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Ours de Axinomie Des Plantes Sup Rieures

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR


ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

DOMAINE : SCIENCES DE LA NATURE ET DE LA VIE


FILIERE : BIOTECHNOLOGIE
MASTER 1 ACADEMIQUE:
SPECIALITE :
BIODIVERSITE ET PHYSIOLOGIE VEGETALE

COURS DE
TAXINOMIE DES PLANTES SUPÉRIEURES

SAOULI NACIRA

ANNÉE UNIVERSITAIRE : 2020/2021


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Intitulé : Biodiversité et physiologie végétale
Semestre : 1
Unité d’Enseignement Fondamentale 1
Matière 2 : Taxonomie de plantes supérieures
Crédits : 8
Coefficient : 4

Objectifs de l’enseignement :
- Connaître les grandes familles des angiospermes
- Utiliser les clés d’identification des plantes à fleurs

Connaissances préalables recommandées : botanique, phylogénie (déjà requis en


licence et master S1.

Contenu de la matière :

Introduction (notion de systématique, phylogénie, cladistique, espèce…)

1. Historique des plantes à fleurs


2. La diversité des angiospermes
3. Les caractéristiques des fleurs sont un critère essentiel de la classification des
angiospermes.
3.1 L’organisation des pièces florales
4. La biologie des plantes à fleurs et écoévolution
5. Les monocotylédones
5.1. Caractéristiques
5.2. Classification
6. les dicotylédones
6.1. Caractéristiques
6.2. Classification
6.. Classification évolutive non moléculaire (Cronquist, Takhtajan, Thorne)
-Emranchement Magnolophyta
classe Liliopsida
- classe Magnolopsida
7. classification par les techniques moléculaires
- Classification phylogénétique des Angiosperme ou APG :
1. Paléodicots
2. Eudicots et Eudicotyledons
3. Monocotylédones ou monocots
Les TP :
- Anatomie des fleurs de quelques espèces de différentes familles
1.1. Travail personnel : Exposé, préparation d’herbier et atelier.
Mode d’évaluation : continus (TP, Travail pers.), Examen final

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1. Introduction
(notion de systématique, phylogénie, cladistique, espèce…)

2. Historique des plantes à fleurs

Les plantes supérieures sont toutes les plantes qui présentent des vaisseaux
conducteurs (xylème et phloème) et sont appelées aussi les trachéophytes.

Nous rencontrons dans ce groupe de plantes:

• Les ptéridophytes (fougères, prèles et Sélaginelles) qui sont des sporophytes


(plantes à spores) ;
• Les spermaphytes (ou plantes à graines) comme :
o Les Pinophyta (Gymnospermes tels que les Pins, cèdres, sapins,
cyprès...)
o Les Magniolophyta (Angiospermes).

Les Angiospermes se Ils se distinguent des autres plantes vasculaires par :

• la condensation des organes reproducteurs en une fleur ;


• le carpelle clos qui se termine par un stigmate et qui évolue en fruit ;
• la double fécondation du sac embryonnaire ;
• le raccourcissement du cycle de production ;
• la présence de bois hétérogène (dit hétéroxylé)
• le raccourcissement des gamétophytes mâle (pollen) et femelle (sac
embryonnaire).

Ils sont apparus au début du Crétacé, il y a environ 100 à 130 millions


d'années. Elles sont devenues prédominantes au début de l'ère tertiaire. A l’heure
actuelle on compte près de 300 000 espèces, cependant l’origine exacte des plantes à
fleur reste un mystère. Les chercheurs cherchent l’ancêtre commun des
Angiospermes en comparant les fossiles avec les espèces vivantes. LE groupe le
plus proche des Angiospermes est le groupe de Gnétophyte

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Figure 1 : Cladogramme des Emmbryophytes

Les plus anciens restes fossiles de fleurs connus, furent découverts en Chine
dans la formation Jehol et datent du Jurassique supérieur(140Ma) est un genre
éteint de plantes, appelé Archaefructus

L’origine de la fleur est étayée par plusieurs théories :

