Cours Electronique Analogique
Cours Electronique Analogique
Cours Electronique Analogique
Le 8 février 2007
Table des matières
1 Rappels d’électrocinétique 1
1.1 Lois d’ohm pour les systèmes élémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.1.1 Résistance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.1.2 Force-électromotrice idéale (f.e.m.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.1.3 Générateur de courant idéal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.1.4 Inductance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1.1.5 Condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.2 Lois de Kirchoff . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.2.1 Loi des mailles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.2.2 Loi des noeuds . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.2.3 Exemple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.3 Générateurs équivalents à un réseau linéaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4 Théorème de Thévenin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.5 Théorème de Norton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.6 Théorème de Millmann . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.7 Exemple : le diviseur de tension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.4.4 Branchement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
2.4.5 Exemple de caractéristiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.4.6 Modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.4.7 Le transistor MOS (métal-oxyde-semiconducteur) . . . . . . . . . . . . . . 22
5 La contre réaction 47
5.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
5.2 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
5.2.1 Symbolisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
5.2.2 Amplification en boucle fermée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
5.2.3 Exemple de dispositif à contre-réaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
5.3 Propriétés de la contre-réaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
5.3.1 Influence sur le gain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
5.3.2 Réduction du bruit et des perturbations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
TABLE DES MATIÈRES iii
Rappels d’électrocinétique
A
I
U R
Par définition : U = VA − VB = RI et P = RI 2
E U
B
Pour une force-électromotrice idéale : U = VA − VB = +E avec le courant I déterminé par le
reste du circuit.
I
- A
I0 6
6
U
B
1
2 CHAPITRE 1. RAPPELS D’ÉLECTROCINÉTIQUE
1.1.4 Inductance
Grandeurs instantannées
i(t) L
-
u(t)
di(t)
u(t) = L
dt
Grandeurs complexes
I L
-
U
π
U = jLωI = Lωej 2 I
avec ZL = jLω
Grandeurs vectorielles
~
u(t) −→ U
i(t) −→ I~
U~
-
+π/2
?I~
1.1. LOIS D’OHM POUR LES SYSTÈMES ÉLÉMENTAIRES 3
1.1.5 Condensateur
Grandeurs instantannées
C
i(t)
-
u(t)
dq(t)
i(t) =
dt
avec q(t) = Cu(t) et donc i(t) = C du(t)
dt
Grandeurs complexes
C
I
-
U
1 1 −j π
U= I= e 2I
jCω Cω
1
avec ZC = jCω
Grandeurs vectorielles
~
u(t) −→ U
i(t) −→ I~
I~ 6
−π/2
6N -
~
U
4 CHAPITRE 1. RAPPELS D’ÉLECTROCINÉTIQUE
B C
U1 = V A − V B + U3 = V C − V D
A D
U4 = V D − V A
X
ui = 0
M aille
X
u i = U 1 + U 2 + U3 + U 4
M aille
X
ui = (VA − VB ) + (VB − VC ) + (VC − VD ) + (VD − VA ) = 0
M aille
? I1
- u -
I2 N I3
? I4
X X
i= i
Entrant+ Sortant−
X
i=0
Algébrique
