Stade 2
Stade 2
Stade 2
1
Introduction……………………………………………………………………………………………………………… 3
1. Déroulement du stage…………………………………………………………………………………………..6
2. Description de l’ouvrage……………………………………………………………………………………7
a. Éléments de l’ouvrage…………………………………………………………………………….7
b. Éléments composant l’infrastructure………………………………………………………7
3. Caractéristiques mécaniques des matériaux………………………………………………………... 7
1. Les poteaux……………………………………………………………………………………………………………………….19
2. Les poutres………………………………………………………………………………………………………………………..19
3. Les crémaillères…………………………………………………………………………………………………………………19
4. Les gradins…………………………………………………………………………………………………………………………20
5. Les voiles……………………………………………………………………………………………………………………………20
6. Les fondations……………………………………………………………………………………………………………………20
1. Déplacements……………………………………………………………………………………………………………………22
2. Contraintes………………………………………………………………………………………………………………………..24
3. Plans de ferraillage pour quelques éléments…………………………………………………………………….33
IX. Conclusion……………………………………………………………………………………………………….74
2
Dans une logique d'amélioration de leur expérience professionnelle et d’une
consolidation de leurs connaissances déjà acquises pendant les deux
premières de leur formation, les étudiants de l’EHTP sont amenés à
effectuer un stage d’initiation professionnelle.
Dans ce cadre, nous avons effectué un stage, d’une durée de six semaines,
au sein d’un bureau d’études techniques qui s’intitule TECTONE sous le
thème : calcul de la partie en béton armé du stade d’Annobon en Guinée
Equatoriale ainsi que l’effort du vent selon NV65 appliqué sur sa toiture en
bois.
3
I. Présentation de l’entreprise :
Depuis 1989, les activités de TECTONE couvrent l’ensemble du domaine de l’Ingénierie
Génie Civil
> Etudes techniques d’ossatures et d’ouvrages de tous types en béton armé, acier,
béton précontraint dans des domaines aussi divers que :
• Travaux portuaires
• Centrales thermiques
• Cimenteries
• Ouvrages d’art
• Aéroport etc.
L’utilisation d’un des plus puissants logiciels de calcul du marché tel que EFFEL –
Calcul d’ossatures spatiales « aux éléments finis », permet d’optimiser au maximum les
quantités d’acier et de béton des réalisations qui nous sont confiés.
Ses équipes, de part notre collaboration efficace avec les plus importants bureaux
d’Ingénierie, ainsi que par la confiance des entreprises qui ont eu recours à nos services, ont
acquis une très sérieuse réputation.
4
PORTUAIRE : NEUF ET REHABILITATION
> Etude et plan d’exécution pour la Réhabilitation de 823ml de quai, libérés par
tronçons de 100ml pour cause d’exploitation.
> Nature des travaux :
> Délai de remise en service pour chaque tronçon : 45 jours, soit 360 jours cumulés
pour l’ensemble du projet
COFFRAGES SPECIAUX
5
COFFRAGES ROTATIFS – STADES DE FEZ et MARRAKECH
> Coffrages équipés de basculeurs pour reprise des éléments avant pose.
REALISATION SPECIALE
> Etude, plans d’exécution, réalisation et pose de la grille escamotable inox sous le
trottoir pour la protection de l’entrée du bâtiment.
Longueur : 26,50m - Hauteur : 2,00m – Poids : 7,5T.
OUVRAGES INDUSTIELS
- Four
- Refroidisseur
- Broyeurs
- Silos divers
- Ensachage…
Le projet qu’on s’est engagé de réaliser est un terrain de football d’une capacité de 1500
places dans l’île Annobon situé en guinée équatoriale.
Notre étude s’est principalement portée sur la modélisation sur le logiciel Effel spécialisé
dans construction et le calcul des structures par la méthode des éléments finis et le
dimensionnement des gradins en béton armé (BA) et la toiture en charpente boisée sur une
longueur de L=28 mètres.
En premier lieu, il était question de voir et d’analyser le plan architecture fourni par le
bureau SIMONIN et de lire les normes qui nous seront utiles tout au long du projet.
Nous nous sommes penchés par ailleurs sur les normes en matière de calcul et de
dimensionnement que ce soit :
6
- Eurocode 2.
- BAEL 91 : Béton armé aux états limites 1991
Durant notre stage , nous avions l’opportunité de nous familiariser avec le logiciel de
calcul Effel qui permet à la fois de faire la modélisation et le dimensionnement de tous les
éléments composant la structures passant par le calcul des efforts, déplacements,
contraintes… le tout en utilisant la méthode des éléments finis.
