Cours Exploitation Des Transports Ist 2021-2022
Cours Exploitation Des Transports Ist 2021-2022
Cours Exploitation Des Transports Ist 2021-2022
L’INNOVATION
DAKAR
EXPLOITATION DES
TRANSPORTS
Le brainstorming
Il peut être défini comme étant une technique de recherches originales dans
une réunion chacun émettant ses suggestions spontanément
(brainstorming = remue méninges est une technique formalisée de
résolution créative et collective de problème)
Elle fut élaborée à partir de 1940 par Alex Osborn.
Le brainstorming, littéralement tempête de cerveaux ou remue-méninges,
est une méthode participative de résolution de problèmes s’appuyant sur la
créativité des participants (c’est la spontanéité qui est recherchée).
INTRODUCTION
CHAPITRE II : TARIFICATION
En transport maritime
Le mode conventionnel
La règle du « payant pour »
Conteneurisation
Les grandes compagnies de transport de conteneurs (Maersk Line, MSC,CMA CGM)
Les correctifs
Fret de Base (FB)
Fret Maritime (FM)
Correctifs conjoncturels :
BAF : Bunker Adjustement Factor
CAF : Currency Adjustement Factor
THC : Terminal Handling Charge
ORC : Origin Receipt Charge
Port Congestion
Les surcharges tarifaires maritimes
Les Surestaries
Exercices d’application
Les liners terms
En transport aérien
Base taxable
Tranche de poids Dégressivité tarifaire
Tarifs préférentiels
Tarifs ULD
Définition de incoterms
Utilité
Contrat de transport
Les cinq (5) leviers sur lesquels une entreprise peut s’appuyer pour optimiser les coûts
Devoir
Définition
Organigramme
Examen final.
INTRODUCTION
L’organisation du travail.
L’organisation peut être aussi une entreprise, une collectivité, un groupement, une
entreprise…
Il planifie l’activité des conducteurs routiers, gère le parc de véhicule, suit et contrôle
l’acheminement des marchandises. Il peut également traiter des dossiers de litiges.
➢ Coût ;
➢ Délai ; et
➢ Sécurité.
Toutefois, d’autres critères peuvent être pris en compte tels que :
✓ La nature du produit ;
✓ La qualité ; et
✓ Le pays de l’Acheteur ou du Vendeur.
➔ Il est nécessaire de souscrire à une assurance-transport.
Le transport multimodal peut être défini de différentes façons, toutefois la plus
simple et généralement la plus reconnue est celle qui le désigne comme le fait :
La personne physique ou morale, qui s’en charge est habituellement connue sous le
nom d’entrepreneur de transport multimodal (ETM).
Le fait de combiner plusieurs modes de transport (par route, air, mer, chemin de fer)
sous un même contrat facilite aussi le transport moderne. Cette diversité bien
qu’étant ancienne était peu efficace avant l’apparition des conteneurs dont
l’uniformisation des gabarits et l’utilisation systématique à partir de la deuxième
partie du siècle.
Le transport superposé est celui dans lequel, en vue de l’exécution d’un unique
contrat de transport routier, un véhicule routier contenant des marchandises est
transporté, sans rupture de charge, sur ou dans un véhicule non routier sur une
partie du parcours.
Par exemple un produit X est conçu en Allemagne. Pour bénéficier des coûts de
fabrication moins élevés, la société le fait fabriquer dans une usine de Corée du Sud.
Une fois les milliers de produits achevés, le fabricant doit les expédier dans les
différents pays du monde où ils seront vendus. C’est là qu’intervient le transport
multi modal : les objets fabriqués sont emballés dans des conteneurs, chargés sur
des camions par des grues. Les camions les acheminent de l’usine au port où une
fois dans le port d’autres grues les chargent sur des porte-conteneurs et les
marchandises effectuent leurs voyages jusqu’aux ports où les attendent des trains ou
des camions qui vont à nouveau les transporter jusqu’à des entrepôts.
Les transports :
Pour produire des biens et des services les entreprises dépendent des transports qui
leur permettent d’obtenir des matières premières, des pièces détachées, de la main
d’œuvre et de l’énergie, et de faire parvenir les biens manufacturés, les produits
agricoles et les services aux consommateurs locaux et aux marchés internationaux.
Par delà et à travers sa tâche principale consistant à assurer le déplacement des
personnes et la
✓Réseau Routier.
✓Réseau ferroviaire.
✓Voies navigables.
✓Infrastructures portuaires.
✓Aéroports.
✓Pistes cyclables.
La contribution des transports dans l’économie est confirmée par des effets bénéfiques
d’une
Les infrastructures de transport sont l’ensemble des installations fixes qu’il est
nécessaire d’aménager pour permettre la circulation des véhicules et plus
généralement le fonctionnement des systèmes de transport.
Qu’est ce qu’un système de transport ?
Système de transport : ensemble de moyens matériels mobiles et fixes, juridiques,
institutionnels et financiers qui concourent au déplacement en toute sécurité des
personnes et des biens.
Les infrastructures sont généralement spécifiques d’un mode de transport et sont
conçues pour permettre la circulation de certains types de véhicules plus ou moins
diversifié.
Les infrastructures de transport sont un élément primordial pour garantir la liberté de
déplacement des personnes et des biens et pour assurer le fonctionnement et le
développement de l’économie.
Leur création, qui est une partie importante de l’aménagement du
territoire, nécessite le plus souvent des investissements lourds, à cet effet elles
sont la plupart du temps pris en charge par les pouvoirs publics, dans certains cas les
pouvoirs publics font faire des délégations (concession, affermage).
D’importants projets et programmes d’infrastructures sont menés à cause des
retombées (une infrastructure efficace permet de réaliser un potentiel économique
en reliant diverses régions en permettant le déplacement des personnes et des
marchandises de manière sûre et efficace et en donnant accès à de nouvelles
politiques économiques).
Des systèmes de transport plus efficaces mènent à une économie plus forte.
Toutes les entreprises ont besoin de l’industrie du transport que le produit soit
importé/exporté/vendu/consommé et ce peu importe la chaîne de marché
(fabricant/distributeur/détaillant ou consommateur).
3) Une infrastructure de transport va faciliter les flux entre deux (2) territoires en
générer des nouveaux et va donc participer à développer les territoires en question.
5) Le transport n’est qu’une partie du système économique, et que jouer sur l’offre
de transport ne détermine pas nécessairement l’avenir économique et social.
Infrastructures-→Transport-→Echanges--->Développement
8) L’activité de transport est intimement liée à l’activité économique
d’un pays.
CONCLUSION CHAPITRE I :
Le transport est la manière de déplacer ou de faire parvenir par un procédé
particulier et sur une distance assez longue [Ex : transport de marchandises
par la route (camionnage, routage), par chemin de fer (ferroutage), par voies
navigables (Maritime et fluvial), par air (aérien )].
Transports : Moyens d’acheminement des personnes et des marchandises.
(Transports aériens : messagerie).
