Cours PPM
Cours PPM
Cours PPM
Support du cours :
Par M. JE KISSAI
2016-2017
1
Ch. 1 : Introduction
2
• La préparation mécanique (fragmentation), composée d'un concassage
éventuellement suivi d'un broyage ; ces opérations peuvent s'effectuer en
plusieurs étapes, avec des équipements pour le contrôle de la fragmentation.
Cette opération vise à atteindre un degré de libération économique.
1. La fragmentation :
3
Le concassage :
Les concasseurs sont montés soit en circuit ouvert soit en boucle fermée avec
des cribles qui permettent de contrôler la granulométrie produite.
A la sortie du concassage, les matériaux sont stockés dans des silos pour
l’alimentation soit des unités de pré concentration ou l’unité de broyage.
Le broyage :
4
prévu pour le contrôle de la granulométrie (fig. n°4).
2. La Flottation :
5
Dans ces cellules on récupère une qualité relativement bonne avec un rendement
moyen.
3. Le concentré :
Le concentré final est épaissi pour réduire la teneur en eau, filtré et parfois séché
pour satisfaire aux conditions du client.
4. Rejets :
Deux types de rejets sont produits : les rejets de pré concentration sont transférés
dans des mises à terrils et les rejets de flottation qui sont envoyés vers des digues
(barrages) pour leur stockage.
6
Ch. 2 : les bilans en minéralurgie :
I. Introduction :
Bilan matière :
Ces bilans se font dans le respect de la loi de conservation de la matière. On
en distingue trois types:
o Bilan massique solide global pour l’évaluation des flux globaux.
o Bilan massique solide partiel par élément (chimique ou minéral), par
tranche granulométrique ou par tranche densimétrique pour l’évaluation
des flux partiels.
o Bilan de l’eau pour le calcul des appoints d’eau en respect des
concentrations solides dans les unités de traitement.
Bilan des réactifs pour le calcul des ratios et le bilan des coûts opératoires.
Bilan énergétique pour l’efficacité énergétique et le calcul des ratios des
unités.
Nous traiterons dans ce cours les bilans matières utiles pour faire le contrôle
technique des unités de traitement.
Ces bilans concernent les flux de la matière solide dans toutes les unités de
traitement du minerai. Ils sont nécessaires pour le calcul de la répartition des flux, le
calcul des performances des équipements et de leurs rendements.
Ce bilan concerne les masses totales des débits. En régime transitoire, on pourra
constater des accumulations de matière à l’intérieur des équipements de traitement :
q = q + Accumulation
qei est un débit massique solide entrant par la branche i
qsj est un débit massique solide sortant par la branche j
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En régime permanent, les volumes des équipements se stabilisent et les
accumulations s’annulent. Les équations du bilan massique solide global
deviennent :
q = q
Les bilans massiques solides partiels donnent des équations supplémentaires qui
permettent de calculer toutes les variables nécessaires à la détermination des flux et
au contrôle des performances.
q ×f = q ×f
fei est la fraction granulométrique pour une tranche donnée dans la
branche entrante i.
fsj est la fraction granulométrique pour la même tranche donnée dans
la branche sortante j.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple d’application :
8
Solution :
Pour résoudre ce problème, on doit faire une analyse granulométrique par flux
autour du crible :
9
Diamètre (mm) Brut F Refus R Passant P
0 0,067 0 0,212
0,2 0,023 0 0,091
0,25 0,035 0 0,131
0,315 0,05 0,008 0,166
0,4 0,075 0,02 0,2
0,5 0,107 0,075 0,119
0,63 0,14 0,154 0,081
0,8 0,18 0,252 0
1 0,118 0,202 0
1,25 0,092 0,142 0
1,6 0,075 0,099 0
2 0,028 0,035 0
2,5 0,01 0,013 0
R
τ =
A
A est le débit massique solide de l’alimentation
R est le débit massique solide du rejet (fraction grossière)
A=P+R
Les équations du bilan partiel par tranche granulométrique i sont donnés par :
R a −p
τ = =
A r −p
10
0 0,067 0 0,212 (0,067-0,212)/ (0-0,212) = 0,684
0,2 0,023 0 0,091 (0,023-0, 091)/(0-0,091) = 0,747
0,25 0,035 0 0,131 0,733
0,315 0,05 0,008 0,166 0,734
0,4 0,075 0,02 0,2 0,694
0,5 0,107 0,075 0,119 0,273
0,63 0,14 0,154 0,081 0,808
0,8 0,18 0,252 0 0,714
1 0,118 0,202 0 0,584
1,25 0,092 0,142 0 0,648
1,6 0,075 0,099 0 0,758
2 0,028 0,035 0 0,800
2,5 0,01 0,013 0 0,769
Le tamis 0,5mm, par exemple, présente une valeur aberrante et donc laisse
présager que le tamis comporte un problème.