La maîtrise du logiciel AutoCAD est essentiel dans notre projet vu qu’il était question de
se référer toujours au plan architecture fourni par le bureau d’architecture SIMONIN et outil
pour tracer les plans de ferraillage
2. Description de l’ouvrage :
- Poutres
- Poteaux
- Crémaillère
- Dalles
- Escaliers
- Voiles
- Longrines
- Semelles
- Appuis
o Appuis surfaciques
o Appuis ponctuelles
7
3. Caractéristiques mécaniques des matériaux :
a. Béton :
Le béton est un matériau constitué par mélange de ciment, de granulats (sable et gravier) et
d’eau, il est caractérisé, du point de vue mécanique, par sa résistance à la compression à 28 jours.
Un béton est définit par sa résistance à la compression à 28 jours d’âge dite : résistance
caractéristique à la compression, notée fc28.
8
La résistance du béton à la traction est faible. Elle est de l’ordre de 10 % de la résistance à la
compression.
Elle est définit par la formule suivante :
ftj = 0.6 + 0.06fcj (BAEL 91)
Pour j = 28j, on a : ftj = 0.6 + 0.06 (25) = 2.1 MPa
Sa formule est :
G=
E : module de Young
ν : Coefficient de poisson
Coefficient de poisson ν :
C’est le rapport entre la déformation relative transversale et la déformation relative
longitudinale pris égal à :
ν = 0 (à l’ELU) pour le calcul des sollicitations en considérant le béton fissuré.
ν = 0.2 (à l’LES) pour le calcul des déformations en considérant le béton non fissuré.
États limites :
fbc =
9
=1,15 Situation accidentelle
= 1,5 Situation courante
avec : : coefficient de sécurité ;
0,85 devient 0,80 quand les conditions de bétonnage deviennent sévères.
: Coefficient d’application des actions considérées :
=1, si la durée d’application des actions est supérieur à 24h
=0,85, si la durée d’application des actions est inférieure à 24h
à 28j, on a : fbc = 17 MPa
10
Contrainte limite de cisaillement à l’E.L.S : BAEL91 modifié en 99 (ART 5-1)
b. Acier :
Généralités :
Les armatures d’un béton armé sont des aciers qui se distinguent par leurs nuances et leurs
états de surfaces (RL, HA)
Les ronds lisses FeE215 et FeE 235 correspondent, respectivement, à des limites
d’élasticités garanties de 215 MPa et 235 MPa.
Les aciers à haute adhérence FeE400 et FeE500 correspondent, respectivement, à des
des limites d’élasticités garanties de 400 MPa et 500 MPa.
Treillis soudé de type TS520
11
Contraintes limites :
Il est nécessaire de réduire le risque des fissures. Pour limiter l’ouverture de ces dernières,
on est amené à limiter les contraintes dans les armatures tendues sous l’action des
sollicitations de service.
D'après les règles BAEL 91 (A, 4, 5,3), on distingue trois cas de fissures :
Fissuration peu nuisible : aucune vérification n’est nécessaire car la contrainte n’est
soumise à aucune limitation.
Fissuration préjudiciable : c’est le cas des éléments exposés aux intempéries, il y a
risque d’infiltration бst = min {2 /3 fe ; max (0.5fe ; 110√ )}
Fissuration très préjudiciable : milieu agressif
бst = 0.8min {2 /3 fe ; max (0.5fe ; 110√ )}
Ou η= coefficient de fissuration qui dépend de type d’acier :
η =1,3 pour les HA ≤ 6mm
η =1,6 pour les HA ≥ 6mm
η = 1 pour les ronds lisses
12
Protection des armatures :
Dans le but d’avoir un bétonnage correct et de prémunir les armatures des effets
d’intempéries et d’agents agressifs, nous devons respecter à ce que l’enrobage c des
armatures et au moins égale à :
c ≥5cm pour les éléments exposés à la mer, aux embruns ou aux brouillards salins.
c ≥ 3cm pour les éléments en contact d’un liquide (réservoir, tuyaux, canalisation)
c ≥1cm pour les parois situées dans les locaux condensés
c. Bois :
13
III. Dossier technique :
1. Présentation du logiciel Effel Structures :
a. Modélisation :
Le logiciel Effel structures est spécialement dédié aux calculs de structures par la
méthode des éléments finis. Il fait partie de la gamme Graitec OMD. Dans notre travail, on a
utilisé la version Effel 16.1.
Maillage :
Le maillage est la discrétisation spatiale d’un milieu continu, ou aussi, une modélisation
géométrique d’un domaine par des éléments proportionnés finis et bien définis. L'objet d'un
maillage est de procéder à une simplification d'un système par un modèle représentant ce
système, dans l'optique de simulations de calculs ou de représentations graphiques. Il doit
être effectué de telle manière que la structure garde son ordre et sa simplicité à fin de
minimiser le temps de calcul. Effel propose un maillage Auto mais il est recommandé de
14
mailler la structure manuellement et de faire des discrétisations non uniformes en fonction
de la position, par exemple aux extrémités il faut faire un maillage petit pour prendre en
compte la concentration des charges, et l’agrandir au milieu. Il est à signaler que plus le
maillage est resserré, plus la solution que l’on obtient par la méthode des éléments finis est
proche de la réalité.