I1 + I2 = I3 + I4
1.2. LOIS DE KIRCHOFF 5
1.2.3 Exemple
I4
I3 E1
I1 I5
A
I2 R1 B R5
I6
R2 C
+
R8
E
I10 I8 D I7
E8 E7
I9
En faisant débiter ce réseau sur une charge, on obtient U et I. Comme le réseau est linéaire,
la relation U = f (I) (ou I = f (U )) est une droite :
U I
6 6
U = f (I) I = g(U )
- -
0 I 0 U
On peut écrire :
U = f (I) I = g(U )
Soit U = aI + b Soit I = αU + β
∆U ∆I
a= ∆I = −R α= ∆U = − R1
b = {U }I=0 = U0 = E β = {I}U =0 = I0
R I I
- A - A
6 6
E 6 U I0 6 R U
B B
U
U = E − RI I = I0 − R
Générateur de Thévenin Générateur de Norton
Z1 Z2 Z3 Zk ZN
Vm
E1 E2 E3 Ek EN
La tension aux bornes des branches est égale à la somme des forces électromotrices respecti-
vement multipliées par l’admittance de la branche, le tout divisé par la somme des admittances :
PN Ek
k=1 Zk
Vm = PN 1
k=1 Z k
I
-
R1
A
E 6
R2
2.1 Introduction
2.1.1 Notions d’atomes et de structures cristallines
Exemple de l’atome de silicium :
9
10 CHAPITRE 2. LES COMPOSANTS ÉLECTRONIQUES : DIODES, TRANSISTORS
La jonction PN non-polarisée :
2.2. LA DIODE À JONCTIONS 13
La jonction PN polarisée :
– la polarisation en sens direct :
2.3.3 Fonctionnement
2.3. LE TRANSISTOR À JONCTIONS 17
Méthode d’étude :
– polariser l’amplificateur,
– montage
RC
R2
Cs
Ce C
B
VCC
E
RG
ve (t) R1 Ru vs (t)
RE CE
vG (t)
– étude graphique
2.4. LE TRANSISTOR À EFFET DE CHAMP 19
iC (t) + IC
iC (t)
Droite de charge
ICE0
t
iB (t) + IB VCE0
IB0 vCE (t) + VCE
vCE (t)
Droite d’attaque
t
VBE0
t
2.4.2 Symbole
2.4.3 Fonctionnement
20 CHAPITRE 2. LES COMPOSANTS ÉLECTRONIQUES : DIODES, TRANSISTORS
2.4.4 Branchement
2.4. LE TRANSISTOR À EFFET DE CHAMP 21
RC RC
IC1 IC2
vs
+ IB1 IB2 −
IE1 IE2
ve1 VBE1 VBE2 ve2
I0
−VCC
IC
Données : VCC = 10V ; RC = 5k ; T1 et T2 sont identiques avec β = IB ; I0 = 2mA
Le dispositif est symétrique alors IB1 = IB2 = IB0 et IC1 = IC2 = IC0 donc IE1 = IE2 = IE0 .
I0
Or I0 = IE1 + IE2 = 2IE0 donc I0 = 2(IC0+ IB0 ) = 2(β + 1)IB0 ou IB0 = 2(β+1) .
Comme β >> 1, on en déduit que IC0 >> IB0 et I0 = 2IE0 ∼ = 2IC0 soit
I0
IC0 =
2
Le courant ne dépend pas de Ve1 = Ve2 et
RC I0
Vs = VCC − RC IC0 ∼
= VCC −
2
25
26 CHAPITRE 3. UN CIRCUIT INTÉGRÉ : L’AMPLIFICATEUR OPÉRATIONNEL
(si on fait varier Ve1 et Ve2 de telle sorte que Ve1 = Ve2 alors le dispositif reste équilibré et
Vs = Const.)
Application numérique : Vs = 5V
Conclusion
Ce montage n’est sensible qu’à la différence entre Ve1 et Ve2 , mais pas à leur valeur commune.
On dit qu’il s’agit d’un amplificateur de différence :
I0
On a montré que IE1 + IE2 = I0 et donc que IB1 + IB2 = β+1 (1).
Par ailleurs Ve1 − VBE1 + VBE2 − Ve2 = 0 ou Ve1 = VBE1 − VBE2 + Ve2 soit, en utilisant le
modèle des transistors, Ve1 − Ve2 = r(IB1 − IB2 ) ou IB1 − IB2 = Ve1 −V
r
e2
(2).
βRC
Av =
2r
Ie Rs Is
ve Re Av ve vs
Schéma équivalent
La résistance de sortie
+VCC
RC
Is
IC2
T2 vs
β Ve2 −Ve1 I0
On a Vs = VCC − RC (IC2 + IS ) or IC2 = βIB2 = 2[ r + β+1 ] soit Vs = VCC −
βRC Ve2 −Ve1
2 [ r + I0
β+1 ] − RC IS donc Vs = − βR2 C ( Ve2 −V
r
e1
) − RC IS
βRC
Comme vs = Av ve − Rs is avec Av = 2r , on obtient bien le schéma d’un générateur de
Thévenin où RS = RC .
RC RC
Amplif icateurde
décalage
+ − vs
ve1 ve2
−VCC
3.3. LE MONTAGE AMPLIFICATEUR DE BASE À AMPLIFICATEUR OPÉRATIONNEL29
Remarque
Si on analyse le schéma réel d’un circuit intégré amplificateur opérationnel, on constate que
celui-ci est beaucoup plus complexe.