Le transport est le déplacement d’objets, de marchandises, ou d’individus d’un point
à un autre. Les modes de transport incluent l’aviation, le chemin de fer, le transport
routier, le transport maritime, le transport par câble, l’acheminement par pipe-line et
le transport spatial.
Le transport joue un rôle essentiel dans le développement économique et commercial
des pays et, partant, dans le bien être de leur population…des infrastructures et
autres pour le développement des services de la logistique.
La personne physique ou morale, qui s’en charge est habituellement connue sous le
nom d’entrepreneur de transport multimodal (ETM).
Le fait de combiner plusieurs modes de transport (par route, air, mer, chemin de fer)
sous un même contrat facilite aussi le transport moderne. Cette diversité bien
qu’étant ancienne était peu efficace avant l’apparition des conteneurs dont
l’uniformisation des gabarits et l’utilisation systématique à partir de la deuxième
partie du siècle.
Le transport superposé est celui dans lequel, en vue de l’exécution d’un unique
contrat de transport routier, un véhicule routier contenant des marchandises est
transporté, sans rupture de charge, sur ou dans un véhicule non routier sur une
partie du parcours.
Par exemple un produit X est conçu en Allemagne. Pour bénéficier des coûts de
fabrication moins élevés, la société le fait fabriquer dans une usine de Corée du Sud.
Une fois les milliers de produits achevés, le fabricant doit les expédier dans les
différents pays du monde où ils seront vendus. C’est là qu’intervient le transport
multi modal : les objets fabriqués sont emballés dans des conteneurs, chargés sur
des camions par des grues. Les camions les acheminent de l’usine au port où une
fois dans le port d’autres grues les chargent sur des porte-conteneurs et les
marchandises effectuent leurs voyages jusqu’aux ports où les attendent des trains ou
des camions qui vont à nouveau les transporter jusqu’à des entrepôts.
Pour produire des biens et des services les entreprises dépendent des transports qui
leur permettent d’obtenir des matières premières, des pièces détachées, de la main
d’œuvre et de l’énergie, et de faire parvenir les biens manufacturés, les produits
agricoles et les services aux consommateurs locaux et aux marchés internationaux.
Les infrastructures de transport sont l’ensemble des installations fixes qu’il est
nécessaire d’aménager pour permettre la circulation des véhicules et plus
généralement le fonctionnement des systèmes de transport.
Qu’est ce qu’un système de transport ?
Système de transport : ensemble de moyens matériels mobiles et fixes, juridiques,
institutionnels et financiers qui concourent au déplacement en toute sécurité des
personnes et des biens.
Les infrastructures sont généralement spécifiques d’un mode de transport et sont
conçues pour permettre la circulation de certains types de véhicules plus ou moins
diversifié.
Les infrastructures de transport sont un élément primordial pour garantir la liberté de
déplacement des personnes et des biens et pour assurer le fonctionnement et le
développement de l’économie.
Leur création, qui est une partie importante de l’aménagement du
territoire, nécessite le plus souvent des investissements lourds, à cet effet elles
sont la plupart du temps pris en charge par les pouvoirs publics, dans certains cas les
pouvoirs publics font faire des délégations (concession, affermage).
D’importants projets et programmes d’infrastructures sont menés à cause des
retombées (une infrastructure efficace permet de réaliser un potentiel économique
en reliant diverses régions en permettant le déplacement des personnes et des
marchandises de manière sûre et efficace et en donnant accès à de nouvelles
politiques économiques).
Des systèmes de transport plus efficaces mènent à une économie plus forte.
Toutes les entreprises ont besoin de l’industrie du transport que le produit soit
importé/exporté/vendu/consommé et ce peu importe la chaîne de marché
(fabricant/distributeur/détaillant ou consommateur).
3) Une infrastructure de transport va faciliter les flux entre deux (2) territoires en
générer des nouveaux et va donc participer à développer les territoires en question.
5) Le transport n’est qu’une partie du système économique, et que jouer sur l’offre
de transport ne détermine pas nécessairement l’avenir économique et social.
Infrastructures-→Transport-→Echanges--->Développement
7) L’activité de transport est intimement liée à l’activité économique d’un
pays.
EXERCICE FINAL CHAPITRE I
I- En transport maritime
Aussi, d’autres critères peuvent-ils être pris en charge tels que la nature du produit,
la qualité et le pays de l’acheteur ou du vendeur.
Les règles de tarification utilisées par les Compagnies de transport sont aussi variées
que les modes de transport utilisés, les conditions d’exploitation, les caractéristiques
physiques des marchandises ou encore les emballages utilisés.
Aussi, ces tarifs peuvent-ils être proposés par tranches de poids et dégressifs ; à cet
effet le coût de l’Unité Payante (UP) diminue lorsque le poids augmente.
Les marchandises dites Lourds seront facturées au poids brut tandis que celles dites
Légers seront facturés au volume ramené au poids.
Par ex. Une opération de transport multimodale, une partie par route, le transporteur
routier établit un rapport Poids Volume de 1 pour 3 (1 Tonne pour 3m3) et taxera au
poids brut pour un rapport inférieur ou égal à 1 pour 3. (Ex. Pour un colis brut de 3
Tonnes et de Volume 6 m3. Poids équivalent : 6/3= 2Tonnes. Soit une taxation au
poids réel c’est à dire 3Tonnes).
Elle s’applique aux tarifs présentés par tranche de poids et en prix dégressifs. Le
chargeur peut aussi bénéficier de l’avantage lié à la dégressivité. Le chargeur ou le
transitaire a toutefois le droit de taxer sur un poids fictif pour arriver dans une
tranche supérieure avec un prix au kilogramme inférieur s’il en résulte un coût total a
son avantage.
2-3 Conteneurisation
Au Sénégal, les Chargeurs ont défini les tarifs au niveau international et au niveau
national pour les transports routiers de marchandises (Voir ANNEXES 1 et 2) ; toutefois
la fixation du prix d’un transport maritime en conteneurs ou en groupage peut paraître
difficile.
2) Correctifs conjoncturels :
ORC : Origin Receipt Charge. Payable seulement au départ des ports de chine pour
contribuer au développement des ports chinois.
Les surcharges tarifaires maritimes sont des frais perçus en plus du tarif
négocié et dépendent d’un contexte spécifique.
CAF 5% 3%*700=21USD
BAF 3% CAF
5%*(700+21)=36USD
Fret maritime=
FB+BAF+CAF
700+21+36=757 USD
« LINER » est un mot qui désigne un navire de ligne régulière alors que «TERMS »
signifie conditions. Les Liners-terms désignent donc des terms qui qualifient et
précisent les opérations de passage portuaire comprises dans le montant du fret à
payer (donc quelles prestations sont comprises dans le prix du fret). Les liner-terms
ne modifient en rien le point de transfert des risques défini par l’incoterm utilisé.
Les « Liner Terms » sont différents des Incoterms (International Commercial
Terms) qui définissent les obligations du vendeur et de l'acheteur lors d'une
transaction commerciale. Ils visent à fixer des règles internationales homogènes
par l’insertion de dispositions contractuelles principalement utilisées dans les
contrats relevant du commerce extérieur.
