Curs 34 Studenti
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plurielles
La maquette est l'image positive de la future pièce prothétique (les maquettes prothétiques
peuvent être faites en cire ou en résine acrylique.
Techniques de réalisation
Nous utilisons des modèles avec une morphologie différente, qu’il s’agisse de la zone frontale
ou latérale et de tailles différentes, selon/ en fonction de l’amplitude de l’espace édenté. Nous
ajustons alors la maquette soit goutte à goutte ou en grattant la cire.
Cette technique est indiquée pour obtenir des modèles de cavités (par exemple, le cas du
pontique tangentiel ou ponctiforme).
Le principe de la technique:
• Tout d’abord, on modèle une maquette reproduisant toutes les faces du pontique
• Cette maquette est ensuite empreinte avec une clé de gypse, laissant à découvert/ gardant
découvertes
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la face vestibulaire dans le cas du pontique tangentiel
les faces vestibulaire et occlusale du pontique ponctiforme
• Dans l’empreinte obtenue, insérez de la cire bleue d’ inlay sur les parois et obtenez la face
vestibulaire ou vestibulaire -occlusale.
-permet d’obtenir une modélisation occlusale fonctionnelle, en respectant les rapports de type
cuspide- fosse.
La technique peut être indiquée chez les patients présentant des rapports occlusaux point
centric.
La technique consiste dans l’obtention des modèles intégraux et dans leur montage à
l'articulateur.
• on a besoin de la trousse à outils spéciaux PK Thom et de cire colorée pour réaliser les
éléments de morphologie occlusale.
C’est la technique la plus courante qui peut être utilisée dans toute situation clinique/ dans
n’importe quelle situation clinique. Cette technique comprend/ inclut/suppose plusieurs
étapes :
1.l’application d’un bâton de cire ayant la forme d’un parallélépipède au niveau de l’espace
édente sur le modèle de travail.
2. la détermination du niveau du plan d’occlusion.
3. La détermination de l’orientation du pontique – qui est en ligne droite dans la zone latérale
de l’arcade et en ligne courbe dans la zone frontale - aide à réhabiliter les fonctions du système
oral complet.
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4. La détermination du diamètre vestibulaire-oral du futur pontique, en rapport avec le
diamètre vestibulaire-oral de la crête alvéolaire et du diamètre vestibulaire-oral des dents-
piliers.
Le pontique suspendu
Il est caractérisé par l’existence d’un espace de 3-4 mm entre la face mucosale du pontique et
la crête alvéolaire.
Le pontique ponctiforme
Une variante non physionomique, qui est constituée uniquement d’une composante
métallique .
Une autre variante est semi-physionomique ; elle suppose l’existence d’une composante
métallique et d’une autre composante qui est responsable de l’aspect esthétique.
Le pontique tangentiel
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La transformation de la maquette en infrastructure métallique
La mise en revêtement consiste dans l’emballage de la maquette dans une pâte de revêtement
spécifique, qui a le même coefficient de dilatation egale avec le coefficient de contraction de
l’alliage.
B. La technique classique
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Cette technique suppose l’application de tiges au niveau de chaque élément de la maquette.
Les tiges s’unissent à leur extrémité libre et communiquent avec le bout du cône de fonte.
Sur chaque tige, à 2ou 3 mm des maquettes, on réalise une sphère en cire ayant une épaisseur
d’environ 3 mm. Ces sphères représentent les futurs réservoirs d’alliage fondu.
C’est une technique spéciale de mise en revêtement qui suppose l’utilisation d’un
conformateur différent : celui-ci n’est pas métallique, rigide, mais il est constitué d’une feuille
de plexi (plastique) qui présente une grille-indicateur ayant des chiffres de 1 à 3. Les chiffres se
colorient à mesure que la temperature hausse et le materiel fasse prise. Cette technique de
mise en revêtement suppose , comme les autres techniques, le placement de la maquette et de
la pâte de revêtement à l’intérieur du conformateur. Quand le chiffre 3 devient bleu, on défait
le conformateur, et alors la pâte de revêtement peut subir une expansion dans toutes les
directions.
