’......... subitement, un......... m’a sauvé la vie en détournant l’attention du.........animal ».
Mr. Chamekh Amor
Lycée Abi Obaida – Tébessa
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
A- Image du texte :
Le titre : Sans titre
La source : Jules Verne, Vingt mille lieues sous les mers, 1870 (deuxième partie- XVTII).
B-Hypothèse de sens :
- D'après le début du premier paragraphe et la source, de quel type de texte s'agit-il ?
- C'est une nouvelle.
C-Lecture silencieuse+Vérification du sens.
Repérez du texte tous les expressions qui décrivent cet animal.
Enorme yeux, monstre horrible, la bouche-bec de corne, plusieurs rangées de dents aiguës,…
D- Analyse :
1- Où se trouve l’auteur lorsqu’il aperçut le monstre ?
L’auteur se trouve dans des hublots les fonds marins
2- Dans ce texte, l’auteur fait appel à un des cinq sens. Lequel ? Relevez deux indices qui justifient votre
réponse.
C’est : -la vue
La justification : "Je regardai", "Devant mes yeux ", "On voyait "
3-Quelle est l'utilité des deux premières phrases?
Justifiez votre réponse en vous appuyant sur les temps des verbes.
- Les deux premières phrases du texte permettent l'insertion (ou l'introduction) de la description
dans le récit
- Narration : "Je regardai ", "je ne pus " (passé simple)
- Description : " s'agitait " (imparfait)
4- Dans ce texte, Jules Verne utilise des informations qui appartiennent au domaine scientifique.
*/-Relevez trois indices et précisez leur intérêt.
- précision de certaines notations : "huit mètres de longueur", "huit bras ou plutôt huit pieds",
"deux cent cinquante ventouses, "capsules serni-sphériques", "trois cœurs",
- connaissances encyclopédiques et vocabulaire scientifique : "céphalopodes", "substance
cornée", "mollusque", "mandibules", "poulpes"
- ces indices concourent au réalisme de la scène décrite. En outre, la description offre une
dimension didactique : in "instruit" le lecteur en lui apportant, au passage, des connaissances
scientifiques.
5- « C’était un calmar de dimensions colossales. »
Le mot souligné veut dire : Enorme
6- En quels temps sont conjugués les verbes de ce texte ? Expliquez leur emploi.
Les verbes de ce texte sont conjugués à l’imparfait et le passé simple.
7- Relevez deux procédés utilisés pour caractériser le monstre : avec un adjectif qualificatif, avec une
subordonnée relative.
Les deux procèdes sont :
Adjectif→ monstre horrible
Subordonné relative : Quelle fantaisie de la nature !
8- A qui et à quoi renvoient les mots soulignés dans le texte ?
Les pronoms soulignés :
Je→ l’auteur, le narrateur, Lui→ le monstre, En→ venteuse, Y→ le vitre du salon
9- Quelle est la visée communicative de l’auteur ?
La visée communicative de l’auteur est : de décrire cet animal de façon attirante pour rendre la
lecture très curieuse de savoir la nature de cette fantaisie de nature.
A bord d’un sous-marin fabuleux, le Nautilus, luxueusement aménagé (chambre,
salon…), le narrateur observe à travers des hublots les fonds marins.
- Analyse :
1
Légendes tératologiques : légendes relatives à l’histoire des monstres fabuleux (dragon, sirène, licorne…).
2
Les Furies : les trois divinités des enfers chargées d’exercer sur les criminels la vengeance divine.
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
Observation :
1- Repérez les éléments du paratexte.
Paratexte : - Titre : ‘Hercule avait peur du noir’
- Nombre de § : 03§
- Source : Revue spécialisée.
D’après les éléments cités, pouvez-vous dire de quoi le texte va-t-il nous parler ?
Le texte va nous parler d’une histoire d’Hercule
Lisez le texte et soulignez les verbes conjugués à l’imparfait.
De quoi parle le texte ?
Le texte parle d’une histoire où Hercule sauva la princesse Isabelle.
Analyse :
1- Relevez tous les personnages qui figurent dans le texte ?
Les personnages : Hercule, le vieillard, le gardien et la princesse.
2- Comment est décrit Hercule ?
Hercule avait des cheveux bouclés, le visage bronzé …
3- Où habitait Hercule ?
Il habitait à Oirzézéte dans un château fort.
4- Pourquoi Hercule avait-il peur du noir ?
Il avait peur de noir car il faisait des cauchemars si la chambre était sombre.
5- Où le vieillard envoyait-il Hercule ?