Théorie monophylétique ou théorie de l’Euanthe


L’école Anglo-Saxonne est à l’origine de la théorie de l’Euanthe ou origine
monophylétique des Angiospermes, initiée par de Bessey, en 1915.
Selon cette théorie la fleur s’est développée par la compression d’un strobile uniaxiale
hermaphrodite (fleur primitive) qui porte en spirale, des microsporophylles avec des sacs de
pollen sur leurs marges et des macrosporophylles qui portent des ovules collées le long de
leurs marges. En devenant stériles les feuilles basales ont évoluées en périanthe, les
microsporophylles se sont transformées en étamines laminaires et les macrosporophylles en
carpelles ascidiformes.

La fleur originelle serait donc de type magnolidien. Cette hypothèse est basée sur la
découverte de Wielandiella (Genre fossile des Benittitales)*. Bessey estime que la double
fécondation est tellement exceptionnel chez les plantes terrestres qu’elle justifie à elle seule de
considérer les Angiospermes comme monophylétique.
Théorie polyphylétique
L’école allemande de Eichler, Engler et von Wettstein (1907) est à la base de la théorie de
Pseudanthe ou origine polyphylétique des Angiospermes. Selon cette théorie les
angiospermes ancestrales avaient de petites fleurs unisexuées, simples, sans pétales, et
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pollinisées par le vent. Cette hypothèse provenait du rapprochement effectué entre certaines
angiospermes et les Gnétales, gymnospermes abondantes à l'ère Secondaire dont il n'existe
plus aujourd'hui que trois genres, Ephedra, Gnetum et Welwitschia
En 2017 Hervé Sauquet et ses collaborateurs proposent une nouvelle forme de la fleur
originelle bisexuée, cyclique avec des pièces florales pétaloïdes disposées en verticilles par
lot de trois organes par cercles concentriques.

3. La diversité des angiospermes


La dissémination des Angiospermes à partir du crétacé et leur grande diversité fait qu’il y a
à l’heure actuelle près de 350 000 espèces repertoriées de par le monde. Ces plantes vivnet
dans différents écosystèmes et présentent des différences extrêmes d’une part dans leurs
dimensions, mais aussi de formes.
Les plus petites plantes appartiennent à l’espèce Wolffia arrhiza (L.) Horkel ex Wimm. qui
est une lentille d’eau, elles ne dépassent pas 1 mm elle vit dans les mares.
Les plus grandes Angiospermes sont des arbres appartennat à l’espèces Eucalyptus
regnans F. Muell., (Famille Myrtaceae) et qui peuvent atteindre près de 100 m de haut.
La plus grande fleur simple au monde est Rafflesia arnoldii R.Br.. (Famille Raflesciaceae).
La rafflésie est un parasite des racines des lianes sauvages dans les jungles épaisses de l’Asie
du Sud-Est, en particulier de Malaisie et de Bornéo et en Indonésie. Cette plante dioïque est
un parasite strict, qui dégage une odeur nauséabonde pour attirer les mouches pollinisatrices
La plus grande inflorescence au monde est l’Arum titan (Amorphophaluus titanum (Becc.)
Becc. ex Arcang., famille des Araceae.

4. Les monocotylédones

4.1 Caractéristiques des Monocotylédones

Ce sont des plantes qui ont un seul cotylédon sur l’embryon, qui évoluera en donnant une
pré-feuille. Les Monocotylédones rassemblent des espèces qui ont une grande importance sur
le plan alimentaire et économique comme les graminées.
La racine principale avorte spontanément pour être remplacée par une racine
adventive de type fasciculé ;
La tige est souvent herbacée, la structure toujours de type primaire ;

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Les feuilles sont simples parallélinervées, non pétiolées, mais avec une base foliaire
engainante développée ;
La fleur est trimère de type : 3 sépale, 3 pétales, 2x3 étamines, 3 carpelles ;
Le périanthe est souvent peu différencié et formé de tépales on parle alors de périgone.
5.2 Classification des Monocotylédones