Dans notre étude on s’est intéressé seulement aux chargements statiques, le logiciel
Effel permet de saisir:
- Charges ponctuelles.
- Charges linéaires.
- Charges surfaciques.
Ainsi qui offre des assistants de génération automatique :
- Poids propre.
- Poussée hydrostatique.
- Charges de neige et vent sur la structure à base quadrangulaire ou polygonale suivant
les règlements.
Une structure 3D est sollicitée par des actions permanentes, d’exploitation, accidentelles
et doit conformément aux règlements applicables être vérifiée sous une multitude de
combinaisons.
La génération manuelle de ces combinaisons est souvent un travail laborieux. Effel offre
la possibilité de traiter les combinaisons d’actions réglementaires de façon automatique.
b. Phase de calcul :
15
Effel propose de nombreux outils pour exploiter les résultats du calcul :
Ils permettent d’afficher dans la zone graphique sous forme de diagrammes, de lignes ou
régions isovaleurs : les déplacements, les efforts, les contraintes, les modes et déformées sur
l’ensemble du modèle ou sur une sélection d’éléments
Elles permettent de tracer des courbes à partir des résultats obtenus sur un ou plusieurs
éléments
*Les notes synthétiques : il s’agit d’un compte-rendu succinct du calcul à travers des
tableaux d’enveloppe de résultats sur tout le modèle ou sur une sélection d’éléments.
*Les notes standards : permettent de générer simplement les hypothèses et principaux
résultats d’un modèle.
* Les notes paramétrables : permettent de composer des tableaux regroupant n’importe
quel type de résultats portant sur tout le modèle ou sur une sélection d’éléments.
16
d. Phase d’expertise :
Effel Expertise Béton Armé est un modèle de calcul Béton Armé. Il permet de mener des
analyses réglementaires selon le BAEL, l’Eurocode 2. Cet outil vous permet de calculer le
ferraillage des éléments filaire (Poutres, poteaux, longrines,…) ou des éléments surfaciques
(Gradins, crémaillères, dalles, voiles, semelles, …) en flexion simple, composée ou déviée, en
compression ou traction pure. Effel Expertise BA calcule également les aciers d’effort
tranchant et de torsion.
L’organigramme suivant résume le principe de calcul par la méthode des éléments finis
utilisée par Effel Structures :
17
3. Méthode utilisée pour le calcul manuel :
Règles B.A.E.L:
Ce sont les règles appliquées pour le calcul du béton armé des éléments des constructions,
elles reposent sur le principe des états limites.
Ce sont les états au-delà desquels une structure ou une partie de cette structure cesserait de
remplir les fonctions, ou ne satisferait plus aux conditions pour lesquelles elle a été conçue.
Ils sont classés en deux catégories:
Actions et sollicitations:
Les actions sont les forces et les couples qui sont appliqués à une construction soit
directement (charges permanentes, d'exploitation, climatiques, etc.), soit indirectement et
résultant alors de déformations imposées (retrait, fluage, variations de température,
tassement, etc.).
Les règles B.A.E.L distinguent:
- Les actions permanentes: d'intensité constante ou très peu variable.
- Les actions variables: dont l'intensité varie fréquemment et de façon importante.
- Les actions accidentelles: provenant de phénomène rares (séismes, chocs.).
Désignation:
G : action des charges permanentes évaluée à partir des volumes définis par les dessins
d'exécution.
Q : action des charges d'exploitation.
Les éléments porteurs ont été conçus en se basant sur le plan de coffrage réalisé par le
bureau d’études. Leurs dimensions ont été choisies de telle sorte à respecter la contrainte
ultime à la compression Fbc du béton qui est de 17Mpa.
18
1. Les poteaux :
Dans cet ouvrage, il existe des poteaux de différentes sections. Ces dernières diffèrent
selon la position du poteau et suivant son utilité:
Poteaux de 60x60 : ils sont d’une section assez importante car il supporte en
plus des charges d’exploitation, la toiture en bois soumise à l’action du vent.
Poteaux de 50x50 et 40x40 : ils supportent la dalle supérieure des gradins.
Chandeliers de 20x20 : ces petits poteaux supportent les crémaillères sur
lesquelles sont posés les gradins.
2. Les poutres :
Elles transmettent les charges depuis la dalle supérieure des gradins aux poteaux. Leurs
sections sont de 35x55 ou de 30x60.
3. Les crémaillères :
19
Ce sont les éléments supportant les gradins. Elles ont une largeur de 20cm et une
hauteur maximale de 102cm.