3.2.2 Caractéristiques
Exemples :
|H|
0 fH f
|H|
0 fB f
31
32 CHAPITRE 4. LES FILTRES : COURBES DE RÉPONSE EN FRÉQUENCE
|H|
0 fB fH f
4.2. RÉALISATIONS DE FILTRES PASSIFS SIMPLES : PASSE-BAS ; PASSE-HAUT ; PASSE-BANDE33
Interprétation par l’analyse de Fourier : allure des spectres des signaux en fonction de la
position de la fréquence du signal d’entrée dans la courbe de Bode du filtre (très inférieure, de
l’ordre ou très supérieure à fH ) :
4.3. EXEMPLES D’APPLICATION DU FILTRAGE 37
Interprétation par l’analyse de Fourier : allure des spectres des signaux en fonction de la
position de la fréquence du signal d’entrée dans la courbe de Bode du filtre (très inférieure, de
l’ordre ou très supérieure à fB ) :
4.3. EXEMPLES D’APPLICATION DU FILTRAGE 39
Interprétation par l’analyse de Fourier : allure des spectres des signaux en fonction de la
position de la fréquence du signal d’entrée dans la courbe de Bode du filtre (très inférieure, à
l’intérieur ou très supérieure à la bande passante) :
4.3. EXEMPLES D’APPLICATION DU FILTRAGE 41
Interprétation par l’analyse de Fourier : allure des spectres des signaux en fonction de la
position de la fréquence du signal d’entrée dans la courbe de Bode du filtre (très inférieure, à
l’intérieur ou très supérieure à la bande passante) :
4.4. FONCTIONS DE TRANSFERT NORMALISÉES 43
1
H(jω) =
(1 + j ωωC )
Filtre passe-haut
j ωωC
H(jω) =
(1 + j ωωC )
1
H(jω) =
(1 + 2jm ωωC + (j ωωC )2 )
Filtre passe-haut
(j ωωC )2
H(jω) =
(1 + 2jm ωωC + (j ωωC )2 )
Filtre passe-bande
2jm ωωC
H(jω) =
(1 + 2jm ωωC + (j ωωC )2 )
44 CHAPITRE 4. LES FILTRES : COURBES DE RÉPONSE EN FRÉQUENCE
R
−
ve + vs
Filtre passe-haut
C
R
−
ve + vs
R
C
C
R
− aR
− R
−ve + vs3 −
+ vs2
+ vs1
bR
R
−
Montrer que selon les sorties du filtre choisies, vs1 (t), vs2 (t) ou vs3 (t), on obtient un filtre
actif du second ordre de type passe-bas, passe-bande ou passe-haut.
Chapitre 5
La contre réaction
5.1 Introduction
Dans de nombreux montages, on réinjecte volontairement (ou involontairement) une fraction
de la sortie sur l’entrée. On réalise alors une contre-réaction ou feed-back ou régulation.
Ce procédé est très général, on l’étudiera d’abord en électronique (contre-réaction) puis en
automatique (régulation).
La contre-réaction a des effets bénéfiques (amélioration des performances) mais aussi néfastes
(instabilité des montages amplificateurs, effet Larsen) que l’on met à profit dans les oscillateurs
sinusoı̈daux.
5.2 Définitions
5.2.1 Symbolisme
On représente symboliquement les montages à contre-réaction par des schémas unifilaires
comprenant une chaı̂ne directe, une chaı̂ne de retour et un comparateur :
e ǫ s
G0
+
−
β
βs
ǫ s
G0
βs s
β
βs
G0
s = G0 ǫ et ǫ = e − βs donc s = 1+βG0 e
G0
On définit l’amplification en boucle fermée par s = Ge et donc G = 1+βG0
e s
G
5.2. DÉFINITIONS 49
R1
−
+ vs
ve
ve = R1 i et vs = R2 i + ve donc vs = ( R2R+R
1
1
)ve (avec par exemple R1 = 1kΩ et R2 = 9kΩ)
Il s’agit d’un dispositif à contre-réaction si l’on tient compte des imperfections de l’amplifi-
cateur opérationnel (entre autre la tension ) :
R2 i
βǫ
R1
−
ǫ
+ vs
ve
– chaı̂ne directe :
−
ǫ
+ vs = Aǫ
– chaı̂ne de retour :
R2 i
βǫ
R1
vs
R2 +R1 R1
βvs = R 1 vs et β = R1 +R2
– comparateur : ǫ = ve − βvs
G0 R1
On détermine G = vves = 1+βG 0
avec G0 = A et β = R1 +R2 , ce qui donne :
A
G= AR1
1+ R1 +R2
En tenant compte de A ∼
= 105 , retrouvez le résultat G = R1 +R2
R1 =1+ R1
R2 .