Il l’envoya à un château fort pour sauver la princesse.
Analyse :
1- Relevez tous les personnages qui figurent dans le texte ?
2- Comment est décrit Hercule ?
3- Où habitait Hercule ?
4- Pourquoi Hercule avait-il peur du noir ?
5- Où le vieillard envoyait-il Hercule ?
6- Comment sauva-t-il la princesse ?
7- Quels sont les temps employés dans le texte ? Justifiez leur emploi.
Synthèse :
« Hercule avait peur du …….. car il faisait des …….. Un jour, il rencontra ……..
qui lui dit : ‘une jeune princesse est prisonnière dans ……... Hercule partait à sa
recherche sur …….. Il répondit à une …….. et sauva la princesse ».
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
Observation :
1- Repérez les éléments du paratexte.
Paratexte : - Titre : ‘Le vieux grand-père et le petit fils’
- Nombre de § : 04§
- Source : Contes choisis des frères Grimm.
2- Quelles sont les marques typographiques utilisées ?
( . , - ‘’ !)
D’après les éléments cités, pouvez-vous dire de quoi le texte va-t-il nous parler ?
Le texte va nous parler d’une histoire d’un vieux grand-père et son petit fils.
Lisez le texte et soulignez les verbes conjugués à l’imparfait.
De quoi parle le texte ?
Le texte parle d’une histoire d’un vieux grand-père avec sa famille.
Analyse :
1- Relevez tous les personnages qui figurent dans le texte.
Les personnages : le grand-père, le fils, la femme et le petit fils.
2- Dans quel état de santé était le grand-père ? Relevez du texte des expressions qui le montrent.
Le grand père était malade (…dont les yeux étaient devenus troubles, l’oreille dure, ses mains
tremblantes …)
3- Comment était traité le vieux grand-père par son fils et la femme de ce dernier ?
Il était maltraité (traité avec méchanceté ou avec dégout)
4- Où le fils et sa femme le placèrent ?
Ils le placèrent derrières le poêle dans un coin
10- Choisissez parmi les phrases suivantes celle qui serait la morale de cette histoire :
a- Supportons les maux d’aujourd’hui sans penser par avance à ceux que peut-nous réserver l’avenir.
b- Il faut faire son devoir sans préoccuper des critiques.
c- On subit souvent le mal qu’on a voulu faire à autrui.
La morale de l’histoire : On subit souvent le mal qu’on a voulu faire à autrui.
Synthèse :
Complétez le paragraphe suivant par les mots qui conviennent.
« Il était une fois, un vieux grand-père qui était malade. Son fils et sa femme
prirent du dégout. Ils le placèrent dans un coin et lui servaient dans une vieille
assiette. Un jour, il laissa tomber cette assiette qui se brisa et la femme le gronda.
Plus tard, les deux parents virent leur petit fils ramassait des planches pour eux quand
ils seraient grands. Aussitôt, ils comprirent leur faute et changèrent de comportement
avec le grand-père ».
Le vieux grand-père et le petit fils
Il était une fois, un pauvre homme très vieux dont les yeux étaient devenus
troubles, l’oreille dure et dont les genoux tremblaient. A table, il pouvait à peine tenir
sa cuillère, répandait de la soupe sur la nappe et il en laissait même échapper de sa
bouche. Son fils et la femme de celui-ci en prirent du dégoût et le placèrent derrière le
poêle* dans un coin où ils lui servaient dans une vieille assiette en terre à peine de quoi
apaiser sa faim. Le vieillard regardait souvent avec tristesse du côté de la table et ses
yeux se mouillaient.
Un jour, ses mains tremblantes ne purent même pas tenir sa petite assiette ; elle
tomba à terre et se brisa. La jeune femme le gronda* mais il ne répondit rien et se
contenta de soupirer*. Elle lui acheta une assiette en bois dans laquelle elle lui donna à
manger.
Un jour, le père et la mère virent leur petit fils âgé de quatre ans occupé à
rassembler à terre quelques planches.
- « Que fais-tu là ? » demanda le père.
- « C’est une petite assiette, répondit l’enfant, où mangeront père et mère quand je
serai grand ».
Le mari et la femme se regardèrent un instant sans rien dire, puis ils se mirent à
pleurer. Ils reprirent désormais le vieux grand-père à leur table. Il mangea avec eux et
ils ne le grondèrent plus quand il lui arrivait de déverser un peu de soupe sur la nappe.
Contes choisis des frères Grimm
Analyse :
1- Relevez tous les personnages qui figurent dans le texte.
2- Dans quel état de santé était le grand-père ? Relevez du texte des expressions qui le montrent.
