Rapport Labo 3omrane
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I. Présentation
II. Programme de stage
III. Unité électromécanique
1. Service transformateur
2. Service de traitement d’huile
3. Service protection et coupure
2. Unité de comptage
3. Unité de mesure
V. Conclusion
VI. bibliographie
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Mission de la STEG :
Présentation de DMMD :
L’administration.
Service Electromécanique :
Section Transformateurs.
Section Protection.
Section Comptage.
Section Mesures.
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Le DMMD est chargée de :
L’assistance technique des unités régionales (districts) et ce dans les domaines des
mesures (Compteurs), de protection (Auto-séctionneurs & Reclosers) et aussi des
Transformateurs.
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Introduction
Cette unité est destinée à la maintenance et à la réparation des transformateurs
monophasés et triphasés, des autorégulateurs et du matériel de protection tels que les
disjoncteurs, les auto-sectionneurs et les reclosers. Cela concerne bien sûre le réseau
MT, et elle comprend un service du traitement d’huile diélectrique.
1) Service Transformateur:
Définition :
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Principe de fonctionnement :
Tous les types de transformateurs sont basés sur le même principe .Une
transformation de tension consiste à faire varier le flux dans un circuit magnétique à
travers deux bobinages l’un primaire (entrée) et l’autre secondaire (sortie) qui sont
enroulés sur le circuit magnétique. L’enroulement primaire foré par plusieurs bobines
formées par des fils à faible section qui parcouru par un courant moyenne tension(MT),
la bobine secondaire composée par un nombre de spire différent du primaire avec une
section du fils plus importante.
Ces deux enroulements peuvent être couplés en plusieurs types de couplage qui
sont : couplage étoile et couplage triangle.
A A
V U=V
N U
B C B
C
Couplage en étoile couplage en triangle
Le courant en ligne est égal au courant le courant en ligne I=√3*i
en phase I=i la tension composée U=V
La tension composée U=√3*v
En effet, le bobinage primaire crée le champ magnétique qui sera canalisé sous
forme de flux par les tôles. Le bobinage secondaire qui est parcouru par ce flux va
induire une f.e.m de laquelle résulte la tension de sortie aux bornes du transformateur.
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Transformateur du courant :
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transformateur de puissance :
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Triphasé : c’est un transformateur de puissance normalisé
(25,40,63,80,125,160,200,400,500,630,800,1000,1250KVA). Il
est constitué soit par : quatre colonnes magnétiques avec
couplage étoile ou trois colonnes magnétiques avec couplage
triangle.
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-Coupure au niveau de connections MT ou BT (absences de continuité)
-Cassure de l’un des isolateurs
-Déformation de la cuve ou radiateur
Après la réparation des défauts visibles existants le transformateur passe au salle des
essais deux cas sont possible :
♦ Les mesures sont bonnes
Dans ce cas le transformateur passe aux essais qui seront détaillés par la suivante.
♦ Si le défaut persiste
C'est-à-dire qu’il y’a un déséquilibre de phase ou un grand appel de courant, dans ce cas
le transformateur est avarie et on procède à l’examiner phase par phase du coté
secondaire pour localiser le défaut
Essai à vide :
L’essai consiste à injecter du côté secondaire la tension nominale (242 V pour les
monophasés, 420 V pour les triphasés ; la fréquence d’essai étant 50 Hz), le primaire
étant libre; cet essai nous permet de détecter un éventuel défaut interne (si le
transformateur est défectueux) et aussi de déterminer les pertes en fer s’il n’y a pas de
défaut.
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Essai de rapport :
L’essai à pour but de vérifier le rapport de transformation; en effet, on injecte la
tension nominale par le côté primaire (30KV) et on vérifier la tension donnée du côté
secondaire, le rapport de ses 2 tensions ne doit pas déborder de l’intervalle normalisé
±0,5%. m=U2/U1=N2/N1
Montage
de
l’isolement MT
Montage de l’isolement BT
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L’huile mise dans la cuve du transformateur est une substance isolante liquide à
base d’huile minérale. Elle permet l’isolement et le refroidissement de divers éléments
électriques tels que : transformateur, recloser, disjoncteur…
Prélève d’un échantillon :
- Prélever l’échantillon de préférence par temps sec et éviter toute contamination
extérieure.