Classification de Croquiste 1981

Cronquist place les Monocotylédones dans la classe des Liliopsida dans les divisions
Magnoliophyta [= angiospermes]. Elles sont divisées avec cinq sous-classes :
sous-classe des Alismatidae
sous-classe des Arecidae
sous-classe des Commelinidae
sous-classe des Liliidae
sous-classe des Zingiberidae

Classification APG III

Selon la classification APG les monocotylédones se divisent en 11 ordres:

1. Protomonocotylédones : Acorales, (Alismatacées, Aracées),


Dioscoréales

2. Liliidées (groupe central des Monocotylédones)

o Liliales (Liliacées, Colchicacées, Smilacacées) ;


o Asparagales (Asparagacées incluant Agavacées et Con
vallariacées ; Iridacées ;Orchidacées ; Amaryllidacées
incluant les Alliacées)

3. Commelinidae

Arécales (Palmacées)
Poales (Poacées, Cypéracées, Joncacées, Typhacées,
Broméliacées)
Commélinales (Commélinacées, Pontédériacées)
Zingibérales (Musacées, Zingibéracées, Cannacées,
Marantacées)

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Ordre 1 : Liliales
Famille 1: Liliaceae
Cette famille comporte 4000 espèces ; c'est une famille importante, ancienne, cosmopolite.
Ce sont des plantes herbacées à souche vivace à bulbe, rhizome ou encore tubercule. La
feuille typique des monocotylédones.
L'inflorescence est indéfinie, avec des grappes et même souvent des épis, ou alors une
inflorescence solitaire (la tulipe). Les fleurs sont régulières, trimères et pentacycliques, avec
une formule florale de type :(3+3)T (3+3)E 3C. L'androcée est diplostémone. L'ovaire est
soudé, formant un ovaire à placentation axile, triloculaire et supère. Le fruit est une capsule
ou une baie, qui peut être appétant .La graine a un albumen développé, sans amidon mais
avec de la cellulose comme réserve nutritive.

Genre 1 : Lilium (le lis ou lys.)

Genre 2 : Tulipa

Ordre des Asparagales


Famille Amaryllidaceae
La famille est très vaste avec environ 73 genres et 1600 espèces qui présentent une
importance économique et culturelle (espèces sont utilisées comme condiment, plantes
ornementales, horticoles et médicinales
Les principales caractéristiques de cette famille sont:
• plantes terrestres, rarement aquatiques ou épiphytes, herbacées ;
• Fleurs trimères disposées en inflorescences en forme d'ombelles, qui sont entourées
de deux bractées à l'extrémité d'une hampe florale ;
• Les feuilles sont simples, parallèles, plein bord, linéaires, oblongues, elliptiques,
lancéolées ou filiformes, sessiles ou pétiolées, généralement en rosettes ou
spirales ;
• Elles présentent un méristème basal persistant et un développement basipète.
• Les fleurs sont hermaphrodites, actinomorphes ou légèrement zygomorphes,
pédicellées ou sessiles, colorées, chacune associée à une bractée filiforme ;
• Le périgone est composé de six tépales disposés en deux verticilles de trois pièces
chacun, qui ont approximativement la même forme et la même taille. Les tépales
sont libres les uns des autres ou ils peuvent être soudés à la base en formant un tube
périgonial ou hipanthe, qui se prolonge dans certains cas en une "couronne"
(également appelée parapérigone ou fausse corolle, par exemple les narcisses
Narcissus), parfois réduit en écailles ou en dents non visibles.

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Dans la classification de Cronquist (1981) la famille Amaryllidaceae est intégrée dans la
famille des Liliaceae.

Figure 2 ; Aspect d’une plante de Narcissus.