Si la maille du crible est prise égale à 0,8mm, alors le rendement pondéral grenu
théorique pour ce criblage est la somme de toutes les valeurs en bleu ciel. Ce qui
donnera 0,503.
11
c. La courbe de partage et maille de criblage :
R a −p
τ = =
A r −p
Rr r a −p
=
Aa a r −p
On peut faire la même chose pour le rendement pondéral en fine τf. Le rendement
pour le passant est donné par :
P a −r
τ = =
A p −r
Pp p a −r
=
Aa a p −r
Ce qui donne :
12
0 0,067 0 0,212 1,000
0,2 0,023 0 0,091 1,000
0,25 0,035 0 0,131 1,000
0,315 0,05 0,008 0,166 0,883
0,4 0,075 0,02 0,2 0,815
0,5 0,107 0,075 0,119 0,809
0,63 0,14 0,154 0,081 0,111
0,8 0,18 0,252 0 0,000
1 0,118 0,202 0 0,000
1,25 0,092 0,142 0 0,000
1,6 0,075 0,099 0 0,000
2 0,028 0,035 0 0,000
2,5 0,01 0,013 0 0,000
Si on représente ces deux courbes, cela permettra de déduire le d50, la maille qui
a autant de probabilité dans le refus que dans le passant.
Vous pouvez procéder à la programmation de ce calcul sur une feuille Excel pour
une utilisation de cette formulation plus rapide.
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II. Bilans massiques de l’eau :
Ces bilans sont nécessaires pour maitriser la répartition de l’eau dans toutes les
étapes de traitement.
a. La concentration solide :
Masse du solide
C =
Masse du solide + masse du liquide
------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple :
322
C = = 60,3%
534
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
𝑆+𝐿
𝐷=
𝑉
S est la masse de la partie solide
L est la masse de la partie liquide
Vt est le volume total des deux parties
𝐷
𝑉 =𝐶 ×
𝜌
Cs ((S/(S+L)) est la concentration solide.
ρs est la masse volumique du minerai
14
On obtient le volume dans un litre de pulpe de la partie liquide par :
𝐷
𝑉 = (1 − 𝐶 ) ×
𝜌
ρl est la masse volumique de l’eau.
On a donc :
𝐷 𝐷
1𝑚 = 𝐶 × + (1 − 𝐶 ) ×
𝜌 𝜌
On tire alors :
𝜌 × (𝐷 − 𝜌 )
𝐶 =
𝐷 × (𝜌 − 𝜌 )
𝜌 × (𝐷 − 𝜌 )
𝑞 =𝑄 ×𝐷×𝐶 =𝑄
(𝜌 − 𝜌 )
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple :
Un flux de pulpe a été dérivé dans une cuve de 100-litre. Le temps pris pour la
remplir est de 7s. La densité de la pulpe a été déterminée par pesage et a donné
1,4t/m3.
La densité du minerai est de 2,65t/m3.
Solution :
𝜌 × (𝐷 − 𝜌 ) 2,65 × (1,4 − 1)
𝐶 = = = 45,9%
𝐷 × (𝜌 − 𝜌 ) 1,4 × (2,65 − 1)
100𝑙 𝑂, 1𝑚
𝑄 = = = 51,4𝑚 /ℎ
7𝑠 7
3600 ℎ
Le débit massique solide qs est donné par :
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple :
15
Dans une batch arrive deux flux. Le 1er flux a un débit volumique de 28m3/h avec
une concentration solide de 40% alors que le deuxième flux a un débite de 19m3/h
avec une concentration solide de 55%.