4. Les gradins :
Ce sont des éléments préfabriqués d’une épaisseur de 12cm et qui seront reliés par des
zones de clavetage. (Voir plan de ferraillage gradins)
5. Les voiles :
Nous avons prévu deux voiles dans cet ouvrage. Ils sont de même épaisseur 12cm. Ils
supportent la dalle supérieur des gradins et assure la fermeture de l’ouvrage.
6. Les fondations :
20
V. Combinaison de charge :
1. Action du vent :
Effel génère automatiquement la charge du vent sur la toiture. Pour cela, il suffit
d’introduire les paramétrages du vent et qui sont : la région et le site.
Effel génère quatre cas de charge : en surpression et en dépression suivant X+, X-, Z+, Z-
en considérant l’axe Y vertical.
2. Charge permanente :
3. Charge d’exploitation :
21
VI. Calcul des éléments structuraux :
1. Déplacements :
a. Eléments filaires :
22
b. Eléments surfaciques :
o Les gradins :
Commentaire : Quoique les déplacements soient importants dans certains éléments, ceux-ci
peuvent être tolérable puisque le béton dans les gradins restera brut.
23
2. Contraintes :
a. Eléments filaires :
Sxx :
Sxy :
24
Sxz :
b. Eléments surfaciques :
Gradins :
Sxx :
25
Syy :
Sxy :
26
Sxz :
Syz :
27
Crémaillères :
Sxx :
Syy :
28
Sxy :
Sxz :
29
Syz :
Sxx :
30
Syy :
Sxy :
31
Sxz :
Syz :
32
33
34
35
36
VII. Calcul des actions du vent sur la toiture :
Les Règles doivent conduire de façon relativement simple à des résultats se rapprochant
des effets réels des charges climatiques sur les constructions, malgré la complexité de ces
effets. Au point de vue aérodynamique, les règles utilisent les résultats les plus récents des
recherches elles tiennent compte notamment de faits généraux bien confirmés :
Au point de vue aérologique, les Règles tentent de traduire les effets de phénomènes
connus tels que :
Toutefois il importe de souligner que les Règles sont basées sur les effets statiques d'un
vent supposé stable en vitesse et en direction avec l'hypothèse que la turbulence et les
fluctuations des vents naturels sont si irrégulières en valeur et en direction, que la réponse
de la structure ne diffère pas de celle due à un vent régulier de même vitesse moyenne.
37
Domaine de validité
Le domaine des Règles est général. Toutefois, les règlements particuliers sont
applicables à certaines constructions. Dans ce cas, il convient de se rapporter au cahier des
charges particulier de l'ouvrage.
Effet du vent :
Direction
Les surfaces non éclairées (non exposées au vent) ou sous incidence rasante
(parallèles à la direction du vent) sont dites sous le vent.
Celles « sous le vent sont soumises à un écoulement turbulent. Elles sont séparées
l'une de l'autre par une ligne de décollement des filets d'air.
38
Maitre couple
Action exercée par le vent sur une des faces d’un élément de paroi
L'action exercée par le vent sur une des faces d'un élément de paroi est considérée
comme normale à cet élément.
Elle est fonction de :
- La vitesse du vent.
- La catégorie de la construction et de ses proportions d’ensemble.
- L’emplacement de l'élément considéré dans la construction et de son orientation par
rapport au vent.
- Des dimensions de l’élément considéré.
- La forme de la paroi (plane ou courbe) à laquelle appartient l'élément considéré.
L'action élémentaire unitaire exercée par le vent sur une des faces d'un élément de
paroi est donnée par un produit c*q, dans lequel :
39
q désigne la pression dynamique fonction de la vitesse du vent ;
c un coefficient de pression fonction des dispositions de la construction.
Une des faces d'un élément appartenant à une construction est dite soumise à une
pression (ou à une surpression) lorsque la force normale à cette face est dirigée vers elle.
Dans ce cas, par convention, c est positif.
Elle est dite soumise à une succion (ou à une dépression) lorsque la force est dirigée
en sens contraire. Dans ce cas, par convention, c est négatif.
Pression dynamique
La pression dynamique q en déca newtons par mètre carré (daN/m²) est donnée en
fonction de la vitesse V du vent en mètres par seconde par la formule :
q = V²/16,3
Les conditions climatiques de la région du projet permettent de conclure que cette dernière
peut être confondue avec la zone 2 française. Donc la vitesse du vent extrême est
V = 41,4 m/s
q= 105 daN/m²
La pente du projet est nulle donc l’effet de la hauteur au-dessus du sol défini par le
coefficient est :
A.N. :
40
Effet du site
A l'intérieur d'une région à laquelle correspondent des valeurs déterminées par des
pressions dynamiques de base, il convient de tenir compte de la nature du site
d'implantation de la construction.