- Eliminer toutes les saletés et poussières de la vanne de vidange à l’aide d’un chiffon
propre.
- Ouvrir la vanne et laisser écouler, lentement au moins 5 litres de diélectrique liquide.
- Le récipient qui contient l’échantillon doit être en verre, ne doit en aucun cas avoir
servi pour d’autres liquides que l’huile isolante et dont le volume total est de 1 litre
minimum.
- Rincer 3 fois le récipient d’échantillonnage avec le diélectrique.
- Remplir le récipient en laissant s’écouler l’huile contre la paroi pour éviter d’entraîner
de l’air.
- S’assurer que le récipient est rempli entre 95% et 98% de sa capacité.
- Après prélèvement vérifier que la vanne est bien fermé.
- Le récipient doit être muni d’une étiquette sur laquelle sont mentionnés toutes les
indications nécessaires pour identifier le contenu.
- Conserver l’échantillon prélever à l’obscurité.
Technique d’essai :
Le test de rigidité de l’huile isolante est réalisé à l’aide d’un appareil de mesure
appelé spentermètre. On met l’échantillon prélevé dans un bocal qui contient deux
électrodes sphériques écartées entre elles de 2,5 mm. On laisse l’échantillon se repose
5mn avant la première application de la tension pour vérifier qu’il n’y a pas de
bulles d’air visible entre les électrodes, puis on réalise 6 claquages sur le même
remplissage en respectant une pose de 2mn et en laissant l’agitateur fonctionne entre
les essais avant remise sous tension. On mesure et on note la température de liquide
en essai en la comparant avec celle ambiante pour qu’elles ne diffèrent pas de plus de
5°C. Enfin, on doit calculer la tension de claquage qui est égal à la moyenne de six
tensions de claquage.
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Tableau de correspondance des valeurs de claquage mesurés à l’aide d’un
spentermètre suivant les normes UTE C27 – 221.
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2. disjoncteur SF6 : la coupure dans le SF6 est une nouvelle technique, le
disjoncteur est plus léger, plus petit et plus efficace. Il utilise le gaz hexafluorure
de soufre (SF6) pour l’extinction de l’arc en tant que fluide diélectrique.
Disjoncteur tripolaire
Auto
sectionneur : il est conçu pour être utiliser en conjonction avec les disjoncteurs
réenclencheurs. Il est monté en série avec le disjoncteur réenclencheur et à une certaine
distance et en aval de ce dernier. Il compte chaque interruption du disjoncteur due à
une sur intensité et après un nombre prédéterminé d’interruption, il ouvre ses contacts.
Il est utilisé aux dérivations près des postes sources où le défaut est fort et la
coordination entre fusible et relais n’est pas possible. Il est utilisé aussi en cas des
charges importantes triphasées pour interruptions triphasées.
Fusible : ils ont conçu pour la protection contre les surintensités, ils ont utilisés
sur le réseau HTA. Les fusibles sont installés en tête de dérivation en défaut sans
perturber les autres abonnés. Ils peuvent être installés sur les transformateurs HTA/BT
pour les protéger des défauts internes.
L’étude de positionnement des appareils de protection pour un tel réseau MT est
très précise. Elle oblige à connaître les caractéristiques à temps inverses de l’appareil de
protection, de la charge utilisée et du réseau pour bien choisir les appareils de
protection et bien régler leurs cycles de déclenchement.
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Introduction :
La section comptage et mesure joue un rôle capital grâce aux activités variées et
délicates qu’il réalise. En effet, cette section permet de s’assurer du bon fonctionnement
des compteurs et de la qualité de leur précision.