Les frais liés à chacune de ces opérations de manutentions à l’embarquement et au
débarquement sont supportés dans des proportions variables par le chargeur, le
transporteur ou le destinataire.
La pratique, conforme aux conditions de lignes régulières ou LINER TERMS envisage
trois (3) possibilités de répartition de ces frais selon que les marchandises sont
placées au départ et à l'arrivée du navire depuis le quai, le sous palan ou à bord du
navire. Le croisement de ces combinaisons offre donc quelques possibilités de
répartition.
Ainsi la compagnie maritime qui supporte ces frais les intègre alors dans le "fret
maritime". Elle les répercute ensuite au chargeur ou au destinataire selon l'incoterms
du contrat de vente. Par exemple, un acheteur FOB (Free on Board) serait en droit
de réclamer au vendeur le remboursement de frais d'embarquement. En effet, ces
derniers inclus dans le calcul du taux de fret facturé à l’acheteur auraient dû
normalement être supportés par le vendeur.
Par contre, pour un vendeur CIF (Cost Insurance and Fret) à qui le fret maritime a
été facturé y compris les frais d’embarquement et de débarquement, il serait
commercialement difficile de réclamé auprès de son client le remboursement des
frais de manutention à l’arrivée.
Des variantes telles que FOB "stowed" ou "arrimé" et CIF "landed" ou "déchargé"
permettent d'éviter les litiges. Dans le premier cas le vendeur prend à sa charge la
totalité des frais d'embarquement y compris après le bastingage du navire, dans le
deuxième cas il prend à sa charge les frais de débarquement. Il pourra donc les
inclure dans son prix de vente.
Mais cela suppose que les parties intéressées au contrat de vente se soient
respectivement informées auprès de leurs transporteurs sur les conditions de prise
en charge des frais de manutention conventionnels.
Voici les principales conditions de fret (Liner Terms) employées dans le transport
maritime international :
1. De bord à bord
5. De quai à quai
LEXIQUE
Sous palan : qualifie une marchandise livrée sur le port même, après qu'elle ait
été déchargée des cales du navire qui la transportait
Palan : Appareil de levage muni d'un système démultiplicateur ou d'un réducteur
Bastingage : est en fait une muraille en bois ou en fer autour du pont supérieur
couronnée par un caisson cloisonné où l'on place les hamacs de l'équipage
recouverts par une toile peinte pour les protéger de la pluie et de l’humidité.
C’est un tarif par tranche de poids, rapidement dégressif, qui change d’un pays à un
autre.
✓ Tarifs préférentiels
Un minimum de taxation est prévu pour les petites expéditions.
✓ Tarifs ULD
Selon le tarif ULD (Unit Load Device -unités de chargement-) chaque unité de
chargement à un prix minimum.
Le tarif ULD est une taxe forfaitaire consentie pour certains trajets.
Exercices d’application :
Aussi, d’autres critères peuvent-ils être pris en charge tels que la nature du produit,
la qualité et le pays de l’acheteur ou du vendeur.
Les règles de tarification utilisées par les Compagnies de transport sont aussi variées
que les modes de transport utilisés, les conditions d’exploitation, les caractéristiques
physiques des marchandises ou encore les emballages utilisés.
Le mode conventionnel :
Le mode de tarification conventionnel est utilisé pour les envois de
groupage( conteneur exclusif-Full Container Load FCL, Less a
container Load-LCL-), la messagerie, dès lors que les marchandises
sont présentées emballées individuellement ou en lots ( caisses, cartons,
palettes..).
Aussi, ces tarifs peuvent-ils être proposés par tranches de poids et dégressifs ; à cet
effet le coût de l’Unité Payante (UP) diminue lorsque le poids augmente.
Les marchandises dites Lourds seront facturées au poids brut tandis que celles dites
Légers seront facturés au volume ramené au poids.
Par ex. Une opération de transport multimodale, une partie par route, le transporteur
routier établit un rapport Poids Volume de 1 pour 3 (1 Tonne pour 3m3) et taxera au
poids brut pour un rapport inférieur ou égal à 1 pour 3. (Ex. Pour un colis brut de 3
Tonnes et de Volume 6 m3. Poids équivalent : 6/3= 2Tonnes. Soit une taxation au
poids réel c’est à dire 3Tonnes).
Elle s’applique aux tarifs présentés par tranche de poids et en prix dégressifs. Le
chargeur peut aussi bénéficier de l’avantage lié à la dégressivité. Le chargeur ou le
transitaire a toutefois le droit de taxer sur un poids fictif pour arriver dans une
tranche supérieure avec un prix au kilogramme inférieur s’il en résulte un coût total a
son avantage.
Conteneurisation
Au Sénégal, les Chargeurs ont défini les tarifs au niveau international et au niveau
national pour les transports routiers de marchandises (Voir ANNEXES 1 et 2) ; toutefois
la fixation du prix d’un transport maritime en conteneurs ou en groupage peut paraître
difficile.
2) Correctifs conjoncturels :
ORC : Origin Receipt Charge. Payable seulement au départ des ports de chine pour
contribuer au développement des ports chinois.
Les surcharges tarifaires maritimes sont des frais perçus en plus du tarif
négocié et dépendent d’un contexte spécifique.
Fret maritime=
FB+BAF+CAF
700+21+36=757 USD
« LINER » est un mot qui désigne un navire de ligne régulière alors que « TERMS »
signifie conditions. Les Liners-terms désignent donc des terms qui qualifient et
précisent les opérations de passage portuaire comprises dans le montant du fret à
payer (donc quelles prestations sont comprises dans le prix du fret). Les liner-terms
ne modifient en rien le point de transfert des risques défini par l’incoterm utilisé.
En transport aérien
✓ Base taxable
C’est un tarif par tranche de poids, rapidement dégressif, qui change d’un pays à un
autre.
✓ Tarifs préférentiels
Un minimum de taxation est prévu pour les petites expéditions.
✓ Tarifs ULD
Selon le tarif ULD (Unit Load Device -unités de chargement-) chaque unité de
chargement à un prix minimum.
Le tarif ULD est une taxe forfaitaire consentie pour certains trajets.
Elle s’applique aux tarifs présentés par tranche de poids et en prix dégressifs.
1) Tarifs préférentiels
2) Surestaries.
3) Tarification Maritime
a) Définition de incoterms
Terme qui définit les obligations et les responsabilités respectives du Vendeur et de
l’Acheteur dans le commerce international.
1967 : Apparition des incoterms DAF (Delivered at Fontier) et DDP (Delivered Duty
Paid) l’acheteur n’a qu’une prestation minimale.
2000 : Modifications.
➔ Les modifications qui étaient appliquées depuis le 1er janvier 2011 portaient
principalement sur la suppression de quatre (4 ) incoterms : DEQ, DES, DAF
et DDU ; et l’introduction de deux (2) nouveaux incoterms DAT (Rendu au
Terminal) et DAP (Rendu au lieu de destination).
1) Utilité
Le rôle des incoterms est de définir les obligations du Vendeur et de
l’Acheteur, au cours d’un commerce international.