Les valeurs des pressions dynamiques de base normale et extrême doivent être
multipliées par un coefficient de site ks égal à :
Les valeurs de sont tabulées selon la nature du site. Dans notre cas, il s’agit d’un
site exposé dans une zone 2, donc :
1,3
Effet de masque
Soit par une aggravation des actions du vent, lorsque la construction située derrière
le masque se trouve dans une zone de sillage turbulent. Dans ce cas, il n'est pas possible de
formuler de règles ; seuls des essais en soufflerie peuvent donner des renseignements
précis.
Soit par une réduction des actions du vent dans les autres cas. Les pressions
dynamiques de base peuvent alors être réduites de 25 %.
Les surfaces intéressées doivent remplir simultanément les deux conditions suivantes :
Être abritées entièrement par le masque pour toutes les directions du vent dans le
plan horizontal ;
41
Être situées au-dessous de la surface décrite par une génératrice ayant une pente de
20 % vers le sol, dirigée vers l'intérieur du masque et prenant appui sur le contour apparent
des constructions protectrices.
Dans le cas du stade d’Annobon, L’effet de masque n’a pas été pris en compte dans
les calculs.
La vitesse du vent n'est pas uniforme dans l'espace. Les relevés météo sont faits sur
des surfaces frappées par le vent dont la plus grande dimension ne dépasse pas 0,50 m.
Si la surface frappée est beaucoup plus grande, la résultante moyenne des efforts pourra
donc être réduite en pondérant les pressions dynamiques de base par un coefficient de
réduction d 1. Il est donné à la figure ci dessous, en fonction de la plus grande dimension de
la surface frappée par le vent.
Pour les éléments structuraux continus, la plus grande dimension à considérer est
celle de la travée la plus grande. De plus, si cet élément continu a un rôle important dans la
résistance ou la stabilité de la construction, des chargements dissymétriques doivent être
envisagés en appliquant, de la façon la plus défavorable, des coefficients de 0,90 d et 1,10 d
aux chargements des travées.
D’après les plans fournis, la dimension la plus grande est 104,58m, et puisque H =
10,28m, donc :
0,70
La valeur de la pression dynamique corrigée est :
q=
42
Compte tenu des valeurs des coefficients de correction, on obtient :
q = 96,12daN/m²
Amplification dynamique
Dans la direction du vent, il existe une interaction dynamique entre les forces engendrées
par les rafales de vent et la structure elle-même.
Plus la structure sera flexible (grande période d'oscillation) et plus les amplifications des
déformations, et donc des efforts dans la structure, seront importantes.
Pour tenir compte de cet effet, il faut pondérer les pressions dynamiques de base par un
coefficient « d'amplification dynamique ».
= (0,5 + )
Donc :
= 0,595
Effet résultant
La pression dynamique, compte tenu de tous les effets précédemment décrits, est la
suivante, à la hauteur H :
qr = 54,81daN/m²
Dans notre cas d’étude, nous avons à faire à une toiture isolée courbe comme le
montre la figure suivante
43
Pour mieux donc évaluer les actions du vent sur la toiture on va la décomposer en
quatre segments comme le montre la figure suivante pour calculer l’action qui est en
fonction de l’inclinaison.
Tronçon 1 2 3 4
inclinaison 27,3 19 11 3,56
(degré)
45
Calcul du coefficient c1-c2 :
A partir de l’abaque page 199 de la NV65 on obtient l’action résultante qui est
décrite par le coefficient c1-c2 et qui est fonction de l’inclinaison.
Tronçon 1 2 3 4
c1-c2 1,3 0.85 0.8 0.73
Action unitaire :
On calcul l’action unitaire sur chaque tronçon par la formule définit auparavant (q=(c1-c2) ).
Tronçon 1 2 3 4
q(daN/m2) 71,253 46,5885 43,848 40,0113
On calcul ensuite les surface au vent et sous le vent pour chaque tronçon
Tronçon 1 2 3 4
St 1,007 0,73 0,684 0,567
Su 1,98 1,44 0,9 0,36
Action résultante :
Les actions résultantes sont obtenues à partir des actions unitaires et des surfaces
F=q*S
Tronçon 1 2 3 4
Ft(daN) 71,253 34,0091 28,4134 23,04651
Fu(daN) 141,0809 67,09 39,47 14,04
L’action totale sur la toiture est obtenue par la somme algébrique des actions sur les
différents tronçons
On obtient donc les deux composantes de l’action du vent à savoir la force de trainée T et la
force de portance U
46
T=156.73 daN
U=262.03 daN
Dans cette partie on va utiliser les différentes règles du BAEL pour évaluer les
sollicitations ainsi que le ferraillage de certains éléments
Une comparaison avec les résultats fournies par le logiciel de calcul Effel structure serait
sans aucun doutes abusée, car ce dernier utilise la méthode des éléments finis et du faite
donne des résultats plus exactes que les méthodes utilisés dans le calcul manuel
Poutres
Dalles
Poteaux
47
Mw et Me doivent vérifier :
1. ⁄
3. la valeur absolue de chaque moment sur appui intermédiaire doit être au moins égale a :
Pour les appuis voisins des appuis de rive d’une poutre a plus de deux travées,
Pour les autres appuis intermédiaires d’une poutre à plus de trois travées.