Ordre 2 Les Aparagales

Figure 3: Cladogramme des Asparagales

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Famille : Orchidaceae
Les orchidées sont des plantes terrestres ou épiphytes qui présentent les caractéristiques
suivantes:

o La tige est souvent une liane ou alors elle est courte.


o L'inflorescence latérale ou terminale, est toujours une grappe qui peut être
variable, soit de grande taille, soit contractée et formant un épi.
o La fleur est trimère ; on observe une torsion de 180° sur son axe avec les
pièces ventrales qui se retrouvent en position dorsale et les pièces dorsales, en
position ventrale : la fleur est dite résupinée.
o Normalement le périanthe présente six pièces ; parfois trois sépales et deux
pétales se soudent et forment le casque. La sixième pièce, un pétale, est très
développée et trilobée : c'est le labelle.
o Les étamines et les carpelles sont soudés en un seul bloc pour constituer un
gynostème. L'ovaire est infère (insertion épigyne ) et uniloculaire, à trois
placentas pariétaux
o L'androcée présente plusieurs possibilités : soit deux cycles d'étamine :
l'androcée est diplostémone. Soit il y a une réduction :

Deux étamines sont fertiles assorties d'une staminode, souvent très modifiée. Ces
plantes appartiennent au groupe des diandrées (exemple: Paphiopedilum ou sabot de
vénus).

Une seule étamine est fertile, accolée au stigmate : ce sont les monandrées (exemple :
Vanilla, Ophrys, Orchis)

o Une étamine d'orchidée contient du pollen aggloméré naturellement en


pollinie.
o La pollinisation est soit entomophile, avec un mimétisme souvent très poussé
entre le périanthe et l'espèce qui assure la pollinisation. soit ornithophile
(oiseau mouche ou colibris).
Le fruit est une capsule (fruit sec) La graine est quasi exalbuminée.

Monocotylédones : Commelinidées

Regroupe des plantes évoluées où l'anémophilie est le moyen de


dissémination. Il regroupe une famille et quatre ordres. Les espèces de ce
groupe ont vaisseaux parfaits et présentent parfois des fleurs
hétérochlamydes.

Ordre des Arecales

Cet ordre comprend une seule famille la famille des palmiers.

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Famille des Arecaceae ou Palmae
Famille du cocotier, du palmier à huile, du palmier-dattier .
C'est une famille importante, notamment économiquement. On recense près de 2500
espèces réparties dans les régions équatoriales, subtropicales et tempérées excentrées,

Caractéristiques

o Le tronc, appelé stipe, est long et non ramifié et de diamètre constant de bas en haut.
Il porte une rosette de grandes feuilles coriaces à son sommet Il peut être très court
chez les espèces acaules (Phoenix acaulis) ;
o Les feuilles sont toujours grandes, pennées et palminervées. A l'origine, elles sont
simples, mais elles vont se déchirer au niveau du limbe entre les nervures. L'étude
morphologique et ontogénique de la feuille permet de définir quatre types principaux :
- le type palmé ou flabellé (Chamaerops, Latania), comportant gaine, ligule et limbe
découpé en segments foliaires
- le type penné à feuilles réduites à une gaine aligulée (Phoenix, Elaeis), les pennes
foliaires représentant des excroissances dorsales
- le type penné à feuilles de type graminéen munies d'une gaine courte ligulée, d'un
pétiole et d'un limbe découpé (Arenga)
- le type bipenné (Caryota), qui se rattache au précédent.
o L'inflorescence est un spadice. L'axe de l'épi est parfois lignifié (Phoenix dactylifera) ;
ce spadice possède une bractée à la base, la spathe, ou des gaines foliaires qui
s’ouvrent durant l’anthèse ;
o Les fleurs sont habituellement unisexuées et dérivent des fleurs hermaphrodites par
avortement. Les fleurs mâles se trouvent au sommet de l’inflorescence et les fleurs
femelles à la base ;
o Le périgone est formé de deux verticilles de trois tépales généralement membraneux ;
o L’androcée comprend deux verticilles de trois étamines ;
o Les fleurs femelles sont superovariées (tri ou uni- loculaires), formées de trois
carpelles libres ou soudés, chacun avec un seul ovule ;
o Le fruit toujours uniséminé peut être une baie (Phoenix) ou une drupe (Cocos).
Habituellement, une seule loge fécondée poursuit le développement, tandis que les
autres régressent, si bien que le fruit a une seule graine ;
o La pollinisation est essentiellement anémogame et, dans ce but, la plante produit une
grande quantité de pollen. Il y a aussi quelques espèces entomogames ;

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o l'importance des fibres est considérable, elles assurent pour la plante une certaine
rigidité. On les utilise pour le rembourrage, le cordage. le rotin est une fibre du stipe
de palmiers du genre Calamus Le raphia est dérivé des fibres de la feuille.