3- Comment était traité le vieux grand-père par son fils et la femme de ce dernier ?
4- Où le fils et sa femme le placèrent ?
5- Qu’est-ce qu’il a fait de l’assiette ?
6- Que fit la femme ensuite ?
7- Que fit leur petit fils âgé de quatre ans ? Pourquoi ?
8- Comment réagirent les deux parents ?
9- Quels sont les temps employés dans le texte ? Justifiez leur emploi
10- Choisissez parmi les phrases suivantes celle qui serait la morale de cette histoire :
a- Supportons les maux d’aujourd’hui sans penser par avance à ceux que peut-nous réserver
l’avenir.
b- Il faut faire son devoir sans préoccuper des critiques.
c- On subit souvent le mal qu’on a voulu faire à autrui.
Synthèse :
Complétez le paragraphe suivant par les mots qui conviennent :
« Il était une fois, un vieux grand-père qui était …… . Son fils et sa femme prirent du …… .
Ils le placèrent dans un ……. et lui servaient dans une vieille …… . Un jour, il laissa tomber cette
assiette qui se brisa et la femme le …… . Plus tard, les deux parents virent leur petit fils ramassait
des …… pour eux quand ils seraient grands . Aussitôt, ils comprirent leur faute et changèrent de
comportement avec ……. ».
Lycée Abi Obaida – Tébessa Niveau: 1ère A.S Mr. Chamekh Amor
2- La reprise pronominale :
« Le père Desbois fit l’acquisition d’une machine. La machine coûta très chère au père Desbois.
Peut-être que le père Desbois se laissa entortiller par le voyageur. Le voyageur vendit la machine au
père Desbois mais c’était une bonne machine et le père Desbois fut content de cette machine. Avec
dix fois moins de peine qu’avant le père Desbois ferait le double de travail et, du travail, le père
Desbois avait du travail en abondance, par-dessus la tête ».
Luis Guilloux. « Le pain des rêves ».
« Le père Desbois fit l’acquisition d’une machine. Elle lui coûta très chère. Peut-être se laissa-t-
il entortiller par le voyageur qui la lui vendit mais c’était une bonne machine et il en fut content.
Avec dix fois moins de peine qu’avant il ferait le double de travail et, du travail, il en avait en
abondance, par-dessus la tête ».
3- La caractérisation:
1/ Dans le texte ci-dessous, relevez tous les adjectifs qualificatifs. Soulignez ceux qui changent
de sens en fonction de leur position par rapport au nom qu’ils qualifient (adjectifs antéposés
ou postposés) :
Portrait de Quasimodo
Il a de larges pieds, des mains monstrueuses, et avec toute cette difformité, je ne sais quelle
allure redoutable de vigueur, d’agilité et de courage ; étrange exception à la règle éternelle qui veut
que la force, comme la beauté, résulte de l’harmonie…
Quand cette espèce de cyclope parut sur le seuil de la chapelle, immobile, trapu, et presque aussi
large que haut, carré par la base, comme dit un grand homme, la populace le reconnut sur le
champ. Le pauvre diable avait des surnoms à choisir …
Victor Hugo, Notre Dame de Paris, 1831.
3/ Relevez les compléments du nom dans le texte suivant. Par quoi sont -ils reliés au nom qui
précède ?
« Baptiste et ses chemises à fleurs, Baptiste et sa vieille bouffarde, qu’il disait tenir de son
père… En fait, ce qui lui avait déplu aujourd’hui, ç’avait été de tomber nez à nez avec Germaine
Richard à la sortie du cimetière ».
Sujet :
1. Une traînée de nuages gris clair dérive dans les cieux. Au pied de l’énorme chêne se
dresse la silhouette d’un homme ; la rafale drape ses vêtements bleu marine et fait se
tenir droites les plumes de coq écarlates et orange qui ornent son chapeau.
2. Un vent farouche souffle et sa force géante repousse toujours vers la gauche les
branches dentelées maigrement recouvertes de feuilles jaunes et marron.
3. Ce tableau possède un pouvoir surnaturel qui vous hante, et c’est pour cela que je l’ai
acheté.
4. Il formait une simple tache noire sur l’un des murs blancs.
5. C’était un paysage sauvage et désolé, au cœur de la nuit ; au milieu se dresse un chêne
fantomatique.