Cela veut dire à quel moment la marchandise passe de la charge du Vendeur à celle
de l’Acheteur.
La responsabilité s’entend : assumer la logistique, le choix des transports, les frais
engendrés (douanes, assurances) et tous les risques tels que les détériorations, les
pertes ou les vols…
Aux États-Unis, l’Incoterm FOB (Free On Board) ne renvoie pas à une expédition
en bateau ou à un port mais bien à une destination américaine, à la frontière.
o Vente à l’arrivée : une vente à l’arrivée signifie que la marchandise voyage aux
risques et périls du Vendeur jusqu’au point/port convenu. Trois Incoterms
sont prévus :
➢ Jusqu’à la fin du transport maritime et du débarquement (DAP) ;
➢ Jusqu’au point de destination (DAT, DDP).
o Vente au départ : une vente au départ signifie que la marchandise voyage aux
risques et périls de l’Acheteur, c’est-à-dire à partir de sa mise à disposition
dans les locaux du Vendeur (EXW) à partir du moment où elle a été remise au
transporteur aux fins d’expédition (FCA, FAS, FOB, CFR, CIF, CPT, CIP).
En outre, ces deux Incoterms contredisent, en quelque sorte, le nouveau Code des
Douanes de l'Union européenne puisque la responsabilité des exportateurs et des
importateurs est pro- duite une fois que l'expédition des exportations et des
importations a été effectuée respec- tivement.
FAS (Free Alongside Ship ) est un Incoterm très peu utilisé et il ne contribue presque
en rien au FCA (Free Carrier Alongside) qui lui est utilisé lorsque la marchandise est
livrée dans le port de départ du pays de l'exportateur. En FCA, vous pouvez
également livrer les marchan- dises sur le quai comme dans le FAS puisque le quai
fait partie du terminal maritime.
D'autre part, si vous utilisez cet Incoterm et qu'il y a un retard dans l'arrivée du
navire au port, la marchandise devra être disponible à l'acheteur au quai pendant
plusieurs jours et, d'autre part, si le navire va de l'avant, la marchandise ne sera pas
disponible pour embarquement. En réalité, le FAS n'est utilisé que dans le commerce
extérieur de certains produits de base (minéraux, céréales) et, en ce sens, le Comité
de Rédaction envisage de créer un Incoterm spécifique pour le commerce
électronique de ce type de produits.
FCA est l’Incoterm le plus utilisé (environ 40% des opérations commerciales
internationales sont effectuées avec cet Incoterm), il est très polyvalent et permet la
livraison des marchan- dises dans différents endroits (domicile du vendeur, terminal
de transport terrestre, port, aéroport, etc.), presque toujours dans le pays du
vendeur. Il est valorisé pour créer deux Incoterms FCA, l'un pour la livraison terrestre
et l'autre pour les livraisons maritimes.
Ceci est dû au fait que FOB et CIF sont deux très vieux Incoterms (FOB a déjà été
utilisé en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle) et la Chambre de Commerce
Internationale n’a pas fait des efforts pour effectuer correctement les changements
très importants qui s’imposaient puisqu'environ 80% du commerce mondial est
effectué dans des conteneurs. Dans les Inco- terms 2020, il est possible que FOB et
CIF puissent être utilisés pour le transport de conte- neurs, comme c'était le cas avec
les Incoterms 2000 et les versions antérieures.
Le nouveau Incoterm serait dénommé CNI (Cost and Insurance) et couvrirait l’écart
qui existe entre la FCA et CFR/CIF. Contrairement à la FCA, le coût de l'assurance
internationale pour le compte du vendeur-exportateur et par opposition au CFR/CIF
ne comprend pas le fret. Comme dans les autres Incoterms en « C », ça serait un
Incoterm entrant, c'est à dire le risque de transport serait transmis du vendeur à
l'acheteur au port de départ.
Comme pour la FCA, le DDP génère également des problèmes en raison du fait que
les tarifs et les droits de douanes du pays importateur sont payés par le vendeur,
quel que soit le lieu de livraison de la marchandise. Par conséquent, le Comité de
rédaction envisage la création de deux Incoterms basés sur le DDP :
En résumé :
Comme pour les Incoterms 2010, les Incoterms 2020 sont au nombre de
11 :
EXW, FCA, CPT, CIP, DAP, DPU, DDP, FAS, FOB, CFR, CIF.
Les Incoterms multimodaux : EXW, FCA, CPT, CIP, DAP, DPU, DDP.
Parmi celles-ci :
Dans un contrat de vente international, il faut bien cerner les éléments ci -après :
1) Le transport ;
2) Le dédouanement ;
3) L’assurance ;
A cet effet, les questions auxquelles le Vendeur et l’Acheteur sont souvent confrontés
sont, entre autres :
Les obligations de chaque partie dans le contrat déterminent, celle qui a en charge la
documentation de la marchandise.
• La facture commerciale :
C’est un document indispensable dans toutes les transactions. Elle accompagne la
marchandise lors du passage de la frontière.
• Le certificat d’origine
Il peut être demandé lorsque l’origine de la marchandise permet de bénéficier de
régimes dérogatoires ou revêt de l’importance pour l’importateur.
Éventuellement des certificats divers tels que certificats sanitaires ou d’analyses sont
exigés dans le cas de certains produits, notamment agro-alimentaires.
Enfin, les attestations de prise en charge par les transitaires et/ou les documents de
transport tels que : Lettre de Voiture CMR (route) ou LVI (fer), LTA (air) ou
Connaissement maritime (mer) généralement sont joints au dossier documentaire.
Définition de incoterms
Terme qui définit les obligations et les responsabilités respectives du Vendeur et de
l’Acheteur dans le commerce international.
1936, 1953 : 2ème Version (révision approfondie), 1967 Apparition des incoterms
DAF (Delivered at Fontier) et DDP (Delivered Duty Paid) l’acheteur n’a qu’une
prestation minimal, 1976 : Apparition du premier incoterm adapté au transport
aérien, 1980 La CCI tient compte du changement profond apporté dans le transport
international par le développement du conteneur, 2000 Modifications, 2010 Les
onze (11) incoterms.
Utilité
Le rôle des incoterms est de définir les obligations du Vendeur et de
l’Acheteur, au cours d’un commerce international.
Cela veut dire à quel moment la marchandise passe de la charge du Vendeur à celle
de l’Acheteur.
La responsabilité s’entend : assumer la logistique, le choix des transports, les frais
engendrés (douanes, assurances) et tous les risques tels que les détériorations, les
pertes ou les vols…
DAT , DAP, EXW, FCA, FAS, FOB, CFR, CIF, CIP, CPT, DDP.