Conditions données par la méthode forfaitaire à vérifier par les moments sur appui et en
travée.
48
Remarque : lorsque, sur l’appui de rive, la poutre est solidaire d’un poteau ou d’une
poutre, il convient de disposer sur cet appui des aciers supérieurs pour équilibrer
Ma=−0.15M0.
Armatures longitudinales
Lorsque les trois conditions suivantes sont réunies : q≤ g, les charges sont réparties et
les moments sur appui sont pris a leur valeur absolue minimale, il est alors possible de
déterminer de façon forfaitaire la longueur des chapeaux et l’arrêt des barres, comme
indiqué sur la Figure.
Travée 1,2,3 et 4 5
g (T/m) 0,625 0,625
q(T/m) 0,6 0,6
α 0,49 0,49
49
Etant donné que
M01=M02=M03=M04=(1,35.0,625+1,5.0,6).5,902/8
=7,6T.m
M05=(1,35.0,625+1,5.0,6) .4,402/8
=4,22T.m
Pour l’appui 1:
MA1 = -0,15xM01
MA3 = -3,04T.m
MA4 = -3,04T.m
50
Pour l’appui A5:
MA1 = -0,5xM04
MA5 = -3,8T.m
1ére Travée :
⁄
Mt 3,52 T.m
Alors :
Mt1 = 5,12 T.m
2éme Travée :
⁄
Mt 5,3T.m
⁄
51
Alors :
Mt2 = 5,3 T.m
3éme Travée :
⁄
Donc Mt 4,36T.m
Alors :
4éme Travée :
⁄
Mt 4,36T.m
Alors :
Mt4 = 5,3T.m
5éme Travée :
⁄
Mt 2,63 T.m
Donc Mt 2,84T.m
Alors :
Mt5 = 2,84 T.m
52
b. L’état limite ultime (E.L.S) :
M01=M02=M03=M04=(0,625+0,6).5,902/8
=5,33T.m
M05=(0,625+0,6) .4,402/8
=2,97T.m
MA2 = 2,66T.m
MA4 = 2,132T.m
MA5
MA3 = -4,55
= 2,66 T.mT.m
Pour l’appui 6:
MA6 = -0,15xM05
53
Moments sur travées
1ére Travée :
⁄
Mt 4,38 T.m
2éme Travée :
⁄
Mt 3,71 T.m
⁄
3éme Travée :
⁄
Mt 3,98 T.m
54
Alors :
Mt3 = 3,98 T.m
4éme Travée :
⁄
Mt 3,71T.m
⁄
Mt 3,05T.m
Alors :
Mt4 = 3,71T.m
5éme Travée :
⁄
Mt 1,9T.m
55
c. Calcul des sections d’acier pour la travée 3 :
ELU
h=0,6m
b=0,35m
Figure : Section de la 3ème travée
d = 0, 55 m
d’= 0,05 m
fc28 = 30MPa
feE50 = 500 MPa
Mu = 5,68 T.m
μ= =0,0364≤0,372
α=1,25*(1-√ μ)=0,046
Z=0,55*(1-0,4α)=0,45m
M
Ast ²
fe
Z
s
Ainsi Ast=0,0562/0,45.435 =2,88cm2
ELS
15 *b
15 *b s
Z=d(1-α/3)
y1 = α . d
Mrsb = ½ b y1 σbc.Z
M
Ast
fe
Z
Si Mser< Mrsb alors
s
Mser= (0,6+0,625).5,902/8 =5,33T.m
σbc=0,6fc28=18MPa
σs=inf(2/3fe,110√ ) =334MPa
56
α=0,447
Z=0,47m
Y1=0,26m
Mrsb=3,85T.m
Ainsi Mrsb<Mser
Donc Ast=2,61cm2
Conclusion
pour la travée 3 on adopte la section d’acier de l’état limite ultime qui est égale à 2,88cm2
On prend pour barres Ast=4HA10=3,140cm2
h=0,6m
b=0,35m
Armatures transversales
On calcule l’effort tranchant et la contrainte de cisaillement pour chaque travée en utilisant
les formules suivantes :
Vu
u
b0 d
57
( )
3éme Travée :
Vu=5,15T=0,0515MN
ρ=lx/ly
58
Dalle 1 2 3 4 5
lx 3,68 3,68 3,68 3,68 3,68
ly 5,90 5,90 5,90 5,90 4,40
ρ=lx/ly 0,624 0,624 0,624 0,624 0,84
On a 0,4≤ρ≤1
h/lx≥1/40
Donc h/3,68≥1/40
Ainsi h≥0,092
Donc on prend pour épaisseur des dalles
h=10cm
Charges
Charges permanentes G
Gtoiture=35Kg/m2
59
= 230+35
= 265kg/m2
Charge d’exploitation Q
La surcharge d’exploitation Q sur les dalles est égale à 500kg/2 majorée de 20% car il s’agir
d’une charge dynamique
Q = 500.1,2
= 600kg/m2
Combinaisons d’actions
ELU
pu=1,35G+1,5Q
=1,35.265+1,5.600
=1257,75kg/m2
ELS
ps = G+Q =265+600
=865kg/m2
Sollicitations
à l’ELU (ʋ=0)
Mux=μx.pu.lx2
Muy=μy. Mux
à l’ELS (ʋ=0,2)
Msx=μx.ps.lx2
Msy=μy. Msx
ELU
Et
60
Ce qui conduit à adopter les valeurs suivantes pour le moment en travée Mtx, en fonction
des valeurs des moments sur appuis :
Lorsque deux dalles ont un appui commun, on garde la plus grande des deux valeurs
des moments calcules sur l’appui, sans changer la valeur des moments en travée.