6. Il y avait ce tableau macabre de Calame.
Un tableau inquiétant
Il y avait ce tableau macabre de Calame. Il formait une simple tache noire sur
l’un des murs blancs. C’était un paysage sauvage et désolé, au cœur de la nuit ; au
milieu se dresse un chêne fantomatique. Un vent farouche souffle et sa force géante
repousse toujours vers la gauche les branches dentelées maigrement recouvertes de
feuilles jaunes et marron. Une traînée de nuages gris clair dérive dans les cieux. Au
pied de l’énorme chêne se dresse la silhouette d’un homme ; la rafale drape ses
vêtements bleu marine et fait se tenir droites les plumes de coq écarlates et orange
qui ornent son chapeau. Ce tableau possède un pouvoir surnaturel qui vous hante, et
c’est pour cela que je l’ai acheté.
Objectif : - Amener l’élève à rédiger la suite d’une nouvelle étudié en exploitant ses
acquis au cours de la séquence.
Sujet :
Sujet :
Plan du travail :
Vêtements
Portrait
Jambes Cheveux
Texte :
Donc, je l’appellerai Lucie. C’était ma maîtresse et je l’aimais. Je précise que j’avais dix ans. Je
n’oublierai jamais ses robes de laine multicolores ou ses jupes longues, noires et amples de
bohémienne, ses foulards, ses colliers de coquillages, ses ballerines (jamais je ne lui ai vu cette
abomination : des chaussures à hauts talents !). Ses jambes nues et bronzées se nouaient sous la table
surélevée à hauteur de nos visages, comme une épaisse torsade de chair, impeccable et douce. Je
n’oublierai jamais surtout la couronne de fleurs des champs dont elle s’était coiffée d’une nuit de la
Saint-Jean pour danser avec nous autour du feu de joie. Elle avait une natte qu’elle nouait autour de
sa télé ou qu’elle laissait prendre dans son dos. Parce que j’avais un album illustré de contes
populaires slaves. Je lui trouvais l’air russe ou ukrainien, exotique en tout cas.
Vous m’avez peut-être insuffisamment compris quand j’ai parlé de maîtresse. Il est en effet bien
remarquable que le français emploie le même mot pour désigner l’amante d’un homme marié, sa
seconde femme en somme, et l’enseignante qui se charge des écoliers les plus jeunes. Car, notez-le,
on parle de « professeur » pour les plus grands. La première femme d’un enfant, c’est évidemment
sa mère. L’enseignante qu’il trouve à l’école, c’est la seconde femme de sa vie, sa maîtresse, et il
n’est pas rare que par inadvertance, il l’appelle maman […] Il y avait jadis une tradition qui faisait
de l’institutrice une vieille fille disgraciée toute en lorgnons et en chignons, d’une sécheresse
caricaturale. Je suis tout près à m’insurger contre cette image, mais l’histoire de ma Lucie prouve
peut-être qu’il était sage de prévenir ainsi toute confusion. Donc j’avais dix ans et j’aimais ma
maîtresse. J’étais prêt à tous les manœuvres pour entrer dans ses grâces. Comme j’étais un élève
médiocre, ni brillant ni cancre, aucunement remarquable en quoi que ce fût, la tâche n’était pas
aisée. D’autant plus que ma passion était partagée par tous les élèves de la classe. Tout nous
persuadait que nous étions des êtres à part, privilégiés, prestigieux, pour appartenir à Lucie.
Michel TOURNIER, « Lucie ou la femme sans ombre »,
in Le médianoche amoureux, © Editions Gallimard.
1. L a représentation de Lucie. Deux portraits de maîtresse s’opposent dans ce texte :
a) Sur quels traits le narrateur insiste-t- il dans le portrait de Lucie ?
b) Comparez ce portrait à l’image traditionnelle de maîtresse que l’autre évoque aussi dans ce
texte.
c) Quelle est la valeur de cette opposition ?
2. « Pour entrer dans ses grâces ».
a) Quel est le sens de cette expression ?
b) Trouvez un mot de la même famille que « grâce » dans le texte. Expliquez- le.
3. Relevez tous les termes du texte équivalents du mot « maîtresse » et classez-les dans les deux champs
lexicaux que vous avez définis.
4. A qui et à quoi renvoient les mots soulignés dans le texte ?
5. Quel est le temps de conjugaison dominant dans ce texte ?
6. Le texte aurait pu commencer par : « elle s’appelait Lucie ». Que pensez –vous du choix de l’auteur :
« Donc, je l’appellerai Lucie » (le futur).
7. Relevez du texte une comparaison et indiquez les éléments qui la composent.
8. Quelle est la visée communicative de l’auteur ?
9. Complétez le schéma de la description de Lucie en citant les éléments décrits
Lucie
Vêtements
Portrait