Sujet Entreprise Et Son Envronnement Cnaem 2015
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(ENCG / ESI)
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SOUS EPREUVE 1 : MANAGEMENT ET GESTION DE L’ENTREPRISE
Présentation de l’entreprise
La société « les Eaux Minérales d’Oulmès » est une entreprise marocaine spécialisée dans la
production et la commercialisation des eaux en bouteilles destinées à la consommation humaines
sous toutes ses formes. Leader incontesté du marché de l’eau, avec une offre complète et
diversifiée, les Eaux Minérales d’Oulmès, réalise l’ensemble des activités de la chaîne de valeur
: captage, production et embouteillage.
La société est une filiale du groupe HOLMARCOM, l’un des plus grands groupes familiaux au
Maroc qui opère dans plusieurs métiers comme l’industrie, le négoce et la distribution,
l’assurance et le courtage, l’immobilier ainsi que d’autres activités à forte valeur ajoutée.
Oulmès voit le jour le 7 mars 1933, grâce à l’impulsion de son fondateur Abdelkader Bensalah,
un homme visionnaire, animé par de fortes convictions. La concession d’exploitation est
accordée dans un rayon de 30 km autour du point géodésique d’Oulmès, un territoire riche d’où
jaillissent de nombreuses sources. A l’époque, seule la source Lalla Haya est alors exploitée
(Oulmès). L’eau de la source Sidi Ali Chérif ne fera son apparition sur le marché qu’en 1978.
Dans le cadre d’une stratégie d’élargissement de son offre, d’autres marques sont
commercialisées : l’eau de table Bahia à partir de 2001 et Aïn Atlas en 2008. Ces produits, plus
accessibles, correspondent mieux aux réalités économiques du pays et aux attentes des
consommateurs.
Actuellement, la société se veut et entend rester le leader de l’eau au Maroc. Partant de cet
objectif, la société s’est donnée pour mission l’amélioration du bien-être des consommateurs en
les hydratants sainement. La réalisation de cette mission s’articule autour de la production
d’eaux de qualité, qu’elles soient minérales naturelles, de sources ou de table.
Le développement du capital humain des Eaux Minérales d’Oulmès est placé au cœur de la
stratégie de la Direction Générale.
La politique des Ressources Humaines s’articule autour de cinq valeurs fédératrices (Fidélité,
Innovation, Engagement, Respect, Solidarité) qui expriment les convictions et l’engagement
dans l’amélioration continue de la situation professionnelle des effectifs ainsi que son
engagement dans le développement durable.
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Dossier 1 : Management
Fiche technique :
Raison sociale : OULMES ; Forme juridique : société anonyme ; Siège social : Z.I Bouskoura 20
180. Casablanca ; Capital social : 198 000 000 DH (en 2014) ; Chiffre d'Affaires : 1 350 360 648
DH (en 2014) ; Effectif permanent : 567 (en 2012).
Marques de l’entreprise:
Eau minérale naturelle : Sidi Ali, Ain Atlas ;
Eau minérale naturelle gazeuse : Oulmès ;
Eau de table : Bahia.
Sites de production :
Usine de Tarmilate : Construite en 1950, l’usine de Tarmilate est une référence industrielle dans
le marché des eaux embouteillées. Aujourd’hui l’usine compte sept lignes d’embouteillage en
PET et deux lignes d’embouteillage verre. L’usine de Tarmilate est ISO 9001 version 2008, ISO
22000 version 2005, ISO 14001 version 2004. 7 lignes PET, 2 lignes Verre, 1 ligne canette,
Des formats 20, 25, 33, 50, 75, 100, 150 et 500
Usine de Tan Tan : Créée en 2011, l’usine de Tan Tan est la dernière née des usines des Eaux
Minérales D’Oulmès.
Réseau de distribution
Avec une flotte logistique composée de plus de 450 véhicules, approvisionnant au quotidien une
dizaine de milliers de points de vente, les produits des Eaux Minérales d’Oulmès sont présents
partout au Maroc et accessibles à la majorité des consommateurs. Pour renforcer ce maillage
géographique sur le territoire national et garantir une haute qualité de ses services, la distribution
représente un réel avantage compétitif pour les Eaux Minérales d’Oulmès. Les Eaux minérales
d’Oulmes s’appuie sur un ERP très puissant associé au HHT. De la production au stockage, en
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passant par la manutention, le transport et la mise sur le marché, l’optimisation des flux et la
maitrise de la chaîne logistique constitue un facteur clé de valorisation et de différenciation au
service de la performance et de la satisfaction de nos clients et partenaires.