Le gain G0 peut varier pour d’autres raisons : la température (sensibilité des circuits intégrés
à la température), le changement de composants (le gain β d’un transistor peut varier d’un
transistor à un autre).
Boucle fermée
Le gain en boucle ouverte d’un amplificateur étant G0 , le gain de ce même amplificateur
G0
contre-réactionné par une chaı̂ne de retour de gain β est G = 1+G 0
. Le gain G est donc fonction
de G0 , c’est à dire que G0 = f (G0 ). Par le calcul, la variation de G en fonction de celle de G0
donne :
dG (1+βG0 )−βG0 G0 1 dG0
dG0 = (1+βG0 )2
et dG = (1+βG0 ) (1+βG0 ) G0 soit
dG 1 dG0
=
G 1 + βG0 G0
5.3. PROPRIÉTÉS DE LA CONTRE-RÉACTION 51
Les variations relatives de G0 sont divisées par le facteur F = 1 + βG0 appelé facteur de
contre-réaction ou facteur de régulation. Plus F est élevé et plus G est indépendant des varia-
tions de G0 , on a donc intérêt à utiliser F = 1 + βG0 >> 1 !
e ǫ + s
G0
+ +
−
β
βs
G0 1
s = G0 ǫ + d et ǫ = e − βs donc s = 1+βG0 e + 1+βG0 d
La perturbation est divisée par le facteur de régulation F = 1 + βG0 . Pour réduire fortement
les perturbations, on a donc encore intérêt à utiliser F = 1 + βG0 >> 1 !
ω0 ω
G0
avec comme gain complexe G0 = jω alors
1+ ω
0
G0
jω G0
S G0 1+ ω 1+βG0
G= E = 1+βG0 = 0
βG0 = ω
1+j ω (1+βG
1+ jω 0 0)
1+ ω
0
soit :
G G0
G= 1+j ωω avec G = 1+βG0 et ωC = ω0 (1 + βG0 )
C
52 CHAPITRE 5. LA CONTRE RÉACTION
La bande passante en boucle ouverte (ω0 ) a été multipliée par le facteur de contre-réaction
F = 1 + βG0 : elle a donc été élargie !
Conclusion :
– si G0 est un amplificateur passe-bas du 1er ordre et β réel, le dispositif est toujours stable
(la phase ne dépasse pas π2 ),
– même chose si G0 est un amplificateur passe-bas du 2ème ordre et β réel (la phase ne
dépasse pas π),
– par contre, si G = (1+j ω )(1+jG ω )(1+j ω ) et β réel, alors le dispositif devient instable pour
ω1 ω2 ω3
une valeur du produit βG0 (car la phase a pour limite 3π 2 ; cela se produit lorsque l’on
réalise une contre-réaction sur un dispositif à trois amplificateurs).
R1
−
+
vs
R
r
R C
R2
R1
−
+ vs
r
R2
On sait que vs = (1 + R1 )r = Ar
Chaı̂ne de retour
vs C
R C r
R = βVS
54 CHAPITRE 5. LA CONTRE RÉACTION
On remarque que l’on réinjecte directement r sans déphasage de π (ou de signe -1), donc le
montage est équivalent à :
VE = 0 ǫ VS
G0
+
−
β
R
−1 G0
R VS
β
R2 R2
donc 1 + R1 = −G0 et G0 = −(1 + R1 ) = −A
Condition d’oscillation
Dans le cas général βG0 = −1, mais ici G0 = −A donc βA = 1
R 1 1 1
β= VS = 1
3+j(RCω− RCω )
= ω
3+j( ωω − ω0 )
et ω0 = RC
0
ω0
– en phase : arg βA = −arctan( ωω0 −
ω ) = 0 donc ωosc = ω0
R
1+ R2
– en module : 3
1
= 1 donc R2 = 2R1
5.5.5 Conclusion
1
Ce dispositif permet de générer une sinusoı̈de de pulsation ωosc = RC pour c’est à dire pour
R2 = 2R1 .