Les « Familles » des Incoterms
Il existe des Groupes dédiés aux incoterms :
NB :
Aux États-Unis, l’Incoterm FOB (Free On Board) ne renvoie pas à une expédition
en bateau ou à un port mais bien à une destination américaine, à la frontière.
o Vente à l’arrivée : une vente à l’arrivée signifie que la marchandise voyage aux
risques et périls du Vendeur jusqu’au point/port convenu. Trois Incoterms
sont prévus :
➢ Jusqu’à la fin du transport maritime et du débarquement (DAP) ;
➢ Jusqu’au point de destination (DAT, DAP).
o Vente au départ : une vente au départ signifie que la marchandise voyage aux
risques et périls de l’Acheteur, c’est-à-dire à partir de sa mise à disposition
dans les locaux du Vendeur (EXW) à partir du moment où elle a été remise au
transporteur aux fins d’expédition (FCA, FAS, FOB, CFR, CIF, CPT, CIP).
Ce sera un changement très important car EXW est un Incoterm que beaucoup
d'entreprises avec peu d'expérience en matière d'exportation utilisent. Le DDP est
couramment employé pour des marchandises (par exemple des échantillons ou des
pièces de rechange) qui sont expédiées par les compagnies de transport urgentes qui
traitent toute la logistique et le dé- douanement jusqu'à la livraison à l'adresse de
l'acheteur. La justification de la suppression de ces deux termes est qu'ils traitent
effectivement des opérations intérieures : dans le cas de EXW par le vendeur-
exportateur et dans le cas de DDP par l'acheteur-importateur.
En outre, ces deux Incoterms contredisent, en quelque sorte, le nouveau Code des
Douanes de l'Union européenne puisque la responsabilité des exportateurs et des
importateurs est pro- duite une fois que l'expédition des exportations et des
importations a été effectuée respec- tivement.
FAS (Free Alongside Ship ) est un Incoterm très peu utilisé et il ne contribue presque
en rien au FCA (Free Carrier Alongside) qui lui est utilisé lorsque la marchandise est
livrée dans le port de départ du pays de l'exportateur. En FCA, vous pouvez
également livrer les marchan- dises sur le quai comme dans le FAS puisque le quai
fait partie du terminal maritime.
D'autre part, si vous utilisez cet Incoterm et qu'il y a un retard dans l'arrivée du
navire au port, la marchandise devra être disponible à l'acheteur au quai pendant
plusieurs jours et, d'autre part, si le navire va de l'avant, la marchandise ne sera pas
disponible pour embarquement. En réalité, le FAS n'est utilisé que dans le commerce
extérieur de certains produits de base (minéraux, céréales) et, en ce sens, le Comité
de Rédaction envisage de créer un Incoterm spécifique pour le commerce
électronique de ce type de produits.
FCA est l’Incoterm le plus utilisé (environ 40% des opérations commerciales
internationales sont effectuées avec cet Incoterm), il est très polyvalent et permet la
livraison des marchan- dises dans différents endroits (domicile du vendeur, terminal
de transport terrestre, port, aéroport, etc.), presque toujours dans le pays du
vendeur. Il est valorisé pour créer deux Incoterms FCA, l'un pour la livraison terrestre
et l'autre pour les livraisons maritimes.
Ceci est dû au fait que FOB et CIF sont deux très vieux Incoterms (FOB a déjà été
utilisé en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle) et la Chambre de Commerce
Internationale n’a pas fait des efforts pour effectuer correctement les changements
très importants qui s’imposaient puisqu'environ 80% du commerce mondial est
effectué dans des conteneurs. Dans les Inco- terms 2020, il est possible que FOB et
CIF puissent être utilisés pour le transport de conte- neurs, comme c'était le cas avec
les Incoterms 2000 et les versions antérieures.
*Création d'un nouveau Incoterm : CNI
Le nouveau Incoterm serait dénommé CNI (Cost and Insurance) et couvrirait l’écart
qui existe entre la FCA et CFR/CIF. Contrairement à la FCA, le coût de l'assurance
internationale pour le compte du vendeur-exportateur et par opposition au CFR/CIF
ne comprend pas le fret. Comme dans les autres Incoterms en « C », ça serait un
Incoterm entrant, c'est à dire le risque de transport serait transmis du vendeur à
l'acheteur au port de départ.
Comme pour la FCA, le DDP génère également des problèmes en raison du fait que
les tarifs et les droits de douanes du pays importateur sont payés par le vendeur,
quel que soit le lieu de livraison de la marchandise. Par conséquent, le Comité de
rédaction envisage la création de deux Incoterms basés sur le DDP :
En résumé :
Comme pour les Incoterms 2010, les Incoterms 2020 sont au nombre de
11 :
EXW, FCA, CPT, CIP, DAP, DPU, DDP, FAS, FOB, CFR, CIF.
Les Incoterms multimodaux : EXW, FCA, CPT, CIP, DAP, DPU, DDP.
Parmi celles-ci :
Dans un contrat de vente international, il faut bien cerner les éléments ci -après :
Le transport ;
Le dédouanement ;
L’assurance ;
A cet effet, les questions auxquelles le Vendeur et l’Acheteur sont souvent confrontés
sont, entre autres :
Les obligations de chaque partie dans le contrat déterminent, celle qui a en charge la
documentation de la marchandise.
• La facture commerciale :
C’est un document indispensable dans toutes les transactions. Elle accompagne la
marchandise lors du passage de la frontière.
L’ensemble des mentions obligatoires doivent y figurer et toutes les informations
habituellement requises pour une facture (noms et adresse des contractants,
conditions et termes du contrat, modalités de transport, modalités de payement,
mentions sur l’origine et la destination de la marchandise, description de la
marchandise, code éventuel, poids, volume ou nombre d’unités, prix unitaire,
montant de la transaction).
• Le certificat d’origine
Il peut être demandé lorsque l’origine de la marchandise permet de bénéficier de
régimes dérogatoires ou revêt de l’importance pour l’importateur.
Éventuellement des certificats divers tels que certificats sanitaires ou d’analyses sont
exigés dans le cas de certains produits, notamment agro-alimentaires.
Enfin, les attestations de prise en charge par les transitaires et/ou les documents de
transport tels que : Lettre de Voiture CMR (route) ou LVI (fer), LTA (air) ou
Connaissement maritime (mer) généralement sont joints au dossier documentaire.
(Les obligations de chaque partie dans le contrat déterminent, celle qui a en charge
la documentation de la marchandise ; toutefois, le Vendeur (exportateur) aide
l’Acheteur (importateur) à l’établissement des documents, si l’Incoterm choisi est
départ usine).
*Enfin, les attestations de prise en charge par les transitaires et/ou les
documents de transport tels que : Lettre de Voiture CMR (route) ou CIM
(fer), LTA (air) ou connaissement maritime (mer) généralement sont joints
au dossier documentaire
Il est à signaler que les Nations Unies dans leur résolution 63/122 du 11 décembre
2008 pensent que : « le régime juridique actuel du transport international de
marchandises par mer manque d’homogénéité et ne prend pas suffisamment en
compte les pratiques de transports modernes, notamment la conteneurisation, le
transport de porte à porte et l’utilisation de documents de transport électroniques ;
et
-l’adoption des règles uniformes de modernisation et d’harmonisation des textes qui
régissent le transport international de marchandises effectué partiellement par mer
renforcerait la certitude juridique, améliorerait l’efficacité et la prévisibilité
commerciale du transport international de marchandises et réduirait les obstacles
juridiques aux échanges internationaux entre tous les Etats ;
-pour les transports de passagers Bruxelles 1961 et Athènes 1990 une harmonisation
du régime de contrat de transport en un seul contrat peut parfois suffire pour
plusieurs modes de transport ».
Adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 11 décembre 2008 sur le
contrat de transport international de marchandises effectué entièrement ou
partiellement par mer. Elle établit un régime juridique uniforme et moderne régissant
les droits et obligations des chargeurs, transporteurs et destinataires en vertu d’un
contrat de transport de porte à porte comprenant une étape maritime internationale.
➢ Règles de la Haye-Visby
Figurent dans la Convention internationale de Bruxelles du 25 août 1929 pour
l’unification de certaines règles en matière de connaissement modifiée par
les Protocoles de Bruxelles 23-02-1968 et 21-02-1979.
➢ Règles de d’York et d’Anvers
Règlement d’avaries communes survenues au cours du transport des marchandises
par voie maritime .
La Convention de Bruxelles (Règles de la Haye) de 1924, les Règles de
Hambourg de 1992 et les Règles de Rotterdam de 2009 devraient, à terme,
remplacer les précédentes conventions.
CONCLUSION CHAPITRE IV
➢ Règles de Hambourg
La Convention des Nations Unies sur le transport de marchandises par mer (« Règles
de Hambourg ») a été adoptée par une conférence diplomatique le 31 mars 1978.
Elle établit un régime juridique uniforme applicable aux droits et obligations des
chargeurs, transporteurs et destinataires, dans le cadre d’un contrat de transport par
mer.
Elaborée sur la demande des pays en développement, elle n’est entrée en
vigueur que le 1er novembre 1992. Aucune grande puissance n’a ratifié les règles de
Hambourg.
Le Sénégal a ratifié cette Convention et à cet effet dénoncé la Convention de
Bruxelles révisée.
Il est à signaler que les Nations Unies dans leur résolution 63/122 du 11 décembre
2008 pensent que : « le régime juridique actuel du transport international de
marchandises par mer manque d’homogénéité et ne prend pas suffisamment en
compte les pratiques de transports modernes, notamment la conteneurisation, le
transport de porte à porte et l’utilisation de documents de transport électroniques ;
et
-l’adoption des règles uniformes de modernisation et d’harmonisation des textes qui
régissent le transport international de marchandises effectué partiellement par mer
renforcerait la certitude juridique, améliorerait l’efficacité et la prévisibilité
commerciale du transport international de marchandises et réduirait les obstacles
juridiques aux échanges internationaux entre tous les Etats ;
-pour les transports de passagers Bruxelles 1961 et Athènes 1990 une harmonisation
du régime de contrat de transport en un seul contrat peut parfois suffire pour
plusieurs modes de transport ».
Adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 11 décembre 2008 sur le
contrat de transport international de marchandises effectué entièrement ou
partiellement par mer. Elle établit un régime juridique uniforme et moderne régissant
les droits et obligations des chargeurs, transporteurs et destinataires en vertu d’un
contrat de transport de porte à porte comprenant une étape maritime internationale.
➢ Règles de la Haye-Visby
Figurent dans la Convention internationale de Bruxelles du 25 août 1929 pour
l’unification de certaines règles en matière de connaissement modifiée par
les Protocoles de Bruxelles 23-02-1968 et 21-02-1979.
➢ Règles de d’York et d’Anvers
Règlement d’avaries communes survenues au cours du transport des marchandises
par voie maritime .
La Convention de Bruxelles (Règles de la Haye) de 1924, les Règles de
Hambourg de 1992 et les Règles de Rotterdam de 2009 devraient, à terme ,
remplacer les précédentes conventions.
EXERCICE FINAL CHAPITRE IV
5-1 L’emballage
Il doit être adapté au voyage prévu ; à cet effet si l’Acheteur organise le transport, il
doit informer le Vendeur du mode de transport qui sera utilisé.
5-2 L’assurance
Selon l’Incoterm choisi, l’assurance relative au transport des marchandises n’est pas
toujours comprise dans le prix facturé.
Les règles Incoterms 2010 se réfèrent aux clauses révisées de l’Institut des assureurs
maritimes de Londres. Les nouvelles règles définissent clairement certaines
obligations qu’a le Vendeur vis-à-vis de l’Acheteur de révéler la nature de la
couverture de l’assurance contractée.
La nouvelle règle CIF stipule qu’en plus de fournir une preuve d’assurance, le
Vendeur doit fournir à l’Acheteur, à la demande de celui-ci, un résumé des risques et
des frais le cas échéant, accompagné des renseignements dont l’Acheteur a besoin
pour souscrire de l’assurance supplémentaire.
➢ Réalise le transport ;
➢ Émet généralement le titre de transport et la déclaration de
sûreté/sécurité le cas échéant (à des fins douanières).
Il est généralement contacté par un transitaire ou un commissionnaire de transport.
✓ Commissionnaire de transport :
Le commissionnaire est celui qui agit en son propre nom ou sous un nom social pour
le compte d’un commettant.
• Un organisateur, ce qui implique une liberté suffisante dans le choix des modes et
entreprises de transport et le différencie du simple mandataire qu’est le transitaire
(organisateur de transport international c‘est un commissionnaire de transport et en
douane qui gère la chaîne logistique multimodale de chez l’expéditeur jusqu’au
destinataire. Il dégage le client de toutes les questions de transport, d’assurance, de
manutention, de choix des modes…Il achète et vend des prestations de transport et
dispose d’un réseau de correspondants à l’étranger).
• Voie routière ;
• Voie ferroviaire ;
• Voie fluviale ;
• Voie maritime ;
• Voie aérienne.
▪ De la nature de la marchandise ;
▪ Sa valeur ;
▪ Son poids ; et
▪ Taille.
Toutefois, d’autres éléments sont à prendre en compte :
• La distance à parcourir ;
• Le point de départ et d’arrivée de la marchandise.
L’emballage
Il doit être adapté au voyage prévu ; à cet effet si l’Acheteur organise le transport, il
doit informer le Vendeur du mode de transport qui sera utilisé.
L’assurance
Selon l’Incoterm choisi, l’assurance relative au transport des marchandises n’est pas
toujours comprise dans le prix facturé.
Les règles Incoterms 2010 se réfèrent aux clauses révisées de l’Institut des assureurs
maritimes de Londres. Les nouvelles règles définissent clairement certaines
obligations qu’a le Vendeur vis-à-vis de l’Acheteur de révéler la nature de la
couverture de l’assurance contractée.
La nouvelle règle CIF stipule qu’en plus de fournir une preuve d’assurance, le
Vendeur doit fournir à l’Acheteur, à la demande de celui-ci, un résumé des risques et
des frais le cas échéant, accompagné des renseignements dont l’Acheteur a besoin
pour souscrire de l’assurance supplémentaire.
➢ Réalise le transport ;
➢ Émet généralement le titre de transport et la déclaration de
sûreté/sécurité le cas échéant (à des fins douanières).