• L’eau minérale naturelle (plate et gazeuse). Au sens de l’article 67 la loi 10-95 sur l’Eau :
- « Les eaux minérales naturelles plates » sont des eaux naturelles d’intérêt médical, qui
indemnes de nocivité, peuvent être utilisées comme agents thérapeutiques en raison de
leur degré de chaleur et des caractéristiques de leur teneur en calcium, en gaz et en
matières radioactives ».
- « Les eaux minérales naturelles gazeuses »sont des eaux naturelles d’intérêt médical
gazeuses dont la teneur en gaz peut être augmentée par addition de gaz prélevé
exclusivement au griffon de la source ».
• L’eau de source
Selon l’article 73 la loi 10-95 sur l’Eau : « Les eaux dites de source sont des eaux naturelles
potables provenant de résurgences ».
• L’eau de table
Selon l’article 73 la loi 10-95 sur l’Eau : « Les eaux dites de table sont des eaux potables
provenant des réseaux publics d’approvisionnement d’eau de boissons. Ces eaux peuvent subir
des traitements supplémentaires agréés par l’administration ».
Intervenants locaux
Le marché de l’eau en bouteille au Maroc est un marché assez étroit, concentré difficile à
pénétrer de par les investissements lourds à engager et la complexité des réseaux de distribution.
La concurrence de plus en plus rude ce qui pousse les opérateurs locaux à diversifier leurs
produits afin de se différencier les uns des autres.
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Intervenants étrangers
Le marché national accueille également des eaux étrangères, importées pour l’essentiel de
France.
Oulmès, Sidi Ali, Sidi Harazem, Aïn Saïss et Aïn Soltane... Ces eaux viennent directement des
entrailles de la terre. Parmi celles-ci, trois seulement détiennent l’appellation tant convoitée
d’eau minérale. Il s’agit de Sidi Harazem, la première eau exploitée au Maroc, dès 1965, Sidi Ali
et Oulmès, toutes deux exploitées par la Société des eaux minérales d’Oulmès, propriété de la
famille Bensaleh. Aïn Saïss, lancée par Danone en 2002, ainsi que Aïn Soltane, lancée sur le
marché marocain en mars dernier par Ynna Holding, avec un investissement de près de 150
MDH, ne sont que des eaux de source. La différence réside dans la teneur en sels minéraux et
oligo-éléments de ces eaux. Si les eaux souterraines marocaines sont connues pour leur
minéralité, l’appellation «eau minérale» n’est pas accordée d’office, comme le précise le
ministère de la santé. «C’est le Comité du thermalisme du ministère qui décide, après de
nombreuses études, d’accorder ou non cette appellation à l’eau commercialisée. Ces études sont
essentiellement d’ordre thérapeutique et visent à démontrer les bienfaits réels de cette eau»,
explique une source autorisée. Cette difficulté est à l’image du parcours du combattant que doit
suivre l’investisseur pour obtenir les premières autorisations d’exploitation.
L’administration fixe par la suite la durée de l’autorisation, les mesures à prendre par
l’attributaire de l’autorisation pour éviter la dégradation des eaux qu’il utilise soit pour le
prélèvement soit pour le déversement, le montant et les modalités de paiement de la redevance,
les conditions d’exploitation, de prolongation ou de renouvellement éventuel de l’autorisation.
L’investisseur paie en redevances et droits l’équivalent de 5 % de son chiffre d’affaires.
Document 4 : Eaux minérales : 8 marques locales et une consommation qui a triplé en 5 ans
Le marché des eaux embouteillées est en pleine croissance. Durant ces deux dernières années, la
demande est passée de 300 à 450 millions de litres, soit une consommation moyenne de 15 litres
par habitant et par an. Selon un opérateur, cela représente le triple de la consommation moyenne
enregistrée il y a 5 ans. Cette hausse est due, selon les professionnels du secteur, à la multiplicité
des marques et, sous l’effet de la concurrence, le produit s’est démocratisé eu égard à des prix
devenus plus abordables.
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Les perspectives de développement de ce marché, estiment les professionnels, sont prometteuses
et ceci pour plusieurs raisons, notamment le changement des habitudes de consommation, le
changement de style de vie ainsi que le développement du réseau de distribution. De plus, la
consommation individuelle est encore très faible.
D’une valeur de 1,5 milliard de DH, selon un embouteilleur, le marché reste dominé par les eaux
plates qui représentent 91% de la consommation, dont 70% d’eaux minérales, contre 9% pour les
eaux gazeuses. La segmentation est cependant plus large que cela. Le catalogue comprend en
effet les eaux minérales naturelles plates, les eaux minérales naturelles gazeuses, les eaux de
source et les eaux de table. L’essentiel de l’offre est produit par les sociétés locales. Le reste est
importé, essentiellement de France par la société Drinks (Vittel et Contrex, des eaux minérales
naturelles) et par Foods & Goods (Evian- eau minérale naturelle plate- et San Peligrino -eau
gazeuse).