Suivant la direction X :
Mxappui1 =0
Mxappui2 =0,5 x max (Mux1 ; Mux2)=0,5x1,33 = 0,665Tm/ml
Mxappui3 =0,4 x max (Mux2; Mux3)=0,4x1,33= 0,532T.m/ml
Mxappui4 =0,4 x max (Mux3 ; Mux4)=0,4x1,33 = 0,532T.m/ml
Mxappui5=0,5 x max (Mux4 ; Mux5)=0,5x1,33= 0,655T.m/ml
Mxappui6 =0
61
•Moments sur travée
Pour les deux premières travées, le moment en travées doit vérifier les deux conditions
suivantes :
Mt < M0x
Travée 1
1,25.1,33-0,665/2 = 1,33T.m
Donc Mt1=1,33
Travée 2
1,25.1,33-(0,665+0,532)/2 =1,064T.m
Donc Mt2=1,064T.m
Travée 3
1,25.1,33-(0,532+0,532)/2 =1,13,T.m
Donc Mt3=1,13T.m
Travée 4
1,25.1,33-(0,665+0,532)/2 =1,064T.m
Donc Mt4=1,064T.m
Travée 5
1,25.1,33-0,665/2 = 1,33T.m
Donc Mt5=1,33
Suivant la direction y
Myappui1 =0
Myappui2 =0,5 x max (Muy1 ; Muy2)=0,5x0,48 = 0,24T.m/ml
Myappui3 =0,4 x max (Muy2; Muy3)=0,4x0,48= 0, 192 T.m/ml
Myappui4 =0,4 x max (Muy3 ; Muy4)=0,4x0,48 = 0,192T.m/ml
Myappui5=0,5 x max (Muy4 ; Muy5)=0,5x0,611 = 0,3055T.m/ml
Myappui6 =0
62
•Moments sur travées
Pour les deux premières travées, le moment en travées doit vérifier les deux conditions
suivantes :
Mt < M0y
Travée 1
1,25.0,48-0,24/2 = T.m
Donc Mt1=0,48
Travée 2
1,25.0,48-(0,24+0,192)/2 =0,384T.m
Donc Mt2=0,384T.m
Travée 3
1,25.0,48-(0,192+0,0,192)/2 =0,408T.m
Donc Mt3=0,408T.m
Travée 4
1,25.0,48-(0,24+0,192)/2 =0,384T.m
Donc Mt4=0,384T.m
Travée 5
1,25.0,48-0,24/2 = T.m
Donc Mt5=0,48
Ferraillage du panneau 2
5,90m
3,68m
63
Suivant la direction X
Suivant la direction y
E.L.S
Suivant la direction X
Mxappui1 =0
Mxappui2 =0,5 x max (Msx1 ; Msx2)=0,5x0,92 = 0,46Tm/ml
64
Mxappui3 =0,4 x max (Msx2; Msx3)=0,4x0,92= 0,368T.m/ml
Mxappui4 =0,4 x max (Mux3 ; Msx4)=0,4x0,92 = 0,368T.m/ml
Mxappui5=0,5 x max (Msx4 ; Msx5)=0,5x0,92= 0,46T.m/ml
Mxappui6 =0
Mt < M0x
Travée 1
1,25.0,92-0,46/2 = 0,46T.m
Donc Mt1=0,46
Travée 2
1,25.0,92-(0,46+0,386)/2 =0,727T.m
Donc Mt2=0,727T.m
Travée 3
1,25.0,92-(0,386+0,386)/2 =0,8T.m
Donc Mt3=0,8T.m
Travée 4
1,25.0,92-(0,46+0,386)/2 =0,727T.m
Donc Mt4=0,727T.m
Travée 5
1,25.0,92-0,665/2 = 0,46T.m
Donc Mt5=0,46
Suivant la direction y
Myappui1 =0
Myappui2 =0,5 x max (Msy1 ; Msy2)=0,5x0,52 = 0,26T.m/ml
65
Myappui3 =0,4 x max (Msy2; Msy3)=0,4x0,52= 0, 208 T.m/ml
Myappui4 =0,4 x max (Msy3 ; Msy4)=0,4x0,52 = 0,208T.m/ml
Myappui5=0,5 x max (Msy4 ; Msy5)=0,5x0,55 = 0,275T.m/ml
Myappui6 =0
Mt < M0y
Travée 1
1,25.0,52-0,26/2 = 0,52T.m
Donc Mt1=0,52
Travée 2
1,25.0,52-(0,26+0,208)/2 =0,416T.m
Donc Mt2=0,416T.m
Travée 3
1,25.0,52-(0,208+0,208)/2 =0,442T.m
Donc Mt3=0,442T.m
Travée 4
1,25.0,52-(0,26+0,208)/2 =0,384T.m
Donc Mt4=0,416T.m
Travée 5
1,25.0,55-0,275/2 = 0,55T.m
Donc Mt5=0,55
Ferraillage du panneau 2