Le moulage
Pour obtenir le moulage, après l’étape de la mise en revêtement, on doit réaliser un traitement
thermique. Par conséquent, la maquette revêtue est soumise à un traitement thermique. Le
traitement thermique suppose deux étapes :
1. L’étape de pré-réchauffement
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2. L’étape de réchauffement proprement dite
-la fonte de la cire et sa transformation en produits gazeux qui sortiront du moulage par les
canaux d’évacuation des gaz.
Elle dure environ 45 minutes. Cependant, la température hausse de manière variée , entre 800
et 1000 degrés Celsius en fonction de l’alliage qui va être utilisé. Cette étape consiste en
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2. La source gazeuse.
Elle suppose
- ou, une flamme oxy-gaz qui produit une température de 1100-1300 degrés
- la force centrifuge
-le vacuum
1. Erreurs de coulée
- Le positionnement incorrect des tiges de coulée
- Le réchauffement incomplet du moulage ou de la pâte de revêtement
- La forme incorrecte des canaux de coulée
- L’inadéquation de la température du moulage pour permettre la coulée de l’alliage
2. Le positionnement incorrect de la pâte de revêtement, de sorte qu’elle ne recouvre pas
correctement la pièce prothétique
3. Erreurs survenues lors de l’empreinte
4. Erreurs de coulée du modèle de travail
Il est obligatoire que celui-ci soit réalisé avec des unités dentaires mobilisables.
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La préparation de la structure métallique en vue du placage avec des matériaux
physionomiques
1. Le sablage et le nettoyage
2. Le gravage électrolytique
3. L’oxydation
4. La silanisation
5. L’ application de silicates
6. La céramisation
Ces procédés sont utilisés soit en vue de l’obtention de micro-rétentions, soit d’une couche
d’oxydes pour le lien chimique.
Le sablage
Le gravage electrolitique
Il est indiqué dans le cas des infrastructures métalliques réalisées à base d’alliages nobles. Les
zones du squelette métallique qui ne seront pas plaquées avec du matériel physionomique
seront recouvertes de cire.
L’étape suivante est l’introduction de la structure métallique dans le bain galvanique sur
lequel on agit avec du courant électrique. L’intensité du courant électrique est de 30 mA par
cm carrés de squelette métallique. L’action du courant électrique détermine l’apparition des
micro-rétentions.
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L’oxydation
Son but c’est la création d’un lien supérieur entre la structure métallique et la composante
physionomique par un procédé d’obtention d’une fine couche d’oxydes métalliques qui est
uniforme, stable et adhérente.
-thermique
-chimique (anodique)
Une autre variante de l’oxydation c’est le gravage acide avec du gel de la surface métallique.
Avantages :
-il ne nécessite pas d’équipement spécial,
-le temps de traitement est réduit,
-il ne nécessite pas l’isolement des surfaces qui doivent être conditionnées
-le coût est réduit
-on peut l’employer dans le cabinet pour des réparations mineures.
La technique de la silanisation
Elle consiste en l’application d’un agent silanique (de liaison) sur la surface de l’infrastructure
métallique qui va réaliser le lien chimique entre le métal et le composite. Les agents silaniques
se présentent sous forme de solution, pulvérisable ou non. Après leur application, on réalise la
photo-polymérisation.
L’application de silicates
Elle consiste dans l’application d’une couche de dioxyde de silicium sur la surface de
l’infrastructure métallique, en présence de l’oxygène.
La céramisation
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Elle est appelée aussi le lien Cottbus Cette technique suppose la brûlure d’une couche de
céramique sur la structure du squelette métallique à une température de 1000 degrés Celsius.
Ensuite, on applique une couche silanique, dont l’application a le rôle de masquer ( mettre en
écran) la composante métallique.
Une première étape consiste dans le modelage des maquettes des futures facettes en acrylate.
Le modelage devra être surdimensionné, en employant une cire blanc-ivoire. Ensuite, il y a
l’étape de la transformation de la maquette en facette finale en acrylate par le procédé de la
mise en revêtement. Celle-ci peut être verticale ou horizontale.
Les bridges métallo-acryliques présentent les mêmes avantages et inconvénients que ceux
rencontrés dans le cas des couronnes métallo-acryliques.
Avantages :
C’est une construction prothétique accessible du point de vue du procès technologique et des
coûts.
Inconvénients :