Bien que difficile d’établir avec certitude le classement des acteurs, la société des Eaux
minérales d’Oulmès revendique 70% du marché grâce avec quatre marques leaders dans leurs
segments. La deuxième place du secteur est attribuée à Sotherma (eaux minérales naturelles Sidi
Harazem et Aïn Saïss) qui détiendrait 23% du marché. Coca Cola international vient en troisième
position et avec 4% de parts de marché à travers ses marques Ciel, Bonaqua et Aquarius. Le reste
est réparti entre les Eaux minérales Al Karama, filiale du groupe Chaâbi, le dernier arrivé dans le
secteur, avec une seule marque, l’eau de source Aïn Soltane, et les importations.
Pour se différencier, les opérateurs jouent la carte de la diversification des contenances. Outre la
bouteille classique de 1,5 litre, presque tous ont mis sur le marché des contenances spécifiques
aux enfants, soit le 33 cl, et le 75 cl destiné aux sportifs. Par ailleurs, plusieurs marques ont lancé
le bidon de 5 litres pour une consommation familiale.
La bataille se fait aussi au niveau de la diversification des produits. Sotherma et Les Eaux
minérales d’Oulmès ont ainsi lancé, en 2005, le concept des eaux aromatisées avec des parfums
pêche, orange et fraise. Coca Cola International se positionne sur cette niche avec Aquarius.
A l’exception de Sidi Ali, 10% plus chère, les opérateurs se sont à peu près alignés sur les
mêmes prix. Pour les eaux naturelles et de source, la bouteille de 1,5 l est vendue à 5 DH, et la
demi-litre à 3,50 DH. Le prix du format familial de 5 litres varie entre 14 DH (Aïn Soltane) et 9
DH (Bahia).
Les eaux minérales importées coûtent, quant à elles, plus cher. La ventilation des ventes
communiquées par les importateurs laisse apparaître que 90% du chiffre d’affaires est réalisé
dans le segment CHR (café, hôtel, restaurant) et 10% seulement dans la grande distribution.
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Dossier 2 : Gestion
20/12/2014 : Cession de la machine MR245 au prix de 110 000 DH (à régler à la fin du mois).
Cette dernière a été acquise le 05/07/2009 à 250 000 DH est amortie en linéaire sur 10 ans.
Le jour même, elle a été remplacée par la machine MR385 plus performante acquise dans les
conditions suivantes : (facture M 2376, chèque bancaire n° 311)
Prix catalogue: 336 000 DH TTC ;
Remise de 2 % sur le prix catalogue de la machine ;
Escompte de 1% sur le net commercial ;
Frais de transport et d’installation : 3 600 DH HT ;
La machine MR385 est amortie en linéaire sur une durée d’usage de 10 ans.
25/12/2014 : Reçu et réglé par chèque n° 316, la facture de NMN communication, opérateur
d’affichage publicitaire : 320 000 DH HT.
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SOUS EPREUVE 2 : ECONOMIE- DROIT
Dossier 1 : ECONOMIE
1. Définir les termes suivants : balance commerciale, accord de libre échange, indice de
développement humain.
2. Calculer et commenter le taux de couverture pour 2013.
3. Analyser la structure du commerce extérieur du Maroc.
4. En quoi le commerce extérieur constitue-t-il un moteur de la croissance économique du
Maroc ?
5. Le Maroc doit il renoncer à la politique des accords de libre échange ?
La spécialisation est un avantage mis en avant par Ricardo si le libre-échange est respecté. Elle
permet à chacun d’utiliser au mieux son travail, en l’affectant aux productions les plus efficaces
du pays.
L’élargissement des marchés est un avantage très important pour les activités où existent des
économies d’échelle. A défaut, des biens comme les grands avions ne peuvent voir le jour sans
un marché mondial. Cet effet est d’autant plus important que le marché intérieur est étroit.
D’autre part, avec l’ouverture du marché, les entreprises bénéficient d’un plus grands choix
d’équipements, mieux adaptés à leurs besoins, et les consommateurs de possibilités élargies.
Tout aussi important est l’échange de techniques. Cette possibilité d’obtenir des techniques
d’autres pays explique en grande partie que les pays en développement récent aient connu des
taux de croissance nettement plus élevé que ceux de l’Angleterre ou des Etats-Unis au même
stade de leur développement et aient ainsi pu les rattraper en partie.
Source : Arnaud Parienty, Alternatives économiques n° 206, Septembre 2002
Sur un échantillon de 107 pays en développement étudié entre 1990 et 2010, environ 87 %
peuvent être considérés comme mondialement intégrés : leur part du commerce dans la
production a augmenté, ils disposent de nombreux partenaires commerciaux de premier ordre et
conservent une part du commerce dans la production élevée en comparaison avec des pays aux
revenus similaires.