I. Unité comptage :
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Le flux de la tension s’ajoute avec le flux de courant, produit un champ intense
de même force, cette force va exercer un mouvement circulaire puisqu’elle dispose
sur un disque à axe mobile et ça résulte la rotation du disque. C’est un disque en
aluminium avec un filetage fin, est couplé avec une roue d’attaque en guerre avec les
autres roues qui forment la minuterie à tambour d’index.
Réparation des compteurs électromécanique :
La réparation consiste à vérifier les différents composants du compteur :
o Vérifier le disque rotor, il faut qu’il tourne convenablement.
o Vérifier la minuterie, elle doit être à zéro et n’est pas coincée.
o Vérifier le bon état des bobines de tension et courant et tester la continuité
entre elles.
Méthode d’étalonnage :
L’opération d’étalonnage se fait avant de brancher le compteur chez l’abonné.
L’étalonnage d’un compteur s’effectue de différentes méthodes, l’étalonnage par
l’appareil suivant c’est l’une de ces méthodes.
Le poste de l'épreuve du mètre est conçu pour tester jusqu'à dix électricités de la
phase mesure en même temps. Il utilise des composants électroniques seulement
transistorisés et il est opéré par un ordinateur individuel. Le MTE permet le calibrage
du mètre complètement automatique et les procédures de la vérification sont portées
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dehors. Un imprimeur flatteur disponible comme matériel facultatif, complétera
l'installation qui autorise l'utilisateur à imprimer les rapports de l'épreuve complets.
L’installation qui a une précision de 0. 05% peuvent être utilisés pour tester des mètres
du type électroniques.
1. Epreuve d'émettre des contacts. Trois ou six circuits du relais pour contrôler le
2. Le tarif a lu de système. tarif.
1. Echauffement
2. ajustement de cellule (réglage de capteur).
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3. 5% In cos ; E = 3,5.
4. 100% In cos ; E = 2,5.
5. 100% In cos ; E = 3,5.
6. 400% In cos ; E = 2,5.
7. Marche à vide I =0 ; U=115% (max un tour).
8. contrôle index (contrôle minuterie ; I = 30A)
compteur électronique :
Le contenu de ses index peut être affiché sur un écran à cristaux liquides.
L’outil de programmation fonctionne sur un PC avec un système d’exploitation
Windows. La programmation du compteur est contrôlée par des codes d’accès. De plus
un dispositif matériel permet d’interdire toute re-programmation indépendamment des
codes d’accès.
La programmation et la relève du compteur s’effectuent par trois méthodes :
- Liaison directe RS232
- Modem téléphonique externe
- Tête optique
Les tableaux de comptage :
Tableau de comptage BT :
Dans cette condition l’abonné possède une seul tarif, pour les tranches : jours, pointe,
soir et nuit. Les coudes de tableau de comptage 21 BT ; 22 BT. Il se compose de :
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schéma de câblage d’un tableau de comptage MT :
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Enregistreur:
a) Définition :
C’est un appareil de mesure portable à tracé continu permet l’enregistrement de
tension et courant, il alimente sur secteur 220 au tension simple.
b) Principe d’enregistrement :
Système servo-potentiométrique commandé par un moteur pas à pas. La grandeur
à mesurer après conditionnement est comparée à la tension variable issue du
potentiomètre d’asservissement le moteur qui entraîne le script s’arrête à l’égalité de
deux tensions.
c) Avance papier :
Entraînement du diagramme par moteur pas à pas pilote par quartz. Il alimente
sur batterie tampon assurant une réserve de marche suffisante pour le déroulement du
diagramme est mise en marche par le secteur sur position 30 mm/h.
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S’il y a une perturbation dans la tension chez l’un des abonnés et on veut faire un
contrôle, on installe un voltmètre enregistreur (il y a un voltmètre 2 fils ou 4 fils)
pendant 24 heures pour enregistrer la variation de tension et on le branche à la sortie du
disjoncteur de l’abonné.
Ils sont utilisés pour la localisation des défauts de câble lorsqu’on a un point de faiblesse de
l’isolement, celui-ci peut créer un amorçage ou une claquage.
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