Réponse :
On sait que :
𝜌 × (𝐷 − 𝜌 ) 𝜌 ×𝜌
𝐶 = ⇒𝐷=
𝐷 × (𝜌 − 𝜌 ) 𝜌 × (1 − 𝐶 ) + 𝜌 × 𝐶
𝜌 ×𝜌 1×3
𝐷= = = 1,36𝑡/𝑚
𝜌 × (1 − 𝐶 ) + 𝜌 × 𝐶 3 × (1 − 0,4) + 1 × 0,4
𝜌 ×𝜌 1×3
𝐷= = = 1,58𝑡/𝑚
𝜌 × (1 − 𝐶 ) + 𝜌 × 𝐶 3 × (1 − 0,55) + 1 × 0,55
16
b. Bilan de l’eau :
On établit les bilans de l’eau toujours sur les bilans massiques solides. On peut
supposer, comme précédemment, que pour un équipement donné on a :
𝑞 = 𝑞
Le bilan de l’eau sera donc :
1−𝐶 1−𝐶
𝑄 + 𝑞 × = 𝑞 ×
𝐶 𝐶
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple d’application :
Sachant que la concentration solide souhaitée dans le broyeur est de 63%, quels
seront les appoints d’eau nécessaires.
17
Réponse :
Charge circulante :
𝐴 =𝑈+𝑂
Bilan de l’eau :
1−𝐶 1−𝐶
𝐶 − 𝐶
𝑈=𝑂×
1−𝐶 1−𝐶
𝐶 − 𝐶
AN :
1 − 0,15 1 − 0,33
− 0,33
0,15
𝑈 = 25 × = 60,9𝑡/ℎ
1 − 0,33 1 − 0,65
0,33 − 0,65
Pour calculer les appoints d’eau nécessaire pour satisfaire les conditions de
concentration solide dans chaque unité de traitement, nous devons faire le
bilan de l’eau autour des batch correspondantes :
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Bilan de l’eau autour de la batch d’alimentation du broyeur : les débits
massiques solides qui entrent à la batch sont Af (l’alimentation fraiche)
et U. Le débit qui sort de la batch est la somme des deux. Le bilan de
l’eau sera donc :
AN :
De la même manière :
1−𝐶 1−𝐶
𝑄 + (𝐴 + 𝑈) × = (𝐴 + 𝑈) ×
𝐶 𝐶
1−𝐶 1−𝐶
𝑄 = 𝐴 +𝑈 × − (𝐴 + 𝑈) ×
𝐶 𝐶
AN :
1 − 0,33 1 − 0,63
𝑄 = (25 + 60,9) × − (25 + 60,9) × = 124 𝑚 /ℎ
0,33 0,63
Vous avez en accessoire, un fichier Excel qui permet d’automatiser les calculs
chaque fois que les valeurs d’entrée (en vert sur le fichier) sont changées.
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Les cases en rouge contiennent les formules de calcul que vous pouvez vérifier
mais évitez de les changer.
Vous pouvez ainsi faire des simulations pour des concentrations différentes et
déterminer la charge circulante et les appoints nécessaires.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
c. Degré de libération :
----------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple d’application :
Les résultats d’une analyse granulo-chimiques et du degré de libération
donnent les résultats suivants :
𝑚 =𝑀 ×𝑡 𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒.
On pourra aussi calculer le rendement métal de chaque tranche rmi :
20
𝑚
𝑟 =
𝑀
M est la masse totale du métal
Rendement métal
25
20
15
Rendement métal
10
0
0 2 4 6 8
On constate que la courbe passe par un pic qui montre que le gros du métal
se concentre autour de la maille 2mm qui présente un degré de libération de 10%
à peu près.
21
On pourra multiplier le rendement métal par le degré de libération pour
chaque tranche. On obtiendra les résultats suivants :
Rendement de la libération en %
8
7
6
5
4
3
2
1
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8
On constate ici que le pic est décalé plutôt vers les fractions fines.
Quelles sont vos conclusions ?
Ce bilan est très important parce qu’il permet de quantifier la répartition des
minéraux dans les différents flux. Ces minéraux peuvent être utiles, bonifiants ou
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pénalisants.