Suivant la direction X
66
α=1,25(1-√ )=0,053
Z=0,25*(1-0,4*α)=0,244
Donc Ast=Mt/Z.fsu
Ast=0,68cm2/m2
Sur appui : MA2= 0,46Tm/ml
μ=0,027
α=0,00684
Z=0,25
Ast=0,42cm2/m2
Suivant la direction y
Armatures retenues
Panneau 1 Appui 1
67
3. Calcul des poteaux
a. Poteau B1
Poids de la dalle
p=10.10-2.5,90.3,68.25
=5,428kg
Surface de chargement
Sc= m2
Charge de la toiture
Pt=35.5,428
=189,98kg
Charge de la poussière
Pp=20.5,428
=108,56kg
Ainsi la charge totale permanente sur le poteau B1 est
GB1=303.968kg =304kg
Charges d’exploitation
Q=600.5,428
=3256,6kg
Ainsi
Nu=1,35GB1+1,5Q
=1,35.304 + 1,5.3256,6
=5295.3kg = 5,3T
Puisqu’il s’agit d’un poteau de rive l’effort normal Nu est majoré de 10%
Ainsi
Nu=5,3*1,1
=5,83T
68
b. Poteau B2
Surface de chargement
p=210.10-2.5,90.3,68.25
=10,856kg
Charge de la toiture
Pt=35.5,428
=189,98kg
Charge de la poussière
Pp=20.5,428
=108,56kg
Ainsi la charge totale permanente sur le poteau B2 est
GB2=309.396kg =310kg
Charges d’exploitation
Q=600.5,428
=3256,6kg
Ainsi
Nu=1,35GB2+1,5Q
=1,35.310 + 1,5.3256,6
=5303.4kg = 5,4T
Puisqu’il s’agit d’un poteau de rive l’effort normal Nu est majoré de 10%
Ainsi
Nu=5,4*1,1
=5,94T
69
Ferraillage des poteaux
Ferraillage longitudinale
On utilise la formule suivante pour calculer la section théorique des armatures
longitudinales :
s Nu Br f c 2 8
As
fe
0.9b
Avec :
0.85
10.2
35
2 <=50
0.60 50
2 50<<=70
Asmin = MAX
70
Ferraillage transversale
Le diamètre des armatures transversales est au moins égal à la valeur la plus proche
de 1/3 du diamètre maximal des armatures longitudinales qu’elles maintiennent.
max l
1
t
3
Espacement des aciers transversaux :
Ferraillage longitudinal
Nu=5,83T
L’élancement λ a pour expression
√
λ=
=0,7*4,30
=3,01m
D’où
√
λ=
=20,85 ≤ 50
D’où on a
0.85
10.2
35
2
71
Ainsi α =
=0,793
Ath=
=12,98cm2
D’où Ath=13cm2
Section minimale
=Max (5cm2,8cm2)
Ainsi Amin=8cm2
Section maximale
D’où finalement
As=13cm2
donc on prend pour barre 6HA14+6HA10
Ferraillage transversal
φt=(1/3).Max (φl)
=1/3.Max(14,10)
72
=4,33
Donc on prend pour diamètre des barres transversales 6mm
Espacement
73
Dans le cadre du travail d’ingénieur, ce stage au sein de TECTONE nous a
parfaitement permis d’accomplir cet objectif.
En effet on a pu avoir une idée plus au moins précise quant aux différentes étapes et
phases d’études d’un projet en BTP. Qu’il s’agisse de la conception ou du calcul, on a
pu accomplir ces étapes et bien comprendre leurs mécanismes.
Ainsi on espère l’année prochaine, dans le cadre du projet de fin d’étude, finaliser
notre formation d’ingénieur et maîtriser tous les outils et procédés nécessaires pour
mener à bout un projet de génie civile.
74