Il est généralement contacté par un transitaire ou un commissionnaire de transport.
✓ Commissionnaire de transport :
Le commissionnaire est celui qui agit en son propre nom ou sous un nom social pour
le compte d’un commettant.
• Un organisateur, ce qui implique une liberté suffisante dans le choix des modes et
entreprises de transport et le différencie du simple mandataire qu’est le transitaire
(organisateur de transport international c‘est un commissionnaire de transport et en
douane qui gère la chaîne logistique multimodale de chez l’expéditeur jusqu’au
destinataire. Il dégage le client de toutes les questions de transport, d’assurance, de
manutention, de choix des modes…Il achète et vend des prestations de transport et
dispose d’un réseau de correspondants à l’étranger).
• Voie routière ; Voie ferroviaire ; Voie fluviale ; Voie maritime ; Voie aérienne.
Le choix d’un mode de transport dépend de :
Tout d’abord il faudra bien faire la différence entre réduction des coûts et
optimisation des coûts.
Pour une Collectivité publique, il s’agit de mettre en équilibre les dettes et les
dépenses ou de réduire les déficits ou recettes (principe des Appels d’Offres publics :
critère premier de dépense est le coût).
Il existe divers moyens d’actions pour réduire les coûts : chasse aux gaspillages,
rationalisation des achats, étude marché comparative pour évaluer les services
assurés par les fournisseurs et les prestataires, audit comptable pour permettre de
réduire les ressources inutilement immobilisées, les charges sociales et fiscales.
Toute entreprise est confrontée à des risques qui peuvent être liés à la nature de ses
activités, à son mode de fonctionnement, à son marché, aux interactions avec son
environnement, etc. Pour demeurer compétitive et gagner en performance, chaque
entreprise doit donc, au-delà de ses objectifs en termes d’optimisation des coûts,
maîtriser ses différents risques stratégiques et opérationnels et en centraliser le suivi
et la gestion, notamment en s’appuyant sur le risk manager. En effet, si la prévention
et le suivi de ces risques est indispensable, elle peut aussi s’avérer être un véritable
levier de performance pour l’entreprise.
Les stratégies pour optimiser les coûts sont nombreuses et variées et dépendent de
la nature des entreprises ; toutefois il existe un point commun qui constitue un
préalable à savoir : la Volonté du Directeur.
Les leviers sur lesquels une entreprise peut s’appuyer pour optimiser les coûts
peuvent être entre autres :
Levier no 1 :
Un tableau peut être dressé pour mettre en exergue la nature des frais, le montant
annuel, le ou les responsables des frais.
Analyse des flux de fabrication des produits et services (revue façon de travailler et
les moyens/éteindre les lumières et les climatiseurs/utiliser à bon escient les
matériels de l’entreprise).
✓ Interne ;
✓ Externe ;
✓ Interne + Externe.
CONCLUSION CHAPITRE VI
Gérer un parc, c’est optimiser les coûts, assurer le suivi de la flotte, contrôler les dérives
kilométriques, garantir la mobilité des collaborateurs, réduire la sinistralité.
Tout d’abord il faudra bien faire la différence entre réduction des coûts et
optimisation des coûts.
Pour une Collectivité publique, il s’agit de mettre en équilibre les dettes et les
dépenses ou de réduire les déficits ou recettes (principe des Appels d’Offres publics :
critère premier de dépense est le coût).
Il existe divers moyens d’actions pour réduire les coûts : chasse aux gaspillages,
rationalisation des achats, étude marché comparative pour évaluer les services
assurés par les fournisseurs et les prestataires, audit comptable pour permettre de
réduire les ressources inutilement immobilisées, les charges sociales et fiscales.
Toute entreprise est confrontée à des risques qui peuvent être liés à la nature de ses
activités, à son mode de fonctionnement, à son marché, aux interactions avec son
environnement, etc. Pour demeurer compétitive et gagner en performance, chaque
entreprise doit donc, au-delà de ses objectifs en termes d’optimisation des coûts,
maîtriser ses différents risques stratégiques et opérationnels et en centraliser le suivi
et la gestion, notamment en s’appuyant sur le risk manager. En effet, si la prévention
et le suivi de ces risques est indispensable, elle peut aussi s’avérer être un véritable
levier de performance pour l’entreprise.
Les stratégies pour optimiser les coûts sont nombreuses et variées et dépendent de
la nature des entreprises ; toutefois il existe un point commun qui constitue un
préalable à savoir : la Volonté du Directeur.
Les leviers sur lesquels une entreprise peut s’appuyer pour optimiser les coûts
peuvent être entre autres :
Analyse des flux de fabrication des produits et services (revue façon de travailler et
les moyens/éteindre les lumières et les climatiseurs/utiliser à bon escient les
matériels de l’entreprise).
✓ Interne ;
✓ Externe ;
✓ Interne + Externe.
EXERCICE FINAL CHAPITRE VI
o 93 passages en 2013 ;
o 15 % du commerce chinois en 2020.
Défis arctiques
Positionnement, navigation
Complexité
Maritime 85%
Le transport de pétrole brut raffiné et de produits pétroliers et gaziers ont atteint 3,1
milliards de tonnes par rapport à l’an dernier (2015) soit une hausse de 4,2% par
rapport à l’année précédente.
Après la levée des sanctions contre l’Iran et soutenu par les importations fermes en
Chine, en Inde et aux États-Unis de transport brut a augmenté de4,3 % en volume à
1,8 milliards de tonnes transportées/mer.
La raison est pour capitaliser sur l’élan suscité par par l’entrée en vigueur de
l’Accord sur la Facilitation des Échanges (AFE) de l’Organisation Mondiale du
Commerce (OMC).
L’AFE engage les gouvernements à rendre le commerce plus rapide, moins cher et
plus efficace.
Comme le transport maritime, le transport aérien participe directement à la géo-
économie mondiale. Et même s’il s’agit d’un sous secteur instable il est en pleine
expansion.
La croissance du transport aérien est saisissante : depuis des décennies, les chiffres
parlent d’eux-mêmes. Ce qui fait que les compagnies nationales mais aussi les
compagnies les plus petites ou à bas prix sont devenues des sociétés commerciales
plus ou moins importantes et peuvent constituer des priorités pour les Etats. Cela
avait été le cas aux États-Unis, où le Président Bush fils avait renfloué sans attendre
des compagnies privées, au lendemain des attentats du 11 Septembre 2001. Mais les
compagnies, publiques ou privées, qui ne sont pas forcément rentables, traversent
des aléas inhérents au sous secteur, et souvent de grande ampleur : prix du baril,
attentats, accidents aériens… Il s’agit donc d’un monde par définition très évolutif.
1968 : il y’a bientôt cinquante ans, le premier Boeing 747 inaugurait le transport de
masse. Crédits : Everett -AFP
Le sous secteur du transport aérien est entré dans une crise sans précédent en
raison de la pandémie de la covid-19. Le trafic aérien de passagers a été mis à l’arrêt
de mi-Mars à mi-juin puis a été affecté par un re confinement à partir de novembre.