À l’inverse, tous les pays en développement dont l’IDH a le plus progressé en comparaison avec
leurs homologues entre 1990 et 2012 (au moins 45 dans le présent échantillon) se sont mieux
intégrés à l’économie mondiale au cours des vingt dernières années : l’augmentation moyenne
de leur part du commerce dans la production est d’environ 13 points de pourcentage supérieure
à celle enregistrée par le groupe de pays en développement dont la hausse de l’IDH reste
modeste.
Source : Rapport sur le développement humain 2013(PNUD)
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Document 3 : Les accords de libre-échange ou le plat de spaghettis
Le Maroc, champion du libre-échange ? Assurément, si l’on s’en tient aux traités commerciaux
signés aux quatre coins de la planète. Hormis ceux passés avec l’Union européenne (UE) et
l’Association européenne de libre-échange (AELE), le Maroc compte à ce jour six accords
bilatéraux pour commercer en liberté. ( …)
Sur les quinze dernières années, la croissance des importations en provenance des pays
partenaires, hors AELE et UE, est, en moyenne, plus importante que celle du total des
importations. Seules les importations chinoises font mieux. Mais ces mêmes ALE ont permis aux
exportateurs (pour l’essentiel l’industrie des textiles, de l’agroalimentaire, de la chimie et
parachimie) de préserver leurs maigres parts de marché. Malgré les chiffres, plutôt roses, de
l’amélioration des taux de couverture avec nos partenaires, ces accords n’ont pas, pour autant,
réduit notre déficit commercial.
( …) Cette frénésie d’ALE pose pourtant un problème. Aujourd’hui, nos entreprises se débattent
avec une multitude d’accords. Ce qu’elles déplorent c’est le syndrome du «bol de spaghettis».
Un syndrome nommé ainsi par Jagdish Bhagwati, un économiste néolibéral, ancien conseiller au
GATT. En gros, ces ALE forment des bulles commerciales sur la base de conditions
préférentielles entre partenaires, avec comme conséquence de compliquer à terme les échanges
internationaux.
A première vue, les accords de libre-échange permettent aux entreprises de réduire les coûts sans
générer de charges supplémentaires. Ce n’est pas aussi simple. Le nombre croissant d’accords de
libre-échange complique leur application pour les entreprises. Il en résulte des coûts de
transaction et d’information. Il n’est donc pas étonnant que les entreprises utilisent les accords de
libre-échange seulement de manière limitée.
Trois autres raisons qui expliquent cela : premièrement, l’ignorance de l’existence d’un accord et
la méconnaissance des avantages qu’il procure ; deuxièmement, des coûts de transaction
supérieurs à l’utilité résultant de l’accord de libre-échange, ce qui s’explique principalement par
les différences au niveau des règles d’origine, ce dernier point constituant la troisième raison.
Les règles d’origine préférentielles constituent le cœur des accords de libre-échange. Elles
définissent si un produit qui n’est pas fabriqué intégralement au Maroc ou dans le pays partenaire
y a été suffisamment ouvré ou transformé pour bénéficier d’un accès préférentiel au marché.
L’exportateur est donc confronté à une multitude de règles différentes. Le «plat de spaghettis»
génère des coûts administratifs et peut dissuader des entreprises de choisir la chaîne de création
de valeur la plus efficiente de peur de perdre leur traitement préférentiel.
Source : Larabi Jaïdi. La Vie économique du 29- 03-2013
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Tableau 2 : échanges commerciaux par groupe de produits 2013
Source : office des changes, Rapport annuel du Commerce extérieur du Maroc, 2013
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DOSSIER 2 : DROIT
Après avoir pris connaissance du cas ci-après, répondez aux questions suivantes : (les réponses
doivent être justifiées et appuyées par un raisonnement juridique)
QUESTIONS :
1. Qualifier le contrat conclu entre Monsieur BERDAI et monsieur LAKHAL
2. Vérifier les conditions de validité de ce contrat
3. Quelles sont les responsabilités des parties contractantes?
QUESTIONS :
Après avoir pris connaissance du cas et de l’extrait du DOC ci après, répondez aux questions
suivantes : (les réponses doivent être justifiées et appuyées par un raisonnement juridique)
4. Sur quels principes juridiques Monsieur BERDAI pourrait-il fonder une action juridique
dans le but de défendre ses intérêts ?
5. De quels moyens juridiques dispose la défense de Monsieur BERDAI ?
6. Devant quel tribunal Monsieur BERDAI doit il ester en justice ?
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