Ordre des Poales


Famille des Poaceae ou Gramineae
C'est une famille cosmopolite, poussant sous tous les climats et qui recouvre de larges
espaces (les savanes, prairies, steppes, la taïga ou encore la toundra). On recense plus de 6000
espèces naturelles, certaines espèces sont cultivées depuis longtemps que leur variétés
sauvages a disparu. Toutes les céréales appartiennent à cette famille : mil, avoine, orge, blé,
maïs.
Caractéristiques des Poaceae
o Ce sont des plantes annuelles ou vivaces ; herbacées, exception de la tribu des bambous
;
o Les racines sont fasciculées ;
o La tige, appelée la "chaume", est une succession d'entre-nœuds creux et de nœuds
pleins, elle se développe au niveau du collet très tôt ;
o Les feuilles sont alternes distiques ; elles ont une base foliaire très développée. Cette
base entoure la tige en cornet plus ou moins fendu et s'étale sur toute la longueur de
l'entre-noeud et est appelée gaine le limbe s'individualisant au nœud suivant ;
o Le limbe est linéaire, parallélinervé et rubané;
o Situé entre la base foliaire et le limbe, la ligule est un ensemble de poils translucides;
o L'inflorescence de base est l'épillet regroupé souvent en épi ou panicule ;
o L'épillet (souvent triflore) présente toujours à sa base deux bractées appelées glume ;
o Chaque fleur est protégée par deux glumelles. Le périanthe, souvent d'aspect scarieux,
est appelé glumellule ;
o L'androcée est organisé selon deux ou trois verticilles de trois étamines, qui sont
souvent apifixes ou médifixes ;
o Le gynécée est réduit à un ovaire uniloculaire et uniovulé surmonté de deux stigmates
plumeux (pour retenir le pollen) ;
o Le fruit est un akène particulier, appelé caryopse ;.
o Dans le caryopse, il n'y a pas de paroi entre l'albumen et le péricarpe, car celle-ci a été
digérée par l'albumen ;
o La graine se confond avec le caryopse par l'absence de paroi entre les deux ;

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o L'embryon est extraire, car tassé sur la paroi du péricarpe, rejeté sur le côté ;
o L'albumen est amylacé et souvent riche en protéines. Pour le blé, le gluten forme
presque l'ensemble des protéines dans l'albumen ;
o Lors la germination des graines, la première racine et l'embryon de la tige sont enfermés
dans une gaine : c'est le coléoptile pour la tige et le coléorhize pour la racine, qui
disparaissent rapidement ;
o Pour la pollinisation, l'anémophilie est la règle chez les graminées sauvages. Pour les
espèces cultivées, c’est l'autofécondation.

Figure : Structure de l'épillet des Poacées :

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Références

- Amirouche N. , Bouguedoura N., Hadj Arab H.,


- Angiosperm Phylogeny Group (2003). An update of the classification: APG II. Journal
botanique de la société de Linnean 141: 399-436
- Cronquist, A. 1981. An Integrated System of Classification of Flowering Plants.
Columbia Univ. Press
- Ourari M ;
- Soltis, D. E. et Soltis . 2000. Angiosperm phylogeny inferred from 18S rDNA, rbcL,
and atpB sequences.Bot. J. Linn. Soc. 133 : 381-461.
- Spichiger R-E. 2002. Botanique systématique des plantes à fleurs: une approche
phylogénétique nouvelle des Angiospermes des régions tempérées et tropicales. Presse
technique et universitaires Romande, Paris. 404 p.
- Takhtajan, A. 1997. Diversity and Classification of Flowering Plants. Columbia Univ.
Press.

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