Le transport de fret a quant à lui été mobilisé pendant le premier confinement,
notamment pour l’acheminement de produits de première nécessité. Dans ce
contexte de chute de l’activité, certains transporteurs ont obtenu le soutien financier
du gouvernement, notamment Air France avec l’octroi d’un prêt de 7 Md€. Les
premières conséquences de la crise sur l’emploi sont par ailleurs déjà apparues avec
l’annonce de la suppression des milliers de postes chez Air France. Face à ce choc
inédit, quelles sont les capacités des transporteurs aériens à supporter cette crise ?
(Source : xerfi.com)
Les formes d’organisation (ou structure) d’une entreprise définissent la façon dont
est découpé et coordonné le travail au sein d’une entreprise et le mode de
fonctionnement qui en découle. Cette organisation varie d’une entreprise à l’autre.
Elle est représentée par un organigramme. Les grands types de relations composant
une structure organisationnelle sont entre autres :
❖ Le secteur d’activités ;
❖ La taille.
Les grandes fonctions d’une entreprise peuvent être :
1) La Direction des Ressources Humaines ;
2) La Direction des Achats ;
3) La Direction de la Stratégie/ Direction de la Recherche/Développement
4) La Direction du Marketing ;
5) La Direction Commerciale ;
6) La Direction Financière (Contrôle de Gestion) ;
7) La Direction Industrielle (Direction des Projets).
Les grandes fonctions peuvent être ventilées dans dans des structures :
▪ La structure fonctionnelle :
Le principe est de regrouper les collaborateurs et les moyens par fonctions:
fonction production, fonction marketing, fonction recherche et
développement, fonction comptabilité/finances, fonctions ressources
humaines.
L’ensemble des fonctions est supervisée par la Direction.
▪ La structure divisionnelle :
C’est la structure organisationnelle des grands comptes, il y a tant de salariés
et de moyens qu’il est nécessaire de décomposer l’Entreprise en différentes
divisions chacune supervisée par un Directeur. Chaque division ( correspond à
un produit par ex. ou une activité spécifique de l’Entreprise) est elle-même
décomposée de manière fonctionnelle.
▪ La structure matricielle :
Elle est coûteuse et sa complexité de mise en œuvre et de suivi la réserve
aux Entreprises fortement internationalisées.
Le principe est que la coordination se fasse aussi bien sur un axe vertical que
sur un axe horizontal.
Les différentes fonctions communiquent entre elles ainsi qu’avec leur
hiérarchie.
o 93 passages en 2013 ;
o 15 % du commerce chinois en 2020.
Défis arctiques
Positionnement, navigation
Complexité
Maritime 85%
Le transport de pétrole brut raffiné et de produits pétroliers et gaziers ont atteint 3,1
milliards de tonnes par rapport à l’an dernier (2015) soit une hausse de 4,2% par
rapport à l’année précédente.
Après la levée des sanctions contre l’Iran et soutenu par les importations fermes en
Chine, en Inde et aux États-Unis de transport brut a augmenté de4,3 % en volume à
1,8 milliards de tonnes transportées/mer.
La raison est pour capitaliser sur l’élan suscité par par l’entrée en vigueur de
l’Accord sur la Facilitation des Échanges (AFE) de l’Organisation Mondiale du
Commerce (OMC).
L’AFE engage les gouvernements à rendre le commerce plus rapide, moins cher et
plus efficace.
La croissance du transport aérien est saisissante : depuis des décennies, les chiffres
parlent d’eux-mêmes. Ce qui fait que les compagnies nationales mais aussi les
compagnies les plus petites ou à bas prix sont devenues des sociétés commerciales
plus ou moins importantes et peuvent constituer des priorités pour les Et ats. Cela
avait été le cas aux États-Unis, où le Président Bush fils avait renfloué sans attendre
des compagnies privées, au lendemain des attentats du 11 Septembre 2001. Mais les
compagnies, publiques ou privées, qui ne sont pas forcément rentables, traversent
des aléas inhérents au sous secteur, et souvent de grande ampleur : prix du baril,
attentats, accidents aériens… Il s’agit donc d’un monde par définition très évolutif.
1968 : il y’a bientôt cinquante ans, le premier Boeing 747 inaugurait le transport de
masse. Crédits : Everett -AFP
Le sous secteur du transport aérien est entré dans une crise sans précédent en
raison de la pandémie de la covid-19. Le trafic aérien de passagers a été mis à l’arrêt
de mi-Mars à mi-juin puis a été affecté par un re confinement à partir de novembre.
Le transport de fret a quant à lui été mobilisé pendant le premier confinement,
notamment pour l’acheminement de produits de première nécessité. Dans ce
contexte de chute de l’activité, certains transporteurs ont obtenu le soutien financier
du gouvernement, notamment Air France avec l’octroi d’un prêt de 7 Md€. Les
premières conséquences de la crise sur l’emploi sont par ailleurs déjà apparues avec
l’annonce de la suppression des milliers de postes chez Air France. Face à ce choc
inédit, quelles sont les capacités des transporteurs aériens à supporter cette crise ?
(Source : xerfi.com)
Les formes d’organisation (ou structure) d’une entreprise définissent la façon dont
est découpé et coordonné le travail au sein d’une entreprise et le mode de
fonctionnement qui en découle. Cette organisation varie d’une entreprise à l’autre.
Elle est représentée par un organigramme. Les grands types de relations composant
une structure organisationnelle sont entre autres :
❖ Le secteur d’activités ;
❖ La taille.
Les grandes fonctions d’une entreprise peuvent être :
▪ La structure fonctionnelle :
Le principe est de regrouper les collaborateurs et les moyens par fonctions:
fonction production, fonction marketing, fonction recherche et
développement, fonction comptabilité/finances, fonctions ressources
humaines.
L’ensemble des fonctions est supervisée par la Direction.
▪ La structure divisionnelle :
C’est la structure organisationnelle des grands comptes, il y a tant de salariés
et de moyens qu’il est nécessaire de décomposer l’Entreprise en différentes
divisions chacune supervisée par un Directeur. Chaque division ( correspond à
un produit par ex. ou une activité spécifique de l’Entreprise) est elle-même
décomposée de manière fonctionnelle.
▪ La structure matricielle :
Elle est coûteuse et sa complexité de mise en œuvre et de suivi la réserve
aux Entreprises fortement internationalisées.
Le principe est que la coordination se fasse aussi bien sur un axe vertical que
sur un axe horizontal.
Les différentes fonctions communiquent entre elles ainsi qu’avec leur
hiérarchie.
avoir chuté en pleine pandémie de COVID-19, mais il n’est pas certain que la
croissance puisse se maintenir à l’avenir, selon le dernier Baromètre du commerce
des marchandises de l’OMC publie le 20 novembre 2020.
La faible hausse de l’indice du baromètre a été provoquée par une flambée des
commandes à l’exportation, mais des chiffres mitigés concernant d’autres
composantes et la résurgence de la COVID-19 pourraient peser sur le commerce
dans les mois à venir. (Source : stop.org).
Tarifs de transport sur le corridor Dakar-Bamako.
Description Prix