Rendement poids rpi quand on divisera la masse produite dans le flux i par
la masse de l’alimentation :
𝑆
𝑟 =
𝐴
Si est le débit massique solide de la sortie i
A est le débit massique solide de l’alimentation
𝐴=𝑅+𝑃
𝐴. 𝑎 = 𝑅. 𝑟 + 𝑃. 𝑝
R a−p
r = =
A r−p
Rendement métal rmi quand on divisera les masses du métal dans le flux i
par la masse du métal dans l’alimentation :
𝑆 ×𝑡
𝑟 =
𝐴×𝑡
R r r a−p
r = × = ×
A a a r−p
23
Rendement du minéral rxi quand on divisera la masse du minéral dans le
flux i par la masse du minéral dans l’alimentation :
𝑆 ×𝑡
𝑟 =
𝐴×𝑡
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple d’application :
Flux Pb Zn Cu Ag Fe
(%) (%) (%) (g/t) (%)
100 = K + (100 – K)
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100 (Zalim – Zrejet) = K (Zconc – Zrejet)
Si on note :
On trouve :
Ce qui donne :
X Y
5,8 4,7
23,6 7,5
0,51 0,08
40 65
-9,5 -2,1
25
Ch. 3 : les bilans cohérents :
Les avantages d’un tel bilan sont plus qu’opportuns à tout traitement de données
douteuses :
• Les résultats calculés sont plus précis que les valeurs mesurées dont elles
dérivent.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple de mise en évidence de l’incohérence des mesures :
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Soit le schéma de traitement pour la récupération de la potasse (fig. n°10) :
Les débits massiques et les teneurs en KCl et NaCl sont données sur le tableau
suivant :
400944 1083300 104256 1380340 26,97 86,16 0,57 60,68 3,82 17,33
1. Représentation matricielle :
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• Les voies correspondent aux flux de matière dont les directions sont
déterminées par la structure du procédé.
M = (mij) i = 1 à n ; j = j à v
Le système des équations des bilans peuvent s’écrire sous forme matricielle :
M.Q ≠ (0)
28
On constatera que les bilans ne sont pas bouclés. Il faudra calculer des
estimateurs des débits Ǭ qui permet le bouclage de ces bilans.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple d’application :
Ecrivez les équations des bilans globaux. Quel sont les bilans qui sont les
plus erronés.
Déterminez la matrice d’incidence du graphe en question.
Calculez les débits corrigés.
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Voie Mesure Ecart-type
1 111,3 2,78
2 127,6 1,05
3 106,4 2,66
4 18,2 0,46
5 86,3 2,16
6 111 2,78
7 72,2 1,81
8 49,4 1,24
9 37,9 0,95
10 20,5 0,51
11 23,8 0,6
12 43,8 1,1
13 4,8 0,12
14 39,7 0,99
15 26,4 0,66
16 13,6 0,34
P I V MT M V MT
1
M
Calculez la variance sur l’estimateur.
30
Ch. 4 : Evaluation de la performance
1. Séparation granulométrique :
E1 100 b
Où b est le pourcentage des dimensions inférieure à la maille de
séparation présents dans le refus.
Ou encore :
% ou t / h de refus ds l' a lim entation pr la maille
E1 100
% ou t / h de refus ds l' a lim entation réellement retenu
Ou encore :
100a b
E2 100
a100 b
Où b est le pourcentage du passant à la maille de séparation présents
dans le refus.
a est le pourcentage du passant à la maille de criblage dans
l’alimentation.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exercice d’application :
Un crible de maille un pouce est alimenté par 100 t/h de tout venant. L’analyse
granulométrique montre que dans l’alimentation 90% sont inférieur à la maille de
séparation alors que nous n’en récupérons que 81% dans le passant du criblage :
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- Quelle est la fraction du passant dans l’alimentation ? 90%
- Quelle est la fraction du rejet dans l’alimentation ? 10%
- Quelle est la fraction passée réellement ? 81%
- Quelle est la fraction refusée réellement ? 19%
- Quelle est la fraction du passant qui a été refusée ? 9%
- Quelle est la valeur de a ? 90%
- Quelle est la valeur de b ? 47%
- Quelle est l’efficacité du criblage pour le passant refusé par les deux
formules ? 53%
- Quelle est l’efficacité du criblage pour le passant récupéré par les deux
formules ? 90%
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
2. Séparation gravimétrique :
o Le flux concentré
o Le flux des mixtes
o Le flux des stériles
Où :
Rp est le rendement poids du concentré
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c est la teneur en métal du concentré
f est la teneur du métal dans l’alimentation
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Exemple d’application :
Réponse :
118,71
𝑚= = 78,8%
118,71 + 2 × 16
Haute teneur :
𝑓×𝑅 1 × 62
𝑅 = = = 9,841 × 10
100 × 𝑐 100 × 63
Et l’efficacité de séparation :
33
100 × 9,841 × 10 × 78,8 × (63 − 1)
𝑅 −𝑅 = = 61,8%
(78,8 − 1) × 1
Moyenne teneur :
Basse teneur :
34
Dans un circuit de traitement de l’oxyde de l’étain, on obtient les résultats d’une
analyse densimétro-chimique suivante :
Quand les analyses des différents flux sont faites, on peut procéder au calcul des
courbes de lavabilité.
35